Sarwat Chadda

Une fille, chevalier du templier nous emmène dans un combat contre le mal. Une base masculine transformer en histoire plus féminine :
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Billie est une jeune fille qui partage son quotidien entre ses cours et l’ordre des Templier. Et cela est loin d’être facile, et surtout ça n’aide pas non plus à ce faire des amis. Il faut l’avouer, elle n’aime pas sa vie telle quelle est, tout ce qu’elle voudrait c’est être normal. Comme toutes les autres filles autour d’elle. Loin de ses obligations de templier. Et entre sa rencontre avec le beau Mike et le retour de son meilleur ami Kay, il va falloir qu’elle fasse des choix.



On découvre dans ce livre une histoire remplie de Templier, bien évidemment, mais aussi d’anges et de démons. Évidemment ce ne sont pas les seuls thèmes du livre, on y parle aussi d’amour, de famille, de choix ou encore de sacrifice. Bon, cependant j’avoue que la romance n’est que peu présente, et c’est dommage car le résumé nous donner une autre image du livre. Mais ce détail ne m’a en rien empêché d’apprécier grandement ma lecture.



Au fil des pages on s’attache aux personnages, et je dois avouer que mon coup de cœur va (contre toute attente de ma part) envers Kay ! Pourtant dès le début je pensais que je serais bien plus intéressé par le personnage de Mike, mais pas du tout au final. Kay est bien plus intéressant, et j’aurais adoré le voir encore plus durant l’histoire.



Après pour l’histoire, ça peut paraître un peu classique. Il y a des passages de la trame qui sont prévisibles, après je ne sais pas si c’est parce que j’ai lu beaucoup de roman dans le même genre, ou juste car c’est cliché. La seule chose qui m’a vraiment surprise, c’est un élément que je ne dirais pas car si vous n’avez pas lu le livre ça serait vous spoiler. Tout ce que je dirais c’est, qu’émotive comme je suis, j’ai versé mes larmes à la fin du livre. Mais en tout cas même si l’histoire est sur certain point prévisible, moi ça ne m’a pas empêché d’apprécier l’histoire.
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Très bonne histoire. On est vite plongé dans la vie de l’héroïne. Les actions s'enchaînent comme la vie des personnages. L'histoire est assez simple à comprendre et se lit facilement.

Pour ma part, j'ai préféré ce tome au précédent. La légende de Baba yaga est réel contrairement à l'ange déchut. L’histoire est plus structurée. Par contre j'ai trouvé que le faite qu'à la fin Billie redevienne humaine, alors que normalement quand on est transformé, on le reste; je trouve ça décevant. De plus je dirais que la relation Billie/Ivan se fait bien vite et manque de détails, de même pour Billie et Vasilisa.

Bref en tout cas, pour moi ce livre se lis vite et est assez agréable malgré quelques manques d’approfondissements.

J’ai été agréablement surprise par cette lecture. Autant je n’avais pas aimé Devil’s Kiss, autant j’ai beaucoup apprécié Dark Kiss.

On retrouve Billie, toujours dans sa lutte aux côtés des Templiers. Personnellement, je l’ai trouvée plus mature, plus intéressante à suivre, je me suis plus identifiée à elle. Les autres personnages, qu’ils soient gentils ou méchants m’ont également plus convaincue que dans le premier tome. J’ai beaucoup aimé Ivan Romanov (qui est un personnage tout à fait charmant). La rencontre entre nos deux personnages principaux est d’ailleurs assez comique. Pour ce qui est des méchants, je les ai trouvés davantage « méchants » (oui, je sais, ça fait deux fois « méchants » dans la même phrase, 3 avec la parenthèse) Bref, tout ça pour dire qu’ils m’ont semblé plus convaincants.

L’intrigue en elle-même est plutôt bien réussie, avec pas mal de suspense et d’action.

Le roman est assez sombre (ce qui ne m’a pas dérangée, en soi) et plutôt bien construit, donc.

Un autre aspect qui m’a plu : le côté religieux ultra-présent dans Devil’s Kiss est ici plus en retrait ; non pas qu’il ait totalement disparu, mais il est tout de même moins évoqué.

Le seul petit bémol serait pour la fin, sans doute un peu trop ouverte à mon goût et qui aurait pu donner lieu à une suite ; ce n’est pas non plus insoutenable mais une suite…



Pour conclure, un roman que j’ai beaucoup apprécié, vraiment différent de son prédécesseur, et que je recommande donc.

J'ai trouvé ce deuxième tome bien meilleur que le premier. Billie est hantée par la perte de son meilleur ami. Elle n'arrive pas à effacer de sa mémoire le fait qu'elle est dûe le tuer. Mais pas le temps de s'appitoyer sur son sort. Une nouvelle mission l'attend. Elle doit empêcher la fin du monde une nouvelle fois et pour cela Billie est déterminée à mener sa quête jusqu'au bout. A cette fin elle se rend au pays de la Vodka où elle fera la connaissance de nouveau personnage. J'ai beaucoup aimer rencontrer toutes ces nouvelles têtes. Cela apporte de la fraîcheur au texte. J'ai aussi trouvé Billie plus torturée que dans le tome 1. Ce deuxième tome est beaucoup plus noir que le premier. Mais le point le plus positif est que Billie trouve enfin quelqu'un comme elle (n'ayant connu que cette vie de violence) c'est peut-être pour cela que j'ai autant adhérée.

Nous retrouvons Billie qui a du mal à se remettre de la mort de Kay, son ami d’enfance mort lors du premier tome. Mais une nouvelle mission, qui va la conduire en Russie où elle fera la connaissance, entre autres, d’Ivan, va peut-être l’aider à retrouver goût à la vie !



Encore une fois c’était avec un grand plaisir que j’avais plongé dans ce tome. Retrouver Billie a été un vrai plaisir, car vraiment des héroïnes comme elle, il ne faudrait des dizaines et des dizaines d’autres. Elle est forte, mature malgré ses quinze ans et attachante. Ce n’est pas une adolescente de quinze ans qui attend que tout lui soit donné sur un plateau. Non ici nous avons une fille débrouillarde. Et ça, vraiment, parfois je trouve que ça manque dans la littérature.



Nous redécouvrons donc Billie dans un nouvel environnement et aussi entouré de nouvelles personnes. Et pas n’importe qui vue qu’il y a quand même Ivan. Je vous laisse en découvrir plus sur lui durant votre lecture, mais il reste un personnage important. Tout comme Vasilisa, une petite fille que Billie va devoir protéger car son destin est plus que dangereux.



Il y a quand même un détail qui m’a… gêné ? Non ce n’est pas vraiment le bon mot. Mais en tout cas il y a un détail du livre que je n’arrive pas à classer comme étant « bon » ou « mauvais ». Il s’agit de la fin ! C’est une fin ouverte, qui laisse présager un potentiel tome trois, et pourtant rien n’a été annoncé. Et même si tout est toujours possible, au vu du fait que plus sept ans nous séparent de la sortie de ce tome en Amérique, l’espoir n’est plus vraiment possible… C’est dommage cette série avait un grand potentiel, et cela aurait été génial d’approfondir encore un peu toute la mythologie autour de cette histoire ainsi que les relations entre les personnages.
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Billi gagne en maturité et en assurance, ce tome change de lieu et de probleme a résoudre ce qui est tout aussi prenant que le 1

Je viens tout juste de le finir et j'aurai aimé avoir une suite tellement je l'ai adorée. Tous les petits défauts du premier tome ont été gommés pour laisser place à l'action et le coté fantastique soit mis au centre de l'intrigue. Même si des nouveaux personnages font apparition notamment Ivan que j'ai beaucoup apprécié et il m'a rappelé un autre Ivan de chasseuse de la nuit.Une toute place à la romance est incorporé au roman mais c'est un bon dosage qui permet quelque petits passages drôle pour couper l'aspect un peu dramatique de ce tome final. On ne voit vraiment pas ce qui va se passer ensuite et l'auteur nous fait vivre des émotions tout au long du roman on se demande non y va pas arriver tout de même? En plus, on a une certaine tension qui nous maintient dans le roman jusqu'à la fin qui m'a paru en somme plutôt imprévisible avec Vasila. Billie devient plus mature et assume plus son statut de Templières elle devient beaucoup plus courageuse et fiable pour son entourage. Ivan est un personnage très intéressant et mystérieux à la fois tout au long du roman que j'ai préféré à Kay qui est beaucoup plus discret. Finalement, j'ai énormément aimé ce tome!!!

Sitôt la fin du tome 1, je n'es pu qu'enchainer avec la lecture du tome 2. Je voulais en savoir plus et je n'es pas été déçu une seule seconde.

J'ai trouvé ce deuxième volume bien meilleur que le premier.



Ici, Billie est hantée par la mort de son meilleur ami et amour Kay. Elle n'arrive pas à effacer de sa mémoire le sang qu'elle a sur les mains. Mais notre jeune Templiere n'as pas le temps de s’apitoyer sur son sort et de faire sont deuil.

Une nouvelle mission l'attend, elle et ses amis. Ils doivent empêcher la fin du monde et Billie et déterminée à mener sa quête jusqu'au bout en ne laissant rien l'atteindre, mais c'est sans attendre sa rencontre avec Ivan Alexiévitch Romanov.

Pour éviter cette fin du monde, les Templiers quittent Londres pour la Russie où ils feront la connaissances des Bogatyrs.



Ce second tome est beaucoup plus sombre que le premier. Sarwat Chadda a encore une fois réussis a nous entrainer dans sa course, entre découverte culturel et religion.

Billie est plus adulte, plus torturé. La mort de Kay et sa décision de faire partie des Templiers lui a créer une carapace qui la rend encore plus secrète.

Le point le plus positif de ce tome, est que Billie trouve enfin quelqu'un comme elle. N'ayant connu que cette vie faite de violence, de deuil et de blessures. La douceur et le courage d'Ivan lui rappel que tout n'es pas perdu.

J’ai adoré découvrir les mythes et légendes mésopotamiennes que je ne connaissais pas du tout.



Les origines irakiennes de notre jeune héros permettent à l’auteur d’aborder des thèmes forts tels que le racisme, la guerre mais aussi la religion.



L’intrigue met un peu de temps à s’installer mais ça n’a pas du tout été gênant pour moi.



J’ai passé un moment de lecture agréable et particulièrement appréciée la diversité que l’auteur a apportée grâce à son personnage atypique en littérature jeunesse.



Si vous avez aimé la saga Percy Jackson alors je pense que vous apprécierez grandement Sikander qui est dans une configuration similaire.

Depuis la mort de son frère deux ans plus tôt, Sik veille sur ses parents et apporte son aide dans le restaurant familial. Deux rencontres étonnantes vont venir bouleverser son quotidien : celle de démons venus attaquer le restaurant, et celle d'Ishtar, déesse de l'amour et de la guerre, qui va lui apporter les premières réponses à ses questions. Bientôt, l'adolescent est impliqué dans une guerre entre dieux...



Si cette aventure se déroule à New York, l'auteur nous invite ici à nous intéresser à l'Irak antique et aux mythes mésopotamiens, avec un récit bourré d'action et une quête difficile à lâcher. Il a choisi la même approche que Rick Riordan face aux mythes grecs, nordiques, égyptiens... et ça fonctionne très bien. Il y a peu de temps mort et je ne pensais pas qu'il se passerait tant de choses dans ce premier tome, qui peut d'ailleurs tout à fait se lire comme un one shot.



J'ai adoré faire la rencontre de Sik, jeune personnage à la fois solide et touchant, déterminé à protéger les siens. Aussi, l'auteur n'hésite pas à mettre des éléments de sa culture en avant et ce protagoniste n'en ressort que plus réaliste. Et même si la mythologie permet quelques facilités dans le scénario, j'ai passé un super moment à ses côtés. Si vous recherchez une lecture efficace ou si vous souhaitez découvrir des mythes peu exploités en littérature ado, foncez.
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Arrêtons nous déjà sur cette sublime couverture. Je la trouve magnifique. Attention cependant aux dorures du titre qui s'effacent facilement surtout sur le dos où l'on pose le plus ses mains.



Cette lecture a été très agréable. J'ai particulièrement apprécié que le héros soit différent de ceux, très souvent, occidentaux (même si petit à petit, on voit de plus en plus de diversité) puisque Sikander est d'origine Irakienne. Ses parents sont des réfugiés de guerre et se sont installés à New York. Ils ont un restaurant dans lequel ils servent notamment des Kebabs.



Tout ça pour dire que son origine permet d'aborder en fond d'histoire des thèmes comme le racisme, la guerre mais aussi la religion puisque celui ci est musulman. Et c'est superbement traité car on aborde ici l'islam avec beaucoup de bienveillance ainsi que le réel sens des mots tel que le Jihad•.



Au delà de ça évidement, on a le droit a une super histoire jeunesse dans laquelle des dieux Mésopatamiens viennent mettre le bazar. On parle également de deuil, le frère de Sikander ayant eu un accident quelques temps auparavant. A tout cela viennent se mêler des démons assez hideux et des chats qui sont bien plus que ce à quoi on pourrait penser. Il y a également énormément d'humour et plein de références de culture populaire.



L'écriture en elle même est assez simple et donc accessible pour les 9/13 ans. Idem pour la facilité dans certaines actions et situations qui font que le livre parlera certainement plus aux enfants et adolescents.

Ce récit nous conte l'histoire de Sikander Aziz, un jeune homme d'origine irakienne vivant aux États-Unis, dont la vie va basculer le jour où des démons, ainsi que le dieu mésopotamien Nergal, viennent le trouver afin de récupérer un trésor irakien qu'ils pensent en la possession de Sikander, après que son frère l'ait dérobé en Irak. Nergal menace de décimer la ville si le trésor ne lui est pas rendu.

Accompagné d'une nouvelle camarade de classe nommée Bélet, Sik va tout faire pour innocenter son frère et sauver la ville.



Si vous aimez les romans un peu dans la vibe de Percy Jackson, Sikander est fait pour vous. Mais sachez que, ici, vous ne rencontrerez pas dix mille demi-dieux. Juste des dieux mésopotamiens et des héros... Qui ne le sont pas vraiment.



J'ai beaucoup aimé ma lecture de Sikander, qui apporte de l'originalité dans la fantasy prenant pour base la mythologie. C'est avec plaisir que j'ai plongé dans cette histoire loin des mythes grecs habituels. Ainsi que des habituels héros européens ou américains que l'on voit partout.



L'écriture de ce roman est très fluide, ce qui rend le récit agréable à lire. On plonge très facilement dans cette histoire pleine de rebondissements et d'émotions. Et qui aborde des thèmes qui peuvent être difficiles avec brio, tel que le racisme et le deuil, mais aussi la maladie.

Sarwat Chadda réussit parfaitement son défi de faire cohabiter religion musulmane et mythologie. Et il a été très intéressant que voir la mythologie abordée avec bienveillance du point de vue d'un jeune musulman pour qui, seul Allah existe, mais qui va rencontrer des dieux des temps anciens. D'ailleurs, on voit bien que, même si les divinités ne sont pas au premier plan, il y a eu un gros travail de recherche de la part de l'auteur.



Les personnages sont très bien pensés, et il est très facile de nous attacher à eux. Je pense notamment à Sikander, ce jeune homme d'une grande bonté, prêt à tout sacrifier pour sauver ses parents, quitte à mettre sa vie en danger.

D'autre sont tout aussi bien écrits, mais on se demande parfois ce qu'ils font là, "Coucou Daoud".





Sikander et la vengeance des dieux est le premier tome d'une saga, mais peu très bien être lu seul. La fin ne laissant pas présager forcément une suite.



Si vous aimez la fantasy et la mythologie, lisez Sikander et la vengeance des dieux. Et offrez le à vos enfants qui aiment ce genre littéraire.

Arrrg. Je crois que j'attendais un peu trop de cette lecture ce qui fait que ma déception est grande. Recommandé par Rick Riordan et étant une passionnée par son univers, je me suis dis que la plume de Sarwat Chadda et l'aventure de Sikander Aziz allait me séduire !



En effet, j'étais curieuse de voir cette réécriture autour de la mythologie mésopotamienne dont je ne connais aucun mythe et légende. Un texte jeunesse pouvait me séduire dans les aventures surtout que le résumé faisait écho celui de Percy Jackson : un garçon qui se retrouve face à des monstres qu'il doit combattre accompagné d'une amie pour sauver New York et la planète.



Je ne sais aps si c'est parce que je ne suis pas familière avec et univers mais la descriptions de certains monstres était aberrante pour moi : un mélange d'animaux habillés et le tout avec des asticots ? Répugnants. L'ambiance était très glauque et me mettait mal à l'aise.



L'intrigue mets du tems à s'installer : on comprend seulement à la moitié du livre pourquoi ces monstres sont venus attaquer Sikander ce que je trouve très tard ... Beaucoup d'incompréhension et de lenteurs s'installent dans le premier temps du livre. Je n'ai pas eu d'attaches aux personnages que je trouvent froids, les sentiments sont peu partagés et je n'ai aucune intimité et proximité avec eux. L'ensemble des intrigues est aussi résolu et expédié rapidement sous prétexte de la divinité ce qui est un peu frustrant comme facilité narrative..



Arrivé à la moitié, une scène de bataille a lieu qui sort de nulle part pour moi et qui n'a que très peu de sens. Attention spoilers : à peine ils se voient qu'ils s'affrontent. La mort d'Ishtar pour moi est complètement WTF : après des siècles et des siècles en vie, une simple petite bataille l'a tue. Surtout que c'est très expéditif ce qui nous permets pas de ressentir des émotions.

De même, la mort de Sikander au début est assez déroutante même si ça donne lieu à des scènes mignonnes et une justification acceptable même si bancale avec des incohérences. En effets, prendre 2 doses de la fleur tuerait les personnes, sauf Sikander qui se trouve avec un pouvoir renforcer ? Peut-être que quelque chose m'a échappé ..

Beaucoup de bonnes choses dans ce livre !



Déjà, un héros atypique : fils d'immigrés irakiens, musulman. Un héros qui use plus souvent de la ruseet son esprit que de la violence physique, et faillible dans le sens où, oui, à certains moments tout cela est trop pour lui et il craque. Je trouve que la littérature d'aventure ado manque cruellement de ce genre de héros.

Le roman traite de mythologie mésopotamienne : Là encore ce n'est pas un sujet que l'on rencontre souvent dans la littérature ado (sans doute même dans la littérature tout court), en tout cas pour ma part c'était la première fois et j'ai apprécié la découverte de ces mythes et de ces divinités, même si j'ai trouvé dommage qu'ils ne soient pas plus détaillés (je n'ai plus qu'à faire mes recherches par moi-même... Zut alors).



Les personnages sont attachants, les rebondissements s'enchaînent et si j'en ai trouvé quelques uns un peu faciles, l'ensemble est resté agréable à lire. J'ai également vu un retournement de situation majeur venir à des kilomètres mais sa mise en scène était vraiment touchante.



En conclusion, ce n'est pas le meilleur roman que j'ai lu de ma vie, mais Sikander mérite largement qu'on lui laisse sa chance.

Sikander, treize ans, passe la plupart de son temps au restaurant familial pour aider ses parents depuis le décès de son frère aîné. Un soir, l’établissement se fait attaquer par Nergal, le dieu des enfers, qui accuse l’adolescent de dissimuler la fleur de l’immortalité. Accompagné de la fille de la déesse de l’amour et de la guerre, Belet, du meilleur ami de son frère, Daoud, et d’une arme magique, Sik va tenter de repousser la terrible menace qui s’abat sur New-York.



Les aventures de Sikander nous entraînent au cœur d’une guerre des dieux. Nergal déchaîne ses affreuses créatures et ses épidémies sur la population new-yorkaise tandis que Ishtar cherche à l’empêcher de mettre la main sur la fleur détenue par Sikander. Seul problème : celui-ci n’a aucune idée d’où elle se trouve ni d’à quoi elle ressemble. La quête du garçon nous fait partir à l’aventure et nous permet de découvrir des morceaux de la mythologie mésopotamienne, que ce soient des figures importantes, des croyances, des lieux ou encore des créatures magiques. Le récit est plein de légèreté et d’humour, mais il sait également prendre une tournure plus grave, notamment lorsqu’il aborde le thème du deuil avec la disparition du frère de Sikander.



Si l’intrigue est plutôt chouette, elle reste simple dans sa construction, et j’ai davantage apprécié le roman pour ses personnages. Sikander est musulman et d’origine irakienne, et l’auteur s’appuie sur ces identités pour nous proposer une histoire où la place de l’islam est très importante. J’ai adoré Belet, une jeune fille pleine de caractère qui n’a pas la langue dans sa poche, et je me suis très vite attachée à Daoud. J’ai un faible pour les petits groupes qui se lient pour affronter l’adversité ensemble : j’ai donc été servie.



C’est une histoire jeunesse prenante qui se lit plutôt vite. Le tout met un peu de temps à démarrer et use de quelques facilités, mais ça reste bien construit et je ne me suis pas ennuyée du tout !
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Sikander, c'est le compagnon parfait pour un livre jeunesse. Je me suis laissée emporter par cet univers qui, même s'il emprunte certaines facilités, nous plonge dans la mythologie mésopotamienne en plein New-York.



Nous sommes tout de suite très touchés par Sikander, qui a perdu son grand-frère adoré et s'efforce d'aider ses parents au restaurant avec Daoud. Sauf qu'il va se retrouver littéralement mêlé à une guerre des dieux en pleine ville, et va partir à l'aventure avec Belet, fille d'une déesse, afin de sauver la ville d'une terrible menace.



J'ai trouvé la dynamique de groupe très sympathique et parfois cocasse. Les dieux tels qu'ils sont présentés sont sans pitié et j'ai apprécié cela, qui est réaliste (malgré la classification jeunesse), et un peu sombre.



La quête est assez évidente et nous n'avons aucun doute sur l'issue mais ce qui fait la beauté du roman est clairement Sikander, son héritage culturel, sa religion, et sa bienveillance !



Bref, le mélange fonctionne pour moi et j'ai hâte de lire la suite de ses aventures... et d'avoir des nouvelles du restaurant des parents de Sik parce que, ça a l'air DÉLICIEUX ! 😋