Sui Kasai

Ce second tome est meilleur que le premier.

Les personnages sont de plus en plus attachants.

Les dessins sont toujours aussi superbes!

Vivement la suite!

un premier tome prometteur, les personnages sont attachants et intrigants. Les différentes histoires sont touchantes avec une pointe d'humour.

Je trouve les dessins superbes.

Je vais tenter le tome 2 sans hésitation!

Merci à Babelio pour l'envoi de ce livre dans le cadre d'une édition spéciale BD de Masse Critique :)

et c'est ainsi que j'ai découvert mon premier manga ...

Je ne peux pas dire que j'ai vraiment accroché à l'histoire assez simpliste ni aux dessins, trop semblables à mon goût aux personnages de dessins animés nippons de l'enfance de ma fille (trop grands yeux, mines mutines ...) ...

Question de culture et d'habitude certainement !

Avant toute chose, j'aimerais d'abord remercier Babelio et les éditions Ki-oon pour cette très jolie découverte liée au tout dernier masse critique. Je ne sais pas si c'est de la chance ou pas, mais depuis que je participe aux masses critiques, je découvre toujours des œuvres surprenantes (il n'y a eu qu'une exception malheureuse à ce jour !), et Gisèle Alain fait aussi partie de cette catégorie. Pourtant, aux premiers abords, je n'attendais pas vraiment quelque chose de spécial de ce manga. L'histoire avait l'air sympathique et décalée mais je ne pensais pas forcément poursuivre les aventures de Gisèle... Et, je l'avoue... j'ai changé d'avis !



Commençons déjà par vous parler du graphisme. Je sais que d'habitude, j'en parle à la fin de mes critiques, mais je vais faire une exception. Tout d'abord à cause de la couverture. C'est ce qui m'avait charmé lors de la première sélection au masse critique, et lorsque j'ai reçu le manga, j'ai été agréablement surprise par la qualité de la jaquette. La plupart des manga ont des jaquettes en papier brillant, lisse avec un côté "plastifié". Ce n'est pas vilain du tout, mais quand vous avez dans les mains un manga dont la couverture est matte et avec un grain de papier légèrement granuleux, cela fait tout de suite la différence. L’œuvre en elle-même parait tout de suite, plus spéciale. C'est un petit détail, oui, mais quand on dévore et respecte les livres comme moi, c'est important, on a tout de suite une autre approche de l’œuvre, d'autant plus que l'histoire de Gisèle se déroule au début du XXème siècle et j'ai trouvé que cela donnait un peu plus d'authenticité. Et puis, on en vient à découvrir les planches. Magnifiques, très stylisées, pleines de détails, avec beaucoup d'utilisation des ombres, des textures. Et encore une fois l’œuvre parait plus riche grâce à cet afflux de dessins. Du coup, je me suis lancée.



Et j'ai découvert Gisèle. Un sacré caractère, des idées bien arrêtées, une naïveté qui contraste avec son côté très adulte, une simplicité aussi alors qu'elle vient d'un milieu aisé. Cet un personnage complexe, drôle, attachant, manipulatrice à ses heures, bonne enfant, avec l'envie d'apprendre et de se dépasser. Et il n'y a pas que le lecteur qui est charmé, les autres personnages qu'elle rencontre le sont tout autant. Et comment les en blâmer ? Gisèle est tellement imprévisible qu'on ne s'attend jamais à ce qu'elle va faire, sans compter son ignorance sur le monde du dehors qui la pousse souvent dans des situations assez rocambolesques. Et malgré la naïveté des histoires qui se succèdent, j'ai beaucoup aimé la voir évoluer, se démener et se voir entourer petit à petit de personnes qu'elle a su charmer. Mais je me demande surtout ce qui l'a conduite à devenir logeuse, et que cache sa famille... Je ne sais pas pourquoi, mais je sens que les tomes suivants vont perdre peu à peu de cette naïveté sans pour autant perdre de leur qualité. Et j'ai envie d'en savoir plus sur Gisèle, Eric, Emily, Lucas et les autres. C'est donc avec plaisir que je poursuivrais l'aventure, car j'ai envie de lire d'avantage d'histoires qui me laisseront le sourire aux lèvres, et c'est si rare de nos jours que je ne vais pas m'en priver.

Un bon début que ce premier tome, qui donne envie de découvrir la suite de l'histoire. Gisèle Alain, une toute jeune fille, qui semble issue d'une famille aisée, décide de devenir femme à tout faire. La première de ses missions consiste à retrouver un chat. L'histoire est simple au départ mais permet de découvrir les personnages. Gisèle est encore très jeune, très innocente, et découvre la vie (elle ne sait pas ce qu'est le strip tease et n'avait jamais vu d'araignée en dehors de celles représentées dans les encyclopédies !). Cependant, elle a un sacré caractère, et un petit brin de folie qui la rendent très attachante ! J'ai bien aimé ce personnage, ainsi qu'Eric, l'éternel râleur qui veille sur Gisèle. Au fur et à mesure de l'histoire, on est amené à se poser des questions sur Gisèle : pourquoi ne vit-elle plus chez ses parents ? Qu'a-t-il bien pu se passer dans sa vie ? L'histoire en devient ainsi plus riche. J'espère que le second tome nous révèlera de nouveaux éléments de son histoire personnelle !

J'ajoute enfin que les illustrations sont soignées, les expressions sur les visages des personnages sont justes, les décors et les costumes 19eme sont très sympas ! Un bon manga, dont j'attend maintenant la suite avec impatience.

Gisèle Alain, jeune héritière d’une famille noble en rupture avec les siens, s’est installée comme logeuse dans une pension. C’est là qu’elle décide de monter son agence de femme à tout faire. Les sollicitations commencent à arriver et sont aussi nombreuses que variées : chat perdu à retrouver, maison à nettoyer du sol au plafond ou encore garde d’enfant. Pas facile pour la jeune femme de mener de front toutes ses missions mais sa bonne humeur et sa vitalité restent ses meilleures armes.



Gisèle Alain incarne une certaine forme de liberté et de joie de vivre. Elle est pleine de peps, de bonne volonté et d’optimisme. Sa naïveté la rend parfois touchante et fragile, son caractère entier peut lui jouer des tours. Mais plus que tout, Gisèle Alain m’a fait bailler d’ennui. Ce que j’ai écrit dans les lignes précédentes pourrait servir pour une quatrième de couv mais ça ne ressemble en rien à mes impressions de lecture. Mon Dieu que ce manga est cul-cul la praline !



Dans un décor de carton pâte censé reconstituer un Paris Victorien du début du 20ème siècle (Paris à cause du nom de l’héroïne et Victorien parce que certains bâtiments et vêtements sont typiquement anglais), cette gamine enchaîne des historiettes sans intérêt. Un pauvre chat à sauver des griffes d’un savant fou (mais en fait, pas de panique, le savant est un gentil monsieur), un garçon sauvage à apprivoiser (tout est bien qui finit bien, forcément) ou encore une stripteaseuse à consoler (à la limite là, ça pourrait m’intéresser, mais finalement non), ne cherchez plus, Gisèle s’occupe de tout. Ça dégouline de bons sentiments et la mièvrerie guette à chaque coin de page. Bref, j’ai trouvé ça niais, tout simplement. En fait, chaque chapitre étant une petite nouvelle indépendante de ce qui suit et ce qui précède, cela donne à l’ensemble une trop grande impression de légèreté. Tellement léger qu’à la fin il n’en reste rien. Aussi vite lu qu’oublié, quoi. Je veux bien accepter que ce premier volume serve uniquement à faire les présentations avec l’héroïne et son univers mais le problème c’est que ça ne donne pas envie de connaître la suite.



Seul point positif, le dessin est très sympa, précis et détaillé. Malheureusement, un beau dessin ne fait pas une bonne histoire, ce serait trop facile.



Il est très rare que je referme un livre en me disant que j’ai perdu mon temps mais malheureusement, c’est ici le cas. Pour autant, ne vous contentez pas de mon avis pas franchement positif. Beaucoup de lecteurs ont apprécié les aventures de Gisèle et attendent la suite avec impatience. La série connaît d’ailleurs un beau succès au Japon où, pour l’instant, trois volumes sont parus.
Lien : http://litterature-a-blog.bl..

Sans être un manga d’exception, Gisèle Alain a cette petite saveur douce et ce charme désuet qui en font une lecture des plus plaisantes et apaisantes.
Lien : http://www.bdgest.com/critiq..

Pour le moment, je trouve cette série accrocheuse. Une jeune fille vivant au XIXe siècle, noble, par bien des points innocentes, qui cherche à être indépendante et se montre souvent téméraire. Certains éléments d'intrigue se mettent en place, petit à petit : une histoire d'amour avec un garçon plus âgé, un passé qui l'oppose à sa famille... Ce manga semble viser les petites histoires quotidiennes. J'attends de lire les tomes suivants pour voir si je poursuis la lecture de cette série.

Fille de bonne famille en rupture avec les siens, Gisèle Alain tient une pension. Et devient femme à tout faire, en compagnie d'Eric, qui paye ainsi ses arriérés de loyer.

De la recherche d'un chat aux tractations avec les notables de la ville, elle accepte tout (tant que ce n'est pas délictueux).

Pas très réaliste (la jeune fille a de l'argent malgré la rupture avec sa famille, elle est très jeune...), d'un humour discret (ah le décalage entre la vraie vie et la vie de château...), cette jeune fille décidée devrait séduire un lectorat lui aussi composé de jeunes filles.

Le graphisme est réaliste sans être froid, il évite les caricatures. C'est un manga qui se laisse lire avec plaisir et légèreté.

Un simple coup d'œil sur la couverture nous permet déjà de deviner le public auquel il est destiné : de toute évidence, les filles.

Le décor, les habits et le contexte, nous donne une idée de l'époque et du lieu : au début du XXe siècle, très probablement en Europe. Si l'on pousse l'analyse jusqu'au bout, le nom de l'héroïne sonne quand même un peu français (si si) et l'on peut aisément penser que l'histoire se déroule en France.

Gisèle Alain est une logeuse qui s'ennuie et cherche du travail pour passer le temps : elle s'auto-proclame alors "Femme à tout faire", les menus services rendus allant de la recherche de chat perdu, au nettoyage d'une maison abandonnée, en passant par le délogement d'un orphelin vagabond. Mais Gisèle ne compte pas rendre service sans y mettre son grain de sel, et finit par faire ce qu'elle pense être le mieux.

C'est assez frais, ça divertit une heure. Ma critique peut sembler assez sèche et froide mais malgré le joli minois de l'héroïne et les dessins plaisants, les histoires sont trop creuses et manquent d'intérêt. C'est dommage car finalement l'auteur arrive tout de même à nous rendre tous ses personnages fort sympathiques. Il arrive même à me tenter de lire le prochain tome, avec l'espoir d'y trouver un peu plus qu'une simple alternative d'un sudoku, dans la salle d'attente d'un médecin.