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Citations de Robin Walter (15)


Il est souvent plus difficile de revenir dans son village natal que d'en partir.
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Je crois, hélas, que la guerre révèle ce qu'il y a de pire chez celui qui ne s'y était pas préparé.
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Fernando Pessoa l'avait compris. Celui qui revient au pays natal est à la recherche du temps perdu.
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" À chaque époque, une partie de l'opinion publique semble tomber dans le même panneau. La peur de l'autre, celui qui vient d'ailleurs. À chaque vague d'immigration, les mêmes tensions, les mêmes crises..."
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Dans la lutte entre le bien et le mal, je m'imagine aujourd'hui du bon côté.
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Quand notre parti ne comptait encore que 7 membres, il exprimait déjà deux principes : premièrement, il voulait être un véritable parti idéologique ; deuxièmement, il ne tolérait aucun compromis dans l'exercice du seul et unique pouvoir en Allemagne (Adolf Hitler).
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La saudade, cette mélancolie, cette nostalgie, propre aux Portugais… Si difficilement traduisible. Maria me dit ne plus envisager rentrer au Portugal à la retraite. Les réalités économiques et les perspectives d’une meilleure qualité de vie lui feront peut-être changer d’avis. Envisageaient-ils un tel scénario il y a quarante ans, quand à contre-cœur, ils ont laissé derrière eux leur maison, leur famille… leur Portugal… Non, ils se voyaient rester quelques années pour y faire des économies et faire construire une maison au pays. Mais le piège s’est refermé. Celui dont sont victimes tous les émigrés de la planète. Quand les enfants grandissent et s’installent dans leur pays d’adoption. Les petits-enfants finissent d’anéantir les velléités de départ… Maria et Manuel semblent savoir qu’ils ne retrouveront plus leur Portugal. Leur Portugal n’existe plus.
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Avec le temps, le pays que l'on a quitté devient le pays où l'on ne revient jamais.
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C'est le 27 février 1970 que se termine cette histoire... Le dernier jour de Wernher von Braun à son bureau de Huntsville... Mais cette histoire se termine-t-elle vraiment à cette date ? N'est-ce pas plutôt en 1972, quand il démissionna de la NASA à Washington, puis que le programme Apollo se termina avec sa dix-septième mission, n’atteignant donc pas les vingt prévues... Ou est-ce en 1975, quand son état de santé se dégradant suite à un cancer, il dû arrêter ses activités professionnelles qui lui permirent de rencontrer Gandhi, Juan Carlos ou encore le Shah d'Iran... Il leur vendait les mérites des satellites de la société dont il était le vice-président... Mais n'est-ce pas l'envoi dans l'espace de la dernière fusée Saturn en mai 1975 qui met un point final à cette histoire ? Ou tout simplement le 16 juin 1977, quand Wernher von Braun succomba à la maladie à l'âge de 65 ans... ? Ou encore le 21 juillet 1980, quand le dernier spécialiste allemand de Peenemünde quitta le centre spatial de Huntsville... ? Ou au milieu des années quatre-vingt, quand les recherches de la journaliste américaine, Linda Hunt, révélèrent les détails de l'appartenance de von Braun au parti Nazi et à la SS, ainsi que son lien à Dora... Tout en révélant pour la première fois l'opération Paperclip dont les dossiers étaient déclassifiés depuis peu ; opération qui permit aux États-Unis d'attirer chez eux plus de 1600 scientifiques, ingénieurs et techniciens allemands dont de nombreux nazis... Et finalement, est-ce que le dénouement de cette histoire, ce n'est pas lorsque, à la suite de ces révélations, Arthur Rudolph, au récit plus anonyme mais tout autant sulfureux que celui de son célèbre compagnon de route Wernher von Braun, fut rattrapé par son passé, dû renoncer à sa nationalité américaine et quitter le pays en échange de l'abandon des poursuites judiciaires ? (p. 168-169)
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Quand a débuté cette histoire ? Le 23 mars 1912 ? Lorsque Emmy von Braun mit au monde son second fils ? Le 30 janvier 1933 ? Quand Adolf Hitler devint chancelier allemande ? Au XIIIème siècle ? Quand les Chinois furent les premiers à utiliser des projectile à poudre ? Non... cette histoire commença le 2 mai 1945, en Bavière. (p. 5-6)
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L'émigration engendre peut-être des rêves trop grands.
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- (...) c'est vrai ce qu'on raconte ? Vous sabotez les fusées ?
- On est prisonniers... Mais toujours en guerre...
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- Le diplomate et le constructeur de missile... Sacré fratrie !
- Hé hé ! (p. 140)
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De toute façon... tous ces prisonniers... il faut bien faire de la place pour les arrivants...
D'une manière ou d'une autre...
Ils ont tous le même cheminement, finalement ils rentrent par la porte...
Et ressortent par la cheminée...
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Un de mes voisins m'implore et me demande de le gifler pour l'empêcher de perdre connaissance. Il veut lutter jusqu'au bout et ne pas mourir. Il sue à grosses gouttes et ne cesse de crier avec cette voix mourante qui m'a longtemps marqué : "n'aie pas peur de me faire mal, je ne veux pas mourir."
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