Citations de Sonia Dagotor (100)
En vingt-quatre heures, j'ai pris un train, un taxi, une cuite, un pain par une fliquette psychopathe, j'ai risqué la prison et, maintenant, me voici dans un restaurant où les tarifs défient le bon sens.
Il y a un proverbe chinois qui dit : "Quand tout va bien, on peut compter sur les autres. Quand tout va mal, on ne peut compter que sur la famille".
J'ai appris que le courage n'est pas l'absence de peur, mais le fait de triompher d'elle. L'homme courageux n'est pas celui qui ne ressent pas la peur mais celui qui la vainc.
Etre mère, c'est tout donner pour ses enfants sans forcément recevoir quelque chose en retour. Les enfants sont parfois ingrats. On a beau les aimer à la folie, ils ne voient en nous que l'autorité et la rigueur. Au mieux, ils pensent qu'on les surprotège et donc qu'on les étouffe. Alors qu'en fait c'est la peur, on a juste peur de les perdre d'une façon ou d'une autre.
tu dois prendre soin de toi. aime toi plus que tout! aie confiance en toi! si tu ne le fais pas, tu ne seras jamais en mesure de prendre soin de quelqu un d autre, de l'aimer et de lui faire confiance.
bien qu ils fassent partie intégralement de la communication, j'ai toujours haï les silences. qu'on le veuille ou non, ils expriment toujours quelque chose : la colère contenue, un temps de réflexion, la peur de n'avoir rien à dire ou d'oser prendre la parole, l incompréhension ou le scepticisme, l incapacité ou l'impossibilité d'exprimer sa souffrance, son chagrin ou sa douleur, la mise en retrait, la volonté de s'isoler... comme les paroles, un silence peut être approprié ou non approprié.
ma vie est un désert d'intérêt. tout ce que j'avais imaginé accomplir avant mes trente ans ne s'est absolument pas réalisé. ma vie sentimentale est un néant. ma vie professionnelle, une catastrophe. ma vie privée, euh... nulle!!!
Le bonheur ne se vit pas qu'à deux. Être heureux, c'est d'abord s'aimer soi, pour ce qu'on est, pour ce qu'on fait. Il n'y a pas de bonheur sans douleur et il n'y a pas de réussite sans échec.
Lorsque deux êtres se sont aimés très fort,
Quoi qu'il advienne, au bout du fil,
Ils se retrouveront encore.
Charles qui t'aimera éternellement.
P.S: Te rappelles-tu cette rose? Comme l'amour que j'ai éprouvé pour toi, elle ne m'a jamais quitté. Je te la confie désormais. Elle est à toi.
Un joli roman, autour de la famille et de l'amour. Une brochette de génération, qui permet de plaire autant au plus jeune qu'au plus vieux. L'écriture est fluide avec quelques pointes d'humour et une vrai histoire de famille.
P.59 : L'esprit d'une femme tourne à toute vitesse, même quand il n'y a pas vraiment de raison. Lhomme, lui, est plus tranquille, plus calme. Il ne se prend jamais la tête, lui ! Moins il se questionne, mieux il se porte.
P.186 : Exister est un fait, vivre est un art.
5 étoiles amplement méritées . J’ai été transporté et captivé par ce roman lu en 1 jour car si joliment écrit . Au fil de leurs confidences respectives la complicité de ce trio d’héroïnes ( La grand-mère : Liliane , la mère : Catherine et la petite fille Justine ) est touchante . Un roman addictif , captivant d’où émane la réalité subtile des sentiments profonds . Un titre en parfaite adéquation avec son histoire à la fois touchante et réaliste . Un coup de cœur lecture pour moi indéniable .
Ne serait-ce pas une aventure extraordinaire que de se retrouver dans la peau d’un homme, juste quelques jours ? Pour comprendre leur fonctionnement, ressentir leurs émotions, pour savoir ce que ça fait tout simplement.
Le désir d’être mère ne m’a jamais semblé une évidence, mais tout de même, quel est le but d’une vie si ce n’est d’en donner une ?
Chaque épreuve dans la vie terrestre a un but bien précis d'évolution. Et puis, n'appréhendez pas la mort, c'est une renaissance et l'opportunité de vivre autrement et sereinement.
Lorsque deux êtres se sont aimés très fort, quoi qu'il advienne, au bout du fil, ils se retrouvent encore.
Je t'ai élevée en t'inculquant les compromis et la résilience parce que j'ai moi-même été élevée comme ça. Il faut que je t'avoue quelque chose : quand j'ai épousé ton père, c'est à un autre que je pensais. Je n'en ai jamais rien dit à personne, parce que c'était mal et immoral, mais c'était le cas. Je m'en suis longtemps voulu même ... et j'ai mis du temps à guérir. Je ne veux pas que tu vives la même chose. Cela te rongera. Il vaut mieux avoir des remords que des regrets, crois-moi !
Un homme vient droit vers eux, suivi de près par un chien. Ce n'est pas un homme, en fait. C'est une hallucination. C'est un dieu grec, un canon, une bombe atomique. […] Bérénice, qui n'a pas touché à un torse masculin depuis… Oh, depuis trop longtemps, lui tomberait bien dans les bras tout de suite. Et ce sourire… […]
- Bonjour ! Et bienvenue ! Je suis Francesco, lance-t-il en lui faisant deux bises.
- Bérénice, excitée ! Euh, pardon… enchantée.
Francesco fait mine de n'avoir rien entendu. Quant à Bérénice, son teint passe d'une couleur blanchâtre au rouge vermillon. Quel boulet !
Monsieur Chen m’a suppliée mille fois de le tutoyer mais je n’y parviens pas. Je ne m’explique pas pourquoi, moi qui ai le tutoiement intempestif la plupart du temps. Il s’est résigné à ne pas m’entendre lui dire « tu ». Il n’y a que lorsque je suis alcoolisée que j’y arrive. Mais les occasions sont rares…