Sandra Martineau

J'ai eu la chance de rencontrer plusieurs fois l'auteur Sandra Martineau mais jusqu'à maintenant je n'avais pas encore lu un de ses livres. Donc lors de notre dernière rencontre au salon du livre au Mans, j'ai fais l'acquisition de celui là car en lisant le résumé je me suis aperçu que l'intrigue se passait dans la Sarthe qui est mon département d'origine.

Je me suis donc retrouvé en pleine intrigue policière à la recherche d'une jeune femme qui a disparu sur une route Sarthoise. Cette enquête va être mener par une femme inspecteur qui se prénomme Antonia.  Elle a quelque problème personnelle à régler du coup elle va avoir du mal à faire son travaille correctement.

Et puis en parallèle, il y a Yohann un jeune journaliste qui va lui aussi va mener son enquête à la recherche du scoop qui va booster sa carrière mais il va découvrir certaines choses sur sa famille qui vont le déstabiliser.

J'ai adoré ces deux personnages qui donnent à l'histoire un coté humain et réelle.

C'est un très bon thriller plein de suspense qui va de rebondissement en rebondissement avec un vrai tueur en série et dont j'ai tourné les pages sans temps mort.

Je ne connaissais pas du tout la plume de l'auteur qui est fluide et poser c'était donc une belle découverte mais aussi elle sait comment manier les mots pour rendre son histoire terrible.

Au final, j'ai eu un petit coup cœur pour cette histoire et surtout j'ai adoré retrouver mes racines en sillonnant les routes Sarthoise à la recherche de la vérité.

Le seule regret c'est que la fin arrive trop vite et se finit abruptement j'aurais aimé peut-être un chapitre de plus mais je sais que Sandra Martineau va faire une suite à la hauteur de cette histoire, j'ai hâte.

Pour finir, je remercie Sandra pour ce roman mais aussi pour sa gentillesse et son humour car au fond d'elle se cache un écrivain hors-pair. 

Un bon roman policier que j'ai bien apprécié.

Les deux personnages principaux sont totalement opposés et ont bien des problèmes personnels à régler, chacun des deux enquêtant, l'une parce qu'elle est policière et l'autre parce qu'il est journaliste.

Secrets de famille sont au rendez-vous. Et puis bien entendu des disparitions puis meurtres... Du suspens même si finalement on comprend un peu avant la fin qui est le coupable, mais il y a encore des questions qui restent en suspens et que nous ne comprenons qu'aux toutes dernières pages !!

J'aime beaucoup l'écriture de Sandra. Ce livre se lit très facilement. On a envie de savoir et connaître les secrets de Yohann. Rien de tel que les secrets de famille pour faire un bon polar. Juste un petit regret : la rapidité de la fin. Tout s'accélère dans les derniers chapitres, j'aurai aimé que le rythme reste à sa vitesse de croisière.

J'ai eu la chance de rencontrer 2 fois Sandra Martineau. C'est une jeune femme adorable et drôle. En l voyant si pétillante on a du mal à se dire qu'elle écrit des thrillers. Mais quand vous ouvrez son livre surprise, c'est un vrai roman noir. On n'est pas au pays des bisounours ici les personnages sont torturés et l'histoire pleine de secrets et de silences.

Généralement dans ce genre de roman on devine la fin, on a un doute mais là elle arrive à nous balader. J'ai pris du plaisir à lire ce livre car je me suis laissée embarquer. Je me suis bien demandée où elle m'emmenait mais je l'ai suivi et j'ai bien fait...

Mon seul regret j'aurai voulu un chapitre de plus mais ce n'est pas très grave j'ai les réponses à toutes mes interrogations.

Les silences sont mauvais et malsains alors n'hésitez pas à ouvrir ce livre pour les faire disparaître.

Mais ce n'est que mon avis...

Quelle belle surprise !!!! J’ai acheté ce livre au salon de Nœux-les-Mines et je ne suis pas déçue. Une histoire qui a de la gueule, des personnages tous différents des uns des autres et qui ont du caractère. L’auteure nous tiens en haleine de la première page a la dernière page et faut avouer que je ne m’attendais pas à découvrir tous ces rebondissements dans les derniers chapitres.

Chapeau Bas à Sandra Martineau pour ce livre addictif !!!

Si t'es comme moi, les éditions Sixto, ça reste très confidentiel. Non pas que tu sois pas attentif aux petits éditeurs, mais les gros sont tellement présents partout dans les bacs que les autres restent un peu à l'écart.

Donc, Sandra Martineau, c'est Anne qu'en a parlé il y a quelques jours.

J'ai dit que je commandais, j'ai commandé.

Et puis j'ai lu.

Comme je la connais pas, j'ai pas vraiment d'inquiétude. J'aime bien découvrir des plumes, et voir si elles me parlent. En revanche, faut qu'elles me parlent assez vite, sinon, je laisse tomber assez vite aussi.

T'as toujours, adjacente à ta lecture, la trouille de la déception, mais t'attends la phrase qui va te faire mal aux dents.

Pas de suspense, j'ai beaucoup aimé.

J'aime ces silences, contenus dans le titre, qui finalement te parlent plus que les dialogues, et c'était pas gagné.

Le style est fluide, pas de temps morts, pas de descriptions aussi longues que trois automnes, et tu te rends compte que si les silences font mal souvent, contrairement à ce qu'on croit, les mots ne guérissent pas.

Florence, elle est kidnappée.

Elle attend.

Elle attend pas que le type qui l'a enfermée la délivre. Elle a compris que ça n'arrivera pas.

Juste, elle en peut plus.

Elle est au bout de ses forces. T'es avec elle dans sa cave.

La suite sur le blog...


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C'est le premier roman que je lis de Sandra Martineau, je la découvre au fil de sa plume, alors que cela fait un an que je la connais pour l'avoir rencontrée en 2016 au salon de la 25ème heure au Mans. Pour la petite anecdote, je lui ai acheté et fait dédicacé son tout dernier livre 'Dernière escale" en avril au salon ImaJn'ère d'Angers, que j'ai malheureusement prêté avant de l'avoir lu (private joke)!



Ici nous plongeons au cœur de la région mancelle. Yohann, un journaliste végétant en tant que pigiste, va voir sa chance tourner en étant sur la piste d'enlèvements de jeunes filles. De son côté, Tony, enquêtrice au sein de la Police va essayer de faire se relier toutes les infos possibles pour y voir plus clair.



L'auteure nous plonge quasiment dans deux histoires en une, Yohann et Tony menant leur enquêtes chacun de leur côté sans vraiment se croiser. Mais les méthodes pour le moins licencieuses du journaliste vont lui valoir de mettre sa vie privée en jeu et d’intéresser Tony à son cas d'un peu plus près.



Cette plongée voulue dans la vie personnelle de nos deux héros, les rendent plus humains, attire notre sympathie. Leurs métiers ne font pas d'eux ce qu'ils sont intrinsèquement.



Le thème de l'homosexualité féminine est abordée ici avec tout son lot d'incompréhensions familiales et professionnelles, faire son coming out est une chose, mais on ne peut malheureusement pas changer la mentalité de certains imbéciles pour autant. Cela crée autant de blessures à camoufler alors que Tony voudrait juste pouvoir vivre sa vie comme tout à chacun.



De même, le fait d'avoir recourt à des pratiques sexuelles peu ordinaires, fait-il de vous un être abjecte, si toutes vos partenaires sont consentantes? Cette question sera quasiment le fil rouge de toute cette histoire... car sont-elles vraiment consentantes?...



Concernant l'enquête, chaque chapitre nous emmène vers une avancée plausible, mais des revirements font douter, s'interroger.



La plume de Sandra est vraiment fluide, pas d'à coups, pas de tension impromptue. J'ai ressenti tout ce qu'elle voulait que je ressente mais tout en douceur, sans sauvagerie ni effet gore.



En un mot, un très bon policier, se déroulant dans ma région entre Le Mans, Laval et Vitré. Une histoire qui se lit en page turner, alors Bravo Sandra, je t'adore!!!



Enjoy!
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Meurtres de femmes, disparitions, séquestrations, pratiques perverses, secrets de famille...Sandra Martineau déploie ici toute la gamme du polar/thriller bien noir, et entraîne ses lecteurs sur des chemins parsemés d'angoisse.



Un brin stressante cette lecture, car rien n'est clairement défini et le doute s'installe. Qui? Pourquoi? Des lumières clignotent puis s'éteignent dans notre petite tête de lecteur avide de savoir. L'auteure joue avec nos nerfs et ça n'est pas si déplaisant.



Les deux personnages principaux ne sont pourtant pas attachants, ils seraient même plutôt irritants dans leur trop grande fragilité ou leur ego surdimensionné.... Antonia, flic homosexuelle désabusée et aux amours plein de désillusion, un tantinet agressive. Yohann, jeune journaliste collectionnant les conquêtes féminines, à la recherche du scoop. Les deux ne font pas la paires mais s'imbriquent chacun à sa façon dans cette histoire violente et glauque.



Voilà un moment que j'avais ce livre dans ma réserve et je suis bien contente d'avoir enfin découvert l'auteure, Sandra Matineau. J'ai le suivant qui patiente, et je pense que je ne vais pas attendre aussi longtemps pour le lire.

J'ai beaucoup aimé ce livre. Et si toute lhistoire tourne autour dune seule relation, entre Emelia et Stanislas, aucun passage ne m'a paru ennuyeux tant le récit contient une vraie tension dramatique et du suspens. Le personnage principale, Emelia, est attachant, et même si son comportement glisse peu a peu dans une soumission insoutenable frolant la folie, l'auteur parvient a rendre compréhensible sa descente aux enfers en montrant habilement les mécanismes de domination utilises par le manipulateur dont elle est victime. Interresant et alarmant, car on sait que ce genre de situation existe et que de nombreuses vies sont brisees. Je recommande ce livre qui permet de changer de regard et de mieux comprendre les dessous de la soumission.

Je ne savais pas trop ce qui allait m'attendre avec ce livre. Je savais qu'il y aurait quelques scènes chaudes. Elles y sont, c'est vrai mais le livre est bien plus profond que cela.



Émélia, 25 ans, a la vie devant elle. Seulement, elle ne sait pas trop quoi en faire. Elle vit simplement sans grande confiance en elle. Sa vie amoureuse n'est pas une réussite et elle ne sait pas si elle doit encore croire au prince charmant. Quand elle rencontre Stanislas, elle se prend à rêver que son songe est devenu réalité. Malheureusement, même le diable a la peau douce et il ne faut pas se fier aux apparences.



Alors, oui, il y a des scènes érotiques, mais à l'instar de certaines scènes gore dans des thrillers, ces scènes sont justifiées et permettent de comprendre tout ce qui se passe dans la vie de l'héroïne.



Au début des premières pages (et seulement au début), j'ai retrouvé des similitudes avec 50 nuances de Grey. Personnage féminin candide, jeune, homme charismatique, influent, riche... Mais très vite, j'ai su que j'étais bien dans un roman noir et non dans un roman érotique ordinaire. Car le prince va vite montrer son vrai visage et petit à petit la vie d'Émélia va basculer dans l'enfer mais jusqu'où...il faut le lire pour savoir.



La plume de Sandra est fine et maitrisée. La fin, quant à elle, était parfaite et je n'en aurais pas aimé une autre !



Vous aimez les livres hypnotiques dont on a envie de savoir rapidement le dénouement. Suivez Émélia dans sa descente vers le mal.




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Stanislas Delcourt n’est pas un homme pour Émélia. Tout le monde s’obstine à le lui dire, ils sont trop différents, pas du même monde ni de la même classe sociale. Cet étrange manipulateur semble souffler le chaud et le froid, passant de l’exaltation la plus torride au mépris le plus brutal. Le cœur d’Émélia n’y survivra pas. Mais pour être aimée comme elle l’a toujours désiré, la jeune femme est prête à tous les sacrifices, peu importe ce qui lui en coûtera. Elle sera à lui et en paiera le prix.

……………………



Bonjour à toutes et à tous…



C’est le premier roman de Sandra que je lis, c’est donc avec une certaine curiosité que je l’ai abordé.

L’histoire est prenante et très vite elle m’a prise au ventre.

Je l’ai lu dans la soirée…



Émélia est très attachante et malgré une certaine force que l’on devine, elle va subir un processus, entre domination et perversité, qui va la conduire au-delà d’elle-même.

Le récit est très crédible, c’est ce qui lui donne sa force. Les phrases, comme les chapitres sont courts et bien ficelés. On entre dans un univers à l’ambiance glauque parfois étouffante, sans jamais deviner vers où nous serons emportés. La mécanique de la domination est parfaitement décrite et on se demande bien si Émélia va pouvoir sortir de ce cauchemar.

Celle qui croyait trouver un prince charmant se retrouve face à un homme politique manipulateur et sans scrupule…



Thriller ? dark romance ? érotique ? suspense ?

“Même le diable à la peau douce”, est un peu tout ça, mais c’est surtout un page-tuner diablement efficace, jusqu’à la dernière phrase !



Extrait :

“Je ne bouge pas tandis que mon amant avance à la rencontre de cette femme. Il s’arrête à un bon mètre d’elle, mais la créature vêtue d’une longue robe échancrée jusqu’à mi-cuisse s’approche plus près. Elle donne l’impression d’être prête à l’enlacer. Masque relevé, elle arbore des traits tendus. Je n’entends pas ce qu’ils se disent, mais Stanislas mène les rênes de cette conversation animée. A plusieurs reprises, elle tente de répondre, mais il lui coupe systématiquement la parole. Au bout de quelques minutes, il la saisit par le menton et lui maintient fermement la tête, tout en continuant de lui parler. Ce geste provoque en moi une vague de ressentiment que j’ai du mal à canaliser. Je détourne le regard.

Qui est cette femme pour qu’il la touche ainsi ? Une amie ?

Une maitresse ?

Suis-je vraiment la seule qu’il qualifie de merveilleuse ?

Je déglutis péniblement, sans plus oser les regarder. Mais à ce moment précis, je l’entends. Un rire féminin. Suave, sensuel. Le rire d’une pimbêche à qui j’arracherais volontiers les yeux. Alors je me retourne vers eux, la jeune femme hausse les épaules en guise de réponse. Son visage s’est adouci.

Qu’a-t-il pu lui dire ?”

J'ai été surpris une fois de plus par le thème abordé par Sandra les personnes toxiques. Au début j'ai été dérouté.

Puis tout doucement je suis rentrée dans l'histoire et finalement un livre bien foutu. Seul bémol, j'ai pas trop accroché cela n'enlève en rien la qualité du livre . Et toujours cette plume vive et alerte qui maintient le rythme. Il faut quand même dire que l'auteure a le don de changer de registre à chaque ouvrage.

Et rien que pour ça bravo.

Je connais Sandra comme auteure de thriller et pour celui là, elle est passé à la dark romance. C'est donc avec curiosité que j'ai commencer cette lecture.

j'ai donc fais la connaissance d'Emélia une jeune femme qui rêve de trouver le prince charmant et crois au conte de fée mais elle va rencontré Stanislas un homme politique arrogant et manipulateur sans scrupule. Malheureusement tout ne va pas se passé comme Emélia le voudrais.

Pendant cette lecture, je suis passé par différentes émotions. Il y a eu d'abord la frustration car l'auteure raconte son histoire en deux temps elle passe du présent au passé du coup il faut attendre que ces deus temps se rejoignent pour tout savoir sur l'histoire d'Emélia et Stanislas.

Après , j'était en colère contre Stanislas de profiter d'Emélia j'avais envie de rentre dans le livre pour l'étrangler mais aussi pour secouer Emélia de se laissé avoir par un type comme lui.

Et enfin, j'ai été étonné par la fin et je me suis dis Oh la vache comme une personne comme Sandra qui est douce et gentille peut écrire des choses pareilles et de passé du thriller à la dark romance avec autant de facilité.

Au final, j'ai eu un coup de cœur. J'ai adoré l'histoire qui pend au ventre, j'ai aimé les personnages même Stanislas et j'adore la plume de l'auteure qui est belle et posé.

Ce que j'adore surtout c'est que Sandra fais subir les pires choses à ses personnages et c'est toujours plein de suspense.
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Même le Diable a la peau douce de Sandra Martineau



Mon avis:

L'auteure nous plonge dans le monde noir du pouvoir de la manipulation avec brio.

Je dois reconnaître que j'ai été très perturbée par ce thème qui touche chacun d'entre nous à un moment où un autre de notre de notre vie. Je suis persuadée que ce livre peut aider beaucoup de personnes.

En ce qui concerne les personnages, j'ai réussi à ressentir autant d'empathie, et parfois même de colère, pour Emelia que de haine pour son bourreau.

La plume de l'auteure est simple ( et ce n'est pas méchant quand je dis ça ) ce qui la rend agréable à lire et l'histoire prenante !



Résumé :

Stanislas Delcourt n'est pas un homme pour Émélia. Tout le monde s'obstine à le lui dire, ils sont trop différents, pas du même monde ni de la même classe sociale.

Cet étrange manipulateur semble souffler me chaud et le froid, passant de l'exaltation la plus torride au mépris le plus brutal. Le coeur d'Émélia n'y survivra pas.

Mais pour être aimée comme elle l'a toujours désiré, la jeune femme est prête à tous les sacrifices, peut importe ce qui lui en coûtera.

8/10

J'ai profité d'une offre éclair sur Amazon pour acquérir ce titre. Je n'ai encore jamais lu cette auteure, mais j'ai eu l'occasion de la rencontrer au Salon de Nemours. C'est une auteure de thriller. Le résumé m'intriguait et je me demandais comment une auteure de thriller pouvait passer à un style radicalement opposé.



Même le diable a la peau douce c'est l'histoire d'Emelia, jeune femme de 25 ans, célibataire qui manque de confiance en elle. Elle ne souhaite qu'une chose : être aimée pour ce qu'elle est. Aussi lorsqu'elle rencontre Stanislas, elle veut croire que c'est l'homme de sa vie. Même si ses amis lui disent que ce n'est pas un homme pour elle, elle va plonger tête baissée dans cette histoire, elle est prête à tout pour que cela fonctionne entre eux, quitte à en payer le prix fort.



Voilà pour l'histoire. Que dire ? Déjà, autant vous dire que j'ai lu ce livre en une soirée. L'écriture est tellement addictive qu'il m'a été impossible de le lâcher. Les chapitres sont courts et rythmés. Maheureusement l'histoire en elle-même ne m'a pas convaincue. Sûrement parce que j'ai beaucoup de mal avec ce genre d'histoire. Lui est beau, riche et manipulateur. Elle, est jeune, naïve et prête à tout pour qu'on l'aime. Je n'ai pas réussi à m'attacher à Emelia que j'ai trouvé vraiment trop crédule. Toutefois l'auteure décrit parfaitement bien la manipulation de Stanislas sur Emelia. Dès leur rencontre on sent bien que c'est un homme habitué à avoir ce qu'il veut et Emélia va petit à petit se couper de ses proches pour s'enfermer dans une spirale infernale. Stanislas aura alors toute liberté pour faire d'elle ce qu'il veut. La dépendance affective d'Emelia va la pousser à faire tout ce que Stanislas lui demandera.



Personnellement les scènes érotiques ne m'ont pas dérangées dans la mesure où Sandra Martineau n'en dit pas trop, pas de détails inutiles. Après j'avoue que certains passages m'ont paru un peu incohérents. Quant à la fin, je l'ai trouvé surprenante, je ne m'y attendais pas. De ce fait, c'est une lecture en demi-teinte mais globalement j'ai aimé Même le diable a la peau douce. Même si certains passages m'ont agacés au plus haut point, même si parfois j'ai eu envie de secouer Emelia et d’étriper Stanislas, ce livre m'a fait ressentir diverses émotions et çà c'est positif.
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L'écriture fluide m'a permis de rentrer facilement dans cette histoire enlevant les clichés et les à priori sur les cités ponctuées de situation cocasse tout en humour

Un roman redonnant confiance en l'humanité



Une belle découverte d'une autrice



Un roman à découvrir

Son riche mari ayant été emprisonné suite au montage d’arnaques, Joanna se retrouve sans rien avec ses trois enfants. Relogée dans un immeuble bien loin du luxe de sa dernière maison, cette famille s’apprête à découvrir une autre richesse: celle qu’apporte la solidarité et le soutien indéfectible d’une petite communauté.



J’ai dévoré ce roman si touchant! J’avais déjà beaucoup aimé le précédent livre de Sandra et ce fut une joie de retrouver sa plume pétillante, pleine d’entrain et d’humour.



Joanna et ses enfants sont très très attachants comme tous les habitants de leur nouvel immeuble! Ils sont tous authentiques, se débrouillent et s’entraident sans limite. De quoi nous donner envie de rejoindre la rue de la Providence!



Des sujets forts tels que les apparences trompeuses, le harcèlement scolaire, les complexes et le sentiment d’appartenance sont abordés dans l’ouvrage tout en étant pansés par l’extrême et magnifique humanité qui se dégage de toute l’histoire!



L’auteure rend son humanité aux cités, fait la part belle aux préjugés et nous emporte dans un roman plein de rires et d’émotions!

Envie d'une pause entre deux thrillers, j'ai trouvé ce roman à la médiathèque et cette couverture m'a fait de l'œil.

Un petit peu de bienveillance, d'humanité, de chaleur, de bonheur...pousser la porte de cet immeuble coloré.



Le début n'est pas dès plus sympathique pour son héroïne, Johanna. Elle est mère de trois enfants de deux pères différents et le dernier se fait arrêter pour escroquerie.

Habituée depuis 8 ans à ne rien faire hormis aller au club de golf avec ses "copines", elle n'est, en plus pas douée pour la cuisine. Alors lorsqu'elle se retrouve à devoir loger un appartement avec seulement deux chambres et ses trois enfants, elle déchante.

Les problèmes vont s'entasser et elle appréhende le voisinage, le quartier... elle porte un jugement hâtif sur tout et tout le monde.



Je m'attendais à du déjà vu avec une reconstruction lente que l'autrice nous aurait commentés pour arriver à un happy end.

Mais ce n'est pas le cas, enfin, la fin doudou, oui, mais elle arrive un peu comme un cheveu sur la soupe. Très vite et sans transition.

Voilà où est l'originalité de ce roman. Mais c'est aussi ce qui est dommage car la fin est bien trop facile !



L'autrice a voulu mettre en avant la vie de quartier "difficile", le jugement rapide, l'importance de l'entraide,...

Je suis passée à côté de ces petits bonheurs mais peut-être que ça ne sera pas le cas pour vous. En tout cas, je vous le souhaite.

Je remercie vivement les Editions XO pour ce bon moment de lecture et la plateforme netgalley pour sa validation .

Je découvre avec ce livre la plume de Sandra Martineau.

Ce roman fait du bien ! Il aborde le sujet de la reconstruction et de l’amitié.

Johanna se retrouve de nouveau seule avec ses trois enfants après l’arrestation de son compagnon pour escroquerie.

Après 7 ans de vie commune, elle découvre brutalement que celui-ci détournait de l’argent et que leur vie bien huppée n’avait rien de légale et qu’il ne l’aimait pas vraiment.

Elle va donc passer des réunions au club de golf à la vie dans une cité pas très bien fréquentée en moins de temps qu’il ne faut pour le dire.

Elle va redécouvrir ses adolescents et leurs secrets, écouter Arthur son petit dernier qui a regard bien mature pour son âge.

Les situations vécues sont souvent drôles mais sans moquerie pour ce milieu où l’autrice nous démontre que par le biais d’association, les habitants des quartiers ont à cœur de s’en sortir et de s’aider autours de projets communs

J’ai senti tout de suite la bienveillance de l’autrice pour ce milieu et ses personnes qui n’ont pas grand chose mais dont le maitre mot est partage.

L’écriture est fluide et les acteurs du roman bien qu’un peu caricaturé sont attachants et font tombés les barrières des préjugés.

J’ai dévoré ce roman et je le recommande pour un bon moment cet été !

Vivre dans l’opulence on s’habitue facilement mais la chute est vertigineuse quand on ne l’a plus !!



C’est ainsi que Joanna et ses 3 enfants passent d’une villa bourgeoise de 10 pièces à un appartement de 2 pièces dans une cité.

Cité avec ses dealers et voyous mais aussi ses travailleurs aux multiples emplois mal rémunérés.



Joanna dans sa détresse verra des portes s’entrouvrir et des personnes pour la soutenir.



Une histoire sur l’entre aide, la solidarité et l’intégration mais qui se termine en romance à laquelle je n’ai pas adhéré.



Note : 3 / 5