Tristan Marco

Bonjour,

Voici “Le sang de la licorne ” de Tristan Marco . Belle découverte avec ce thriller trépidant et haletant. Nous suivons deux officiers de la Section de Recherches de la Gendarmerie de Marseille qui enquêtent sur un meurtre barbare à la mise en scène redoutable. Le duo d’enquêteurs est plutôt atypique et se retrouve aux prises avec une affaire sombre, violente et tortueuse nourrie de multiples rebondissements. Les personnes sont peu attachants et je déplore l’emploi de quelques stéréotypes. Le lecteur baignera dans une atmosphère pesante et inquiétante, peuplée de moult suspicions et interrogations. L’auteur s’emploie à nous manipuler habilement dans cette intrigue maîtrisée servie par une écriture percutante. Un très bon thriller qui ravira les amateurs du genre

J'ai lu les deux premiers romans de Tristan Marco et les avait appréciés, et dont j'écrivais :

"Premier roman réussi. A partir d'un sujet qui peut paraitre dérisoire ou anecdotique pour certains Tristan Marco construit un récit labyrinthique sans ennuyer le lecteur et en maintenant son attention."

"Tristan Marco dresse une histoire fictive mais crédible, addictive, sans tomber dans une posture complotiste, de l'un des plus grands problèmes sanitaires qu'ait connu la planète et qui préfigure de biens d'autres."

Dans le sang de la licorne, Tristan Marco change de registre et nous entraîne dans une enquête policière impliquant deux gendarmes de Marseille, la capitaine Claire Lesczinski et le lieutenant Ulysse Kerdogan.

L'auteur joue à merveille de ce couple qui ne se retrouve que dans le travail motivant des interrogations et parfois les moqueries de leurs collègues :

" Un tandem qui prêtait volontiers le flanc à la caricature, (...) Quand Kerdogan doutait, Leszczyński se faisait une joie de le rassurer avec la délicatesse d'un pilier de rugby."

L'autre talent de l'auteur est de truffer son récit de référence au contexte politique et social :

"Les deux femmes remontaient le boulevard Saint Michel, échangeant des banalités sur le contexte politique et social plus que tendu dans lequel se débattait le pays. Steidman évoquait l'aspect sociétal du mouvement des gilets jaunes tandis que Leszczynski offrait le point de vue moins nuancé de ceux qui reçoivent des pavés dans la figure et distribuent des coups de matraque."

Ou encore :

"Son enfer c'était ça. Dès la sortie de la rame, c'étaient les sans domicile fixe ou bien les mères roumaines geignardes avec leur bébé dans les bras."

Fermez le ban.

Côté enquête, un tueur les met sur les dents et ils se retrouvent confrontés à un entrelacs de relations, victimes, suspects, ancien tueur en série relâché après 23 années de Fresnes.

Claire est perdue : "Son intuition jusqu'ici ne l'avait jamais trahie. Elle lui avait toujours commandé que, depuis le début de cette affaire, Ivanenko n'était pas le tueur qu'elle recherchait. Se serait-elle, pour cette fois, à ce point fourvoyée ?"

Parviendra-t-elle à défaire cet écheveau alors que s'opposent les analyses contradictoire d'une psychologue dont l'une des patientes semblent liée aux meurtres et les siennes toutes pétries de certitudes :

"Il est 15h02, je vous informe que vous êtes placée en garde à vue à compter de cet instant parce qu'il existe contre vous une ou plusieurs raisons plausibles de soupçonner que vous avez commis, tenté de commettre ou encore participé à une infraction punie d'une peine d'emprisonnement."

Un roman très agréable à lire, jamais ennuyeux dévoré lors d'un long voyage en train.

Tristan Marco sait raconter des histoire en parsemant son récit de touches réalistes parfois non dénué d'une certaine dérision.

Découverte de hasard via ma liseuse...

L'histoire se déroule en 2064, à Paris. Dans la société de 2064, on a vaincu la déchéance physique et morale liée à l'âge et grand nombre de maladies fatales comme le cancer.

Gabriel est responsable de la sécurité dans l'entreprise Natek Inc. Une société dont le centre de recherches biologiques et génétiques a assuré la fortune. Gabriel est un ancien officier de la Garde Civile, il a tendance à se lâcher sur le Whisky (Japonais de préférence) et vient de rompre avec sa compagne Lily, a eu une aventure avec son assitante Candice. Rien d'extraordinaire chez ce héros....

Son patron Paul Jouvenceau lui propose un drôle de deal, ce matin-là.

Dans la société de 2064, on croit à la réincarnation et Paul Jouvenceau lui propose pas moins de lui faire revivre ses trois dernières existences, dans l'optique de tester un nouveau développement d'utilisation de l'ADN.

Le roman est construit de façon assez classique. le premier chapitre voit Gabriel parvenir à la fin de l'expérimentation. Il a revécu ses trois dernières existences, mais comme convenu, n'en gardera aucun souvenir, et se remet peu à peu. Mais...

Les trois chapitres suivants, sont la narration des trois existences de Gabriel.

Jen'en dis pas plus sur le sujet, puisque la chute dévoilera quel objectif poursuit Mr Jouvenceau en demandant à Gabriel d'être le cobaye de son expérimentation.

Ce qui est remarquable, c'est la façon dont l'auteur instille le doute dans l'esprit du lecteur en jouant des similitudes, évidentes ou non, chez certains des personnages que Gabriel fréquente dans chacune de ses vies antérieures.

Le roman devient de ce fait, très addictif car le lecteur a envie de savoir si ce sont de simples coïncidences, où si l'on a à faire à un personnage unique travesti sous différentes personnalités.

Homme ou femme, frère ou soeur, père ou mère ?

Malgré ces indices habilement distillés, l'interrogation demeure sur ce que recherche Jouvenceau et il faudra vraiment attendre les dernières pages pour que la vérité soit enfin dévoiléé.

Premier roman réussi. A partir d'un sujet qui peut paraitre dérisoire ou anecdotique pour certains Tristan Marco construit un récit labyrinthique sans ennuyer le lecteur et en maintenant son attention.

Bravo


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Voici le livre qui a occupé tout mon Week-end, une histoire incroyable en saveur et en qualité d'écriture à découvrir absolument. 



Tristan Marco m'a donné avec ce deuxième livre, des heures de lecture qui m'ont même redonné goût à la liseuse. En effet, j'ai pour cette fois ressorti ma Kobo et je ne le regrette pas. L'auteur m'a passionné avec des changements d'époques entre les années 50 et 80,  il m'a dépaysé avec des changements de lieux entre l'Afrique et Paris, des alternances qui rendent encore plus profond le mystère qu'il nous propose... La suite ici :



https://livresque78.wordpress.com/2019/12/09/le-onzieme-chatiment-de-tristan-marco/

« Les seules vraies erreurs sont celles que nous commettons à répétition.

Les autres sont des occasions d'apprentissage. »

DALAÏ LAMA

C'est par cette citation que je débute ma lecture et j'ai tenu à la mettre en lumière dans ma chronique car ce genre de citation m'inspire dans la vie pour l'élaboration de la pensée qu'elle me procure, incitant à une réflexion approfondie de soi.

Trois jours pour 450 000 euros, voilà une proposition alléchante quoique douteuse pour tenter une expérience qui consiste à explorer les vies antérieures de Gabriel. On se demande est-ce raisonnable de se lancer dans ce genre d'expérimentation ne sachant ce qui va en découler ? Il faut dire que la coquette somme proposée par le patron de Gabriel est séduisante pour un laps de temps et indolore qui se fera sous l'étroite surveillance de la charmante Dr Dolorès Steidman une collaboratrice dévouée pourtant intriguante par son mutisme. Malgré leur brève introduction sur le Boudhisme, la réincarnation afin de l'éclairer sur le Karma, je constate que le ton du dialogue est énigmatique, on ressent une certaine dissimulation sur la nature de l'expérience.

Tristan Marco nous plonge dans une intrigue bien ficelée dans laquelle le personnage de Gabriel est manipulé, désorienté par cette incroyable machination dans laquelle on perçoit trois histoires antérieures qui nous pousse à un ensemble de questions au fil des pages pour nous retrouver avec un aboutissement des plus surprenant.

Ce roman est une combinaison de spiritualité et de fiction très agréable à lire par la fluidité de la plume de l'auteur.

Merci à l'auteur Tristan Marco de m'avoir contactée pour ce service de presse.


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«Chercher à comprendre c'est commencer à désobéir.»

Tel est selon moi la phrase qui sous-tend le dernier roman de Tristan Marco, «Le onzième châtiment».

Je reviendrai plus tard sur le sujet du roman, dont je vous cacherai l'essentiel de peur de trop en dévoiler sur l'intrigue.

Ce qui m'a plu dans ce roman, c'est la façon dont il est construit. Façon puzzle. L'auteur surfe sur le trop peu, pas assez, trop trop, en dévoilant au lecteur le strict nécessaire pour lui permettre de comprendre les faits, le contexte dans lequel évoluent les personnages, et les caractéristiques de leur personnalité, vérités, mensonges, cadavres dans leurs placards, liens qu'ils ont entretenus entre eux dans le passé.

L'architecture de ce roman est identique à celle du précédent «L'étrange cohérence du sablier».

Indéniablement, Tristan Marco a des talents de conteur et sait capter l'attention du lecteur sans l'ennuyer, avec une écriture agréable, précise, juste et crédible dans la description des événements et la présentation des personnages, sans oublier une touche d'humour.

Trois époques et lieux alternent au cours du récit : Afrique, Congo 1958-1959 ; Paris 1980 ; Désert des Mojaves 1980.

Le roman débute par la rencontre de trois personnages dans le désert des Mojaves, Howard Dickinson patron «d'une des plus importantes structures de renseignement des Etats-Unis d'Amérique.» ; Meredith Kendal dite Merry, une scientifique spécialiste d'immunologie ; Jean-Pierre Rochambeau, une homme d'affaires assoiffé de pouvoir et d'argent, qui n'est pas sans rappeler Paul Jouvenceau de l'étrange cohérence du sablier.

Ils évoquent entre eux la situation de Cassius Belly, un mercenaire qu'ils ont employé autrefois et qu'ils pensaient mort.

Le roman s'appuie sur deux ressorts :

1-Des sujets qui font le coeur de l'actualité, dont les racines plongent au coeur des années 1950-1960 au cours desquels la transparence et l'accès à l'information sur des sujets sensibles, économiques, poiltiques, scientifiques, n'était pas la règle.

Parmi ces sujets, les relations entre l'Eglise et les Etats, la recherche d'influence, le partage du pouvoir, les excès de la colonisation de l'Afrique et ses conséquences sur l'état du monde ; la recherche scientifique qui ne s'éxonère pas de la recherche du profit à tout prix, ni de la volonté de pouvoir de ceux qui la financent. Mensonge, dissimulation concussion, peur de la vérité, lâcheté, en sont des conséquences «naturelles»...

2- Dans le contexte décrit quelle peut être la nature des relations humaines entre ceux qui détiennent le pouvoir et ceux qui les servent, souvent attirés par des motifs humanitaires de façade.

Ces différentes données sont «tricotées» ou «tressées» avec habileté pour faire exploser le récit au moment où le lecteur s'y attend le moins.

J'en reviens à la première phrase de cette chronique qui est une des clefs de lecture du roman, l'opposition entre ceux qui cherchent à travestir leur objectifs et ceux qui cherchent à comprendre quels sont les objectifs pour lesquels on leur demande d'agir.

Passant d'une époque à l'autre, le lecteur comprend peu à peu quelles sont les relations entre les personnages, comment et pourquoi elles ont évoluées entre 1958 et 1980.

Le grain de sable dans la mécanique et le supposé danger qu'il représente pour eux permettra-t-il de passer outre ce qui avait conduit à leur séparation et de recréer, même temporaitement, l'adhésion à des objectifs qui les unissait alors ?

L'auteur joue à merveille de l'opposition entre la rationalité des décideurs comme Rochambeau et la dimension affective des liens qui peuvent se créer entre les autres personnages. C'est cette opposition qui emmenera le récit vers un épilogue que le lecteur ne commence à percevoir qu'en toute fin de l'histoire.

Tristan Marco dresse une histoire fictive mais crédible, addictive, sans tomber dans une posture complotiste, de l'un des plus grands problèmes sanitaires qu'ait connu la planète et qui préfigure de biens d'autres.

J'avoue avoir été bluffé par ce roman et j'attends maintenant le troisième récit de Tristan Marco.
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15 auteurs talentueux se sont réunis pour écrire ce recueil.

Certaines très belles nouvelles rédigées par des plumes stylées, d'autres qui m'ont moins plu, mais chaque auteur a mis le meilleur de lui-même pour rédiger un texte qui pour certains m'ont fait monter les larmes, tandis que d'autres m'ont fait sourire.

En tout cas, elles sont toutes d'excellente facture.

J'ai néanmoins pris plaisir à déguster ce recueil petit à petit.

Je m'aperçois d'ailleurs que je deviens accro aux nouvelles.

Des moments agréables dans l'ensemble.

Aujourd’hui, je vous parle de « Le sang de la licorne » de Tristan Marco et c’est en auto édition.

L’auteur vous propose un thriller qui prend de l’ampleur au fur et à mesure de l’histoire.

*****

Un début de lecture qui se veut un peu timide, la faute à des personnages, Camille et Agnès, que je trouve trop lisses à mon goût. Et puis, il règne une légèreté qui me fait penser que je ne suis pas dans un thriller.

Malgré cela, je continue mon avancée pour voir comment vont évoluer les choses.

Arrivent alors deux nouveaux protagonistes : le capitaine Leszczynski et le lieutenant Kerdogan.

Même si je ne m'attache pas forcément à eux, j’apprécie beaucoup leur duo et leurs échanges fonctionnent très bien.

D’autres personnages vont également faire leur apparition et il me faudra un petit temps d’adaptation afin de les appréhender pleinement.

Et puis, au fur et à mesure des pages, une noirceur commence à s’installer et c’est là que cette histoire devient surprenante et intéressante. Tristan Marco donne un second souffle à son intrigue qui devient violente, le tout avec une touche de psychologie.

Ce que j’ai réellement apprécié, c’est la tournure inattendue que prennent tous ces événements. Le sujet abordé est bien loin de ce que j’aurais pu imaginer et c’est une bonne surprise.

Je n’ai rien vu venir s’agissant de l’identité de l’assassin et de ses motivations et ça, c’est bien joué.

L’épilogue aurait pu, à mon sens, être écourté de quelques pages afin de ne pas tomber dans la facilite et les clichés mais cela n’engage que moi.

Au final, c'est une lecture qui commence doucement et qui finit de façon explosive.

D’abord, je remercie vivement Tristan de m’avoir confié son manuscrit que j’ai donc pu découvrir en bêta lecture. D’abord parce que Tristan est un copain de la sphère facebookienne, et ensuite parce que c’est un très bon roman. Si, si, je te jure!



Nevada, avril 1980. Howard Dickinson, patron de l’Agence, Merry et Jean-Pierre Rochambeau, se retrouvent discrètement dans un motel miteux du désert des Mojaves, quelque part le long de la route 66. Retrouvailles forcées après vingt ans de silence. Il est vivant! Cassius. Celui que tous croyaient mort depuis toutes ces années a refait surface à Paris…



Congo belge, septembre 1958, quelque part au milieu de la forêt équatoriale. Cassius Belly, un mercenaire, infiltre un groupe paramilitaire, un clan redoutable et sans pitié, pour sauver Meredith Kendal, docteur en immunologie enlevée quelques jours auparavant alors qu’elle se rendait dans un dispensaire de Léopoldville. Dans ses bagages, Cassius va aussi emmener avec lui une toute jeune fille retenue prisonnière par le clan, Divine…



Voici le tout début de cet incroyable roman que j’ai bien du mal à définir. Un peu thriller, un peu histoire d’amour, un peu pamphlet. Une critique sociétale, assurément, plutôt acide et très juste.



Une grosse surprise pour moi. Ce deuxième roman est tellement différent du premier! (Que j’avais aussi dévoré) Tristan Marco est surprenant, absolument pas là où on aurait pu l’attendre. L’intrigue est prenante et palpitante, le suspens est là. Le récit se déroule finement, amenant sans que tu t’en aperçoives des éléments essentiels.



Le style est fluide, précis et agréable. Le rythme est rapide, pas de temps mort, il y a toujours un rebondissement ou une surprise. L’écriture est juste et forte. Les sujets évoqués, lourds et noirs, amènent à de nombreux questionnements. Sans te spolier, je peux te dire que Tristan évoque ici, entre autres choses, la folie des hommes, la soif de pouvoir, les génocides, la cruauté gratuite, la mégalomanie. Entre autres. Parce que tu y trouveras beaucoup plus que ça.



Ca ne se lit pas, ça se dévore! C’est une vraie découverte, et un coup de cœur.



Ce roman étonnant est plein de noirceur, mais aussi d’humanité et d’espoir. Il y a là une importante question éthique, un profond socle spirituel. Ressortent de ce récit une philosophie de vie, une confiance surprenante et inattendue dans le genre humain, en sa capacité de résilience et d’empathie.



J’espère que, comme moi, tu apprécieras à sa juste valeur l’épilogue choisi par l’auteur.


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S’éveiller, sur un fil en étant funambule, pour ne pas retomber sur terre et se redresser avec une certaine assurance et avancer au milieu des étoiles lumineuses.

Chaque livre est une découverte exceptionnelle, parfois il nous arrive de tomber du ciel et d’être rattrapé par les idées les plus fabuleuses et de se remettre sur ce fil avec en plus, cette joie animée par la curiosité et la découverte qui nous font alors scintiller.



Deuxième chronique :

Nom du livre :

L’étrange cohérence du sablier

Nom de l’auteur : Tristan Marco - Auteur



À la suite d’une rupture sentimentale, Gabriel Caplain subit un bouleversement et une remise en question de sa virilité. Il voit son couple s’écrouler pour une infidélité lesbienne et la nouvelle le fragilise.



Entre l’acceptation et la colère, il s’efforce de prendre du recul face à la situation et tandis que tout lui échappe, une proposition inattendue va le rattraper.



Monsieur Jouvenceau, son employeur, directeur de l’empire NATECK Inc, lui propose alors une importante somme d’argent en échange d’un protocole tout particulier : un voyage trans-existentiel!

Après quelques minutes de réflexion, il acceptera le rôle de collaborateur dans cette expérience inédite : être le témoin de trois de ses vies antérieures.



Le docteur Dolores Steidman est un grand psychiatre de renom. Hautement qualifiée et fondatrice d’une méthode d’hypnose transpersonnelle, elle l’accompagnera et le préparera à l’éveil de la kundalani, un phénomène mystérieux.



Gabriel sera alors dans un état de conscience modifiée et ses souvenirs seront pleinement présents.



Les trois vies évoquées s’enchaîneront dans une lecture parsemée d’intrigues pour en défaire petit à petit le fil de l’Histoire.



Quel genre de vie antérieure avons nous eu? Qui étions-nous?



Quelle conscience favorable ou non dans les notions du bien et du mal auraient pu prendre le dessus?



L’auteur nous fait traverser ses multiples destins avec beaucoup d’intérêt intellectuel et d’initiation. On y sens une maîtrise des sujets et ces faits vérifiables nous ouvrent les portes d’une certaine culture.

Il nous laisse également face aux responsabilités des personnages et aux conséquences de leurs actes.



La description des attitudes est assez explicite et chaque détail peut-être symbolique.

Il confinera dans ces trois vies un rapport très fraternel entre ses personnages comme un lien renforcé par un sentiment au-delà de l’amitié.



Le thème de la croyance est assez présent, mis en opposition avec Gabriel comme pour déroger à une certaine règle.



Ce thriller métaphysique est un enchaînement de surprises qui nous laissent dans la démesure d’une réalité subjective.

Lorsque le voile se lève pour justifier de la sentence, l’auteur prend un tournant et dévoile alors que les conduites humaines peuvent être réversibles.



Merci Tristan, pour cette expérience à pleine conscience dans laquelle on avance aveuglément sans se douter une seule fois de la finalité.

Pour ces sujets hasardeux qui éveillent notre esprit pour nous faire comprendre qu’à travers cette fiction, il y a des réalités qui blessent notre âme et qui masquent nos faiblesses.

Parfois, jusqu à en demander des dédommagements moraux, en empruntant volontairement de puissants moteurs pulsionnels, tel un désir de vengeance.
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Voilà un ouvrage prenant de la première à la dernière page. L'intrigue qui se déroule sur deux époques situées à vingt ans d'intervalle, révèle une intrigue foutument bien menée avec des personnage très attachants à commencer par l'adorable Divine. Bref à déguster sans modération

Aux premières pages, on pense s'embarquer dans un thriller futuriste. Un peu inquiétant. Crédible. Des travers de notre société sont débusqués. le curseur est poussé plus loin, mais tellement possible et plausible.

Oui ... mais pas seulement.

C'est aussi un voyage dans le temps et la nature humaine, coté clair et obscur.

C'est avant tout un subtil mélange de genres : thriller, science fiction, roman philosophique. Avec des personnages marquants, qu'ils soient attachants ou immondes ...

J'ai aimé la sincérité, le rythme, l'écriture "vraie", les thèmes développés qui raisonnent en moi. Un appel d'air à l'imaginaire. En refermant ce livre, dévoré en 2 jours, j'ai eu envie de le poursuivre "et si j'étais Gabriel qu'aurait pu découvrir le docteur Steidman ? "

La course aux apparences épinglée,

le regard sur l'erreur qui diffère tellement des conditionnements de notre société,

une vision non manichéenne des personnages

oser aller sur des thèmes durs et bouleversants. Avec une justesse dans les émotions ..

un voyage sur l'ouverture aux autres et à soi même, l'espoir et la foi en ce que notre humanité peut apporter de meilleur même en côtoyant le pire

tout en restant un roman agréable à lire, palpitant et à l'écriture juste

Une très belle découverte grâce à une collègue et amie que j'adore. Elle est arrivée souriante un matin en me disant 'j"ai un cadeau pour toi". Et tu me diras ce que tu en penses. On se partage nos lectures depuis plus de 15 ans.

Un beau cadeau, cette histoire.

4ème de couv :



Gabriel Caplain entre dans une quarantaine tumultueuse sur le plan sentimental, mais placée sous le signe de la réussite professionnelle.

Par un heureux concours de circonstances, il vient d’obtenir un poste qui semble avoir été taillé sur mesure pour lui, au sein de la plus grosse multinationale de la place parisienne.

Rapidement, son employeur, un richissime homme d’affaires américain dont la personnalité est drapée d’un épais voile de mystère, propose à Gabriel de participer à une expérience des plus étranges, visant à démontrer que l’âme humaine est soumise au cycle inéluctable des réincarnations.

Appât du gain, besoin de donner un sens à sa vie, ou simplement quête d’aventure, Gabriel accepte de se lancer dans un voyage initiatique qui le mènera sur le chemin tortueux de l’exploration de son Histoire... de ses histoires.

Mais certains souvenirs doivent-ils vraiment quitter les abysses de l’oubli ?



Ma chro :



Je remercie infiniment Tristan Marco pour m'avoir envoyé son livre.

Au départ, je lui ai dit que je n'étais pas très tentée ... le côté boudha n'étant pas ma tasse de thé et puis, comme je le lui avais promis je l'ai lu (je tiens toujours mes promesses ;) ) ... et là ... surprise !!! L'histoire est très originale et la fin ... top !!!

un livre à lire ... bons moments garantis

y aura-t-il une suite ? that is the question :)

Coup de cœur ! Une histoire forte servie avec talent



Formidable et inclassable !

Palpitant et rythmé, « Le onzième châtiment » est construit sous forme de thriller : intrigue bien construite et crédible, roman noir, enchaînement d’actions et retournements de situation.

L’histoire est forte et prenante, crédible, variée et surprenante. On se fait bien balader par l’auteur !



Mais c’est aussi une introspection de nos côtés sombres, un appel à réfléchir, un plaidoyer contre l’intolérance, une critique subtile et étayée du pouvoir, de l’extrême, de la folie des hommes sous prétexte de religion ou de guerre.

Cette histoire nous invite aussi à réfléchir sur la façon d’aimer et sur les frontières complexes et les nuances de l’amour.

Une plongée dans la complexité de l'humanité.

Une invitation au voyage à travers une histoire et l’Histoire, d’un continent à l’autre, d’une âme à l’autre. Universel. Et j’ai adoré apprendre et découvrir



Les personnages sont complexes et profonds. Qu’ils soient faillibles, blessés, ou des fumiers centrés sur leur haine … ils restent attachants malgré - et pour - leurs côtés obscurs. Ils ne sont pas lisses. Ils évoluent. Ni angélisme, ni complaisance, ni manichéisme : ils se livrent « à nu ».

J’aime ce thème récurrent : chacun porte ses zones d’ombres. Certains sont parfois loin d’être ce qu’ils dégagent ou paraissent.



J’adore le style. L’écriture est vive et juste. Très imagée. Une manière d’écrire qui dégage des émotions.

Les descriptions sont suffisantes pour s’immerger dans l’ambiance. Efficaces.

J’aime cette finesse d'écriture qui consiste à faire deviner : donner les clés de manière implicite. Un équilibriste qui jongle entre l’implicite propice à l’imagination … et le « juste » explicite nécessaire à la compréhension. Le lecteur peut développer sa propre vision et y mettre son imagination. Être un peu acteur en cherchant à comprendre. C'est pour moi ce qui en fait la saveur de lire.



Et si vous avez lu le premier, l’auteur s’est amusé avec quelques clins d’œil … top !

Quand on le commence on le finit comme la tablette de chocolat que l on ne peut plus s empecher de croquer

Une belle intrigue qui questionne sur notre passage sur terre

Je ne lis pas souvent des romans d'anticipation, mais lorsque je découvre le roman de Tristan Marco ,subitement me reviennent en mémoire mes premières amours pour René Barjavel . Je fonce. Tout de suite, je sens que Gabriel va faire partie de mon monde.



A travers trois voyages intérieurs qui n'en sont au fond qu'un seul, Gabriel nous propulse au sein même de la philosophie bouddhiste. Avec une maestria étonnante, le rythme d'abord doux, s’accélère au fil de son expérience. Comme lui, voyageant avec fulgurance d'un espace temps à un autre, nous sommes comme projetés dans son histoire. Entraînés dans son tourbillon.



Au delà, de l'expérience, c'est toute la richesse intérieure de Gabriel qui transparaît. Sa force vitale, sa résilience face aux difficultés de l'existence. Avec pour couronner ce roman, une merveilleuse déclaration d'amour à l'humanité toute entière, une formidable leçon de courage et d'espoir. Oui, Gabriel, en chacun de nous sommeille la force de devenir meilleur. Il n'y a pas de hasard dans la vie, pourtant rien n'est écrit.



J'ai lu certaines critiques qui débutaient par : Pour un premier roman... Et bien, je ne suis pas d'accord avec cette approche. Je la respecte, mais je vous en propose une autre : celle d'un premier écrit certes mais qui pour beaucoup serait un aboutissement, l’œuvre de toute une vie. Or, Tristan Marco, lui, débute comme cela... Je vous laisse augurer de la suite !



Nelly
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Le commentaire de Cathy :

Énormissime coup de cœur pour ce roman de Tristan Marco. Au regard de la couverture et du résumé, je ne savais vraiment pas ce que l'auteur allait me raconter et oh my god, quelle histoire je viens de découvrir. Une histoire fantastique d'imagination, surprenante, haletante et touchante. Gabriel Caplain a obtenu une très bonne place dans la sécurité dans une grosse multinationale, le grand patron va lui faire une proposition alléchante et surtout très bien payé qui va beaucoup l'intéresser, il va devoir participer à l'expérience particulière de se replonger dans ses vies antérieures. Que va-t-il découvrir ? Le style de l'auteur est très agréable, je me suis senti totalement embarqué dans l'histoire dès le début, vivre les vies antérieures de Gabriel en même temps que lui, découvrir par où il est passé, certaines vies antérieures m'ont profondément touché. Ce roman ne peut pas laisser indifférent, même si vous n'êtes pas adepte de science-fiction, il vous faut lire ce livre. Merci Tristan Marco pour le moment de lecture que j'ai eu la chance de vivre grâce à vous, un roman que j'ai lu sans pouvoir m'arrêter tellement j'avais envie d'en connaître la fin, fin surprenante et à laquelle je ne m'attendais pas et j'adore ça.
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Une belle découverte pour un thriller un peu déstabilisant au début mais qui très vite vous plonge dans une intrigue prenante , noire. On commence notre lecture par une maison habitée par un fantôme avec comme animal de « compagnie » un tigre , qui va l’aider à réaliser son œuvre …On passe à Camille et Agnès , 2 amies qui terminent leurs vacances dans un camping naturiste . Des vacances idylliques jusqu’à ce que Agnès parte acheter un souvenir dans un boutique d’artisanat …De La Rochelle en Camargue l’auteur nous présente de nombreux personnages sans lien apparent. Mais très vite l’ambiance va prendre une tournure sombre et nous donner un fil conducteur . Les personnages qui n’ont en apparence rien en commun vont se trouver mêler dans une affaire sanglante . L’enquêtrice Leszczynski et son coéquipier Kerlogan sont appelés sur une scène du crime dans un mas , scène de barbarie dont ils se souviendront toute leur vie . Des corps en décomposition sont retrouvés avec près d’eux une peinture réalisée avec le sang des victimes …Chaque personnage est parfaitement étudié et détaillé . On en apprend plus sur chacun d’eux et ce duo d’enquêteurs qui amuse voir étonne leurs coéquipiers . L’auteur nous plonge dans une enquête délicate avec des meurtres d’une barbarie inimaginable jusqu’à un dénouement imprévisible . Nous allons suivre ce duo de policiers dans une traque sans relâche pour découvrir qui se cache derrière ces actes sauvages . Tout s’enchaîne sans temps mort , l’auteur nous plongeant rapidement dans l’intrigue avec une plume fluide , visuelle et addictive malgré l’horreur qui défile sous vos yeux . Âmes sensibles s’abstenir … un auteur à suivre .
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Une Pépite littéraire à lire absolument (thriller )



Avec le sang de la licorne Tristan Marco nous offre un dur , percutant et captivant thriller sur fond de psychiatrie , de sciences cognitives et de psychologie qui est une véritable pépite littéraire dénuée à mon sens d’ésotérisme! Cette lecture a été pour moi un moment fort intense, passionnant , addictif , difficilement soutenable sur le plan émotionnel et je l’ai trouvé remarquable et très juste sur les plans juridiques et judiciaires . J’avoue que le dénouement de cette terrible affaire d’assassinats à connotation biblique m’a complètement anéantie ,bouleversée émue et retournée . Dévorée par ma lecture je me suis retrouvée malgré moi impliquée dans les enquêtes multiples menées par nos deux gendarmes Claire et Ulysse . J’ai totalement été immergée dans l’intrigue , je suis même suis devenue acteur à part entière des multiples investigations menées , à travers la France , de la Camargue à Archachon , de Marseille à Paris avec un détour jusqu’au Havre à la recherche du tueur dont la pathologie est autant difficile à déterminer que son identité à découvrir.

Si l’intervention spontanée d’un psychiatrique parisien , donne des indices de poids mais forcément abstraits aux enquêteurs , ceux -ci à défaut de preuves ou d’indices matériels pourront ils confondre un coupable et sauver des vies ?



«Science cognitives et justice peuvent elle s’entraider ? »



Cette question est le point essentiel de toutes les difficultés et les écueils auxquelles vont être confrontés nos enquêteurs .

Si la criminologie et les sciences cognitives travaillent sans relâche sur l’esprit humain et ses déviances et étudient certains phénomènes qui nous dépassent telle la connection mentale et autres , à défaut de preuve scientifiquement établie , leurs travaux restent inexploitables en France dans le cadre d’investigations judiciaire en l’état des règles de procédures pénales strictes . Parmi ces informations abstraites Claire percevra t’elle une petite étincelle qui lui permettra de dénouer cette sinistre affaire , soldée jusqu’alors par de multiples échecs ?



Ce brillant thriller est complètement maîtrisé de bout en bout . La thématique était loin d’être évidente à développer et à exposer pour en faire un récit aussi passionnant qu’addictif pour les lecteurs et je vous garantie que l’auteur s’en est sorti avec brio , et il a tapé dans le mille , d’autant plus que les difficultés rencontrées dans l’enquête ne relèvent pas de la fiction . Et le cas psychiatrique du tueur est loin d’être une hypothèse d’école mais bien une réalité dissimulée dans les fins fonds des archives des palais de justice et occultée et édulcorée auprès du grand public par la presse tellement elle est inquiétante telle une bombe à retardement .

Quand au titre de livre il a une signification effroyable et prendra tout son sens quand vous lirez les toutes dernières pages .

Enfin cerise sur le gâteau je peux vous assurer que tous les protagonistes intervenants autour de cette affaire vous donneront du fil à retordre ,il vous sembleront tous plus étranges et suspects les uns que les autres , un petit quelque chose vous dérangera dans leurs personnalités . Mais surtout ne vous faite aucune illusion vous ne découvrirez pas le coupable avant de terminer ce livre .



Je remercie Tristan de m’avoir renouvellé sa confiance en m’envoyant le sang de la Licorne en service de presse. Vous pourrez vous procurer ce livre sur Amazon ou auprès de l’auteur .

Votre Mim .



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Un énorme merci Tristan !!! J'ai pris un plaisir fou à dévorer votre roman. Pour un premier c'est bien plus que prometteur ! Je me suis senti littéralement aspiré, hypnotisé par cette histoire, ces histoires et je n'ai rien pu faire devant l'irrésistible envie de tourner les pages, encore et encore... Propulsé de vie en vie vers une incroyable épilogue. Et pourtant tout cela est tellement envisageable !

Vraiment BRAVO Tristan. Votre livre m'a fait vivre toutes les émotions que l'humain est capable de ressentir. J'ai ressenti au moins autant de plaisir à vous lire que lorsqu'il y a peu je me suis plongé dans le best-seller "la prophétie des Andes".

L'étrange cohérence du sablier est pour moi un vrai chef d'oeuvre et je trépigne d'impatience de découvrir votre prochain livre.

Encore Bravo et Merci !