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Citations de Shari Lapena (258)


Elle le dévisage sans comprendre. Rasbach doit garder en tête qu'elle est encore sous le choc. Lui voit tout le temps ce genre de choses, cela fait partie de son métier. Il a l'esprit analytique, ce n'est pas du tout un sentimental. C'est indispensable, s'il veut être efficace. Il retrouvera cette enfant, morte ou vive, et il découvrira qui l'a enlevée.
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Elle est pleine de rage, mais veille soigneusement à le dissimuler. Elle a beaucoup d'entraînement dans ce domaine. Elle fait semblant. N'est-ce pas ce que tout le monde fait ? Tout le monde se fait passer pour ce qu'il n'est pas. Le monde entier est construit sur le mensonge et la tromperie.
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L'épouse est toujours la dernière au courant, n'est-ce pas ?
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Elle ne comprend pas comment les journalistes peuvent être si cruels. Ils n'ont donc pas d'enfants, ces gens là ?
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Elle ne va pas faire de scène, elle n'a pas été élevée comme ça, elle n'est pas du genre à se faire remarquer.
Alors que Cynthia, elle...
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"La maison qu'elle aimait tant lui fait désormais l'effet d'une crypte.
Elle se sent enterrée vivante....."...
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Elle pense beaucoup à Tom et Karen, aux endroits où ils se rendent et à ce qu'ils font, à leur vie ensemble. Un peu comme si elle suivait une série télé palpitante et avait hâte de découvrir le prochain épisode.
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- Vous croyez que votre époux est honnête avec vous ?
[Elle] rougit. Puis se déteste de s'être trahie ainsi. Elle prend son temps pour répondre.
- Oui. Je le crois honnête avec moi... la plupart du temps, ajoute-t-elle d'une voix qui vacille.
- La plupart du temps ? Mais l'honnêteté, n'est-ce pas quelque chose de permanent ?
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Marco et Anne, installés dans la cuisine, tentent de prendre un petit déjeuner. Ils ont à peine touché à leurs toasts. Tous deux se nourrissent principalement de café et de désespoir, ces temps-ci.
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La société protège mal ces femmes, il en a conscience. Le monde ne tourne pas rond.
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Ça ne eut pas continuer.
Elle a eu une idée. Une idée qui l'effraie...Tant pis : elle a besoin d'un plan d'évasion. Elle l'a échafaudé pendant la nuit la plus noire, juste avant l'aube, à l'heure où l'esprit se laisse traverser de pensées qui ne survivront pas à la lumière du jour.
Pourtant, c'est le matin, le soleil brille à la fenêtre et l'idée est toujours là.
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"Elle est pleine de rage, mais veille soigneusement à le dissimuler. Elle a beaucoup d'entraînement dans ce domaine. Elle fait semblant. N'est-ce pas ce que tout le monde fait ? Tout le monde se fait passer pour ce qu'il n'est pas. Le monde entier est construit sur le mensonge et la tromperie." (p.282)
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Je veux dire, qui de normalement constitué inventerait une histoire pareille ?
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Quand la confiance s'en va, l'amour ne tarde pas à suivre.
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Elle fulmine : comment est-on censé enseigner le bien et le mal à un enfant alors que tant de personnes en position d'autorité se comportent régulièrement si mal ? Qu'est-ce qui arrive à l' Amérique, bon sang ?
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Désormais, les policiers savent qu'elle a agressé Susan.
Ils pensent qu'elle est violente.

Depuis le début, elle a eu peur que la police ne la croie coupable, à tort ou à raison. Cela dit, il y a pire que d'être accusé à tort.
Sa plus grande terreur, à présent, c'est d'être coupable.
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«  L’amour n’a rien à voir avec le désir » .
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Elle déteste l'idée de retourner chez ses parents. C'est reconnaître qu'ils ont toujours eu raison à propos de [son mari].
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Cora était dans son berceau. Il faisait noir dans la pièce. La petite était couchée sur le dos, ses bras potelés remontés autour de la tête, ses boucles blondes humides sur son front, à cause de la chaleur. [...]
Anne était debout à côté du berceau, elle regardait les petits poings de sa fille [...]. Il faisait trop chaud pour la couvrir. Elle a résisté à la tentation de lui caresser le front, de peur de la réveiller. Bien qu'elle ait eu envie de prendre Cora dans ses bras, d'enfouir son visage dans le cou de l'enfant et de sangloter, elle s'est retenue. Submergée par toutes sortes de sentiments - l'amour, principalement, et la tendresse, mais aussi la détresse, le désespoir, l'impression d'être nulle -, elle avait honte d'elle-même.
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Elle sait que, quand une femme disparaît, son conjoint est habituellement le suspect principal, et que l'inverse est sans doute vrai aussi. Mais quand c'est un enfant qui se volatilise, les parents sont-ils soupçonnés en premier ? Sûrement pas. Qui pourrait faire du mal à son propre enfant ? [...] Et puis, pour quoi faire ?
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