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Note moyenne 4.68 /5 (sur 206 notes)

Nationalité : France
Biographie :

Toute ma vie d’avant m’a menée à l’écriture. Chacune de mes expériences sont sources d’inspiration. Adolescente, je traverse une période difficile. Les mots m’aide à exprimer mon mal être. Je commence par des poèmes très sombres, des textes très noirs et je ne cesse plus d’écrire jusqu’à mes 18 ans, une réflexion douloureuse coupe alors mon élan. Ce n'est qu'en 2015, après un burn-out, que je retrouve le chemin vers le stylo et le carnet. Je décide donc de faire une pause professionnelle et me consacre à l’écriture de mon premier roman, le premier tome de l’Empreinte de la Chair, qui sortira en novembre 2018 aux Editions la Liseuse.
Après l'arrêt des Editions La Liseuse, la chance me sourit encore. Les Editions du Loir décident de reprendre le tome 1 qui sort en même temps que le tome 2 en juin 2020 puis le tome 3 en juillet 2022. Cette trilogie est un thriller psychologie sous forme de saga familiale.
Pendant le confinement de novembre 2020, une jolie histoire commence à me titiller. Je laisse ainsi porter et en juin 2021, Des Guimauves sur le Chocolat Chaud paraît, toujours aux Editions du Loir.
Le fil conducteur de mes romans, alors même que les genres sont différents (noir d’un côté et rose de l’autre 😊) est la famille, les amis…la tribu qui gravite autour de mes personnages mais aussi la cuisine et la nature.
Sans ces trois éléments, je ne pourrai écrire.
J’ai aussi écrit un livre jeunesse avec ma fille Fanny alors âgée de 9 ans Titi et Maman de À à Z, publié en avril 2019 aux éditions La Liseuse Junior.
Un deuxième tome sortira en novembre 2022 dans lequel Titi et Maman partageront leurs recettes mais aussi des astuces, trucs et un peu de diététique qui devraient donner l’envie aux petits lecteurs de devenir de super chefs.
Le tome 1 sera également de nouveau imprimé.



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Elle enfourne sa bécane, la môme accrochée à elle. Elle repart en direction du bassin. Elle roule si vite, les larmes l’aveuglant, qu’elle pourrait se tuer. Elle est enragée parce qu’elle n’a pas été là pour le sauver, lui, qui a toujours été présent pour elle, qui l’a instruite, l’a formée, l’a aimée. Elle n’a pas pu lui dire au revoir, l’embrasser et l’accompagner dans son dernier voyage.
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Papy s'est tu, gravant à tout jamais cette scène en moi. Je me dirigeai vers lui. Je me blottis dans ses bras et enfouis mon nez dans son cou. Il était grand mon papy. Près de deux mètres. Deux mètres de gentillesse et d'amour
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Ma jeunesse ne m'empêchera pas de vous foutre dehors si vous n’obéissez pas à mes règles. En revanche ma détermination, mon arrogance et mon audace vont nous porter jusqu'aux podiums les plus connus et, de là, on atteindra le Nirvana.
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"Grelottante, je revenais en courant jusqu'à la terrasse en bois où m'attendait ma grand-mère, peignoir à la main. Elle enveloppait de la douce éponge parfumée à la fleur d'oranger et me frictionnait le dos vigoureusement. Puis, elle me serrait dans ses bras, et nous demeurions ainsi quelques minutes, toutes les deux tournées vers l’océan."
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Je me tourne vers lui. Il m'ouvre ses bras et je m'y réfugie. Je perçois les battements du cœur de Paul. Ces battements qui m'ont toujours transportée vers un ailleurs meilleur.
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Le Cap Ferret était le seul lieu où je me sentais en sécurité, chez nos grands-parents. Nous nous y rendions pendant les vacances scolaires. Ils nous aimaient tels que nous étions. Ils s’inquiétaient quand nous avions de la fièvre, séchaient nos larmes quand nous avions du chagrin, applaudissaient les bonnes notes, nous embrassaient jusqu'à l'usure, nous enlaçaient jusqu'à l'étouffement. Nous les aimions pour ça et pour tout le reste
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Je veux ouvrir les paupières ,mais je n’y parviens pas. Elles sont trop lourdes et se referment malgré moi . La bouche pâteuse et les lèvres sèches,j’ai l’impression que tout mon sang s’est concentré dans ma boîte crânienne.
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Le Cap Ferret était le seul lieu où je me sentais en sécurité, chez nos grands-parents paternels. Nous nous y rendions pendant les vacances scolaires. Ils nous aimaient tels que nous étions.
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Le processus peut démarrer. D'abord, il les attache et les expose nues à son regard pendant plusieurs jours. Il les affame, les assoiffe. Elles deviennent des animaux, des bêtes sauvages, prêtes à faire n'importe quoi pour un bout de pain ou une goutte d'eau. Il peut faire ce qu'il veut avec elles, aller au bout de l'horreur et de son plaisir.
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Lion, le Caïd, croise les bras pendant que ses hommes se déplacent et se positionnent tout autour du Doc. « Je suis fait », pense-t-il.

— Petit, je suis tellement déçu.

Le Caïd se rapproche de lui. Pose la main sur le côté gauche de sa poitrine.

— Tu m’as brisé le cœur.

Puis, il soupire. Grimace. Soupire encore.

— Dis-moi, pourquoi m’as-tu trahi ?

Doc braque ses yeux sur son protecteur.

- Peut-être parce que tu m’as appris que la loyauté n'amenait à rien ?

Lion lui tapote la joue.

— C’est donc que je n’ai pas été un bon professeur. J’aurais dû t’expliquer que tu ne dois pas mordre la main de celui qui te nourrit. Surtout quand ce dernier peut aisément t’écraser.

Il s’assoit sur le large fauteuil en cuir marron et croise ses jambes. Pendant un instant, il regarde ses longues mains manucurées. Caresse sa barbe.

— Je me souviens encore de ta dégaine quand tu as débarqué dans mon quartier. Tu avais quoi ? Quatorze, quinze ans ? Tu venais d’obtenir le bac. Incroyable ! Tu étais encore si jeune et tu « dealais » pour pouvoir te payer des études de médecine. C’est bien ça : si jeune et naïf. Tu croyais que tu pouvais garder pour toi la totalité des ventes. Tu avais juste oublié ma part.

Il éclate de rire.

— Tu as fouillé tes poches et tu m’as tendu les billets. Sans te démonter, tu m’as proposé un marché. Je te payais tes études et tu bossais pour moi. Tout en me serrant la main, tu m’as affirmé que je ne regretterais pas. Tout de suite, j’ai vu en toi un potentiel. J’ai décelé aussi ton arrogance évidemment mais j’ai pensé que ton intelligence serait supérieure à tes besoins primitifs. Et je n’ai jamais regretté de t’avoir pris sous mon aile… jusqu’à aujourd’hui.

Il se met à jouer avec son alliance.

— C’est maman qui va être bien triste quand on lui ramènera ton corps. Ça va la briser mais bon, je l’aiderai à s’en remettre. Un fils, ça se remplace, surtout un fils adoptif. L’argent, non !

Le Caïd se lève et tourne autour de lui. Il s’arrête derrière lui et pose une main sur son épaule.

—J’aurais pu tout accepter de toi, mais pas ça. Pas après tout ce que j’ai fait pour toi. J’ai investi en toi. As-tu une idée de ce que tes études m’ont coûté ?

— Je pense que je te les ai largement remboursées. Ce que j’ai pris, je le mérite. C’est à moi !

— Tu le mérites ? Comment peux-tu être si peu reconnaissant, Doc ? Tu auras éternellement une dette envers moi. Et cette dette, tu vas me la payer définitivement en me donnant ta vie.
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