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Citations de Samuelle Barbier (120)


On pense toujours qu'on va avoir le temps. Le temps de vivre, de se tromper, d'aimer, et que l'on mourra paisiblement, vieille et ridée dans notre lit, en ayant accompli tout ce qu'on désirait.
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ce qui me réconforte, c’est qu’on n’ait pas besoin de tout comprendre pour aimer. je t’aime, sans limite.
a toi pour toujours .
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"On naît, on vit, on meurt et quand on a beaucoup de chance, on aime, entre temps."
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Quand on écrit « aimer » « émer », pas sûr que Bernard Pivot suffise à rattraper le coup.
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Mais grâce à ces lettres presque anonymes, ma boîte de Pandore s’est ouverte, et de l’espoir s’en est échappé, enfin.
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Je sais que chaque personne est différente. J'ai compris que je peux accorder ma confiance en certaines.
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Lorsque l'on perd quelqu'un qu'on aimait comme je t'aime, la peine semble insurmontable.
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Parfois, une illusion est préférable à la réalité, n'est-ce pas ?
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Il y a des instants anodins qui chamboulent une vie entière.
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Je me demande à quel moment, dans les méandres de notre vie, dans la frise chronologique de notre histoire, on a lâché Constance, et à quel moment elle nous a lâchées.
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Je peux rester des heures à regarder un orage d’été. C’est une pluie diluvienne qui s’abat soudain, des nuages qui s’assombrissent pendant dix minutes, des éclairs qui déchirent le ciel. L’orage, c’est un spectacle pyrotechnique divin, un putain de feu d’artifice. C’est Dieu qui chante du gospel et les anges qui entrechoquent toutes les casseroles de la cuisine du Paradis. Alors je sors vite de chez moi, je renverse la tête en arrière et je profite du spectacle ; ma grand-mère me hurle de rentrer, avec son accent portoricain, elle crie que je vais prendre froid. Ah ! Le bruit de la pluie sur les tôles de l’avant-toit.
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On dit que la douleur s'atténue avec le temps. C'est faux. On apprend à vivre avec, c'est tout. Tu vas me traiter de folle, mais cette douleur, je l'aime, moi. Je l'aime tellement que je ne pourrais pas survivre sans elle, puisque je ne peux pas vivre sans toi.
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Est-ce que j’ai dormi pendant que les autres souffraient? [...]
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L’amour ne donne rien que lui-même et ne prend rien que lui-même. Il ne peut posséder et ne peut être possédé. Car l’amour suffit à l’amour.
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Des milliers de dangers, chuchotent mon agoraphobie. Des milliers de possibilités, lui répond mon cœur.
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Je me demande ce qui peux pousser une fille comme elle à vouloir mourir, à lever les bras vers le ciel, l’air de dire « j’arrive », et à plonger vers les abysses.
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Je n’ai pas besoin qu’elles soient physiquement là. Elles sont partout où je suis.

Je sais qu’elles vont m’en vouloir. Comment pourrait-il en être autrement ? Elles me verront comme une lâcheuse, ni plus ni moins. Mais, au fond de moi, je suis persuadée qu’elles m’aimeront, où que je sois, quoi que je fasse.
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Lorsque j'ouvre l'enveloppe, un billet de 5 livres en tombe. J'avais jamais vu d'argent anglais. La mocheté dessus, ça doit être la reine. J'ai jamais compris pourquoi ils tenaient tous à mettre leur tronche sur un billet. Si encore ils avaient la gueule de Clooney, OK - ma grand mère trouve que c'est l'homme le plus beau du monde et on ne contredit jamais sa grand-mère...du moins, pas la mienne !
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Un jour sans réaliser, on éclate de rire, et pendant une minute on oublie qu’il n’est plus là. Et ensuite l’absence vous saisit, au milieu d’un éclat de rire, et vous vous sentez coupable d’être heureux.
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Je suis certain, par contre, que chaque coup que l’on reçoit laisse une trace, indélébile et invisible, sur nous. Les cicatrices sont la preuve que nous sommes plus forts que ce qui a essayé de nous blesser.
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