À l'occasion du 5e festival du livre de jeunesse à Hossegor, Lire sur la vague, rencontre avec Satomi Ichikawa autour de son ouvrage aux éditions L'école des loisirs.
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https://www.mollat.com/livres/2194587/satomi-ichikawa-bienvenue-sur-mon-ile
Notes de Musique : Bibliothèque Audio Youtube
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Voici un très ancien conte russe, qui explique pourquoi les enfants de ce pays trouvaient du pain noir dans leurs bas le jour de Noël.
Une vieille femme nommée Babouchka avait l'habitude d'accueillir les voyageurs qui passaient devant sa maison. Un matin d'hiver, trois étrangers richement vêtus la prièrent de les héberger. Elle leur offrit du pain noir, du thé et leur donna même son propre lit.
Quand ils s'éveillèrent le lendemain, Babouchka leur demanda la raison de leur voyage. Ils lui répondirent :
- Nous sommes trois rois venus d'Orient en suivant une étoile. Elle nous guide vers l'Enfant Jésus.
- J'aimerais vous accompagner, déclara la vieille femme.
Mais elle ne voulait pas partir avant d'avoir rangé sa maison. Elle se mit donc en route un peu plus tard, emportant un morceau de pain noir, son seul bien, en guise d'offrande.
Il lui fallut des mois avant d'atteindre Bethléem. Quand elle y arriva, il ne restait dans l'étable que les animaux. Babouchka déposa son pain dans la crèche, afin que Jésus sache qu'elle était venue.
Pendant la nuit, la vieille femme fut réveillée par une voix disant :
- Je suis l'Enfant Jésus. Prends ma main et suis-moi !
Ce fut cette nuit-là que mourut Babouchka.
Et dans le ciel apparut soudain l'étoile du berger, comme un message de paix et de joie.
Tout en haut de l'escalier en colimaçon, voilà le grenier.
"Bonjour. Bienvenue dans mes appartements ! "
La chauve-souris qui pend au plafond a une toute petite voix pointue.
" Il y a encore quelqu'un qui vit ici."
Oui, oui! La fête de la lumière!» approuvent les autres.
«Alors moi», dit un sapin triangulaire, < je voudrais une robe, pareille à l'or du soleil couchant ! J'en ai assez d'être vert toute l'année ! »
«Moi, j'ai toujours rêvé d'une robe arc-en-ciel », dit un sapin bien touffu.
Et le petit sapin les écoute, émerveillé.
Un matin, catastrophe, Hana s'aperçoit qu'il y a de petits trous dans les feuilles.
"Qui ose manger ma plante?" s'écrie-t-elle.
En cherchant bien, elle découvre de toutes petites chenilles vertes, en train de se régaler. Elle les enlève soigneusement. "Allez-vous-en ailleurs! Et n'essayez pas de revenir, sinon ça ira mal pour vous, compris?
Je suis si fatigué, et j'ai si faim.
Je n'en peux plus.
Mais soudain, Karam-Karam apparaît.
Elle s'avance vers moi, une galette entre les dents.
Nous roulons! Nous roulons! C'est vraiment bien d'avoir un dalla- dalla. Nous traversons des petits villages, des champs, des forêts...
C'est une famille de touristes qui est venue nous dire bonjour. Ils doivent venir de très très loin. Ils ne parlent pas notre langue.
Ils ont beaucoup d'habits sur eux et ils nous regardent tout le temps dans leur appareil photo.
Il paraît que c'est pour se souvenir.
Ils sont marrants.
enfin,nous voila partis je pousse fort sur la perche, tandias que Samba s'endort sur la pagaie. Nous filons au milieu du fleuve. Soudain, j'entends: plouf !
"Oh, Samba ! Secoue-toi, ta chèvre s'est sauvée!"
Dans la pièce suivante, il y a un superbe vieux piano avec un pied cassé. Il est couvert de poussière, plein de trou de vers et désaccordé. Nora se met à chanter à tue-tête, en s'accompagnant du piano.