Sophie Jordan

Tout le monde a droit à l'amour, même un meurtrier.

Callaghan est en prison pour avoir tué le violeur de sa cousine, Briar quant à elle, est une infirmière dévouée qui se demande bien ce qui lui a pris de se porter volontaire pour aller soigner des prisonniers.

Elle est morte de peur et cela se lit sur son visage et son attitude, Callaghan le remarquera de suite, comme beaucoup d'autres prisonnier légèrement moins « gentil » que lui.

On vit quelques moments intenses à l’intérieur de cette prison, où se trouve un autre monde, avec ses détenus qui se battent pour survivre et ses matons sans cœur qui ne se gênent pas et profitent de leur autorité pour se défouler sur les prisonniers.

Une belle romance, avec un mâle alpha et une jeune femme qui n'a pas été très bien entouré par certains hommes de sa vie, leur premier contact sera assez implacable.

Une relation physique naîtra entre eux, qui restera cachée soit par honte de l'autre, soit par incompréhension, mais l'amour grandira au fur et à mesure de leur rencontre.

Une très bonne romance, qui change légèrement du style habituel, et on devient vite accros.

J'ai vraiment hâte de lire la suite, avec Read.

Au départ, je n'attendais pas grand chose de ce livre. J'avais un assez sceptique à cause de la couverture et du résumé qui me tentait mais qui me laissait penser à une lecture assez moyenne. Eh bien, je l'avoue, je me suis trompée.

J'ai passé un très bon, voire un excellent moment en lisant ce livre.

On suit Jacinda, mi-humaine, mi-dragon qui a fuit son clan natal pour recommencer une nouvelle avec sa mère et sa soeur. Ce qui implique renoncer à son côté surnaturel, ce qui bien sur, va la déranger. C'est alors qu'elle rencontre Will, un chasseur de dragon, un traqueur, un tueur. Tous êtres dôtés d'une raison le fuirait. Mais l'attirance est trop forte... Quelles seront les conséquences?

C'était une histoire très intéressante. On est tellement absorbé que l'on oublie la réalité.

J'ai trouvé les personnages intéressants. Ce premier tome ne nous a pas tout dévoilé sur eux et c'est en partie grâce à cela, que je lirai suite. Le mystère n'est pas complètement levé...

J'ai trouvé l'écriture de Sophie Jordan, fine et agréable. C'est à la fois quelque chose de léger et d'insouciant, ce qui fait un beau mélange.

Vous l'avez compris, j'ai beaucoup ce premier tome et je lirai volontiers la suite qui me tente énormément.

A la lecture du résumé, on pourrait penser de Prémices qu’il s’agit là d’un énième roman new adult classique et bourré de clichés. Pourtant, pour peu que vous vous laissiez tenter par cette lecture, vous serez surpris par la plume de Sophie Jordan et par l’histoire vraiment sympathique qu’elle nous livre. Une fois commencé le roman, difficile de le reposer tant l’auteure réussit à nous captiver et nous toucher par une histoire pleine de légèreté et passionnante qui nous replonge dans nos souvenirs d’adolescence, quand, pour certain(e)s nous étions amoureux(se) d’une personne inaccessible.



Le roman ne révolutionne pas le genre, mais il ne tombe pas autant dans le cliché que d’autres romans du même genre. Ici, se cache derrière l’histoire quelque chose de plus réel, plus tangible, même si certaines situations semblent assez incongrues. Cependant, l’histoire n’est pas révolutionnaire et souffre d’un réel manque de profondeur. Les personnages sont assez peu développé et on en sait finalement très peu sur eux, sinon que Pepper est très naïve, Hunter conventionnel à mourir et que Reece est le bad boy par excellence.



Très court (environ 300 pages), Prémices se lit très vite, mais ce faible nombre de pages en fait aussi son principal défaut. En effet, si il sait nous faire passer un bon moment et nous permet de nous détendre, le tout sonne malheureusement un petit peu creux, quand on cherche une histoire plus profonde. Certes, Sophie Jordan nous propose quelque chose de sympathique mais qui reste sans plus même s’il nous permet de nous évader le temps de quelques heures de lecture.



Malgré les défauts du roman, je dois tout de même reconnaître que j’ai pris beaucoup de plaisir à cette lecture qui a su me sortir la tête des tracas du quotidien avec une romance pleine de simplicité qui a réussit à me toucher un petit peu, même si je n’y ai pas retrouvé tout ce que j’aime habituellement dans ce genre. Avec sa plume addictive et agréable à lire, Sophie Jordan m’a donné envie d’en découvrir plus sur sa série et ses personnages, même si j’aimerais qu’il soit un peu plus développé. Ne demandant rien de plus à un new adult que de m’offrir une histoire que je saurais apprécier sans me prendre la tête, l’auteure a largement gagné son pari avec moi.



Finalement, je n’attendais pas grand chose de ce roman, sinon de prendre du bon temps avec lui. S’il n’est pas parfait et souffre de quelques défauts qui pourront gêner plus d’un lecteur, j’ai apprécié les maladresses des personnages et je me suis un peu attachée à Pepper et à son innocence qui, pour une fois, ne m’a pas agacé. Je lirais la suite avec grand plaisir pour retrouver le côté déjanté des amis de Pepper, mais aussi pour comprendre un peu mieux les relations parfois compliquées de certains personnages.



En résumé, Prémices est un livre qui vous fera passer un bon moment, avec des personnages attachants, mais qui souffre de quelques lacunes et qui ne révolutionne pas le genre. Toutefois, on prend plaisir à la lecture et Sophie Jordan sait indéniablement comment nous accrocher !
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J'ai été clairement déçue par se livre. Clairement cliché et prévisible. M^eme si l'idée de Draki est séduisante.

J'ai énormément aimé le point de départ de ce roman. En effet, on sait à quel point la criminalité est un sujet d'inquiétude que ce soit aux Etats-Unis ou même en France. A chaque campagne électorale on nous fait ingurgiter une tonne de chiffres effrayants sur le sujet, les hommes politiques ne parlent que de ça, et les journaux télévisés et magasines d'investigations construisent la quasi intégralité de leurs lignes éditoriales sur le sujet. Il n'est donc pas compliqué d'imaginer un monde où nous en arriverions aux mêmes extrémités que dans Uninvited. Un scientifique isole un gène responsable de ces folies meurtrières et violentes, on se rend compte que 90% des faiseurs d’infractions en sont bels et bien porteurs, des tests sont donc commandés sur la population générale afin de repérer les individus à risques... Ces individus sont alors ostracisés par la société, créant un cercle vicieux ne faisant qu'encourager les débordements, et c'est donc l'escalade de la violence.



Ce sont des faits qui sont extrêmement bien dépeints par Sophie Jordan au travers de l'aventure que vit Davy, l’héroïne du roman. Cette dernière est une talentueuse adolescente qui vit dans les beaux quartiers, elle n'est jamais entré en contact avec de porteurs du HTS et les voit exactement comme le gouvernement et les médias les dépeignent : des individus ultra dangereux pouvant basculer dans une folie meurtrière en un seul claquement de doigt. Quand elle se retrouve mêlée à ses individus elle tombe de haut. Il est compliqué pour elle d'intégrer le fait que ses nouveaux camarades de classe, les 5 autres adolescents identifiés comme porteurs du HTS, qu'elle regarde avec méfiance sont comme elle. Elle aussi est montré du doigt et prise à parti dès qu'un porteur du HTS dérape dans le pays, puisqu'ils sont "tous pareils". Cette lutte et prise de conscience chez la jeune femme est particulièrement cristallisé dans l'évolution de sa relation avec Sean, un des porteurs du HTS. Le jeune homme reste un antihéros assez classique, tout comme Davy reste une héroïne sans grandes surprises, mais l'auteure a le mérite de bien cerner et faire évoluer ses personnages.



Le fait est que ce roman n'a pas forcément besoin de personnages ultra forts pour avoir un impact. En effet, le thème abordé est bien assez marquant pour que des héros classiques le desservent efficacement. Le rythme est quant à lui extrêmement bien réparti, entre découvertes et moments exaltants, et le récit prenant. Il est pour ainsi dire impossible de reposer ce roman une fois qu'il a été commencé et personnellement j'ai navigué dans cette histoire avec beaucoup de facilité et de plaisir. En une seule journée, il était terminé !



Uninvited est donc un roman à l'idée de départ forte et extrêmement bien développée. Au delà des aventures d'une héroïne attachante, Sophie Jordan nous propose une vraie réflexion sur un problème de société et les dérives éventuelles qui pourraient tangiblement en découler. C'est un très bon premier tome avec une fin suffisamment satisfaisante pour ne pas être en cliffhanger, tout en laissant malgré tout une grande envie chez le lecteur de découvrir le second (et dernier) tome.
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Et bien quelle surprise ! Après avoir vu passer des commentaires pas très enjoués sur ce livre l'année dernière, j'avais mis ce livre dans un challenge lecture un peu par dépit.. Laissez moi vous dire que je suis bien contente de l'avoir lu !



Jacinda est donc un draki, sorte de créature descendant du dragon. Elle vit dans un clan, protégé et caché des humains, avec ceux de son espèce, sa mère et sa soeur jumelle. Son père était un draki lui aussi, mais il est mort il y a quelques années. Sa soeur, Tamra, n'a pas cette particularité, elle est une simple humaine puisqu'elle ne s'est pas manifestée, contrairement à Jacinda qui, en plus de sa manifestation, a développé un don disparu depuis des générations, celui de cracher du feu. C'est ce détail qui la rend précieuse aux yeux des siens, ce détail qui lui complique la vie, puisqu'elle est surveillée de très près, et est courtisée (si ce n'est pire..) par la famille régnant sur son clan. Après avoir enfreint les règles lors d'une sortie non autorisée, Jacinda se retrouve menacée de représailles et sa mère décide qu'il est temps de s'enfuir. Toutes trois vont aller vivre dans un lieu aride, où le draki en Jacinda risque de disparaître (ce qui la révolte au plus haut point), mais où elle va retrouver un garçon, Will, qu'elle a déjà vu auparavant, puisqu'il lui avait sauvé la vie, lors d'une chasse dont elle était l'objet.. Seulement ce garçon ne doit pas connaître son secret, personne ne doit le connaître, cela serait trop dangereux pour elle, pour ses semblables..



Ce livre fut donc une bonne surprise. Il ne m'a fallu que quelques pages pour être prise dedans, j'ai beaucoup aimé cette histoire. Le rythme n'est pas le même durant tout le livre, le début est accrocheur puisque l'on découvre Jacinda, ce qu'elle est et puis rapidement sa famille et elle prennent la fuite. Ça se calme un peu au milieu, elles s'installent dans une nouvelle ville, les filles découvrent le lycée, se font des amis, des ennemis. C'est dans cette grosse partie du livre que la romance s’immisce, prenant par moment le pas sur le reste, donc attention à ceux qui sont allergiques aux histoires d'amour toutes mielleuses, toutes mignonnes.. Personnellement, j'adore mais il vaut mieux prévenir pour ne pas être déçu ! Il se passe néanmoins pas mal de choses, on entrevoit les pistes que peut prendre l'auteure, on se fait une idée de ce qu'il va se passer tout en restant sur le qui-vive. J'aime beaucoup la tournure que prend l'histoire, même si ce n'est pas vraiment une surprse, c'est bien mené, on est pris dedans tout simplement. Le rythme revient bien sur la dernière partie, ça se finit de façon à nous donner envie de lire la suite, surtout si on s'est attaché aux personnages, ce qui est mon cas.

J'ai trouvé que l'on pouvait facilement se mettre à leur place, et que les réactions des uns et des autres étaient compréhensibles, que ça soit Jacinda, Tamra, leur mère ou encore Will. La seule chose qui m'a gênée est chez Jacinda. Il y a des moments où elle est pénible, un pas en avant deux en arrière, c'est clairement "je veux - mais c'est une mauvaise idée - tant pis j'y vais - mince je n'aurais pas dû - je dois arrêter - mais j'en ai envie - alors j'y retourne - zut je peux pas".. bref, ça revient à plusieurs reprises si bien qu'on a envie qu'elle s'en tienne à ce qu'elle dit ou bien qu'elle se taise xD Mais bon, je ne lui en veut pas trop, c'est rapidement remplacé par les petits frissons, les papillonnements causés par les moments tendres que partagent nos tourtereaux ♥



En conclusion, un livre qui n'est pas passé loin du coup de cœur, ce fut vraiment une très bonne surprise, je n'aurai jamais pensé que ce livre m'emballerait autant ! J'ai hâte de lire la suite, d'autant plus que j'ai une petite idée sur quelque chose qui se passe durant ce premier tome et dont on n'a pas la réponse :P
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C'est très bien écrit (contrairement à Twiligth justement ...:)) et ça se lit avec gourmandise. Ça tombait bien pour moi, c'était une lecture vraiment "détente", du genre qui ne prend pas la tête et qui se lit "à fond le caisse". De la pure distraction, et de temps de temps, vraiment ça fait du bien (même si "point trop n'en faut !"). En tout cas j'ai bien apprécié ce Lueur de feu, malgré ses faiblesses car c'est un livre agréable et relaxant à lire. J'en serai pour la suite, c'est sûr !



(La chronique complète sur le blog)
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Voici le deuxième tome de la série The Ivy Chronicles. Pas de panique si vous n’avez pas lu le premier, l’histoire est tout à fait compréhensible sans. C’était une lecture agréable, mais sans plus.



On rencontre Emerson, une jeune étudiante, qui est passionnée d’art. Comme les jeunes de son âge, elle croque les hommes et ce même pas par plaisir, juste car c’est ce qu’elle pense qu’on attend d’elle. Emerson veut garder le contrôle de sa vie en tout point et pourtant son comportement est assez autodestructeur. Elle cache un mal-être plus profond qu’elle ne le laisse paraître et même ses amis les plus proches ne se doutent de rien. Quand elle rencontre Shaw dans un bar miteux, elle sent bien qu’il est différent et que faire comme d’habitude va être compliqué.



e ne peux pas dire que l’histoire m’ait passionné, car on tombe un peu dans le cliché pour moi, mais c’est quand même une jolie romance que nous propose Sophie Jordan. Emerson m’a touché par son passé difficile et elle se détruit vraiment jusqu’au plus profond de son être tant elle souffre au fond d’elle même...

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J’avais adoré la plume de l’auteure dans Prémices, et il me tardait de continuer ma découverte de Sophie Jordan. Bon, il est vrai que le titre et la couverture sont plutôt clichées (et c’est peu dire!) mais sincèrement, j’ai passé un très très chouette moment en compagnie de Knox et Briar.



Cette romance est annoncée comme assez sombre vu qu’elle se passe (en tout cas au début) dans le milieu carcéral, mais honnêtement, elle ne l’est pas tant que ça. Et pour ma part, c’est tant mieux. J’ai beaucoup aimé le personnage de Knox, écorché vif, qui ne sait plus réellement ce qu’est une relation humaine. Le roman est assez épicé et on se surprend à tourner les pages aussi vite.



Au final, Devil’s Rock est un chouette roman mais prévisible dans son déroulement. Ca ne plaira qu’aux amateurs du genre, c’est certain. Mais pour ma part, il a rempli son job !

Certaines erreurs brisent le cours de votre vie. Certains de vos choix marquent irrémédiablement votre existence. En commençant ce tome, je me suis retrouvée propulsée au cœur du milieu carcéral à vivre le moment présent à travers les yeux de deux personnes que tout sépare.



La première fois l’on pousse les portes de Devil’s rock et que l’on rencontre Briar et Knox, c’est surtout la tension qui émane d’eux qui nous saute aux yeux. On ne peut pas dire que ce soit le coup de foudre tant la jeune femme est déstabilisée et apeurée par l’environnement dans lequel elle se trouve. Cependant, Briar est ambitieuse, promue à un bel avenir alors lorsqu’elle croise ce regard acier pour la première fois, elle ne peut s’empêcher de penser au pire.



Car Knox sous ses airs de gros dur est un personnage bien plus complexe qu’il n’y parait. Il est brut, puissant, dangereux. La prison a renforcé son apparence menaçante, car il est indispensable pour survivre en détention de paraître invincible. Là où il m’a surprise, c’est par la relation qu’il entretient avec son frère North et l’instinct de protection qui en découle. J’ai beaucoup aimé découvrir toutes les facettes qui composent ce personnage.



La base même de cette histoire était une très bonne idée. Cependant, je trouve malgré tout que l’auteure n’a pas su insuffler à son texte toute l’intensité que j’en attendais. L’immersion dans l’univers pénitencier est bien présente. Elle décrit l’enfer du mitard, les relations entre les prisonniers, le besoin de pousser son corps au-delà de la souffrance physique pour ne pas devenir fou, mais la suite n’était pas à la hauteur de cette première partie.



Briar et Knox connaissent toutes les raisons pour lesquelles ils ne doivent pas être ensemble. D’ailleurs dans un premier temps ils se servent surtout l’un de l’autre pour assouvir leurs besoins. Néanmoins malgré la connexion qui s’établit entre eux, j’ai trouvé que les difficultés étaient assez vite surmontées. Bien que la culpabilité de Knox soit très présente dans sa narration, je m’attendais à une réhabilitation plus compliquée. Je suis un peu déçue par la tournure qu’ont prise les événements.



Malgré tout, ce livre recèle de nombreux points positifs : la romance entre Briar et Knox est belle, intéressante, sensuelle. Et que dire des personnages secondaires qui donnent envie de découvrir les prochains tomes tant les bribes de leurs histoires nous interpellent.



Alors, même si je n’ai pas été totalement subjuguée par ce roman, je n’en reste pas moins ravie d’avoir pu lire ce premier opus de Devil’s Rock. Je suis maintenant très curieuse de connaître ce que Sophie Jordan réserve à Reid et Grace. Je suis sûre qu’elle ne les a pas épargnées. Je n’ai aucune date pour le moment à vous transmettre, mais j’espère qu’il sera rapidement entre nos mains.
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L’univers de ce livre est assez dur puisqu’il s’agit du milieu carcéral. On y suit Briar, infirmière, qui accepte, à la demande de son supérieur, de travailler au pénitencier de Devil’s Rock. Elle est jeune, innocente, souhaite une promotion mais est inconsciente de la vie en prison. Knox, quant à lui, est emprisonné depuis 8 ans maintenant et en connait parfaitement les rouages. Pour survivre, il a du se renfermer, brider ses émotions, s’endurcir : c’est devenu un homme dur, mais rongé par la culpabilité. Dès le premier jour de travail de Briar, la rencontre à lieu et s’en suit divers sentiments, questionnements des deux côtés jusqu’à un évènement qui vient tout chambouler. Si j’ai trouvé le personnage de Briar assez naïf, j’ai malgré tout trouvé assez juste certaines de ses réflexions. J’ai adoré Knox, ses difficultés, sa culpabilité, son côté protecteur. Dans l’ensemble, c’est un bon livre, mais j’ai trouvé la fin trop rapide et trop facile, et j’aurais aimé que Briar est un peu plus de caractère, qu’elle ne cède pas aussi facilement.

Vers la fin du livre, un chapitre est consacré à l’introduction du tome 2.

Le début du roman roman nous présente l’héroïne : Pepper dans une situation délicate. Seule, la nuit en panne de voiture, au bord de la route. Cette situation m’a fait sourire car la jeune femme imagine qu’un meurtrier va la prendre pour cible et ça m’a rappelé moi quand j’ai regardé trop d’affaires criminelles à la télévision et qui imagine n’importe quoi.



Mais dès le départ, cela révèle aussi que Pepper cache un secret, quelque chose qui s’est passé même si l’auteur n’en dit pas plus. Cette nuit-là la jeune étudiante fait la connaissance d’un homme : Reece qui se révélera sans surprise être le barman du Mulvaney.



Pourtant le fait de se douter de ce qui va se passer ne m’a pas du tout dérangée dans ma lecture. Au fil du livre, j’ai apprécié de plus en plus l’héroïne, qui n’est pas une femme fatale mais une fille peu expérimentée mais c’est ce qui fait tout son charme.



Car en matière de garçons, la jeune femme est maladroite et ne sait comment se comporter. Pourtant Pepper va avoir l’occasion de se perfectionner. Tout d’abord avec Reece, dont le quiproquo m’a étonné, je ne vous en dirais pas plus. Mais aussi avec Hunter. Hunter, le frère de son amie dont elle est amoureuse depuis toujours.



Celui-ci vient de quitter sa petite-amie et Pepper souhaite à tout prix lui avouer ses sentiments. Mais ne se trouvant pas assez « expérimenté », la jeune femme va s’entraîner avec Reece. Juste pour les préliminaires, enfin au stade de ma lecture en tout cas. Et c’est ça que le lecteur se demande, va t-elle aller plus loin ?



A force de jouer avec le feu, ne va t-elle pas tomber amoureuse de Reece ? Et oublier Hunter qui devait être le final de son plan ? Car le futur chirurgien qui apparaît un peu dans le roman ne semble pas insensible à Pepper.



Bien que ce soit un roman érotique l’auteur n’abuse pas des scènes de sexe et j’ai beaucoup apprécié tout comme l’intimité qui s’installe entre Peppeer et Reece. Dormir ensemble semble plus les rapprocher que l’acte même s’il est important. Ils se découvrent mutuellement. Je trouve que ce livre est un roman très délicat et je l’ai savouré.



Je n’étais pas sûre qu’il y ait un deuxième tome, je suis un peu déçue de ne pas retrouver Pepper et Reece. Mais ayant aimé le style de Sophie Jordan, je serais ravie de lire l’histoire d’Emerson, une des amies de Pepper.
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Tout d'abord j'ai trouvé la couverture de Prémices superbe. Après avoir lu le résumé je décide donc de me lancer.

Et bien je l'ai dévoré en moins d'une journée et il se place parmi mes coups de cœur. J'ai eu du mal à le lâcher !

On ne peut résister au charme de Reece. Ce livre m'a fait frissonné et rire, certes on se doute un peu de ce qu'il va se passer entre Reece et Pepper mais bon.

Apparemment il y aura une suite, il me tarde de voir ce qui pourrait chambouler l'histoire de nos deux amants. Affaire à suivre...

Voilà un roman que j’étais très impatiente de lire au départ mais qui malheureusement au final, m’a laissée avec une impression assez mitigée.



Jacinda et Azure sont donc toutes les deux des drakis. Leur clan leur a interdit de s’envoler le jour. Mais ce jour-là les deux jeunes filles ont décidé d’enfreindre les règles et quittent donc le territoire protégé afin de se « manifester » c’est-à-dire se transformer dès le lever du soleil. Très vite, elles sont repérées par leurs ennemis, les chasseurs. A partir de là s’ensuit une sorte de chasse à l’homme (sauf que ce ne sont pas des hommes que les chasseurs traquent mais des drakis). Azure parvient à s’en sortir mais Jacinda, elle est blessée. Encerclée de partout, sans aucune issue, elle finit par se réfugier dans une grotte mais elle est aussitôt retrouvée par Will, un jeune chasseur. Curieusement, ce dernier ne la livre pas aux autres et donc lui sauve la vie…

Le début était pourtant assez prometteur... Lire la suite sur le blog.




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A part un début et une fin avec un peu d'action, dans le reste du roman, il ne se passe pas grand-chose. Beaucoup de répétitions et de redites ...

C'est à l'occasion d'un petit différent entre Knox et un autre détenu concernant un vol de gâteau, que ce dernier se retrouve à l'infirmerie. Briar, jeune infirmière, y effectue son premier jour de remplacement, et est loin d'être à l'aise dans cet environenement hostile.

Briar et Knox échangent peu, mais le langage corporel et visuel parle pour eux.

Le roman est divisé en deux parties. La première, ayant lieue dans le huit clos de la prison, a été clairement pour moi la plus intéressante. Même si Briar et Knox échangent peu verbalement, la tension sexuelle est parfaitement retranscrite et même sublimée par l'interdit lié à leur statut réciproque. Ils se retiennent, font semblant, sont clairement dans le déni, jusqu'à ce jour où tout bascule.

J'attendais la sortie d'incarcération de Knox avec impatience, m'attendant à ce que l'histoire prenne un nouveau tournant et surtout que toute cette intensité cumulée lors de la première partie s'exprime. Si je n'ai pas du tout été déçue sur le volet érotique, l'histoire en elle-même devient somme toute très classique, voir très prévisible. J'ai eu l'impression d'avoir sorti un soufflé un peu trop tôt du four, me laissant sur une fin mitigée.

Les fans de Prison Break pourraient bien se retrouver dans cette romance érotique efficace et intense.
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Le premier tome de cette nouvelle saga où l'histoire parle de détenus en milieu d'incarcération, est innovant d'un certain côté. L'histoire reste pourtant dans le déjà-vu et l'intrigue simplette.



Pour son premier jour de bénévolat au pénitencier de Devil's Rock, Briar, infirmière, espérait avoir une journée calme. C'est alors que des gardiens amenent trois détenus menottés. L'un d'eux accapare les pensées de Briar, plus que les deux autres tatoués.

Après avoir été pris dans une bagarre avec deux mecs du gang opposé, Knox se retrouve à l'infirmerie au côté de Mlle Davis, la première femme depuis plus de huit ans qu'il côtoie. Et cette jolie infirmière est loin de le laisser de marbre. Son côté protecteur ressort instinctivement envers elle.



Briar Davis est une jeune femme dont l'enfance n'a pas été rose. Son père frappait sa mère qui se laissait faire. Elle est très apeurée par moment face à la violence des hommes, par contre à d'autres elle sait sortir les griffes et fait montrer qu'elle peut avoir du caractère.

Knox Callaghan, 28 ans, est en prison avec son jeune frère North, depuis maintenant plus de huit ans pour meurtre. C'est un homme qui a l'apparence d'un dangereux guerrier, mais au fond il reste un homme noble, protecteur et tendre. C'est un personnage complexe avec de multiples facettes, un protecteur, une menace féroce et un amant.



La narration est à la troisième personne, en alternance entre le point de vue de Briar et de Knox. Un chapitre vers la fin prépare le second tome avec Reid. La plume de l'auteur est fluide, simple à lire et légère. Le début est assez lent, l'histoire s'installe petit à petit. Ensuite les scènes de sexe se répètent, et s’enchaînent. Elles sont torrides et sensuelle. Seulement après l'histoire commence à prendre une forme, enfin une petit forme.

L'intrigue reste simple, rien de bien extraordinaire, la gentille et le taulard, la belle et le méchant. Knox n'est pas le candidat idéal pour la place de gendre, il a peur de refaire une erreur comme celle qu'il a commise jeune. Il veut se reconstruire tout en gardant sa liberté et le contrôle de sa vie.



Ce premier roman est une romance torride et sexy. Malgré un début d'univers innovant, l'intrigue reste dans un contexte de déjà-lu. Le personnage de Knox est attrayant, celui de Briar plus fade. Leur histoire est belle et captivante, seulement aucunes frustrations et péripéties ne sont réellement installées. Un bon moment de lecture, loin d'être époustouflante.

Voici un bon livre romantic-suspense que je viens de découvrir chez Milady Romance. De plus, l’auteur : Sophie Jordan est connue pour ses romances contemporaines et ses livres jeunesses. Mais je vous en parlerai dans une autre chronique. Cette romance est basé sur l’univers carcéral et les gangs de prisonniers. Cela m’a fait un peu penser à la série télé : Prison Break mais sans Wentworth Miller et Dominic Purcell.



Knox et North Callaghan sont deux frères condamnés à une peine de prison de 15 ans pour le meurtre d’un homme ayant violé leur cousine. Tout deux font partis du gang de Reid, le plus ancien des prisonniers. Reid les a pris sous son aile à leur arrivée en prison, il y a 8 ans. Ensemble, ils se serrent les coudes afin de survivre dans ce monde de brutes. Lors d’une altercation avec un autre prisonnier, Knox est blessé et envoyé à l’infirmerie. C’est là-bas qu’il va rencontrer la belle infirmière Briar. Malgré sa bestialité, Knox apprend à se faire tout petit devant elle. Et lorsqu’il découvre que d’autres prisonniers complotent pour prendre d’assaut l’infirmerie. Il n’hésite pas à se faire tabasser pour rejoindre Briar et l’à sauver. Peu après sa libération, le couple se retrouve en dehors de la prison. (suite sur leblog)
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Alors que dans le premier tome, elle essaie de rester elle même malgré tout ce qui lui arrive, gardant la tête haute quand elle le peut, cela bascule dans le second tome. Ses espoirs meurent, elle perd espoir souhaitant juste être libre, elle même terrorisée par ce qu'elle est devenue. Ce second volume est un peu moins haletant que le premier mais tout aussi bon du côté psychologique.

Cette série est débordante d'émotion, bien plus que ce à quoi je m'attendais. Davy est touchante, notre vision évolue en même temps que la sienne et l'on s'insurge des injustices dont elle est victime ainsi que de la privation de droit qui touche les porteurs. Quand la nature humaine est poussée dans ses retranchements et quand la différence fait ressortir la cruauté, c'est terrible et pourtant terriblement bien rendu.
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C'est un livre super sur Jacinda qui est une draki ( descendante des dragons)et qui doit cacher ses origines pour être une lycéenne comme les autres. Tout se complique encore plus quand elle fait la connaissance de Will...

Sa mère veut tout décider pour elle en pensant que c'est bien pour elle, mais cela ne plaît pas à la jeune draki: elle se révolte. Malgré ça, la mère de Jacinda l'oblige à quitter le clan de drakis ou elles vivaient.

L'héroine arrivera-t-elle à surmonter le quotidien dur d'une descendante des dragons hors de la sécurité de son clan?

Je le conseille à tout le monde!



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