Citations de Sylvain Cordurié (149)
Le mensonge est une tare qui touche les hommes ou les esprits malins.
-N'éprouvez vous pas un sentiment de haine pour ceux qui vous ont volé votre vie?
- Ma vie... Si vous saviez comme elle était morne. En la perdant, j'ai gagné l'éternité, une perception élargie du monde, des sensations plus intenses...
- Et une soif inextinguible qui vous condamne à commettre des crimes barbares. Cela ne vous affecte pas?
- Le remord m'est étranger à présent. Et contrairement à vous, le vide de mon existence a cédé la place à l'accomplissement... à un sentiment de plénitude.
La seule chose qui brille à l'instant, c'est ton ego, mon garçon. Tu ne vois pas la peinture. Tu la penses... comme tout emputé du sensible qui s'en remet à l'intellect pour comprendre une oeuvre. Et qui en profite pour se valoriser au passage.
Ne vous êtes vous jamais interrogé sur la spécificité de votre espèce? Sur sa capacité à passer les obstacles qui ont fait trébucher tant d'autres avant elle? Sur sa faculté à s'adapter pour survivre, à modeler le monde à son image?
- Le bonheur est fragile destructible... mais c'est une réalité avec laquelle ils composent.
- Ils vont de l'avant, goûtent chaque instant, chaque être aimé.
- Je me demande souvent... si je n'avais pas passé tant d'années à sonder les noirceur de l'âme humaine, aurais-je suivi cette voie ?
- "Question odieuse !" répondriez-vous Watson. Car la réponse s'impose d'elle-même.
- Holmes : Je ne suis pas homme à me laisser gouverner par les sentiments. Même si je le désirais, il serait trop tard pour changer.
Un monarque est indissociable de sa terre. Tous deux partagent les conséquences des choix qui furent faits autrefois.
Il est stupide de mener une bataille perdue d'avance.
Et une bourse qui ne sera pas perdue pour tout le monde !
Il ne fallait jamais prier les Dieux, sauf à courir le risque d'être exaucé.
Le plus grand fléau de la terre, c’est la guerre ;
Le plus grand de tous les bienfaits, c’est la paix.
Ni le pavot, ni la mandragore, ni tous les sirops narcotiques du monde ne te rendront jamais par médecine ce doux sommeil que tu avais hier.
Vers deux heures, on me mit au bain, et je me crus servi par les Walkyries, filles d'Odin, qui voulaient m'élever à l'immortalité en dépouillant peu à peu mon corps de ce qu'il avait d'impur.
Nous effectuons chaque jour un voyage dans le temps à la conquête de notre destinée.
Rien n'est petit pour un grand esprit.
Le vampire répand la nouvelle comme une trainée de sang.
Un homme de lettres a écrit que sans indulgence, l'amitié ne peut exister. Et qu'aimer, c'est accepter l'autre avec son cortège de défauts.
S'il avait connu Saltupott, il aurait sans doute modéré son propos.
Je serais malhonnête si je ne m'avouais pas un chouïa fébrile. Ce n'est pas tant l'issue de la bataille qui m'inquiète. Non... C'est cette interrogation qui monte en moi depuis cinq minutes... Après, on fait quoi?
-Nous sommes passés près de la catastrophe trop de fois. Il nous faut agir à un tout autre niveau. attaquer le mal à la racine.
-Peu importe le nombre de victimes?
-Toute victoire a un prix. Plus elle est grande, plus son coût est élevé.
-La sorcellerie et moi, ça fait deux! C'est bon pour le pisteur, ça!
-Nous lui devons la découverte des armes m'a-t-on dit... Comment les a-t-il détectées?
-De la même manière qu'il devine votre mépris : facilement.