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Citations de Rose M. Becker (129)


– Tu ranges tes bouquins par ordre alphabétique ! je m’écrie, mi-amusée mi-scandalisée. Ce n’est pas possible ! Je rêve !

– Non, réplique-t-il sur-le-champ. Pas du tout. Il a l’air contrarié.

– D’abord par genre : littérature américaine, littérature étrangère, poésie, etc. Et seulement ensuite, je classe les auteurs par ordre alphabétique.

– Tu sais que tu ferais presque peur ?
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Je suis restée pour lui tenir compagnie et lui donner les astuces contre les vomissements – se masser les tempes, penser à des fougères, respirer un stick à la menthe… je jure que ça marche !
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– Tu n’as pas envie que je te présente un charmant jeune homme ?
– Surtout pas ! je souris. À moins que tu ne connaisses Orlando Bloom…

Je crois qu’il est végétarien, lui aussi. En plus d’avoir des tablettes de chocolat hyper appétissantes. Je ne mange pas de viande ; par contre, les sucreries… Lila me regarde comme si j’étais tombée sur la tête.

– Tu crois sérieusement que je te donnerais son numéro si je l’avais ? Et moi, alors ? –
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- Ne va pas te planter dans le décor...

Je hausse les épaules, faisant fi de son attaque mesquine.

- Je ne m'abaisserai pas à ton niveau. Je vais faire comme si je n'avais rien entendu.
- J'ai l'état de ta Coccinelle, April.
- Tu parles de mon phare arrière ? Je n'avais pas vu l'arbre derrière moi. Aussi, on ne s'attend pas à trouver un sapin au milieu d'un parking ! Tu me l'accorderas !

Il ouvre un œil embrumé.

- Non, je n'étais pas au courant. Je pensais plutôt à...
- Mon pare-chocs ? Il est tombé tout seul un matin, au moment où je partais travailler ! L'usure, sans doute !

Terrence écarquille les yeux.

- Non, moi, je te parlais de ton aile froissée.
- Oh ça ! Malheureux concours de circonstances.
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« Je suis égoïste, impatiente, et peu sûre de moi.
Je fais des erreurs, je suis hors de contrôle et parfois difficile à gérer.
Mais si vous ne pouvez pas me supporter pour le pire,
Nul doute que vous ne me méritez pas pour le meilleur. »

Marilyn Monroe
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La vérité ? J’ai peur des couples. J’ai peur du mariage. J’ai peur de dépendre de quelqu’un – sentimentalement, psychologiquement ou physiquement. Une peur terrible. Une peur bleue.
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Si l’on tient à la vie, mieux vaut ne pas rester sur la route de ce chien fou furieux. Aussi grand qu’un poney, il charge comme un taureau sauvage dès qu’il met une patte dehors et ne s’arrête qu’une fois devant sa porte. J’ai l’impression de piloter un char d’assaut.
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Je règle seule mes problèmes d’argent, sans l’aide de personne. S’il me manque cent dollars pour payer mon loyer, je travaille plus, toujours plus, afin de rassembler la somme. Et je ne compte pas me laisser insulter sans riposter…
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Je n’ai jamais été très à cheval sur l’ordre. Pour moi, un foyer doit être chaleureux, plein de vie, empli des traces et signes de notre présence ou de nos activités. C’est ainsi qu’on rend un lieu vivant.
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Je n’entendrai plus jamais ses récits de jeunesse abracadabrants où il se promenait à dos d’éléphant au Sri Lanka ou sauvait un lion de braconniers en Tanzanie… Il inventait au fur et à mesure, lui qui n’avait même pas de passeport ! Je n’admirerai plus ses collections loufoques – bouteilles de bière du monde entier, petites cuillères, fèves…

J’essaie de contenir mes larmes. Ce n’est pas le moment de craquer mais des souvenirs du vieux philanthrope défilent dans ma tête. Que serais-je devenue sans lui, s’il ne m’avait pas secourue après mon évasion de la secte ? Mon existence aurait été très différente.
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Je ne bois pas une goutte d’alcool, même si je tente de rouler des mécaniques. C’est interdit. Enfin, c’était interdit. J’essaie pourtant de chasser ces vieux réflexes alors que ma copine pose un verre devant moi, muni d’une paille avec un gros ananas en crépon. J’aspire une première gorgée et me redresse, le menton haut. Je ne veux pas ressembler à une petite chose affaissée sur son siège.
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À elle, je peux tout dire. Nous avons le même passé. Nous avons vécu les mêmes expériences, traversé les mêmes drames. D’une certaine manière, nous sommes sœurs, toutes les deux.
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Mon inconscient essaie sûrement de me faire passer un message – dommage que je ne comprenne rien !
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J’ai encore fait ce cauchemar. Toujours le même. Depuis six mois, il revient presque chaque nuit, m’empêchant de dormir. Il m’obsède. J’en viens à appréhender le coucher et repousse le moment d’ouvrir mon canapé dépliant au milieu du salon. À grands coups de pieds, je repousse les couvertures, dévoilant mes jambes nues dans mon short écossais. J’ai l’impression d’avoir couru le marathon de New York ! Attrapant le verre sur ma table basse, je le vide à grands traits.

Mon cerveau pourrait se renouveler quand même… Il m’envoie toujours les mêmes images sans queue ni tête. Les corbeaux. Les cris. Les rires. La cloche. Le ruban. Le rouge. La peur. Toujours dans cet ordre. Sans la moindre variation. Je n’ai aucune idée de leur signification.
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– Déshabillez-vous.
Liam me regarde avec des yeux en soucoupe. Assis sur le lit, il repose l’un des livres prélevés à la petite bibliothèque de sa chambre – uniquement de vieux romans policiers qui appartenaient à mon père.
– Je vous demande pardon ?
J’avoue que dit comme ça, ça peut prêter à confusion…
J’essaie de ne pas me transformer en tomate tandis qu’il me contemple avec un sourire en coin. Je tiens entre mes mains une trousse de premiers secours et les médicaments achetés à la pharmacie après la fermeture du café.
– Vous devez vous déshabiller pour vos soins, reformulé-je.
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À ces mots, Liam renverse brusquement sa tasse sur lui. Tout le liquide vient tremper son pull, laissant une grosse tache brune.
– Ça va ? m’inquiété-je.
– Excuse-moi, murmure-t-il.
Je n’ai pas le temps de l’interroger qu’une voix de femme me répond à l’autre bout du fil. Et sans attendre, Liam quitte le petit salon pour se changer.
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– Parce que les New-Yorkais savent patiner ? me moqué-je.
– Tu as déjà entendu parler de la patinoire du Rockefeller Center ? C’est juste l’une des plus célèbres au monde…
– Pfff ! Ça ? C’est pour les chochottes !
Répondant à ma taquinerie d’un froncement de sourcils, il se redresse de toute sa hauteur.

– Les chochottes ? On va voir ça tout de suite, Miss Wisconsin !
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- Quoi ? s'étonne Liam, les yeux ronds. C'est toi qui m'a demandé de partir !
- Maaaaais ! gémis-je.
Apparemment, Liam Baily ne dispose pas du grand dictionnaire bilingue homme-femme.
- Quand une femme te demande de partir, tu dois TOUJOURS rester pour t'expliquer. Et quand c'est elle qui part, tu dois TOUT faire pour la retenir.
- Vraiment ?
- Ouiii ! C'est une loi universelle ! Comme la poussée d'Archimède.
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Cet homme est parfait,des pieds à la tête.Un vrai régal pour mes yeux,pour mes mains.
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Il se met à rire,de ce beau rire grave et rauque qui me donne des frissons.Il a un timbre si envoûtant... Je pourrais l'écouter lire le dictionnaire toute la journée.
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