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Citations de Stephen Chbosky (200)


Certaines personnes aiment parler. D'autres sont nées pour écouter. Quand elles se rencontrent, c'est formidable.
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Et à cet instant-là, je te jure, on était éternels.
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Je me suis dit que dans les films ou les émissions de télé, quand ils parlent de prendre une pause-café, ils feraient mieux de s'offrir une pause-masturbation. Mais bon, ça risquerait de faire baisser leur productivité.
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« N'empêche que j'ai honte, parce que cette nuit, j'ai fait un rêve bizarre. J'étais avec Sam. Et on était nus tous les deux. Et ses jambes étaient étendues des deux côtés du canapé. Et puis, je me suis réveillé. Jamais je m'étais senti aussi bien. Mais je m'en voulais aussi de l'avoir vue toute nue sans sa permission. Je crois que je devrais le dire à Sam, et j'espère que ça nous empêchera pas de nous dire des trucs entre nous, « à demi-mot ». Ça me dirait bien d'avoir une nouvelle amie. Même plus que de sortir avec une fille. »
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Je ne savais pas que les autres pensaient des choses sur moi. Je ne savais pas qu'ils me regardaient.
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On accepte l'amour qu'on croit mériter.
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La folie n’existe pas. Il n’existe que le mal.
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Et quand tu étais petite fille, tu étais tellement en colère que tu croyais pouvoir détruire le monde en fermant les yeux. Mais tu n'as jamais essayé parce que tu ne savais pas où tu vivrais ensuite.
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Je me sens super bien ! Il faut que je m'en souvienne, pour la prochaine fois où j'aurais une semaine atroce. Ca t'es jamais arrivé ? Tu te sens super mal, et puis ça passe sans que tu puisses savoir pourquoi. Quand je me sens super bien comme ça, j'essaye de me rappeler qu'une autre semaine atroce va arriver un de ces jours, pour pas oublier d'emmagasiner autant de détails que je peux, et comme ça, pendant la semaine atroce, je peux me souvenir de ces détails et me dire que je serai mieux bientôt.
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J'ai juste ecoute de la musique, respiré l'air, et je me suis souvenu de trucs. Des trucs comme se promener dans le quartier et regarder les maisons, les pelouses et les arbres tout pleins de couleurs et se dire qu'avoir ca, c'est suffisant parfois.
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Je voulais te dire... au lycee, beaucoup d'eleves detestent leurs parents.
Y en a qui ont ete battus. Y en a qui ont pas tiré le bon numero dans la vie. Y en a qui ont juste ete des trophees que leurs parents pouvaient montrer aux voisins, comme des medailles ou des bons points. Et y en a qui veulent simplement qu'on les laisse se souler en paix. Moi, personnellement, je ne comprends pas toujours papa et maman et des fois, ils me font de la peine, mais je ne peux pas m'empecher de beaucoup les aimer.
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Elle a soulevé la taie d'oreiller, et j'étais là, dans mon nouveau costume, en train de regarder une vieille machine à écrire avec un ruban tout neuf. Il y avait une feuille de papier blanc glissée dans la machine.
Sur cette feuille, Sam a tapé : "Écris sur moi, un de ces jours". Et j'ai tapé une réponse, debout dans sa chambre. Juste : "D'accord"
Et ça m'a fait du bien de savoir que c'étaient les premiers mots que j'écrivais sur ma nouvelle vieille machine à écrire offerte par Sam.
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Le petit David Olson entendit un bruit dans les fourrés. L’espace d’une seconde, il crut que c’était peut-être encore un de ses rêves. Mais non. Il savait bien que non. Il s’obligea à rester éveillé. Malgré les migraines. Il devait y aller ce soir.
Une voiture passa, noyant le brouillard dans la lumière des phares. Le petit David Olson se cacha derrière une boîte aux lettres, alors que du rock’n’roll se déversait de la vieille Ford Mustang. Deux des ados rigolèrent. Beaucoup de gamins étaient incorporés dans l’armée et les délits de conduite en état d’ivresse augmentaient. À en croire son père, du moins.
« David ? » murmura une voix. Tranchante. Un sifflement.
Quelqu’un avait prononcé son nom ? Ou l’avait-il juste entendu dans sa tête ?
« Qui est là ? » demanda-t-il.
Silence.
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"Do you always think this much, Charlie?"
"Is that bad?" I just wanted someone to tell me the truth.
"Not necessarily. It's just that sometimes people use thought to not participate in life."
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On accepte l'amour qu'on croit mériter.
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On accepte que l'amour qu'on croit mériter.
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Je ne sais pas si c'est bien ou non. Je ne sais pas si c'est mieux de rendre tes enfants heureux même s'ils vont pas à la fac. Je ne sais pas si c'est mieux d'être proche de ta fille ou d'être sûr qu'elle a une meilleure vie que toi. J'en sais franchement rien.
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-Charlie, on accepte l'amour qu'on croit mériter.
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"Sam et Patrick m'ont regardé comme les amis savent le faire. Et je les ai regardés. Et je crois qu'ils savaient. Quoi ? Rien de bien précis. Ils savaient, un point c'est tout."
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About half a mile from the tunnel, Sam stopped the car, and I climbed in back. Patrick played the radio really loud so I could hear it, and as we were
approaching the tunnel, I listened to the music and thought about all the things that people have said to me over the past year. And I just thought how great it was to have friends and a family.
As we went into the tunnel I didn't hold up my arms like I was flying. I just let the wind rush over my face. And I started crying and smiling at the same time. Because I couldn't help feeling just how much I loved my aunt Helen for buying me two presents. And how much I wanted the present I bought my mom for my birthday to be really special. And how much I wanted my sister and brother and Sam and Patrick and everyone else to be happy.
But mostly, I was crying because I was suddenly very aware of the fact that it was me standing up in that tunnel with the wind over my face. Not caring
if I saw downtown. Not even thinking about it. Because I was standing in the tunnel. And I was really there. And that was enough to make me feel infinite.
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