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Critiques de Simon Mawer (51)
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Le palais de verre

Ville de Mesto, Tchécoslovaquie. Le livre s’ouvre sur le retour, celui de Frau Landauer, sa canne tapotant le sol de la cour. Une absence de trente ans. Guidée dans la demeure, arrivée dans la Pièce de verre, les images du passé ressurgissent, ses yeux aveugles la privant de voir la pièce telle qu’elle est aujourd’hui.



Mais revenons en arrière, vers la fin des années 1920. La maison, une immense demeure très avant-gardiste pour son époque, plaque centrale de ce roman, n’est pas encore construite. C’est lors de la lune de miel de Liesel et Viktor Landauer qu’émerge le désir d’un foyer en accord avec le XXe siècle, une maison rêvée pour une vie entièrement tournée vers l’avenir. Leur rencontre avec Rainer, un architecte ou plutôt « un poète de la lumière, de l’espace et de la forme » comme il se qualifie lui-même, va remplir toutes leurs envies de modernisme. Là, à Venise, alors que la lumière fait étinceler les gondoles, l’architecte leur dessine un projet, une œuvre d’art dont tout le monde s’émerveillera.

Fini le temps des pierres et des briques ainsi que des ornements lourds et clinquants.

L’immense maison sera construite à flanc de colline. Du verre pour une impression de contact direct sur l’extérieur, une structure en acier chromé et, dans la Pièce de verre, un mur d’onyx très onéreux, qui, caressé par les rayons du soleil couchant, s’enflamme d’or et d’ocre.

Pour Liesel, ce foyer atteindra la perfection. Et pour son amie Hana « Tout cela est bien trop beau pour durer. »



Le choix de cette maison de verre, qui, excepté le mur d’onyx dont le flamboiement amène une touche chaleureuse, semble très judicieux pour y installer, en premier lieu, les vies du couple Landauer. Ce grand espace moderne et froid va en effet abriter leur dérive conjugale. Avant les évènements amenés par la montée en puissance d’Hitler, les relations du jeune couple s’effritent alors que Viktor fréquente une jeune Viennoise rencontrée lors de ses déplacements professionnels. L’auteur instaure un contraste saisissant entre la transparence, la clarté de cette Pièce de verre où l’on revient si fréquemment, et la fausseté du mari, sa relation extraconjugale ne lui apportant aucune honte, aucune culpabilité.

Puis les articles de journaux ou le poste de radio relatent les succès politiques en Allemagne. Le grand Reich annexe, des réfugiés en masse quittent l‘Autriche et se réfugient en Tchécoslovaquie alors que Viktor, juif non pratiquant, songe à fuir aussi.

« La maison est devenue leur refuge, la Pièce de verre, cette construction qui n’a pourtant rien d’une forteresse, leur apporte la consolation de la raison et du calme, tandis que dehors, aux confins de leur existence, le monde s’écroule. »

Finalement déserté, ce Palais de verre retrouvera sa nudité première, celle d’avant l’installation du couple. L’angoisse, les incertitudes flottent dans la maison vide. Un retour sera-t-il possible ?

Les nazis, les Soviétiques, respecteront-ils la propriété Landauer ?



De sa construction à 1990, cette maison de verre nous ouvre grand ses portes et ses baies vitrées. On s’y engouffre, porté par la fluidité de la plume de Simon Mawer. Entre faits historiques et liaisons amoureuses ou haineuses qui se font et se défont, les vitres de cette vaste demeure laissent voir au lecteur des décennies de rapports tumultueux, du point de vue politique et intime. Au fil de ces temps chaotiques, l’occupation de la Pièce de verre initialement conçue pour un avenir radieux et plein de belles promesses reflète finalement la folie, la perversité et la brutalité de l’homme.

Si l’architecture du Palais de verre faisait preuve d’un impressionnant modernisme, il semblerait que l’auteur ait également mis du côté du personnage d’Hana des attitudes et un langage très osés pour l’époque. D’ailleurs, sa dernière relation est vraiment improbable et enlève un peu de crédibilité à l’histoire.

Il n’en reste pas moins que les plus de six cents pages de ce roman se dévorent en nous ramenant inlassablement dans l’intérieur dépouillé de la Pièce de verre où, par delà son alignement de vitres, l’orage gronde et éclate, la complexité des relations et des désirs humains entachant la pureté de la lumière qui inonde ce vaste espace moderne.

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La fille qui tombe du ciel

J'ai l'habitude de faire du tri dans mes lectures en fonction des notes sur Livraddict ou babelio. Si elle est mauvaise, j'ai bon espoir d'abandonner et de faire le tri dans ma PAL. Enfin c'est ce que je pensais, mais ce livre m'a prouvé que ce n'est pas toujours la meilleure stratégie. Au début, je pensais l'abandonner après 50 pages, mais l'histoire m'a captivée. L'auteur, Simon Mawer, aborde la Seconde Guerre mondiale du point de vue féminin, mettant en scène une espionne. L'intrigue m'a conquise, explorant des thèmes féministes intéressants. Malgré mes préjugés initiaux, l'héroïne, Madeleine, s'est révélée complexe et authentique. L'histoire suit son recrutement comme espionne en France occupée. C'est un récit palpitant, mais Madeleine manque parfois de spontanéité émotionnelle. Malgré cela, c'est une excellente lecture, riche en histoire et en rebondissements. Ne vous fiez pas toujours aux notes, parfois les meilleures surprises se cachent derrière les mauvaises évaluations.

Ma chronique détaillé
Lien : https://lesparaversdemillina..
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La fille qui tombe du ciel

J'ai dévoré ce livre. Le rythme est soutenu et l´écriture fluide.



Il relate les exploits d´une jeune anglaise de la Raf infiltrée en France durant la 2ème guerre mondiale.



C'est un hommage aux nombreuses femmes qui ont contribué à l´effort de guerre. Beaucoup d´entre elles y ont souffert et laissé la vie.



Je vous recommande ce livre.



Bonne lect
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Le palais de verre

Beau roman inspiré de la villa Tugendhat réalisée par en république tchèque (https://fr.wikipedia.org/wiki/Villa_Tugendhat) par l'architecte allemand Ludwig Mies Van Der Rohe à la fin des années 1920.

Ma passion pour l'architecture et pour l'histoire du 20ème siècle explique pourquoi j'ai dévoré ce livre. la qualité de l'écriture n'y est pas étrangère non plus. un livre que je vous conseille.

bonne lecture!
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Le palais de verre

Le palais de verre raconte l'histoire de plusieurs générations à travers une maison d'architecte moderne d'après 1ère guerre mondiale en Tchécoslovaquie. J'ai apprécié les descriptions de la maison, suivre le parcours des différentes personnes qui l'ont occupée et la destination qu'elle a pu avoir au cours des années. Cela m'a permis également de découvrir l'arrivée du nazisme côté tchécoslovaque, la réaction des locaux face au risque: l'indifférence, la prévoyance, l'optimisme... Super livre que j'ai avalé en quelques jours.
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Le palais de verre

C'est plutôt l'histoire d'une maison, un palais souhaité par un couple jeune et riche dans les années 1920 en Tchécoslovaquie. Cette maison est conçue par Rainer

von Abt architecte de renom. Il imagine un palais de verre où tout ce joue autour de la lumière, c'est une oeuvre d'art !

Autour de cette maison évoluent des personnages propriétaires, amis, amants, gardiens, occupants, médecin etc. au fil des ans avec chacun leur histoire. Autour de cette maison se joue l'histoire avec un grand H : occupation nazi, soviétique et enfin renaissance !

J'ai découvert au travers de ce livre une partie de l'histoire et de l'art qui m'était totalement inconnue.

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Le palais de verre

Le nazisme se profile en Tchécoslovaquie; le personnage principal est riche, il est juif: il va perdre, sinon tout, du moins beaucoup.

Évidemment, ce n'est pas tout à fait un sujet inédit. Comment l'aborder sous un angle neuf? Simon Mawer imagine une saga pleine de passions où l'amour est envisagé sous tous ses angles: conjugal, ancillaire, saphique, vénal, maternel, romantique et j'en passe certainement. Chacun de ces amours est traversé par la grande histoire: séparation, déportation, traîtrise, abandon: il y a un côté figures imposées dans tout cet inventaire, et même, si j'osais, un côté Oulipo sous le troisième Reich... Si le Juif n°1 s'exile, le n°2 est déporté; si l'amour vénal 1 devient passion, l'amour vénal n°2 va aboutir à une dénonciation; si l'enfant n°1 est tué, l'enfant n°2 est sauvé... On se surprend à cocher mentalement des cases pour anticiper la suite des événements.

En fait, la vraie originalité du roman tient à l'importance du palais de verre, foyer de deux des personnages principaux qui ont voulu cette immense maison de style moderniste pour abriter leur famille. Cette maison sera quittée quand l'exil deviendra nécessaire; elle sera annexée par la "science" nazie puis par l'État communiste avant de devenir musée. Les tribulations de la maison redoublent celles des humains, mais, là encore, le palais de verre devient moins un personnage à part entière qu'une allégorie de plus en plus grossière à force de servir à tout. Symbole du luxe effréné d'une minorité privilégiée aveugle à la haine qu'elle suscite. Symbole d'une volonté de transparence rendue impossible par les atermoiements de l'amour adultère. Symbole d'une modernité éprise d'efficacité qui annonce la mort industrielle des camps d'extermination. Symbole de la beauté dernier rempart à la barbarie.

Eh oui, ça clichetonne pas mal.

Quand même, enfin, à la dernière page, la maison devient symbole de la permanence et, enfin, cela fait sens et l'émotion surgit.

J'ai versé quelques larmes sur les dernières lignes. Mais fallait-il autant de froide rationalité dans toutes celles qui précédaient pour obtenir in extremis que le coeur se serre?
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Le palais de verre

Le début de ce roman m'a déroutée : il est écrit de manière assez froide et cru, dans un style particulièrement bien adapté au goût du couple Landauer pour l'art contemporain dépouillé, mais aussi comme un rappel de la guerre sur le point d'éclater. J'ai donc eu un peu de mal à entrer dans ma lecture, mais au fil des pages je me suis surprise à aimer de plus en plus ce roman. La maison Landauer est vraiment au centre de l'histoire, il s'agit presque d'un personnage autour duquel gravitent les autres personnages. De ce fait, seuls les personnages à proximité de la maison sont évoqués. C'est un peu perturbant au départ, car l'auteur n'évoque plus ceux qui sont partis, mais c'est finalement passionnant. J'ai aimé le fait que ce roman soit inspiré d'une histoire vraie (la villa Tugendhat), mais j'ai trouvé dommage que l'auteur ne nous informe pas plus sur ce qui s'est réellement passé.
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La fille qui tombe du ciel

Un style d'écriture fluide, on entre facilement dans une histoire plaisante et agréable avec pour thème principal la Résistance.





Marian, le personnage principal, est intéressante : déterminée, courageuse, combative et curieuse (même si elle me donnait l'impression d'être insensible aux autres dans le premier tiers de l'histoire, ce qui s'avère être une fausse supposition lors de la suite de ma lecture)

On suit tout d'abord son entraînement pour devenir une agente de la résistance. Elle se prépare à parer toutes sortes de situations de danger, à travers l'art du combat rapproché, manipulation d'armes à feu, décryptage du morse, dissimulation et mensonge... Toute une série de compétences qu'elle apprendra peu à peu à affiner pour mener à bien une mission à Paris.

En effet, elle doit convaincre Clément, son amour de jeunesse, à venir en aide à la Résistance, en Angleterre.

Un récit rythmé par un petit triangle amoureux, entre elle, Clément, et Benoît, résistant et son coéquipier.



J'avoue m'être beaucoup ennuyée en lisant la première partie du livre, mais la suite a compensé car je l'ai trouvée bien plus captivante, notamment parce qu'il y a plus d'action.



Je suis un peu déçue par la relation entre Marian et Clément, car nous n'en suivons pas entièrement l'évolution. Difficile alors, en tant que lecteur, d'apprécier cette histoire d'amour, la comprendre et l'apprécier. Des flashbacks nous content leur passé romantique. Mais ils sont plus racontés que montrés de mon point de vue, ce qui fait que je n'ai pas été engagée émotionnellement dans cette relation. Je ne comprends pas trop ce que Marian trouve de si intéressant dans la personnalité de Clément d'ailleurs.

Cela suit tout de même la logique de la trame : 4 ans que Marian n'a pas vu Clément, il apparaît donc presque comme un étranger pour elle lors de leurs retrouvailles. L'auteur a-t-il voulu transmettre cette même impression au lecteur ?



Il me reste une question sans réponse



Personnellement je trouve Benoît et Clément sans saveur. Ils n'ont pas de défauts en soit... Gentils, attentionnés, serviables, chaleureux, souriants... Et voilà.



Les évènements, rebondissements, Marian et les personnages secondaires sont pour moi les éléments les plus intéressants de l'histoire, ceux qui attisent la curiosité et font naître l'envie d'en lire davantage.
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La fille qui tombe du ciel

Simon Mawer me plaît : ses livres sont romanesque dans le bon sens du terme, des livres qui vous emportent même et surtout qu'ils sont basés sur des évènements réels, concrets comme "Le palais de verre" et l'histoire de la splendide villa Tugendhat édifiée par Mies Van der Rohe et de ses habitants, "la fille qui tombe du ciel" et les "espionnes" envoyées par Londres, parachutées en France pour aider la Résistance et combattre l'ennemi, l'Allemagne Nazie.

C'est le destin de l'une d'entre elles, jeune femme née en suisse, bilingue anglais/français, qui arrive en France, chargée de la délicate mission de convaincre un savant "atomiste", à un moment où la bombe n'est encore qu'une ébauche, pour arrêter la guerre.

Un roman passionnant, bien documenté sur la réalité de l'action de ces femmes exceptionnelles. Et pour compléter son information au sujet de la création de la bombe atomique, une bonne série sur le sujet "Manhattan", consacré au projet en question.
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Le palais de verre

Bon livre à lire, où l'on suit les péripéties de la famille Landauer dans leur maison si particulière avec impatience jusqu'à la fin ... Cela donne envie de lire d'autres livres de cet auteur.
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Le palais de verre

L'histoire d'une maison, construite sur l'idée d'avenir de l’intelligentsia tchèque au début du 20ème siècle par un architecte allemand, pour un couple d'industriels les Landauer : moderne, lumineuse, nue, tournée vers l'extérieur et le monde, construite avec des matériaux précieux. Mais la seconde guerre mondiale, et la rafle des juifs disperseront les protagonistes. Un roman un peu long mais des personnages ambigus et riches.
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Le palais de verre

Un très bon livre qui raconte 60 années d'intrigues autour d'une architecture et ou l'intime et l'histoire se mèle. L'auteur nous offre un grand roman d'amour.
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Le palais de verre

Une légère déception ou une déception légère? Il y pourtant beaucoup de bonnes choses, mais, il manque un rien de "savoir faire"...
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Le palais de verre

Quoi de plus efficace que de se servir de la maison pour exprimer le temps qui passe? Plus qu’un décor, elle participe par sa façon à elle d’exister, à la construction de la dramaturgie. De son origine dans les années 1920 jusqu’à la chute du bloc communiste dans les années 1990, le livre retrace l’histoire de cette maison de verre, située sur les flancs d’une colline dominant la petite ville de Mesto en Tchécoslovaquie. Voulue et imaginée par un architecte visionnaire, payée et investie par un industriel juif et sa famille, elle est réquisitionnée par les nazis pendant la guerre pour servir de laboratoire de recherches génétiques, laissée à l’abandon au sortir de la guerre, devient gymnase municipal ensuite pour finir musée.

Le récit se déroule comme une fresque chronologique à l'allure fastidieuse, longue et ennuyeuse. Si l’auteur a choisit de placer le cadre architectural au centre de son récit, il manque cruellement de substance. Le vocabulaire est pauvre, les explications techniques inexistantes et les mises en perspectives historiques inopérantes. C’est triste : les personnages n’ont aucun charisme, leurs actions aucun mystère, leurs dialogues sont affligeants et vains. Dans l'esprit du courant fonctionnaliste dans lequel s'inscrit la construction de ce palais de verre, qui ambitionne de réduire le geste architectural à la simple fonction de l'objet, ici Simon Mawer a réduit son récit à une suite linéaire d'actions fadasses et il en découle un roman de gare, dont l'unique fonction est de tourner des pages. Il a raté son livre.
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La fille qui tombe du ciel

Après avoir dévoré "Le Palais de verre", j'ai retrouvé avec plaisir cet auteur. Et, je le remercie d'avoir si justement romancé l'incroyable épopée d'une jeune agent du SOE de 20 ans parachutée dans le Sud-Ouest de la France en 1944 car sans lui je serais passée à côté d'une femme extraordinaire. Ce n'est qu'après avoir fini le roman, au détour d'une critique, que j'ai découvert que l'auteur s'était très largement inspiré du témoignage authentique écrit par Anne-Marie Walters quelques mois après son retour en Angleterre en 1945. J'ai immédiatement eu envie de prolonger ma lecture avec ce récit. Et au final, j'ai été bouleversée par l'histoire d'Anne-Marie, bien-sûr, mais aussi de toutes ces autres femmes si courageuses, si engagées et si souvent oubliées. Il me semble que la lecture du roman puis du récit autobiographique est un ordre de lecture à privilégier.
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Le palais de verre

J'ai été captivée par cette histoire qui est vraie. On voit l'histoire de la guerre telle qu'elle a bousculé la Tchécoslovaquie qui a changé plusieurs fois de nationalité et de noms. Cette maison ã une histoire incroyable.
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Le palais de verre

J’ai dévoré ce livre! J’aime beaucoup les romans qui se basent sur une histoire vraie. L’auteur a été inspiré par la Villa Tugendhat, en Tchécoslovaquie (maintenant en République Tchèque).



Le propriétaire est juif et riche. La propriétaire est catholique. Ensemble, ils ont des enfants qui sont considérés impurs. Nous sommes entre les 2 Guerres mondiales et ça brasse en Europe. Puisqu’ils sont en danger, ils devront fuir et abandonner leur Palais de verre. On suit en parallèle l’histoire de la famille et l’histoire du Palais de verre sur une soixantaine d’années. C’est passionnant!
Lien : https://julielitaulit.com/20..
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La fille qui tombe du ciel

Simon Mawer rend un hommage aux femmes qui entre 1941 – 1944 ont été parachutées en France pour les services Anglais.

En 1941 Mariam Sutro vit à Genèvre, elle a l’avantage d’être bilingue, pour les services secret anglais c’est vraiment une très bonne recrue pour eux. La voilà partie accompagné par Benoit un résistant français au charme fou. Son entrainement est très dur entre le combat corps à corps, apprendre à tirer, apprendre à tuer et surtout apprendre le saut de parachute. Elle sera parachutée en France pour convaincre son amour d’adolescente Pelletier Clément un physicien dont les travaux sont très important pour la suite de leur mission. Entre amour, jalousie, tristesse, tradition, la fille qui tombe du ciel raconte la vie de femmes ordinaire confrontée à des dangers dans l’occupation allemande. J'ai vraiment apprécier ce livre.

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Le palais de verre

à lire d'urgence!!
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