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Critiques de Simonetta Greggio (361)
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L'homme qui aimait ma femme

Le titre m'a tout de suite fait penser à "Ma femme de ta vie" de Carla Guelfenbein .

J'ai lu avec intérêt malgré l'excès des philosophes cités ainsi que de leurs citations.

Cependant,je n'ai pas eu le coup de coeur éprouvé pour "Col de l'Ange"
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L'homme qui aimait ma femme

Un début qui m'a vraiment emballé, des personnages complexes, des parallèles avec Jung... Et puis, cela devient fouillis, on se perd dans les multi voix. Et surtout, le personnage d'Allis m'a vraiment paru de trop, narrateur-auteur de ce récit... Elle rajoute un peu de son histoire ce qui pour moi, n'a vraiment rien apporté à l'histoire principal du trio amoureux...
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L'homme qui aimait ma femme

C'est un livre qui parle d'amour. Plus précisément des tourments que cause l'amour quand il est hésitant.



Alexandre et Yann, tous deux frères, vont se déchirer une vie durant pour une femme. Initialement draguée par Yann, séduite par Alexandre, Maria va au fil de son existence valser de l'un à l'autre.



J'ai apprécié dans cet ouvrage les déclinaisons multiples de l'amour: fraternel, amical, passionné, marital etc.



L'écriture est légère, les chapitres sont courts. Le narrateur est une tierce personne qui observe le triangle amoureux, donnant son avis subjectif.



Le choix opéré par Greggio de laisser des vides narratifs rend le roman d'autant plus palpitant puisqu'au final on n'a que des fragments de la réalité de cette histoire et des questions perdurent sur le choix véritable de Maria.

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L'homme qui aimait ma femme

Beaucoup moins apprécié que "L'odeur du figuier".
Lien : http://lecandidelitteraire.b..
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L'homme qui aimait ma femme

Yann et Alexandre sont frères, tous deux sont montés de leur Bretagne dans les années 60 pour étudier à Paris. Alexandre est l’ainé, c’est un libertin qui couche avec le maximum de filles possible alors que Yann est plus romantique. Yann fait la rencontre de Maria et de sa sœur Elisabeth ; il tombe amoureux de Maria mais Alexandre met les 2 sœurs dans son lit.



[...]



L’auteur de Dolce vita livre une histoire qui se déroule sur plusieurs années et donne un fond d’actualités politique et philosophique pour resituer le contexte de l’époque. C’est n’est pas l’histoire de ces années, mais bien celle de Yann et Alexandre et de leur passion pour Maria. Ce livre mérite d’être lu jusqu’au bout car l’histoire n’est pas un simple Jules et Jim, loin de là. Toutefois, il m’a semblé un peu brouillon et le démarrage a été un peu dur avec ses récit croisés.

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L'homme qui aimait ma femme

Avis mitigé...

Ce qui m'a déplu : les multiples références au contexte historique et aux philosophes qui complexent les lecteurs qui n'ont pas cette culture là, les multiples voix qui embrouillent un peu la lecture, les impasses sur certains aspects de l'histoire narrée qui sont parfois fustrants.

Ce qui m'a plu : les multiples références au contexte historique et aux philosophes qui décrivent une atmosphère, les multiples voix qui bousculent le lecteur et donnent un rythme certain au texte, les impasses sur certains aspects de l'histoire narrée qui laissent place à l'imagination.

Assurément, à lire...
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L'homme qui aimait ma femme

Décevant – mais pas déplaisant – tel est mon sentiment sur ce livre, qui ne laissera pas de souvenir marquant dans mon petit panthéon livresque. Comment ce livre a-t-il atterri dans mes lectures ? Ayant entendu l’auteur disserter sur l’amour dans l’émission la grande librairie, j’ai pensé que son livre avait l’air d’être intéressant. François Busnel, enthousiaste et brillant, comme toujours, le présentait comme un remake de Jules et Jim d’Henri-Pierre Roché (fichtre !) et cela avait bien sur attiré mon attention, moi qui ai lu il y a fort longtemps les Deux anglaises et le continent. Et puis la photo de Simonetta Greggio sur la couverture est engageante : joli sourire avenant et regard qui se porte sur quelque chose qui semble l’amuser, son livre peut-être ? Alors quand j’ai aperçu son livre à la bibliothèque, je n’ai pu résister à la tentation. J’ai donc débuté ma lecture de l’homme qui aimait ma femme, tout en lui faisant des infidélités, avec le récit de vie Le Second souffle de Philippe Pozzo di Borgo. En revenant vers lui, j’ai décidé de l’achever (le livre), pour pouvoir en faire cette chronique. La voici (ouf, quelle longue introduction, peut-être pour camoufler le peu de chose à dire…).

L’homme qui aimait ma femme présente un trio de personnages jeunes, beaux et prometteurs mais qui vont à leur perte. Deux frères, Alexandre et Yann vont aimer la même femme, Maria, au cours des années 60. Alexandre va finalement épouser Maria, tout en la trompant éperdument, tandis que Yann s’enfuit…

Sur ce canevas plutôt mince, l’auteur brode de petits chapitres sur les élans de jeunesse, les études de ses personnages, leurs émois amoureux et leurs pulsions de vie. Parallèlement, elle insère d’autres pages sur les amours de quelques personnages connus : Jung, Henri-Pierre Roché… L’auteure convoque aussi en toile de fonds des intellectuels qui vont marquer ces années des trente glorieuses, Lacan, Levinas, Derrida notamment, dont Yann et Alexandre lisent les textes. Et puis elle convoque aussi des écrivains comme Laclos, dont les liaisons dangereuses figurent en arrière plan du roman, Saint Augustin… Ces intermèdes distrayants éloignent un peu de l’intrigue et n’apportent pas grand chose. J’ai eu de temps en temps l’impression de remplissage plus que de nécessité vitale.

Au niveau de la narration, les personnages prennent la parole à tour de rôle, procédé intéressant mais je me perdais parfois entre les différentes voix. D’autant plus que l’une d’entre elles, Ellis, prend le dessus sur les autres (surtout sur la fin) en se positionnant comme la narratrice de l’histoire. On devine que derrière Ellis, se cache l’auteure, qui après avoir laissé ses personnages s’exprimer (et comme aucun ne tenait fermement la bride de l’histoire) se décide tout de même à orchestrer l’ensemble. J’aurais souhaité pour ma part une vision un peu plus marquée, des petites bulles de fiction un peu plus éclatantes, comme le moment où elle retrouve Alexandre, complètement sonné après le départ mystérieux de Maria. Et d’autres passages m’ont laissé perplexe. Comme celui où la narratrice laisse entendre que Yann est retrouvé mort dans un canot. Or un peu plus tard on le découvre bien vivant, cet épisode n’étant pas davantage évoqué.



Au final, ce roman se laisse lire mais franchement, ce n’est pas le nirvana ! L’ensemble manque d’homogénéité, de consistance. Les personnages sont falots. Dans les remerciements, Simonetta avoue s’être servie dans le vaste puits de l’internet pour nourrir quelques passages, notamment ceux qui concernent les personnages réels qu’elle évoque. Cette franchise est louable mais je ne peux m’empêcher de penser que ces « emprunts » rajoutent à l’impression de désordre que renvoie le roman.
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L'homme qui aimait ma femme

Amours , trahison, blessure, drame, sont les maîtres mots de ce roman. Le titre nous prévient, il va y avoir de la rivalité mais ce que le titre ne nous dit pas c'est qu'il s'agit de deux frères. ( la 4ème de couverture le dit, donc je ne dévoile rien :-) )

Deux frères, le plus jeune, Yann, est beau, studieux et est follement épris de Maria, l'aîné quant à lui, Alexandre, est professeur de lettres, volage , grand séducteur et va séduire Maria qui a été présentée par Yann.

On va alors suivre, ou plus exactement, on va essayer de suivre sur 40 ans, ( de 1965 aux années 2000) ce trio.

Je dis essayer car la lecture n'est pas aisée et cela pour plusieurs raisons.

D'une part, les chapitres courts s'enchainent passant d'une époque à une autre, d'autre part la narration à 4 voix ne facilite pas la lecture et enfin parce qu'il est fait référence aux grandes figures qui ont marqué ces années :Althusser, Jankélévitch, Derrida, Deleuze. On a du mal à se repérer, à se retrouver, à savoir qui parle, c'est dommage.

J'ai du mal à noter ce livre, car globalement, je ne suis pas séduite du fait de l'aspect "brouillon" mais le thème et l'idée de faire courir l'histoire sur ces 40 années avec ces références d'intellectuels sont intéressants.
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L'homme qui aimait ma femme

Alexandre et Yann sont deux frères. Ils sont amoureux de la même femme, Maria. Mais c’est Alexandre qui l’épouse.

Des années 60 aux années 2000, on suit leur parcours.

Bien que très proches, ils ont des aspirations bien différentes.

Variations sur l’amour et ses formes variées.

C’est très bien écrit, mais alors, que Simonetta Greggio aime à nous embrouiller. Rien de linéaire dans cette narration. On ne sait jamais qui parle, quand ça se passe. Il faut s’accrocher, mais ça en vaut la peine.

Se mêlent à cette histoire d’amour tourmentée des considérations sociologiques, politiques et philosophiques sur les années traversées.

Un roman riche et intense.

Par contre, je ne trouve pas le titre représentatif de l’histoire.

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L'homme qui aimait ma femme

Simonetta Greggio est une auteur que j'aime beaucoup et c'est donc avec beaucoup d'impatience que j'attendais de lire ce livre. L'ayant enfin entre les mains, je me suis précipitée et je ressors de cette lecture malheureusement déçue.



J'ai trouvé la narration trop brouillonne, le ton un peu trop familier parfois et les chapitres trop courts, ce qui fait que l'on page d'un personnage a un autre sans profondeur. C'est dommage car les deux frères sont intéressants car très différents mais ils sont pas mon goûts pas assez décrit, ils manquent de profondeur.



Sinon l'intrigue est vraiment originale et les années 60-70 des bien décrites. C'est un vrai voyage dans le temps, avec de nombreuses références de films, d'auteurs....



Pas le meilleur livre de Simonetta Greggio en tout cas ce n'est pas celui que je conseillerai pour découvrir l'auteur.
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L'homme qui aimait ma femme

Livre envoutant. J'aime cette écriture riche, croquante de Simonetta Greggio qui écrit en français, qui cisèle ses phrases pour que chaque mot fasse sens.

Nous traversons 40 années de l'histoire de 2 frères et de Maria leur amour commun, des années 60 à l'aube du nouveau millénaire. Nous suivons l'évolution des moeurs, des pensées, de l'actualité. Même si le récit adopte différents points de vue et peut par moment paraitre chaotique, Je me suis laissée bercer par ce livre que je recommande vivement.
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L'homme qui aimait ma femme

Je suis tombé sur ce roman, attiré par le titre et l'édition dans la bibliothèque que je fréquente habituellement. La quatrième de couverture m'a poussé à l'emprunter.



Quelle déception ! Le roman est particulièrement décousu : les chapitres se suivent sans qu'on sache forcément qui parle. Les années passent sans qu'on comprenne très bien ce que les personnages deviennent : la temporalité est très particulière.



Si encore ce roman avait été une satyre sociale sur la transformation de la France des mouvements pacifiques de 68 aux attentats du 11 septembre 2001 comme le laissait entendre la couverture : il n'en est rien. Rien n'est vraiment approfondi et l'évolution du cadet caricaturale même.



Les personnages sont assez inconsistants : rien ne m'a frappé chez eux. Qu'est-ce qui les fait vibrer à part coucher entre eux ? Pas grand chose. L'auteur invoque Jung, Derrida, Deleuze... A quoi bon ?
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L'homme qui aimait ma femme

La romancière rappelle les temps forts de quarante ans d'une certaine histoire de France, de Mai 68 à la récession d'un XXIe siècle (mal) naissant, en passant par les paillettes du néolibéralisme des années 1980
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L'homme qui aimait ma femme

Critique disponible sur mon blog www.marcbordier.com :



Parmi les nombreuses nouveautés de la rentrée littéraire, j'ai choisi L'homme qui aimait ma femme de l'italienne Simonetta Greggio sur la foi de sa quatrième de couverture. Ce roman raconte l'histoire tragique d'un trio amoureux. Au début du récit, à l'automne 1965, deux frères, Alexandre et Yann, viennent de quitter leur mère et leur Bretagne natale pour étudier les lettres et la philosophie à Paris dans le quartier latin. Le cadet, Yann, fait la rencontre de Maria, "visage de Madone et corps voluptueux", dont il tombe vite amoureux. Il la présente à Alexandre qui, grand séducteur et amateur de femmes, va s'empresser de la séduire et de la lui ravir. S'ensuit alors entre les frères une rivalité complexe qui durera jusqu'au milieu des années 2000. Durant cette période, Yann l'intellectuel introverti et contemplatif ne cessera de désirer Maria . Il trouvera une consolation pendant quelque temps en se mariant avec une autre femme, Manon, avant que la disparition tragique de cette dernière ne vienne mettre un terme à son bonheur et précipiter son exil à New York. De son côté, Alexandre épousera Maria, mais ne cessera de la tromper avec des femmes de passage. Avec le retour de Yann en France, la concurrence entre les deux frères éclatera en conflit ouvert, jusqu'à les conduire à une fin tragique (que je me garderai bien de vous révéler ici).

Vous l'aurez compris, l'amour est le grand thème de ce roman. Il le revendique d'emblée, avec cette épigraphe tirée des Liaisons dangereuses : "Ah, croyez-moi, on n'est heureux que par l'amour." Par la suite, le récit s'inspire ouvertement de Jules et Jim, le roman d'Henri-Pierre Roché porté à l'écran par François Truffaut. De l'amour, il explore les multiples facettes : amour jaloux et transi de Yann pour Maria, charnel, superficiel et compulsif entre Alexandre et ses conquêtes adultérines, douloureux et cruel entre Maria et Alexandre, fraternel et parfois haineux entre Yann et Alexandre... Pour naviguer dans cette géographie subtile, Simonetta Greggio a habilement choisi une structure narrative composée de chapitres courts racontés chacun du point de vue d'un de ses personnages, dévoilant ainsi au lecteur leurs sentiments profonds comme s'il consultait leur journal intime. En toile de fond, c'est l'histoire sociale, économique et intellectuelle de la France des cinquante dernières années qui défile : mai 68, Althusser, Jankélévitch, les beatniks, le Mitterrandisme, le libéralisme... Le lecteur est tenu en haleine jusqu'au dernier chapitre et referme le livre à regret. Assurément, L'homme qui aimait ma femme est un de meilleurs romans de cet automne.
Lien : http://www.marcbordier.com
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L'homme qui aimait ma femme

Je découvre cet auteur avec L'homme qui aimait ma femme, et j'avoue que je suis assez charmée. Simonetta Greggio nous rejoue Jules et Jim et s'en tire plutôt pas mal. Yann et Alexandre sont frères. Le premier est romantique et studieux, le second est libertin et bon vivant. Leur point commun s'appelle Maria. Pendant 40 ans, ils l'aimeront et croiseront le chemin d'autres femmes sans qu'aucune ne parvienne à la remplacer.

Le récit de Simonetta Greggio est dense, bien ficelé et très agréable. Dans un style simple et fluide et en adoptant des points de vue multiples, elle parvient à décrire avec une précision remarquable les sentiments des personnages. Lecteur vit intensément leurs amours, leurs tourments et leurs espoirs.

J'ajouterai tout de même un bémol : le roman est entrecoupé de trop nombreuses digressions sur la vie d'intellectuels, philosophes ou cinéastes, qui n'apportent pas grand chose et alourdissent la narration.

Cette lecture, sans être absolument passionnante, permet de passer un moment très sympathique.



Retrouvez cette critique et bien d'autres sur mon blog
Lien : http://bloglavieestbelle.ove..
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L'homme qui aimait ma femme

Grâce à l'alternance habile des narrateurs, Simonetta Greggio aménage le suspense, chaque chapitre, riche en rebondissements, déclinant, sur fond de XXe siècle finissant, la vibrante symphonie des émotions.
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L'homme qui aimait ma femme

J'ai été trop occupée à comprendre qui parlait à chaque chapitre (Maria, la femme aimée ?Alexandre le frère choisi et infidèle ? Yann le cadet blessé ? Allis qui raconte leur histoire ?), et un peu noyée dans les nombreuses références aux penseurs en tout genre, pour plonger vraiment dans ce drame amoureux traitant de l'infidélité et du sentiment de possession. La forme m'a gâché le fond et j'ai regretté l'écriture si douce et forte des premiers livres de Simonetta Greggio qui me donnait envie de cueillir chaque phrase. A trop vouloir dire, son propos m'a échappé. Mais je termine le livre en me disant "je le relirai", ce n'est donc pas une si mauvaise lecture...
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L'homme qui aimait ma femme

Ne vous fiez pas au joli sourire de l'auteur sur la couverture car c'est un roman que j'ai trouvé profondément triste et assez cynique.



Les années soixante et l'explosion sociale que fut mai 68 sont particulièrement bien décrits. Il souffle effectivement un vent de liberté dont Alexandre semble bien profité mais Yann regarde les évènements avec hauteur et s'indigne du comportement de ses contemporains, une attitude qui se retrouvera dans le roman à plusieurs reprises. Les philosophes de l'époque sont évoqués donnant une tonalité assez intellectuelle au roman.



C'est un roman triste car il y a plusieurs décès, toujours des personnes très proches des personnages et Yann pour combler cette tristesse va devenir carriériste, hautain et pourtant la fin est encore plus tragique. Cynique parce que le personnage d'Alexandre est celui du salopard de service, traitant les femmes avec pour seul objectif sa satisfaction personnelle. Le personnage de Maria contribue aussi à l'ambiance du roman car elle a une attitude ambivalente avec Yann et sera d'une jalousie, certes justifiée, paranoïaque avec son mari.



Ce roman pose évidemment la question du bonheur conjugal et la façon dont le thème est abordé prouve qu'il n'y a pas de ligne tracée, que les accidents de parcours peuvent être nombreux et qu'il y a toujours un point, un moment qui devient crucial où il faut choisir entre la rupture, l'acceptation ou le pardon.
Lien : http://vivelesbetises2.canal..
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L'homme qui aimait ma femme

Profondémenr ennuyeux;je me suis arretée à la page 50 sans avoir trouvé un quelconque inerêt à ma lecture
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L'homme qui aimait ma femme

J'ai failli plusieurs fois arrêté ma lecture tant je m'y suis ennuyée. Grosse déception. Et pourtant l'auteure a une bonne réputation.
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