Sylvia Douyé

J'avais été légèrement déçue par le premier tome de la série (l'histoire avançait vraiment trop rapidement à mon goût).



Certes, le deuxième tome de la série avance rapidement aussi, mais j’ai été surprise par les rebondissements concernant le coupable, celui qui change les personnages et animaux fantastiques en statues de pierre. Les personnages secondaires ont été davantage développés et ont eu une place plus centrale dans le récit, pour mon plus grand bonheur. L’autrice a bien rectifié le tir, j’ai beaucoup aimé cette suite !



P.S : Hagrid ne fait toujours pas partie du corps enseignant, c’est si dommage…
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J’ai trouvé l’intrigue trop rapide : on est projeté dans l’histoire dès l’ouverture du livre (ce qui en soit n’est pas quelque chose de mauvais). Le problème étant que les personnages ne sont pas tous présentés, et ceux qui sont présentés ne le sont que partiellement. Quelques pages après le début on se retrouve déjà face à l’élément perturbateur et la recherche de sa résolution. Tout est amené trop rapidement, j’aurais aimé que l’histoire se déroule lentement quitte à avoir un volume plus conséquent à lire.



Les illustrations sont très belles et le travail des couleurs est magnifique. Cela permet m’a permis de moins voir les défauts du récit, car j’avais quelque chose à quoi m’accrocher visuellement.



J’aurais aimé en savoir plus sur les personnages, principaux et secondaires, car je vous avoue que je n’ai même pas retenu les noms de tout le monde (à la décharge de l’autrice, je suis nulle pour retenir les noms). Il aurait été intéressant d’en savoir plus sur leur background notamment, car le garçon aux cheveux noirs a beau être le beau gosse mystérieux, ça ne suffit pas pour que je renonce à vouloir en savoir davantage sur lui.



J’ai aimé le côté « questionnement personnel » de la part du personnage éponyme, sa remise en question durant l’histoire. Le rebondissement final m’a beaucoup plu ! J’espère la retrouver là où je l’ai laissée en ouvrant le tome 2.



J’ai emprunté la suite, j’espère être agréablement surprise concernant les points que j’ai trouvés négatifs. Dans tous les cas, ça sera un plaisir de retrouver le caractère de certains personnages, et les jolies illustrations.



P.S : En tant que Potterhead, je sens qu’il manque Hagrid dans le corps enseignant
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J'ai trouvé ce tome moins prenant que le précédent au niveau de l'histoire. Le lecteur n'a pas encore vraiment eu le temps de bien s'attacher aux personnages, alors quand il leur arrive quelque chose... on n'est pas forcément très touché.

Au niveau des illustrations et de la couleur, c'est toujours très joli, mais par certains détails, j'avais préféré le travail sur le tome précédent.

Après, cela reste une lecture sympathique pour les jeunes (à partir de 9-10 ans), avec un bel univers fantastique et original, et des créatures que l'on ne retrouve pas dans tous les livres, cette fois encore.

Sorceline est une jeune fille qui rêve de devenir cryptologue, c’est à dire spécialiste des animaux fantastiques. Elle participe, avec cinq autres adolescents, à un stage d’été auprès du célèbre Archibald Balzar. Très rapidement des événements viennent perturber le déroulement de ce séjour qui se transforme en véritable enquête fantastique sur fond de magie et de mystère.



Un jour, je serai fantasticologue est un premier tome introductif d’une série qui a tout pour plaire aux jeunes amateurs d’aventures magiques et de sorciers en tout genre. Si les personnages ne sont pas très originaux, c’est le mystère qui plane autour d’eux qui est intéressant et bien développé. Je ne suis pas super fan des très grands yeux qui mangent les visages mais je dois dire que j’aime beaucoup l’ambiance qui se dégage de certaines planches et que les dessins de paysages et d’animaux m’ont particulièrement charmé. Paola Antista a un coup de crayon original qui s’accorde parfaitement à l’histoire. Alors bien sûr, on ne pourra que penser à l’univers de J.K. Rowling en parcourant la bande dessinée, mais ça ne gâche pas le plaisir de la lecture. Le scénario de Sylvia Douyé fait la part belle aux mystères ce qui ne laisse présager que du bon pour la suite.
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Sans commentaire. Je pensais qu'il s'agissait d'une BD humour sur le fait de râler et en fait il s'agit d'une BD moralisatrice qui t'apprend à comment relativiser et ne plus râler.



Déception.

Retour dans le monde fantastique de Sorceline, jeune fille qui apprend à soigner des monstres sur l'île de Vorn avec en parallèle la découverte de son identité...

Dans ce tome 2, on découvre un peu plus les personnages qui composent le groupe de stagiaire...

Comme pour le tome 1, ce tome 2 est un envoûtement aussi bien visuellement qu'au niveau de l'histoire.

Vivement le tome 3 !

Un tome 2 à la hauteur du premier, qui confirme la qualité de cette nouvelle série BD jeunesse!



Mélangeant animaux fantastiques, enquête policière et apprentissage scolaire, ce deuxième tome apporte des réponses aux questions du premier... mais pas TOUTES les réponses!



Les graphismes sont très réussis, à la fois sombres pour mettre en place une ambiance étrange et inquiétante, tout en restant assez colorés pour être attractifs pour les enfants et ados.



Une série à découvrir, à lire et à offrir à partir de 8 ans et jusqu'à 14-15 ans sans problème.
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On prend le pas d’une histoire fantastique et mystérieuse. Sorceline est une jeune étudiante en cryptozoologie, soit l’étude des créatures légendaires. Elle est intelligente, perspicace et déterminée! Pleine de ressources, l’aventure ne manque pas de piquant et d’intrigue en sa présence. Ce premier tome a des airs d’enquête policière et de conte fantastique et merveilleux ampli de créatures extraordinaires.

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C’est une lecture agréable et la frustration me monte au nez de ne pas connaître la suite! Il me tarde de lire le tome 2!

Les dessins sont magnifiques ! J’aime énormément le style de Paola Antista. Il est à la fois très réaliste et très inventif. Les couleurs sont vives et soulignent bien les situations dans lesquels se retrouvent les personnages.



Il y a beaucoup d’actions. On ne s’ennuie pas une seconde ! C’est une BD vraiment haletante même si on comprend très vite où veut en venir l’auteur.



Les personnages sont très agréables et très ancrés dans le réel. C’est stupéfiant car l’histoire est vraiment dans le registre du merveilleux !



MAIS



C’est un copier-coller d’Harry Potter ! Aucune originalité dans cette histoire. Je suis vraiment très déçue !



Bilan



Cette BD intéressera sûrement les jeunes mais moi, je ne la recommande pas. Si vous voulez du merveilleux et des animaux mythologiques, relisez la saga Harry Potter !
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Avec un très joli graphisme, la découverte de Sorceline est très prometteur puisque nous mettons les pieds dans un monde fantastique qui est très agréable à arpenter, un univers immersif à la jonction entre Harry Potter, les Animaux Fantastiques et Miss Peregrine. C’est autant ingrédients qui font de ce premier tome quelque chose de prenant et d’intéressant et un régal pour les yeux. Néanmoins, les personnages clichés et la narration parfois expéditive nous donne parfois l’impression d’avoir une histoire trop survolée qui manque de base et d’apaisement.
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Amour,amitié, humour, une bande-dessiné vraiment marrante.

Je la conseille.

... comme ce regrettable étron, fruit d'une production collective en masse de BD typée humour à Vents d'Ouest qui a plutôt mal tourné (et même très, très mal, maintenant que je revois la couverture). Après avoir fait "Le livre de la drague", "Le guide du sexe", "Le guide de la sexualité", et "Le guide des fantasmes"*, Goupil et Douyé s'attaquent aux enfants, ou plutôt devrais-je dire vu le niveau intellectuel de ce qui nous est présenté prankent les kikous en leur faisant croire qu'ils achètent une BD d'humour. Spoil : sa tourn mal.

Doux Jésus. Le petit consommateur de 13 ans que je suis alors n'est pas exigeant, mais voit clairement que s'il a déjà lu un Guide en BD Junior de plutôt bonne facture, celui-ci reprend tous ses défauts d'une main tandis que de l'autre il remue allègrement sa quéquette pour asperger toute subtilité (et au passage salir son pantalon). J'aimerais vous dire combien les images de la quatrième de couverture relèvent des pires moments de "Boulard" et du "Petit Spirou" réunis, à quel point un bon tiers des bêtises, éculées, sont d'un degré proche du zéro absolu, combien les personnages en rajoutent juste pour saborder les vannes qui autrement auraient pu marcher, jusqu'où le côté djeuns et caricatural vide de toute substance le moindre de ses protagonistes. J'aimerais vous dire comme le vocabulaire traîne dans la boue tout semblant de vraisemblance (du "Grrr !" et du "Help !" en veux-tu en voilà), ou qu'on retrouve 200 fois le mot "bêtises" sans jamais que les auteurs soient en mesure de trouver un synonyme. J'aimerais enfin vous dire la quantité astronomique d'humour facile concentré en moins de 50 pages, et l'échec absolu des rares brindilles tentant de parvenir à dissimuler l'énorme tas de stupidité qui roupille tranquillement derrière.

Mais je vais rester bon seigneur et rendre à César ce qu'il a piqué à sa grande sœur : on reste malgré tout loins d'un ratage total. Certaines idées fonctionnent (je sais que c'est en grande partie subjectif, mais l'humour est avant tout ça) en matière de dynamique et d'originalité, et on ne peut s'empêcher d'avoir un sourire de temps à autre. Le dessin, s'il est lisse et fait des caricatures basiques et convenues, n'en reste pas moins porteur d'une touche de modernité (encore que je pense que tout ça est davantage dû à l'encrage) ; enfin, certains gags vulgaires en décalage avec un reste très aseptisé créent la surprise, et donc le rire.

Malgré tout, ce n'est pas ces quelques bons traits d'esprit qui va sauver l'ensemble, et on ressort davantage avec l'impression de s'être fait sucer le cerveau par les abominations de Yoh-Vombis que d'avoir passé un bon moment. Au lieu d'écrire des guides juniors des bêtises à ne pas faire, on ferait mieux de lancer un guide senior des BD à ne pas dessiner.



*Enfin, ce ne sont pas les plus mauvais élèves, notamment au vu des éditions Jungle et de leur double plagiat "Comment se débarrasser des sales cons au boulot" et "Comment s'envoyer en l'air sans se faire chier", que je n'ai Dieu merci fait qu'effleurer. C'est tellement beauf que ça ne fait même plus rire. Mais si, c'est possible.

Sorceline est une jeune fille passionnée par les animaux fantastiques. Elle a décroché un stage auprès d’un spécialiste, ainsi que d’autres jeunes avec elle. Mais dès le 1er jour, une méduse inconsciente est retrouvée et l’une de leur camarade disparaît !



Sorceline et ses nouveaux amis doivent à la fois mener l’enquête et s’occuper des animaux fantastiques qui tombent soudainement malades.





J’ai été séduite par la couverture et j’ai décoré ce 1er tome. L’univers est onirique et poétique. Vraiment, j’ai adoré le dessin. L’histoire est plus complexe qu’il n’y paraît, plus dure aussi. J’ai regretté que certains détails soient trop rapides (la 1ere disparition arrive avant qu’on puisse s’attacher aux personnages), la mise en place aussi, ainsi que le début d’un triangle amoureux.



Malgré ces détails, j’ai passé un agréable moment, je suis curieuse de lire la suite, en espérant me régaler tout autant !




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Emprunté à la médiathèque pour voir, bien que la 1ère de couverture donnait déjà le ton, cette bande dessinée est une horreur de superficialité...

Des jeunes filles riches, dans une école de riches, qui ne pensent qu'au shopping ou presque (seule le personnage de la jumelle sort du lot). L'héroïne, Marie-Lune, ne veut pas dévoiler son terrible secret : son père a fait fortune dans le papier toilette.

Pour la fille de neuf ans, c'est "pas mal"...

Des dessins colorés et vifs, une héroïne riche et dépensière dont on envie le quotidien et des gags amusants, voila déjà trois bonnes raisons d'avoir envie de découvrir la bande-dessinée Marie-Lune. Mais c'est aussi l'ambiance girly et les thèmes empruntés à la chick-lit qui séduiront les lecteurs car il est surtout question d'amitié, d'amour et de mode dans les aventures que vit Marie-Lune, héroïne complètement décalée qui n'a pas du tout les pieds sur terre et ignore tout de la valeur de l'argent.



L'humour est la qualité principale de cette BD qui joue aussi bien sur des personnages haut en couleur que les quiproquos et jeux de mots. le ton est léger et l'histoire pousse au maximum le côté extrême de la superficialité de Marie-Lune et sa meilleure amie Anne So auquel s'oppose la soeur jumelle de Marie-Lune, Ka. Des personnages excentriques qui dans tous les cas m'ont souvent fait sourire tellement ils sont « énormes » !



Côté histoire, Sylvia Douyé mêle des gags d'une page à une intrigue au long cours. Chaque tome est ainsi le théâtre d'une problématique. Marie-Lune est également une série qui nous présente le quotidien une ado riche à millions mais tendre et terriblement attachante ! Côté dessin, j'ai bien aimé le style « manga » d'Yllya et les couleurs acidulées.
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Le sixième tome des aventures de Marie-Lune poursuit sa veine comique, de détente et de bonne humeur tout en offrant à son héroïne une très belle évolution !



J'ai beaucoup aimé ce tome, mon préféré sur les trois lut. Je dois dire être surprise de la simplicité avec laquelle j'entre dans l'histoire malgré le fait d'avoir loupé tous les opus impairs. J'ai manqué le cinquième tome et je comprends quand même l'intrigue – le fil rouge – de celui-ci en dépit de ses références à l'opus précédent. Ici, Marie-Lune et sa sœur apprennent à vivre par elles-mêmes, la faillite de leur père leur ôte toute fortune. Et si Ka s'en sort bien, c'est une dure épreuve pour Marie-Lune. À cela s'ajoute les problèmes de cœurs, la mode, l'amitié et vous obtenez un cocktail vitaminé, drôle et piquant, un vrai régal.



Les planches se succèdent à une vitesse folle, on aime l'humour varié dont fait preuve le scénario ; les rebondissements sont toujours aussi amusants et la fin suggère une belle histoire sur le point de se concrétiser. Le fil rouge se voit mêler de petites aventures, de tracas quotidien et purement féminin, toujours avec fraîcheur et le sourire. Une fois la bande dessinée commencée, impossible de vous arrêter, les personnages tout comme l'ambiance girly vous pousse à toujours tourner les pages.



Le scénario est captivant et les mots employés sont soignés et fluides. Ils s'enchaînent facilement, ils sont simples et permettent de cerner la psychologie des protagonistes rien qu'en lisant les répliques. On aime ces répliques cinglantes, ces quiproquos, ces jeux de mots et ces piques qui nous font rire ; j'apprécie également cette « philosophie » qui s'installe, Marie-Lune grandi et évolue, elle devient plus sage, moins capricieuse. C'est une héroïne véritablement attachante, pleine de vie et d'idées, elle est égale à elle-même avec cependant plus de maturité. J'ai beaucoup d'affection pour cette héroïne loin du cliché de la fashion victime idiote, elle en est même l'opposée.



Les autres personnages sont tout aussi hauts en couleur, je pense à Ka, qui reste une sœur géniale et sympathique à voir, très proche de Marie-Lune. La meilleure amie Anne-So est merveilleuse et d'une bonne humeur communicative, j'adore sa personnalité. Pénélope, la demi-soeur est toujours aussi agaçante, les parents sont tout aussi loufoques, les autres amies de Marie-Lune m'ont énormément fait rire dans ce tome. Ils sont humains, complètement déjantés, amusants à voir, bref, ils nous marquent !



Les illustrations sont très jolies et girly. Les dessins sont propres à Yllya, très girly, épuré et sympathique. J'adore le design des protagonistes, les objets et les lieux sont aisément reconnaissables, les vêtements sont absolument merveilleux à voir. La colorisation est très belle à regarder dans le sens où les couleurs sont pures, elles s'harmonisent, les teintes sonnent très girly et donnent le ton de la bande dessinée : une belle note de fraîcheur, de vitamine et de bonne humeur.



En conclusion, ce sixième opus offre une nouvelle fois une bonne dose de joie et de rire. Les gags se succèdent sans être redondant et en proposant un humour varié et sympathique. Le fil rouge est bien exploité grâce à la personnalité décalée de chaque protagoniste, au scénario drôle et aux mots de Douyé. L'ambiance mode, chick-lit et girly est très bien rendue avec Marie-Lune, ses amies et ses illustrations colorées et agréables à voir. Un coup de cœur pour tous les amoureux de ce genre, cette série est idéale pour se détendre !

se livre est cool il me fait marré sur certain point ... :)

alyssa

Ce premier tome pose les bases d'un univers girly, très orienté chick-lit avec ses thèmes centrés sur l'amitié, l'amour, la mode. C'est frais et divertissant, un vrai régal, même si je reconnais quelques petites faiblesses... ces dernières étant pardonnables facilement, ayant lu d'autres tomes (le 2, le 4 et le 6), je sais que ces problèmes sont largement résolus par la suite !



Impossible de se priver de la joie de vivre et de l'humour singulier de cette héroïne franchement sympathique ! Sa famille et ses amis sont tout aussi haut en couleurs, le loufoque côtoie les quiproquos ou les jeux de mots. On a un petit côté décalé fortement attachant, l'univers est plaisant, c'est une excellente série pour toutes les filles désireuses de s'amuser autour de la mode.



L'humour est bien dosé, même s'il s'affine au fil de la série. Le texte est d'une grande fluidité, simple et pourtant bien maîtrisé, comme l'atteste la diversité dans l'humour (du simple calembour au cynisme de l'humour noir). Les dessins sont sympathiques, quoique peu maîtrisé, c'est dingue de voir à quel point le dessin s'est affiné au fil des aventures de Marie-Lune. Si le style est singulier et m'a de suite enchantée, j'avoue avoir été déroutée par le trait encore hésitant. Toutefois, la colorisation reste pop et acidulé, girly et chic, un vrai régal pour les yeux. Je rassure ceux et celles qui souhaiteraient découvrir cette série, les dessins restent très beaux, agréables et le character design est fantastique.



Les personnages sont super déjantés, j'adore Marie-Lune et sa sœur Ka, elles sont jumelles et si différentes, j'aime leur relation et leur personnalité. Anne-So est une meilleure amie si adorable. En somme, on adore suivre ces protagonistes, ils nous font bien rire !



En somme, ce premier tome est une belle introduction à l'univers totalement décalé, girly et féminin de Marie-Lune, une jeune fille attachante, forte et sympathique. L'ambiance est clairement à la détente, à l'amusement, on rit, on se change les idées en compagnie de personnages loufoques et de situations décalées. Le texte est fluide et les dessins sont propres à la série, offrant un beau visuel au lecteur. Ce « Je dépense donc je suis » est la philosophie de vie de Marie-Lune, et on adopte cette fashion victime de suite.

Un quatrième tome tout aussi frais, girly et drôle. J'admets que même sans avoir lu le troisième tome, l'on se repère facilement et l'on prend très vite plaisir devant les facéties de Marie-Lune et de ses amis.



Une histoire découpée en plusieurs gags, chaque page a son lot de rires et de sourires. Comme pour le tome deux, il existe un fil rouge. Cette fois-ci, nous rencontrons la mère de Marie-Lune ainsi que sa demi-sœur, une petite peste tout aussi fashion victime qu'elle. De plus, elles sont amoureuses du même garçon, celui que nous avons rencontré en deuxième tome. Rien ne va plus dans la famille de Marie-Lune, elle est éloignée de ses amis, elle semble seule. Quoiqu'elle semble relever le défi haut la main.



En effet, malgré les difficultés, elle ne se laisse pas abattre et son humour tantôt cinglant tantôt naïf nous conduit à apprécier ces nouveaux quiproquos et situations gênantes. L'humour est toujours aussi présent, sous différentes formes, mais il est encore mieux travaillés, on sent une réelle évolution de ce côté. Tout ne tourne pas autour de la mode, la famille et ses imbroglios se jettent dans la partie pour nous plus grand plaisir. Une fois entrée dans l'histoire, on en sort le livre terminé, c'est idéal pour la détente et pour se changer les idées.



Le texte est soigné, les répliques sonnent juste, elles sont naturelles et permettent de mieux cerner les protagonistes que nous voyons devant nous. Les mots sont bien choisis, le style est simple et efficace, il y a de quoi être amusé plus d'une fois devant l'humour vu à la sauce Marie-Lune. Par ailleurs, j'adore l'emploi du vocabulaire de la mode, tourné légèrement en dérision du côté des marques, ça m'amuse énormément.



Il faut dire que nous avons ici une héroïne hors du commun. Elle est loin d'être la fashion victime superficielle, elle est pleine de vie, sympathique et intelligente, ça change des clichés et c'est tant mieux. J'ai beaucoup d'affection pour elle et sa sœur Ka, une jeune fille gentille et atypique. C'est une sœur plus simple, mais tout aussi intelligente et drôle. Pénélope est insupportable, Anne-So est trop adorable, son histoire m'a beaucoup plût et fait rire. Les parents sont tout aussi déjantés et amusants, c'est une pléiade de personnages idéaux pour passer un très bon moment de détente.



Les illustrations sont très jolies. Les dessins sont dans un style bien particulier, charmant, simple et efficace, puisque les lieux sont reconnaissables, le character design permet une identification rapide. Les objets sont soignés, mais ce qui est le plus formidable, ce sont les vêtements, certaines tenues sont réellement très jolies. Les couleurs sont quant à elles splendides ; elles participent à la création de cet univers pop, survitaminé et girly sans pour autant être agressives. Les teintes se fondent avec les lignes, c'est naturel et plein de vie.



En conclusion, ce quatrième est encore plus drôle que le deuxième. Les personnages évoluent, on le voit par cette mise en valeur de la famille ; les relations entre les différents protagonistes de l'univers sont mises à rude épreuve par l'apparition de Pénélope, de la mère de Ka et Marie-Lune, mais aussi par ce déménagement vers New York. L'humour reste l'arme principale de nos héroïnes, les quiproquos, les situations gênantes, les répliques cinglantes, la naïveté, tout peut nous faire rire. Le texte comme les illustrations crée un monde très fille, branché mode sans oublier une bonne dose de pop, on ne s'y ennuie pas tant c'est bien vu pour se détendre.
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C’est léger, rigolo, souvent vrai et somme toute, réconfortant ;-) Ce guide part de l’observation du couple, l’homme avec tous ses défauts, je veux dire, tous ses traits caractéristiques ;-) et la femme, qui rame pour en tirer quelque chose. Les auteurs ont bien restitué la réalité des couples et le trait de crayon colle bien à l’histoire. C’est coloré, plein de gaieté.
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