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Critiques de Taylor Jenkins Reid (801)
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Je peux dire que je fais partie de la team qui ont vraiment aimé ce livre. J’ai passé un super moment. L’histoire d’Evelyn Hugo née cubaine va tout faire pour être une star de cinéma américain quitte à renoncer à ses origines. On y trouve le féminisme, le sexisme mais également la mort, homosexualité. Évelyne est attachante mais tout aussi complexe avec du caractère ,elle sait ce qu’il veut. Ce fut une très belle lecture.

Monique Grant est journaliste. Elle est appelé par sa directrice ce matin. Évelyne Hugo veux Monique chez elle pour un article et uniquement Monique et personne d’autre. Elle va découvrir qu’Évelyne Hugo veut qu’elle écrive sa biographie. Elle n’est pas au bout de ses surprises.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Immersion derrière les paillettes d'Hollywood



L'icône Evelyn Hugo, immense actrice et modèle de beauté au passé sulfureux, aujourd'hui âgée de 79 ans, est prête à donner une interview exclusive au journal Vivant. Sa seule exigence, elle veut que ce soit avec Monique Grant, fraîche recrue qui n'a pas eu le temps de faire ses preuves dans le milieu. Pourquoi elle ? Et sera-t-elle à la hauteur face à cette reine du cinéma ?



J'étais hyper intriguée par ce roman qui semblait faire l'unanimité par ici ! Le risque est, parfois, d'être déçue et youpi ce ne fût pas du tout le cas ici ! J'ai passé une excellente lecture ! Ce n'est pas un coup de cœur car, pas assez d'émotions pour moi, mais l'ambiance est top.



J'étais vraiment à fond dans les histoires d'amour et de gloire de cette actrice. Et chaque retour au présent me surprenait, tellement j'étais partie dans ces villas hollywoodiennes et autres cérémonies des Oscars !



L'autrice réussit à nous faire croire à une véritable biographie, j'avais vraiment l'impression que toutes ces stars avaient réellement existé tant le moindre détail est bien pensé : nom des films, lieux de tournages, tenues, et les nombreux articles de presse qui ponctuent les fins de chapitre et font avancer le récit sans que ce soit redondant !



Donc merci pour vos nombreuses chroniques positives, j'espère vous avoir donné envie à mon tour de découvrir ce roman et ses chouettes personnages ! Quant à moi, je vais sans tarder me procurer les autres romans de l'autrice...
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Une ancienne icône du cinéma américain raconte à une biographe sa vie, et notamment ses sept mariages. Un peu comme si Elizabeth Taylor racontait sa vie, sauf que cette vie est totalement fantasmée par l’autrice.



J’ai beaucoup aimé ce roman. Le personnage d’Evelyn est complexe et touchante. Parfois détestable, calculatrice, manipulatrice, mais aussi fragile, et cachant beaucoup de fêlures. Un personnage qui n’a rien de lisse et dont on se passionne pour la vie, les pages se tournent toutes seules. Sa principale relation amoureuse est aussi très belle, et joliment écrite. Ajoutez à cela une atmosphère « âge d’or d’Hollywood » très bien retranscrite, dans ses excès et ses égocentrismes mais aussi dans son côté fascinant. Et surtout des thématiques très riches, abordées avec justesse (patriarcat, homophobie, violences domestiques, maladie…) sans faire dans le pathos ou en angélisant l’héroïne pour autant.



Sans être le meilleur livre que j’ai jamais lu (notamment parce que la traduction française est un désastre absolu, et aussi parce que ça a un petit côté convenu dont on voit les ficelles faites pour tirer sur nos cordes sensibles), j’ai vraiment beaucoup aimé et je pense que j’en garderai un très chouette souvenir.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

𧙌OUP DE COEUR❤



Ce livre est pour l’excellence même de la littérature. Je pense que c’est le MEILLEUR livre que j’ai pu lire en 2022. J’en ai lu des livres en 2022 mais celui-là dépasse tous les autres. En tout cas j’ai bien fini l’année avec celui-ci et je suis joie !

Pour moi il mérite la hype qu’il a eu pendant un bon moment.



Il ne m’a pas fait pleurer comme la plupart des gens mais il reste et restera gravé dans ma mémoire. C’est un chef-d'oeuvre ! C’est très rare lorsque je dis cela mais il n’y a pas beaucoup de livres qui m’ont fait autant plaisir et souffrir en même temps.



Je me suis très vite attaché à Evelyn Hugo, elle est très complexe. Il y a eu pas mal de manipulation et d’honnêteté dans sa vie. Ce que j’ai le plus aimé chez elle, c’est son ambition et sa fidélité envers son petit groupe d’amis.



La fin était une masterclass il n’y a pas d’autres mots pour d’écrire cette fin incroyable ! J’en suis restée bouche bée 🙀



Le monde dans lequel Evelyn à réussir sa vie n’est pas du tout à ce que l’on s’attendait. On suit son évolution au cinéma mais la réalité derrière les caméras et tout autres. Evelyn Hugo nous parle et nous montre comment cette industrie, dirigée par principalement que des hommes à cette époque, à réussir à sexualiser la femme de bien des manières.



Je suis sortie de cette lecture 📖 avec un regard nouveau sur le monde du cinéma, les paillettes et la gloire. J’en suis ressorti tout émotionnée et je suis ravie d’avoir pu découvrir l’histoire d’Evelyn et de ses sept maris.
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Daisy Jones & The Six



Daisy est un fantasme.

Un fantasme d'auteur(e).

Elle est cette jeune femme libre, sauvage, en proie à des démons trop grands pour elles. Pour vous ou pour moi. Et pourtant, tant de fragilités, on s'attendrit, l'imagination s'emballe, tant à dire, tant à vivre ! D'empathie on irait même jusqu'à saigner de ses plaies pour qu'elle continue. De chanter. D'être belle. De s'en foutre. De libérer la femme de tellement de diktats.



Elle intègre le groupe des Six, avec ses poches pleines d'acides et ses airs de se foutre de tout. Rencontre le chanteur. Ancien toxico, c'est sa rédemption qu'il met en chansons. Sa femme. Ses enfants.



De mots à maux, de duos en duels, le cœur de Daisy s'emballe pour lui, Billy. Celui de Billy aussi s'emballe. Mais tient bon.



"Quand tu penseras à moi

J'espère que le rock'n'roll en mourra"



C'est un livre rempli de musiques, vous l'entendez pour ainsi dire tout le long, comme une bande-son. La nostalgie d'une époque que je n'ai pas connue. Les lumieres aveuglent, les sons écorchent, parce que le rock'n'roll c'est comme ça.



Je voudrais saluer le parti pris de l'auteure, qui aurait pu s'avérer casse-gueule, ce roman monté comme des interviews emmêlés, bigarrés, et finalement ça marche parfaitement, c'est d'une rythmique impeccable.



Et puis une mention toute particulière pour le personnage de Camila. Peut-être vous n'adhèrerez pas à la trame narrative, ni à la construction. Mais ce personnage-là est une échelle de valeur. Qui monte, qui monte, qui monte...

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Daisy Jones & The Six

Amour, drogue et rock and roll !



Avis plutôt mitigé.

J'ai aimé l'originalité de la structure du livre. C'est écrit sous forme d'une interview des membres d'un groupe de rock qui a connu une gloire phénoménale dans les années '70 pour se dissoudre finalement abruptement.

Ca se lit très vite, il y a du rythme. J'aime le rock, la musique, cet univers me plaît.

Voilà pour l'aspect positif de ma lecture.



Par contre, étant donné que l'intrigue est dévoilée en 4e de couverture, il n'y a pas de suspens. On sait que le groupe va foirer ! Les personnages ne sont pas attachants. C'est sans doute lié au fait qu'ils ne nous sont pas présentés assez en profondeur. On ne lit que leur ressenti de situations bien définies.



La magie n'a pas opéré chez moi.

Sans doute que je m'attendais à autre chose vu les critiques très positives que j'ai lues.



Ce fut toutefois une lecture agréable, sans prise de tête mais, ça a été vite lu et ça sera vite oublié.

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Les sept maris d'Evelyn Hugo

J'avais besoin de ce roman.

Et il est venu à moi exactement au bon moment.



Merci à lui.



The Seven Husbands of Evelyn Hugo a tout l'air d'une romance un peu basique, à lire en débranchant son cerveau, mais promis, ce n'est pas le cas. On a ici droit à une histoire originale, riche, dense, qui propose surtout des portraits de personnages d'une intensité marquante. On a bien conscience de ne pas faire face à une écriture qui cherche à accomplir des prouesses d'originalité, mais ce n'est pas ce que l'on est venu chercher. L'autrice sert très justement son propos en rédigeant son histoire avec une fluidité et une tension rares, un sens du rythme recherché, et des dialogues qui fusent avec un naturel décapant. On atteint le mélange idéal entre divertissement et appréhension, le tout dans le contexte, il faut se l'avouer, délicieusement plaisant, du Old Hollywood, de l'immédiat après-guerre jusqu'à la fin du XXème siècle.



Le vrai coup de génie de ce roman ? Son format, à savoir celui d'une longue interview au cours de laquelle l'actrice légendaire - et hélas fictive - Evelyn Hugo déroule petit à petit le fil de son existence. Ce mécanisme de narration fonctionne à merveille, et crée un rien de frustration qui pousse à poursuivre sa lecture jusqu'à des heures indues de la nuit. L'idée est tellement plaisante qu'on en vient même à avoir envie de sauter les quelques passages consacrés aux pensées et au quotidien de l'intervieweuse, une journaliste du nom de Monique - dont la personnalité n'a d'égale que la répartie du point de vue de la fadeur et de l'inintérêt. Le tout se dévore à une vitesse fulgurante, avec la parfaite dose de rebondissements, révélations et autres coups de théâtre, avec en toile de fond la litanie des sept maris d'Evelyn qui viennent scander le texte de façon stable, presque apaisante, motivante. C'est un chemin de fer sur lequel on est lancé, une épopée de laquelle on ne peut se dégager, un roulis curieusement tranquille pour une existence aussi agitée.



Certains messages sont martelés de façon peut-être un peu trop explicite parfois, au risque de manquer de subtilité, mais l'ensemble demeure équilibré dans son propos. L'autrice valorise la diversité de ses personnages et de leurs engagements, et veille à faire de son roman une oeuvre certes palpitante, mais avant tout bienveillante, accueillante, qui pousse à une certaine ouverture d'esprit et au respect de l'autre. Elle réussit à merveille son opération : The Seven Husbands of Evelyn Hugo est l'un de ces livres dont la moindre interruption de lecture est un déchirement, dont les personnages continuent à hanter la mémoire bien après le chapitre final, dont tout, de l'exposition à la conclusion, semble parfaitement orchestré. C'est un texte plus cinématographique que littéraire, vivant, clairement destiné à faire vibrer ses lecteurs, tout en parvenant à le surprendre en permanence, à invoquer des idées innovantes et à recourir à des techniques scénaristiques judicieuses. Un peu de paillettes, beaucoup de drama, sans trop se prendre au sérieux non plus. On aime, on adore.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Après l'avoir vu en librairie de nombreuses fois je me suis enfin laissée tenter et quelle réussite !



J'ai adoré le personnage d'Evelyn elle est qui elle est et ne s'en excuse pas, elle assume tous ses choix qu'ils soient controversés ou non !

Le plume est magnifique, j'ai eu la sensation de voir se dérouler devant moi l'histoire d'Evelyn.

On passe par de nombreuses émotions et j'ai été très émue par certains passages.



Ce livre est merveilleux. Un vibrant hommage au monde du cinéma et surtout à ses acteurs qui malgré leur vie de rêve n'ont pas toujours tout ce qu'ils désirent.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Une lecture au-delà des mots !

Je suis chamboulée par cette lecture. J’hésitais beaucoup à lire ce livre qui au départ ne me paraissait vraiment pas passionnant. Et bien j’avais tord !

Je suis tout de suite tombée sous le charme de cette histoire !

Ce livre est le récit de toute une vie débutant dans les années 50 ! Vraiment l’autrice a réalisé là un travail incroyable ! Défendant des causes encore controversées même dans notre société actuelle. Je n’ai absolument rien vu venir quant à l’intrigue ni même aux causes qui sont traitées dans ce roman. Je pensais réellement lire une romance très banale et je suis tombée sur un récit exceptionnel !



J’ai écouté ce livre en format audio et je tiens à dire que nextory a fait un travail incroyable lors de l’enregistrement. Tout est si bien lu et interprété ! Je me suis tellement attachée aux personnages que j’ai pleuré pour beaucoup d’entre eux.

Je pense que si j’avais lu ce livre en version papier j’aurais clairement été moins touchée. Mais la version audio est dingue !



Si vous n’avez pas encore craqué pour ce roman, n’hésitez plus ! Il est clairement parfait !
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Ce roman va tout droit dans mes coups de coeur 2024.

J'ai lu beaucoup de romans dit "féministe" qui se revendiquaient comme tel, mais peu qui ne le sont pas explicitement mais qui s'avèrent l'être. Celui-ci en fait définitivement partie.

Evelyn Hugo de son nom d'usage d'actrice, est une icône d'Hollywood dans les années 50. Mariée sept fois, elle fait l'objet toute sa vie de la presse à scandale, mais lorsqu'à la fin de sa carrière vers 80 ans elle fait appel à une journaliste - pas n'importe laquelle - elle dévoile au grand jour, les secrets et surtout LE secret le mieux gardé de sa carrière.

Son témoignage est à la fois poignant, mais aussi extrêmement représentatif de la figure sexualisée de la femme au cinéma.

Tabous liés aux relations intimes et aveux d'une condition féminine réduite au patriarcat, ce livre montre dans un univers assez méconnu les travers de la société, ici américaine, mais finalement universelle.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Monique Grant est journaliste pour le magazine « Vivant » c’est une jeune femme brillante qui doit néanmoins faire ses preuves et qui n’est reléguée qu’à des écrits de moindre importance alors que ses collègues font le buzz avec leurs articles de presse. Sa patronne ne la considère pas à sa juste valeur mais la vie de la jeune femme est en train de basculer parce qu’elle a été choisie par Evelyne Hugo, star du cinéma désormais à la retraite, pour rédiger un article sur elle ! Personne à la rédaction ne comprend pourquoi une star d’envergure telle qu’Evelyne Hugo souhaite être interviewée par une journaliste méconnue, même l’intéressée s’interroge.



Quand elle rencontre la star, elle est toute intimidée, malgré le poids de ses 80 ans, Evelyne Hugo reste magnifique, élégante, elle impressionne par sa présence, même si finalement elle semble très abordable. La jeune journaliste découvre, lors de leur discussion, qu’Evelyne Hugo ne l’a pas fait venir pour sa vente de charité qu’elle organise, ni d’ailleurs pour faire la une du magasine Vivant, elle veut que Monique Grant écrive son autobiographie.



Ebranlée et étonnée par cette demande, Monique ne comprend toujours pas pourquoi elle a été choisie, les deux femmes ne se connaissent pas et Monique est une journaliste anonyme parmi les grands qui auraient parfaitement fait l’affaire. Mais Evelyne Hugo reste mystérieuse, si elle a choisi la jeune femme ce n’est pas par hasard, elle le saura bien vite quand elles avanceront dans l’écriture du livre. Monique n’hésite pas, ce livre c’est l’occasion de se faire connaitre et de rentrer dans la cour des grands et tant pis si, pour cela, il faut laisser l’équipe du magazine pour lequel elle travaille. Désormais, Monique va passer une bonne partie de ses journées avec la star de cinéma qui a une singularité, elle a eu 7 maris !



Taylor Jenkins Reid nous transporte dans la vie d’Evelyne Hugo, une vie hors du commun, une vie de travail, de mensonges, de trahisons, de douleurs, une vie de paillettes où le paraître est plus important que tout. La star est fascinante mais aussi déroutante, elle dévoile absolument tout de sa carrière, de sa vie privée, de son enfance. C’est une femme qui est prête à tout pour réussir et être oscarisée, et s’il faut épouser des hommes qu’elle n’aime pas pour côtoyer les sommets, elle le fera !



Sept mariages ça commence à faire, on se dit qu’Evelyne Hugo n’a pas eu peur de s’engager, de faire ses propres choix, c’est une femme libre pour son époque, mais ça c’est pour le devant de la scène, que se passe t-il de l’autre côté du rideau ? La Evelyne Hugo de l’écran n’est peut-être pas la même que celle qui cachera un lourd secret durant des années, et s’il n’y en avait qu’un, mais la vieille dame est aussi torturée par un souvenir précis qu’elle doit absolument confesser.



J’ai adoré ce roman, ce côté Hollywoodien avec les paillettes, les soirées, le show biz, les faux-semblants, les amitiés intéressées, les amours de circonstance, les coups de foudre, les désillusions, les coups bas. Je suis tombée sous le charme d’Evelyne Hugo, j’ai admiré sa constance et sa détermination pour être au sommet, je n’ai pas toujours aimé la façon dont elle y est parvenue, la détestant dans ces moments là et exécrant son côté manipulatrice, mais j’ai envie de dire qu’elle a fait avec les moyens du bord et en tout premier lieu sa beauté, ce n’est pas un crime après tout ! Mais la femme reste sympathique et intrigante, j’ai de la compassion, voire de l’empathie pour certaines périodes de sa vie.



J’ai beaucoup aimé le personnage de Monique Grant, femme fragile en plein divorce qui va se renforcer et prendre de l’assurance en fréquentant la star du cinéma et en découvrant sa vie. C’est une belle revanche pour la jeune femme qui est compétente mais qui n’est pas reconnue par ses pairs. Bien sûr il va y avoir des moments compliqués lors de leurs réunions de travail, parce que Monique va finir par découvrir pourquoi Evelyne Hugo l’a choisie et nous aussi par la même occasion. Le mystère reste entier jusqu’à la fin du roman, même si des petites phrases laissent présager du dénouement.



Une nouvelle fois je suis sous la charme de la plume de cette autrice que j’avais découvert avec « Les sirènes de Malibu », j’avais eu un coup de coeur pour ce roman. J’aime l’atmosphère dans lequel l’auteure nous plonge, j’aime le rythme, c’est frais, ça pétille, ça met des étoiles plein les yeux. C’est parfois sombre, on s’angoisse, on s’inquiète, on est parfois révolté, perplexe, toutes les émotions sont là et se côtoient, nous faisant réagir à chaque instant.



Avec la vie de cette actrice qui se dévoile au fil des pages, l’auteure traite de différents sujets tels que l’homophobie, la bisexualité, l’adultère, les violences conjugales, le divorce, la maladie, le deuil, l’argent, la notoriété, l’alcoolisme, tout est bien ficelé et compartimenté. Le livre se lit rapidement, trop rapidement, à mon goût, j’ai l’impression d’être dans un fauteuil, en train d’écouter ce que me raconte Evelyne Hugo et je voudrais que le temps s’arrête !



Ce livre est un gros coup de coeur, J’ai hâte de découvrir Daisy and the six qui est noté dans ma wishlist.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Je l'ai lu il y a quelques mois et pourtant j'y repense encore souvent et je m'en souviens très très bien.... Bon, c'est peut-être parce-que je l'ai lu deux fois de suite. Littéralement, je l'ai fini, je l'ai fermé, j'ai séché mes larmes, et je l'ai rouvert immédiatement. Cette fois avec un crayon à la main, pour répertorier mes citations et mes passages préférés. Parce-qu'il y en a beaucoup !

Je croyais que j'allais lire l'histoire d'une meuf qui a assassiné tous ses maris (un peu comme dans le clip It's my life, de No Doubt, si on est de la même génération tu connais). Mais en fait pas du tout. C'est plutôt l'histoire d'une comédienne, dans les années 50, qui va monter petit à petit les échelons d'Hollywood pour devenir la plus grande star. Alors oui, ses différents mariages n'y sont pas pour rien dans son succès MAIS, cette meuf c'est surtout un rouleau compresseur qui avance dans la vie avec rage et ambition. Quitte à égratigner des gens au passage. Elle est cruelle, elle est forte, elle est géniale, je l'aimev voilà, Evelyne Hugo ) jamais dans mon coeur, tu mérites ta hype, Déesse
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

Parce que ce livre était sur ma wishlist des livres a absolument acheter et grâce a une amie j’ai pu l’avoir à mon anniversaire.





À l’aube de ses quatre-vingts ans, Evelyn Hugo, légende du cinéma, est enfin prête à dire la vérité sur sa vie aussi glamour que scandaleuse. Mais quand cette actrice, vieillissante et solitaire, décrète qu’elle fera ces révélations à Monique Grant, journaliste pour un obscur magazine, personne ne comprend son choix. La journaliste décide de saisir cette occasion pour lancer sa carrière. Elle écoute avec fascination l’histoire de cette actrice mariée sept fois. Une histoire d’ambition, d’amitié et d’amour défendu. À mesure qu’elle recueille les confidences d’Evelyn, la journaliste comprend que leurs destins sont étroitement liés…



J’avais vue tellement d’avis positifs que j’avais peur de ne pas accrocher à ce livre populaire. Je me suis bien trompée. Même si ce n’est pas un coup de cœur, je dois dire que c’était une excellente lecture.



Evelyn est un personnage attachant, comme détestable. Connaître l’envers du décor, son histoire, et s’attacher également aux personnes de son entourage, s’énerver quand elle fait des choix qui peuvent blesser ses proches, avoir la boule au ventre quand une tragédie arrive. C’est un livre qui se lit rapidement avec une histoire très prenante.



L’autrice a su retranscrire à la perfection, un personnage égoïste qui est prête à tout, er qui n’a aucun regret. À nous faire vivre avec elle sa vie, et à nous faire comprendre que même dernière les caméras nous ne connaissons pas vraiment nos idoles et qu’ils peuvent nous faire croire qu’un mariage est rempli d’amour alors que c’est un simple accord de popularité.



Si vous avez besoin de quelque chose sans prise de tête, tout en voulant ressentir des émotions, je ne peux que vous le conseillez.
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

La star hollywoodienne Evelyn Hugo, célèbre bombe sexuelle des années 60, connue tant pour ses films que pour ses 7 mariages, décide à près de 80 ans de confier ses mémoires à la jeune prometteuse mais inconnue journaliste Monique, pour écrire sa biographie.

C’est principalement cette vie qui nous est racontée durant ces 500 pages.

L’ascension vertigineuse d’Evelyn vers le succès, ponctuée de haut et de bas, la volonté sans faille de cette femme, prête à tout pour y arriver, sortir de sa condition, être célèbre, être riche, être en sécurité, mais aussi vivre ses orientations sexuelles condamnables à l’époque, à l’abris de la presse à scandale capable d’anéantir une carrière.

Une vie de quête et de défis qui viendront au fil des pages expliquer les motivations, bonnes ou mauvaises à ces 7 mariages, tout comme le choix prémédité de sa biographe Monique.



Evelyn Hugo est une héroïne de légende ! Il y a définitivement du Scarlett O’hara en elle. Une héroïne que l’on aime et l’on déteste tout à la fois, prête à tout pour parvenir à ses fins ! Usant de son attirance et de son corps pour avancer. Une volonté opiniâtre pour ne plus jamais manquer, pour ne plus jamais craindre, pour pouvoir vivre selon ses envies et ses choix. Evelyn est une Scarlett contemporaine froide et calculatrice et pourtant vibrante d’amour.



Au travers sa vie, c’est aussi la condition féminine, la condition homosexuelle, l’envers du décors hollywoodien, le fardeau de la presse à scandale que l’on découvre.



Au delà de l’héroïne et de son histoire , j’ai vraiment trouvé l’écriture de Taylor Jenkins Reid très agréable.

Une écriture douce, fluide. Elle vous prends et vous emmène sans en faire des tonnes. J’ai très envie de découvrir ses autres romans.



Toujours le nez dans mes bouquins, j’avoue ne pas être très au fait des tendances TikTok (qui pourraient plutôt me rebuter) et des effets de mode littéraire, et c’est seulement sur Babelio que j’ai découvert récemment ce livre. Alors merci Babelio.



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Les Sirènes de Malibu

Sea, sex and sun ! Et également : bikini, sable et surf, alcool et drogue au sommaire du dernier roman de Taylor Jenkins Reid qui est aussi ma première incursion dans sa bibliographie. Comme il est rappelé dans la courte introduction qui constitue les deux meilleures pages de ce récit familial, la Californie est depuis la nuit des temps hautement inflammable. Le lecteur constate au terme de cette flamboyante journée du 27 août 1983 décortiquée heure par heure et après que la fête annuelle donnée par Nina se transforme en fiasco incendiaire, que la famille Riva n'est pas ignifugée.





J'ai écouté les chants de sirènes enjôleurs portés par des avis presque unanimement enthousiastes, certains criant même au chef-d'oeuvre pour plonger tête la première dans Les sirènes de Malibu. Je ne regrette pas ce plongeon dans le sens où je trouve utile de se forger sa propre opinion face à un tel succès éditorial. Parmi les points positifs, je salue la construction élaborée de l'intrigue, alternant des chapitres consacrés à la fatale journée et d'autres dédiés à l'histoire de la famille, relatant petites joies et grands drames, les blessures de leur vie éclairant les différents protagonistes devenus adultes.





Hélas, des grands drames ne font pas forcément un grand roman et il ne suffit pas d'énumérer quelques clichés : le Pacifique est bleu, le soleil brille en permanence, et Malibu n'était qu'un modeste port de pêche dans les années 50 devenu paradis des surfeurs pour créer une atmosphère. Cette liste non-exhaustive de lieux communs m'a donné la déplaisante impression d'un décor construit avec l'aide de cartes postales ne nécessitant aucune connaissance du terrain. Je déplore de ne m'être attachée à aucun des personnages stéréotypés aux réactions prévisibles dans un monde où le surf, les sandwiches au homard, le sable entre les orteils et les fêtes où l'on enrichit son carnet d'adresses constituent le socle de leurs existences.





Enfin, et j'arrêterai là, il s'agit d'un roman qui se lit très vite, ce qui à mes yeux n'est pas forcément une qualité ; le style est très simple, voire simpliste, usuel le vocabulaire, abondants et redondants les dialogues banals, mais au final ce qui m'a le plus gênée, c'est la syntaxe parfois branlante probablement due à une traduction bâclée proche du mot à mot. C'est dommage, j'aurais aimé aimer.
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Les Sirènes de Malibu

Nous voilà, une journée dans la peau de Nina. Nina, une femme pas comme les autres qui est aussi le cœur de sa famille. Sa sœur et ses frères sont son microcosme. Cette famille a vécu de nombreux événements et elle tient bon malgré tout. L'amour la fait tenir, le soutien des uns pour les autres les unit. Le lecteur à la chance de découvrir Malibu à partir des années 50. Ce roman est plein d'émotions, de sentiments forts, tout cela rythme cet intense récit. Un beau moment.
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Daisy Jones & The Six

Gros gros gros coup de ♥️



📍J’ai totalement succombé à cette lecture !📍

🌟Ce roman retrace sous la forme d’entretiens le destin d’un groupe fictif de musique des années 70 …

Amours tragiques, drogues, déboires et rock and roll !



🌟Je suis devenue une vraie groupie ! Billy est talentueux et beau comme un Dieu … Daisy est une déesse ! Les membres du groupe attachants … je n’avais pas envie que ça se termine !



📍J’aime tellement cette période : les 70’s ont été si fécondes … J’avais des flashs avec Stevie Nicks, Fleetwood Mac, Robert Plant, Nico and the Velvet Underground …

Je vais me consoler avec la série et l’album Aurora.📍
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Les Sirènes de Malibu

Coup de coeur pour la famille Riva !



Malibu 1983. Nina Riva habite une magnifique villa sur les hauteurs de la ville. Elle a tout ce qu'il faut pour qualifier sa vie de vie de rêve. Belle maison, populaire, mari célèbre... Chaque année, la fête qu'elle organise fait partie des évènements les plus attendus, où toutes les célébrités du moment se retrouvent. Mais Nina est-elle vraiment heureuse ? Que va-t-il se passer lors de cette gigantesque fête annuelle organisée dans sa maison, pour que tout bascule, sans retour en arrière possible ?



Dans ce roman, partez à la découverte de la Californie des années 1980, au rythme des Beach boys, à la recherche de la plus belle vague, cheveux longs au vent.



Dans la famille Riva, tout le monde est surfeur. De Nina, l'aînée, à Kit, la plus jeune, en passant par Jay et Hud les garçons de la fratrie. Non seulement ils sont les enfants de Mick Riva, l'un des plus grands chanteurs du continent, mais ils sont aussi beaux, jeunes, talentueux. On pourrait dire qu'ils sont vernis. Mais sous la surface, se cachent bien des fragilités.



Ce roman choral alterne entre scènes du passé, pour nous raconter la rencontre de leurs parents, et scènes du présent, pour nous raconter les fêlures de chacun.



J'ai adoré cette lecture. Le rythme est plutôt lent et certains y trouveront peut-être quelques longueurs, mais pour ma part j'ai trouvé que ce rythme sert parfaitement l'histoire, et nous amène, telle une magnifique vague, directement où l'autrice le souhaite : vers un final absolument explosif.



J'ai beaucoup apprécié le personnage de Nina, l'aînée de la fratrie, qui n'a pas eu une vie facile. La vie de couple dans les années 60, les relations familiales, la fratrie... autant de thématiques qui sont habilement disséquées par Jenkins.



Un vrai coup de coeur que je vous recommande pour accompagner votre été !
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Les sept maris d'Evelyn Hugo

De quoi ça parle ?



Evelyn Hugo, immense star du cinéma, va enfin, à l’âge de quatre-vingts ans, révéler l’envers de sa vie glamour et scandaleuse.



Mais quelle n’est pas la surprise des éditeurs quand celle qu’elle choisit pour écrire ses mémoires, n’est autre que Monique Grant, petite journaliste débutante. La jeune femme elle-même ne comprend pas pourquoi la talentueuse actrice n’accepte de parler qu’à elle seule et souhaite, de surcroit, que Monique fasse de ses révélations un ouvrage qui la propulsera en tête des ventes et la rendra célèbre. Qu’a-t-elle fait pour mériter une si grande récompense ?



Au fil des rendez-vous, le lecteur en apprendra plus, en même temps que la journaliste, sur les sept maris d’Evelyn Hugo… ainsi que sur ses autres passions, sa carrière, les stratégies qu’elle a dû mettre en place pour se maintenir au sommet, pour échapper aux torchons à ragots, pour s’assumer et s’accommoder d’une si grande renommée. Mais alors que l’histoire de la star s’acheminera lentement vers une conclusion, Monique ne se trouvera pas au bout de ses surprises : il se pourrait que, dans cette situation incroyable, l’expression « trop beau pour être vrai » ne prenne tout son sens…



Mon avis :



Comment passer à côté de ce roman sur lequel on n’a pas tari d’éloges pendant de nombreux mois ? Bien évidemment, je n’ai pu m’empêcher de le lire longtemps après tout le monde… Mais c’est surtout, je dois dire, par peur d’être confrontée à un récit médiocre, des personnages en carton-pâte et une résolution insupportablement capillotractée (moi, en train de me trouver des excuses ?). Toutefois, j’ai fini par me laisser tenter. Certes, c’est un livre grand public et certainement pas le chef-d’œuvre de la décennie, mais juste par curiosité, pour comprendre l’engouement du public, il est parfois tentant de découvrir certains titres. Ainsi, après cette longue entrée en matière, procédons.



Les personnages, pour commencer, n’ont pas tous la même épaisseur. C’est Evelyn Hugo, évidemment, qui possède le plus de profondeur et captive le lecteur : femme forte au caractère bien trempé, elle s’est construite toute seule, à partir de zéro. Rien de très original à cela en apparence, mais le dynamisme du récit permet de capter l’attention du lecteur et ainsi de faire passer la pilule. La question de sa sexualité est abordée assez subtilement, néanmoins, l’amour de sa vie (une autre actrice hollywoodienne de renom), Celia St. James, n’a pas manqué de m’agacer avec sa jalousie quasi-maladive et irraisonnée qui semblait parfois ne jaillir que de la seule volonté de l’autrice, afin de générer des scènes dramatiques. De même, Monique, l’héroïne du récit cadre, n’est rien d’autre que plate : nous en savons trop peu du personnage pour parvenir à nous attacher à elle, si bien qu’au moment de la révélation finale, sa réaction semble tout à fait disproportionnée. Par là, elle se décrédibilise d’autant plus qu’elle parachève de convaincre le lecteur (ou du moins moi…) du bien-fondé de l’antipathie qu’elle lui inspire. Mais nous reviendrons sur cette fameuse découverte un peu plus tard.



À présent donc, le récit. Il marche bien, voire très bien : la plume est efficace, les actions et rebondissements s’enchaînent au bon moment pour maintenir le lecteur sous son emprise. Il faut le reconnaître : Taylor Jenkins Reid possède un sens impeccable du timing et de la narration – et je comprends d’autant mieux à présent, l’enthousiasme du public. Nonobstant, ne nous voilons pas la face : les ressorts narratifs ne sont ni novateurs ni même particulièrement malins. Ainsi, on devine aisément les motivations qui poussent Evelyn à livrer l’histoire de sa vie, longtemps avant les pages finales. Pour ce qui se rapporte à son choix de faire appel à Monique, si la raison est légèrement tirée par les cheveux, la réaction de cette dernière, comme déjà mentionné, l’est encore davantage. (/!\ Les phrases qui vont suivre contiennent des spoilers.) Le pot-au-rose est le suivant : le meilleur ami d’Evelyn, par ailleurs mari de façade, était amoureux et réciproquement du père de Monique. Mais ce dernier, en refusant d’abandonner femme et fille, avait plongé Harry Cameron dans le désespoir. Aussi, un soir, conduisant en état d’ébriété, ce dernier fracassa la voiture transportant son amant et lui-même. La célèbre actrice arrivant sur ces entrefaites découvrit son ami inconscient et son compagnon mort : elle transporta alors le premier à l’hôpital et plaça le second dans le siège conducteur. Par ce subterfuge, elle put préserver la réputation des deux hommes – l’homosexualité étant pour le moins mal vue à l’époque. Néanmoins, il en résulta que Monique et sa mère crurent pendant toutes ces années que père et mari s’était rendu coupable de conduite en état d’ivresse et de comportement délétère. En apprenant la vérité, il est donc compréhensible que notre jeune journaliste soit déstabilisée, voire en colère. Mais de là à souhaiter la mort d’Evelyn, n’est-ce pas un peu extrême ? S’il y a bien quelqu’un à qui elle pourrait en vouloir, c’est, me semble-t-il, à Harry Cameron, qui a tué son père. Evelyn, elle, est arrivée trop tard pour le sauver et n’a fait que protéger la famille de la narratrice de l’humiliation… Bref, cela reste à débattre mais la résolution me paraît bâclée.



En conclusion, une écriture neutre et passe-partout pour un récit dynamique et entraînant. En fin de compte, même si les reproches habituels que j’adresse à ce genre d’ouvrages s’appliquent dans ce cas aussi, peut-on vraiment s’attendre et en demander autre chose qu’un peu de suspense et de distraction quand on ouvre un livre relevant de ce registre ? Celui-ci comble parfaitement ce type d’attentes et ce n’est déjà pas si mal.



https://lirelandoulerevedunemontmartroise.wordpress.com/2023/08/07/les-sept-maris-develyne-hugo-de-taylor-jenkins-reid/
Lien : https://lirelandoulerevedune..
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Les Sirènes de Malibu

Le Malibu et moi, ce n’est (vraiment) pas une grande histoire d’amour.

Heureusement, ici, on parle de la ville, et non de l’alcool.

Quoique, d’alcool, il en sera bien question dans ce livre.



On est le samedi 27 août 1983 et Nina Riva prépare sa fête annuelle très prisée et connue de toutes les stars du showbiz.

On va suivre le récit de cette soirée hors du commun, heure par heure, avec des bons dans le passé nous permettant de connaître la famille Riva et son histoire loin d’être rose.



Au fur et à mesure que la soirée avance,

On sent la tension qui monte,

Le vernis des apparences qui s’écaillent,

Et l’on prend un doux plaisir à être au cœur de cette soirée pour laquelle nous n’avons pas d’invitation.



Il nous devient alors impossible de partir avant la fin de la fête,

On tourne les pages avec avidité,

En sachant que nous, au moins, on n’aura pas de gueule de bois au petit matin.



C’est un roman qui sent bon l’été, à lire sans modération, tout en sirotant un cocktail, avec ou sans Malibu !
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