Sui Kasai

Ce premier tome me laisse perplexe. J'avais lu de très bons avis sur la série et je suis déçue. Côté dessin, on retrouve un trait à la Kaoru Mori mais en beaucoup moins fouillé. Et côté scénario, cela ressemble pour le moment à une succession de petites escapades pour une logeuse loufoque et déterminée à prendre sa vie en main.

J'attends de voir la suite.
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Un manga composé de plusieurs petites histoires sans aucun intérêt, beaucoup d'incohérences et de mièvrerie... En bref une lecture à deconseiller !

Gisèle Alain, c’est ma petite bouffée d’air, un moment de détente calme et souriant. Je vais encore le redire mais je remercie vraiment Babelio de m’avoir permis de découvrir cette série vraiment charmante. Je ne me lasse pas de Gisèle, ce petit bout de femme de même pas quatorze ans et qui pourtant à bien du mérite et de l’énergie à revendre. Elle est toujours aussi attendrissante et même si la vie lui fait des misères, elle ne perd jamais son sourire et sa bonne humeur. C’est le genre de personnage qui vous apaise, et c’est toujours très agréable de suivre ses petites aventures. Il ne se passe pas vraiment grand-chose, mais cela ne fait rien. Du moins, pour ma part, cela m’est égal. La voir donner toute son énergie pour remplir ses missions, c’est bien suffisant, surtout qu’elle le fait toujours avec son cœur et avec toutes les bonnes intentions du monde. Elle est positive sans être niaise, et c’est le genre d’héroïne assez rare que l’on peut trouver.



Alors bien entendu, on apprend tout de même quelques petites choses. Pourquoi son père est aussi désagréable et méchant avec elle. Comment elle et Eric se sont rencontrés aussi. Mais en soit, ce n’est pas ce qui fait avancer l’histoire. Le départ d’Eric de la maison pourrait cependant être un fil conducteur qui mènerait à une intrigue principale. Je ne sais pas si ça sera le cas, mais il y a quelques indices qui le laissent présager. A voir donc par la suite.



Quant aux différentes histoires qui sont présentent dans le tome j’ai beaucoup aimé la première et la dernière. Le couple qui tient la crêperie était assez drôle, entre l’épouse douce et aimable et son mari ronchon ! Mais Gisèle ne se laisse pas démonter, et elle prouve encore une fois qu’elle sait ce qu’elle veut et qu’elle n’est pas prête à se laisser intimider. La dernière, elle, nous permet de revoir Lucas (l’orphelin qui vivait dans un bateau abandonné). C’était très agréable de le revoir, et j’espère qu’il fera partie des personnages régulier dans les prochains tomes. Son duo avec Gisèle est adorable. Cette dernière ne fait pas cas du manque d’éducation de son ami et se montre très attentionnée avec lui. Encore une grande qualité de la part de notre héroïne. C’est d’ailleurs aussi cela la force du manga, son héroïne aux grandes qualités. Elle a ses petits défauts aussi, bien entendu, mais les sentiments, actions et pensées qu’elle a, véhiculent de très bonnes choses. Et cela fait du bien, tout simplement.

L'histoire de cette jeune fille m'a plutôt bien amusée et je pense lire le second tome sans tarder. Gisèle est devenue logeuse après avoir fui sa famille (on ignore encore pour quelles raisons) et décide de devenir femme à tout faire en plus. Hors la jeune demoiselle, si elle possède une vive intelligence, un sacré caractère et n'a pas froid aux yeux, vient aussi d'une famille aisée dont l'enfance ne lui a pas vraiment permis de se former à une vie plus rude. Ainsi elle n'avais jamais vu une araignée de sa vie avant de réparer une vieille demeure, et ignorait ce qu'était une strip-tease avant de rencontrer une danseuse vedette de cabaret.



Bref dans ce premier tome on suit Gisèle dans ses premières missions, aidée de quelques uns de ses locataires tous plus farfelus les uns que les autres (le sans-employé un peu amoureux d'elle ou encore la danseuse de cabaret toute aussi éprise de sa jeune locataire).



Gisèle Alain est un mangas que j'ai aimé, par ses personnages, son trait de dessin mais aussi son ambiance (l'histoire se situe dans le Londres du début du XXème siècle).



C'est gentillet, drôle et parfois émouvant et j'espère que la suite me plaira tout autant.

Malgré l'épaisseur du tome, je l'ai lu d'une traite.

Ce tome est moins fantaisiste, concentré sur une histoire unique (une mission dans un cirque), et sur des apparitions dramatiques d'Eric.

Les dessins sont toujours aussi magnifiques (certains costumes sont merveilleux !), et on a l'impression de connaître les personnages depuis longtemps, alors qu'on n'en est qu'au tome 4 !

Un manga à part, très touchant !

Cette fois Gisèle nous entraîne dans le monde du cirque, on y rencontre des personnages attachants et touchants.

Eric séparé de Gisèle a une vie bien grise. En espérant une suite moins grise pour eux deux.

Un manga qui parle de l'entraide et de la passion de la vie.

Cela fait un petit moment que le tome deux était sorti mais je n’avais pas eu le temps de replonger dans l’univers de Gisèle Alain. Ce manga est sans contexte une vraie bouffée d’air frais, un petit plaisir qui donne le sourire du début à la fin, sans se prendre la tête. Je ne l’aurais probablement jamais lu si Babelio ne m’en avait pas donné l’occasion… et le second tome est tout aussi agréable à lire que le premier.



Nous ne savions pas grand-chose sur Gisèle mais ce second tome nous permet de pallier ce petit « oubli ». Il était évident que la jeune demoiselle soit issue d’un milieu aisé et la présence de son majordome nous le confirme, dans la première histoire. Nous n’en apprenons pas non plus énormément. Cette première aventure nous montre plus comment Gisèle arrive à comprendre les personnes qui sont autour d’elle avec la naïveté et la candeur qui la caractérisent. C’est tendre, mignon et adorable mais il y a aussi ce côté captivant qui donne un peu plus de profondeur au manga. Les interactions entre les différents personnages sont complexes et l’auteur parvient à les intensifier seulement avec ses illustrations. Les « non-dits » et les silences sont très parlant et j’apprécie beaucoup cette façon de mettre en lumière des relations aussi diverses.



La seconde histoire est de loin celle que j’ai le plus appréciée. On y découvre Gisèle avant son départ de chez son père. On sent tout de suite que la jeune fille ne se sent pas à sa place. Sa sœur Colette est un amour même si elle ne semble pas être aussi sage qu’elle le laisse paraître, ce qui lui donne encore plus de charme. Elle est surtout une figure maternelle pour Gisèle mais aussi la médiatrice entre son père et sa jeune sœur. C’est un personnage qui est à peine effleuré et que j’aimerais beaucoup revoir. A contrario, j’ai un avis très mitigé pour M. Alain. C’est sans doute dû au fait qu’on le rencontre, pour la première fois, dans des circonstances assez « violentes ». Et j’ai beaucoup de mal à me le représenter comme quelqu’un de bien pour le coup…



Mais malgré ce point négatif, on en découvre plus sur Gisèle dans ces quelques pages que dans tout le reste du manga. Que ce soit son caractère, ses espoirs, sa soif de liberté, on la redécouvre sous un jour nouveau. Et pour le coup, je l’apprécie encore ‘avantage. De toute façon, il est difficile de rester de marbre face à ce personnage.



J’ai par contre trouvé le dernier chapitre très long dans le sens où il fait les deux tiers du manga et que le personnage de Guy qui est introduit ici, est un personnage que je trouve antipathique. Sa présence a du « bon » pour Gisèle mais franchement si on ne devait pas le revoir, j’en serais très satisfaite.



Le tout est toujours dans un design élégant et riche. Les expressions des personnages ressortent de façon réalistes ce qui donne un côté plus vrai à l’histoire. Il n’y a pas de version chibi ou de gags rendant le tout plus sérieux sans pour autant être trop austère. J’attends la suite avec impatience.

J'attendais beaucoup de cette série, la couverture annonce beaucoup de choses, je trouve. Finalement, je ne sais pas trop quoi en penser. Certaines choses m'ont déçues, d'autres sont plus appréciables. Les dessins sont sympas, les sentiments sont très bien exprimés, on distingue bien les personnagess les uns des autres et chacun à son style. Eric fait beaucoup penser à Smith dans Bride Stories.

Par contre j'ai trouvé les histoires un peu enfantines même si elles sont quand même sympas. Ce qui m'a le plus gêné, c'est le personnage de Gisèle en lui-même. La 4ème de couverture nous en dit beaucoup mais il faut attendre la dernière page pour en apprendre un tout petit peu sur elle. Dans ce volume , on ne parle pas de sa famille, on sait juste qu'elle est riche et qu'il s'est passé quelque chose. Ce qui m'a le plus dérangé, c'est qu'on a aucune idée de l'âge de Gisèle. Est-elle enfant ? Adolescente ? Jeune adulte ? Aucune idée ! Du coup j'ai eu du mal à me positionner et ça m'a assez dérangé.

En fait ce manga manque totalement de vraisemblance alors que le propos du livre est justement que la jeune fille veut se confronter au monde réel.



Comme à mon habitude, je tenterai quand même le volume 2...


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Je suis un peu déçue par ce troisième tome.



Le tome un et deux mettaient bien en place l'histoire et laissaient entrevoir de futures aventures, ainsi qu'une certaine complicité entre Eric et Gisèle.



Mais ce tome me donne l'impression d'être un tome-transition sans pour autant nous amener quoi que ce soit au niveau de l'intrigue, Gisèle continue ses petits travaux, Eric est parti mais ne vit pas l'aventure qu'il aurait voulu.



J'attends le tome 4 pour voir l'évolution. Sinon les illustrations sont toujours aussi belles, comme dans beaucoup de mangas de Ki-oon!

Gisèle Alain continue donc son bonhomme de chemin en s’appuyant sur les mêmes ingrédients qui ont fait son charme dans les tomes précédents.
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Des dessins superbes et maîtrisés, des épisodes agréables, une série que j'aime décidément beaucoup...


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Ce second tome marque mon attachement à la série et la confirmation que c'est l'une des meilleures séries en cours que je suis actuellement...
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Ce tome 3 est aussi charmant que les deux premiers.

Les personnages sont bien creusés, les situations sont touchantes et poignantes.

Vivement le tome 4 pour voir quel destin attend Gisèle et ses amis !

Un petit manga sympathique qui change des histoires à l'eau de rose. Gisèle est une fille de bonne famille. Propriétaire d'un immeuble, elle loue les appartements s'y trouvant, ce qui lui fait un petit revenu. Elle décide de devenir femme à tout faire. Elle demande l'aide de son voisin, locataire qui a du mal à payer ses loyers.

Gisèle est naïve, avec une gaieté à toute épreuve. Après une enfance dorée, elle veut découvrir tout ce qui l'entoure, ce qui la met dans des situations cocasses ou périlleuses. Mais elle s'en sort toujours avec le sourire. Nous ne savons pas quel âge elle a, mais il me semble qu'elle est très jeune (une quinzaine d'année).

J'ai beaucoup aimé ce petit manga, qui change des classique du genre. L'époque, les personnages forment un cocktail réussi. J'espère que la suite de la série sera aussi réussie.
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La couverture est parvenue d'emblée à m'attirer malgré un titre qui avait plutôt tendance à produire l'effet inverse. Au-delà même de son côté esthétique, c'est la ressemblance de l'héroïne avec Farah - du jeu-de-rôle Tales of Eternia – qui a piqué ma curiosité. Cela m'a amusée et j'ai donc décidé de donner sa chance à ce jeune seinen.



Les dessins sont clairs et soignés, même s'il est arrivé en deux ou trois occasions que le crayonné soit légèrement maladroit (dans les proportions de la tête par rapport au reste du corps ou dans le visage de la petite Emily, par exemple). L'ensemble reste cependant très agréable et les yeux de chat de Gisèle trouvent leur écho dans le premier chapitre.



Les aventures relatées dans ce tome sont courtes et légères. Elles n'ont pas vraiment d'impact et ne s'inscrivent pas (encore ?) dans une trame plus globale. Il s'agit d'un manga « tranches de vie », ne vous attendez donc pas à de grandes révélations. Leur niveau est d'ailleurs assez inégal. Si j'ai parcouru la première d'un doigt léger, l'histoire n'étant pas pénible à suivre, mais pas non plus passionnante, les suivantes ont su davantage retenir mon attention. La dernière était très attendrissante dans son dénouement et les pages finales laissent supposer que nous partirons à la découverte de la famille de Gisèle dans le tome suivant. J'ai bien aimé le concept des « histoires annexes », une sorte de mini conclusion (en une page) pour les personnages secondaires de chaque chapitre – avec un humour encore timide mais bien palpable.



L'héroïne est assez difficile à cerner en elle-même. Elle est pleine de contradictions : elle semble un brin nostalgique de son passé tout en ayant hâte d'aller de l'avant. Elle se montre naïve, impulsive, irréfléchie, sûre d'elle mais manquant par moment de confiance en elle, autoritaire et pourtant complexée par ses origines. Elle apparaît tantôt patiente et généreuse, tantôt prête à sortir les griffes quand le dialogue paraissait encore être la meilleure option... S'agit-il de maladresses de la mangaka ou y a-t-il de vraies explications derrière le phénomène ? Il est encore trop tôt pour se faire une réelle idée.



La lecture est en tout cas restée agréable, et assez persuasive pour me donner envie de lire la suite.
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Gisèle Alain est une petite série bien agréable, sans aspérités mais pas fade pour autant. Les enquêtes s’enchaînent et les personnages commencent à gagner en épaisseur. De plus, les dessins sont charmants à plus d’un titre.
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Ce second tome est particulièrement bien structuré. Si le premier nous avait déjà agréablement surpris, force est de constater qu’il en est de même pour ce deuxième opus. [...] une œuvre de qualité qui enchantera aussi bien les lecteurs plus jeunes que les plus âgés.
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La série se poursuit sur une bonne note avec ce tome qui reprend les ingrédients du premier mais avec l’introduction d’un nouveau personnage qui vient étoffer l’univers créée par la mangaka.
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... un seinen dont les pages filent avec plaisir. Je vous le conseille vivement si vous aimez les histoires bourrés d’humour et de tendresse car c’est un seinen à l’ambiance tant feutrée qu’enjouée, le tout saupoudré d’une ambiance "à la française".
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Née dans une riche famille, Gisèle Alain a quitté les siens pour s'établir comme logeuse dans une pension. Mais cette occupation ne suffit pas à canaliser son énergie débordante et elle décide d'ouvrir un bureau de services en tout genre. Désormais "femme à tout faire", selon ses propres termes, elle accueille ses premiers clients et se charge de tous leurs problèmes : retrouver un chat disparu, emmener une petite fille au jardin botanique, débusquer un petit orphelin qui empêche la construction d'une aire de loisirs, etc. Secondé par Eric, un locataire qui s'acquitte ainsi de ses loyers en retard, la jeune fille démêle les situations les plus inextricables avec entrain et bonne humeur.





Avant de passer aux hostilités, il faut souligner la qualité des dessins de Sui KASAI qui a vraiment le souci des détails et réussit parfaitement à nous emporter dans son univers victorien. Le trait est fin, très travaillé, les tenues sont somptueuses, les paysages et la ville bien rendus. Son héroïne est aussi un atout considérable, elle est fraîche, pimpante, pugnace et très mignonne, ce qui ne gâche rien.

Par contre, pour le reste, il n'y a pas grand chose à sauver. On s'immerge dans un grand bain de mièvrerie où tout est bien qui finit bien. La petite Gisèle, aussi attachante soit-elle, souffre d'un manque de vraisemblance. Trop jeune (ce n'est encore qu'une fillette), trop riche (puisqu'elle a coupé tout lien avec sa famille), elle peine à convaincre malgré d'indéniables qualités et l'intérêt qu'on peut porter aux raisons de sa fuite.

Et puis les histoires ont peu d'intérêt, elles sont niaises et trop vite expédiées. L'auteure voulait frotter son héroïne aux dures réalités du monde mais n'est pas allée jusqu'au bout de son idée et jette son voile rose bonbon sur les évènements les plus graves.

EN bref, c'est charmant mais sans consistance. Dommage!