Tsuina Miura

Les ajins, humain ou créature autre ? Selon beaucoup ces êtres aux étranges pouvoirs de résurrection ne méritent pas d'être qualifié d'humain.

Dans ce volume, le début de l'histoire, Kei se retrouve broyé par un camion et se découvre ajin. Une chasse à l'homme commence et il devra fuir et se battre pour sa vie !

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À ce stade nous ne savons quasiment rien des ajin, apparemment, certains ont des ombres, fantôme, noir mais nous ne savons pas de quoi ils sont totalement capables.

L'histoire intrigue et nous donne envie de savoir la suite bien que les dessins, sans être moches (loin de là) soit globalement épurée. Quand je regarde une planche je vois de l'espace. Il y a des planche plus détaillées que d'autre et les vêtements sont également bien détaillées et je trouve que ça contraste avec certains paysages ou même avec les visages qui sont symple mais efficaces.

Je me suis procuré beaucoup de mangas ce mois-ci. Ça faisait longtemps et j'en avais l'occasion. J'ai jeté mon dévolu sur Ajin en lot (tome 1 et 2 pour le prix d'un seul tome). Je me suis dit que je ne risquais pas grand-chose.



On va suivre un lycéen qui meurt lors d'un accident de la route en face de ses camarades de classe. Mais il revient à la vie ! Ce n'est pourtant pas possible. Il doit prendre la fuite puisque sa tête va être mise à prix et tout le monde le recherche désormais dans le pays.



Oui, car depuis quelque temps des humains meurt et reviennent à la vie. Ils sont appelés les "Ajins" et ne sont pas considérés comme des humains. Ce sont des êtres d'un nouveau genre, voués à la vie éternelle. Ils sont inoffensifs en tant que tel, mais ils sont capables parfois de faire surgir un alter ego redoutable : un fantôme noir.



J'ai toujours remarqué que les protagonistes étaient des lycéens dans les mangas, Connaissez-vous des mangas où les personnages principaux sont des jeunes adultes ou des adultes ? Quels sont les titres ?



Concernant Kei, il apprend à connaître sa nouvelle condition au début du tome 1. L'action est là d'emblée, on ne nous laisse pas le temps de s'habituer à l'univers. Nous sommes plongés au sein d'une enquête et d'une course-poursuite. On ne sait pas à qui on doit faire confiance, on comprend dès lors les sentiments de Kei.



Par contre, on raconte qu'il n'y a qu'une quarantaine d'Ajins dans le monde. Pourtant, on en voit plusieurs qui se côtoient de plus est dès le tome 1. Les ajins n'ont d'ailleurs pas l'air si gentil lorsqu'on voit qu'une bonne partie sont des tueurs au Japon.



J'ai préféré le deuxième tome pour ma part. Il y a des scènes plutôt gores de dissections d'Ajins pour étudier le comportement, la réaction face à la douleur, comment un alter peut apparaître... 



J'ai apprécié ma lecture, à voir avec les prochains tomes. 

La tension monte encore d'un cran, on tourne les pages à toute vitesse. Yuri trouve une alliée et à deux, elles affrontent de nouveaux tueurs masqués, sans céder à la panique, pourtant il y aurait de quoi! On en apprend un peu plus sur le passage du monde normal à ce monde cauchemardesque, en tout cas Yuri se remémore le moment de bascule. Le suspens est intenable, les victimes continuent de tomber... vivement le prochain numéro entre mes mains!

Kei est renversé par un camion sur le chemin du lycée. Alors qu'il aurait dû mourir, il se relève et se rétablit miraculeusement. C'est un Ajin : un immortel. Personne ne sait exactement qui sont ces Ajin, mais on en dénombre qu'une cinquantaine dans le monde. de quoi éveiller la convoitise des individus en quête de gloire et des services secrets en quête de réponses. Kei le sait : dorénavant, sa survie dépendra de sa fuite.



Un premier tome très intriguant. La parcimonie du texte, laissant une large place au dessin, en fait un véritable « page-turner » !

Et donc voici le second tome d'Ajin. Et on va enfin découvrir de nouvelles face de la présence des Ajin...







Car cette fois, Kei va croiser la route d'autres Ajin. Et ils semblent sympathiques jusqu'à ce qui lui tire une fléchette anesthésiante et le laisse devant les gens qui le recherche. L'occasion de découvrir les expériences menés sur les Ajin, mais aussi les questionnements attendus : la défense pour les droits des Ajin, le terrorisme lié à cette nouvelle espéce...







Bref, le début de questionnement qui laisse penser que la suite pourrait s'avérer encore plus intéressante ! A voir dans les tomes suivants !

Une espéce nouvelle à été découverte : Les Ajin. On en compte pour l'instant 46 dans le monde. Mais que sont-ils ? A la base, ils sont comme des humains... sauf qu'ils sont immortels et qu'on a aucun moyen de les détecter. Sauf en les tuant et en constatant qu'ils ressuscitent. Kei va d'ailleurs découvrir qu'il est un Ajin...







Et Kei est encore un adolescent. En même temps, il va découvrir que ce qui est rare est cher et recherché. Du coup, il va lui même l'être. Les 5 épisodes présentés ici sont donc une longue course poursuite et la présentation de Kei, et de son ami Kai. De bons dessins (donc de magnifiques double page) ainsi qu'un rythme trés soutenu dans l'action, font de ce manga un titre trés agréable à lire. Parfois un peu trop rapide cependant, il ne permet pas à de vrais personnages secondaires d'émerger. Mais cela pourrait bien arriver et je suis assez pressé de lire le second tome et d'en savoir plus sur les Ajins !

Le nouvel ami de Kei Nagaï est enfermé pendant que Sato déchaîne ses opérations terroristes d'envergure sur le Japon. Son plan en trois points vise à contraindre par la violence le gouvernement à abandonner la persécution des Ajin. Alors que les forces en présences commencent à se décanter en nous laissant envisager une guerre entre Ajin, le volume 5 de la série nous propose l'une des séquences d'action les plus marquantes depuis pas mal d'années, rien que ça. Je suis resté scotché par la bataille entre Sato et les forces spéciales, avec une tension que je n'avais pas ressenti depuis la séquence de l'évasion dans Akira. La proximité entre les deux séries, l'influence graphique d'Otomo sur le dessinateur Gamon Sakuraï, sont de plus en plus évidentes. Comme depuis le premier volume, les tomes d'Ajin se dévorent à cent à l'heure, sans temps morts. Encore!
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En cavale, Kei Nagali découvre un groupe d'ajins. Deuxième tome pas totalement convaincant. L'intrigue est confuse et les personnages manquent de profondeur. Reste une lecture rapide, avec beaucoup de dessins en pleine page, et plaisante.

Tout continue à se mettre en place. Ce monde prendra fin avec l'avènement de Dieu.

On est séparé en plusieurs groupes : le sniper avec la jeune fille qui suivent de près Yuri et Mayuko, d'un autre côté le frère de Yuri avec pas mal de monde, et Yoshida.

Ce tome est l'occasion d'en apprendre plus sur le sniper et du coup d'avoir encore plus de mystères.

On nous révèle des choses, qui soulèvent d'autres questions.

Le sniper va intervenir pour sauver les filles. On pose la question toute bête mais utile de comment peuvent manger les masqués (ils ont le droit d'enlever leur masque un laps de temps). Mayuko souffre plus qu'elle ne voulait l'admettre d'avoir porté un masque défaillant et risque de perdre le contrôle.

On continue à avoir de très jolis plans avec les immeubles et la hauteur.

On apprend des choses et de nouvelles questions se posent.

On est pris dedans, avec toujours une dose d'incertitude.

Mention spéciale au bonus de fin avec des questions/réponses super sympa.

Une lycéenne en détresse appelle à l’aide… Elle est perdue dans une grande ville composée d’immenses gratte-ciel, sans personne dans les rues.

Nous apprenons que cette lycéenne s’appelle Yuri, qu’elle est coincée sur le toit d’un immeuble et que son frère peut lui apporter des explications. Yuri est d’ailleurs en train de lui parler au téléphone, lorsqu’elle est soudainement attaquée par un homme masqué armé d’une hache ! En esquivant son assaut, elle perd son portable et choisit de prendre la fuite. Pour ce faire, elle emprunte un pont qui relie les immeubles entre eux. L’homme au masque la suit, mais le pont étant instable, il chute d’une hauteur vertigineuse avant de s’écraser sur le sol en contrebas. Profitant de ce répit, la lycéenne explore les lieux et se rend compte qu’elle n’a pas accès aux étages inférieurs des immeubles sur lesquels elle se trouve.

Dans la suite de ce tome, Yuri prend conscience de l’horreur de ce monde (et de sa situation !) et, bien qu’elle soit décidée à ne pas mourir, la peur a, elle aussi, une place dans son cœur…



(mon avis : )

Un peu de gore, des questionnements, du ecchi (bien que je pense que les poses suggestives de Yuri soient parfois mal rendues) et une histoire fluide font de ce manga une œuvre satisfaisante.





#Cat
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Forcée d’avancer et de se défendre, Yuri a appris de nouvelles informations au sujet des masqués et du fonctionnement de ce masque qui, une fois brisé, semble provoquer un certain dysfonctionnement. D’un immeuble à l’autre, Yuri est tombée sur une jeune fille morte et après l’avoir fouillée elle mit la main sur un papier évoquant les règles et vols réguliers de l’hélicoptère. Une fois de plus, Yuri poursuivait son chemin jusqu’à se retrouver face à une nouvelle ennemie. Le plus surprenant était de tomber nez à nez avec une jeune fille non masquée qui n’hésitait pas à tuer le jeune homme qui se tenait devant elle avant de vouloir mettre fin aux jours de Yuri. Cette dernière lui sauva toutefois la mise face au Sniper qui fit son retour. Mayuko Nise n’hésita pas à rendre la pareille à Yuri pour venir à bout de ce dernier. Yuri trouva alors en elle une alliée importante et décida d’en trouver d’autres afin de mettre la main sur l’hélicoptère. Un soir, après s’être endormie, Yuri pensa se souvenir de comment elle était arrivé là et alors que Mayu avait disparu, Yuri vit un trio masqués qui s’est empressé de venir à sa rencontre. Cependant, Mayu revenait à ce moment-là. Sur les trois masqués, il n’en restait plus qu’un, le plus dingue d’entre eux, un véritable acharné que Yuri parvint à tuer. Dès lors, elle lui enleva son masque mais ces masqués ne revenaient pas à la normal pour autant. Yuri et Mayu apprenaient alors que ces tueurs ont subi une sorte de piratage du cerveau. Suite à cela Mayu sortait son smartphone, Yuri en profita pour le lui prendre des mains souhaitant joindre son frère. C’est sur cette dernière scène que se terminait le second tome de Sky-High Survival, voyons donc la suite de ce petit jeu dans ce troisième tome, disponible aux éditions Kana.



Alors que Yuri parvient enfin à contacter son frère, ce dernier lui demande de ne faire confiance à personne et surtout pas à Mayuko, cette nouvelle amie. Rika demande alors à sa sœur de tuer Mayuko car elle, de son côté, n'hésiterait pas à faire de même pour sauver sa peau. Quiproquo qui met mal à l'aise Yuri car elle voit vraiment en elle une alliée de taille et de ce fait Rika lui explique que si elle ne tue pas Mayuko alors il devra lui-même la tuer, tuer sa propre sœur. D'un autre côté, le Sniper semble récupérer un tant soit peu le contrôle de ses pensées, son masque étant fissuré, ce qui doit sûrement en être la cause, mais il découvre aussi que cela peut lui être fatal lorsqu’il croise un autre masqué et que ce dernier lui saute dessus armé d'une hache.



Dans un autre immeuble, Rika affronte lui aussi les masqué mais donne la mort à plusieurs personnes non masquées. Que peut-il bien se passer pour que Rika agisse de la sorte ?



À quelques kilomètres d'où se trouvent Yuri et Mayuko, Rika fait preuve d’une grande violence, tuant comme évoqué plusieurs personnes non masquées. Ce tome s’attarde beaucoup sur Rika et son son comportement, n’oubliant pas de nous partager certains bons affrontements. On le voit ici pour la première fois, équipé d’une massue. Yuri décrit son frère comme un gentil garçon, mais ce qu'elle ne sait pas encore c'est que Rika n'est plus celui qu’elle a connu depuis qu'ils sont tous deux bloqués dans ce monde. Rika est devenu violent et il n’a pas le choix que de changer pour survivre ici-bas. Yuri de son côté fait souvent preuve d'insouciance, tournant le dos à Mayuko qui à ce moment-là se remet aussi en cause se disant que si Yuri agit de la sorte c’est qu’elle lui fait confiance. Si on se remémore bien le tome 2, Mayuko a tout de même tué plusieurs personnes non masquées de sang froid pour s’en sortir.



Ce troisième tome propose toutefois une petite dose d’humour avec des situations et des vignettes un peu coquines, tout en restant très soft, et nous profitons d'une bonne dose d’hémoglobine habituelle. Sont intégrés aussi de nouveaux masqués puissants comme le lanceur de boulets de canons. Tel un joueur de baseball, plutôt stylée d'ailleurs, il peut vous dégommer le crâne à une vitesse ahurissante. Ce tome évoque à plusieurs reprises un terme assez spécial : Dieu, devenir le Dieu de la zone plus précisément. C’est l'information que le masqué lanceur de boulets a notamment évoqué face à Rika. Reste à savoir ce que cela veut bien signifier sur le long terme. Et bien qu’on parle encore de Dieu et de sauver les masqués, dans la globalité cela demeure un peu flou jusqu’à un certain moment du tome où cela vient se développer d’un cran.



J’évoquais de nouveaux masqués et le lanceur de boulets n’est pas le seul. Ici, on découvre une nouvelle femme au masque fâché, un chef cuisto assez bien armé et complètement barré mais aussi un garçon au masque neutre, ce dernier ne disposant donc d’aucune expression. Ce tome 3 dispose de plusieurs surprises, l'intrigue avance un peu avec l’insistance à plusieurs reprises sur le mot Dieu, comme précédemment évoqué, mais on découvre que les masqués neutres jouent aussi un rôle dans ce monde, loin de vouloir tuer, ils sont là pour ravitailler le monde en armes et nourriture. J’évoquais le cuisto avec son air machiavélique, et son arme qui lui sert à découper la viande qui n'est autre ici qu'une scie ! Comme d’accoutumé, ce tome offre un bons nombre de scènes violentes, tout comme ses prédécesseurs.



J’ai aimé découvrir qu’une pseudo alliance se forme entre Rika et Mayuko qui conviennent d’un plan lors d’une conversation téléphonique. Est remis en scène un de mes masqués préférés, le Sniper, et je me demandais dans le second tome si ce n’était pas Rika qui était derrière ce masque. Eh bien sachez que la réponse vous est apportée au cours de ce troisième tome. Le Sniper revient donc sur le devant de la scène et nous fournit davantage de détails sur le système des masques et des divers ordres reçus pour chacun.



En somme, ce troisième tome nous offre une scène finale très intrigante et assez intense je trouve, qui suscite des questions, en plus d’un chapitre spécial inédit mettant en scène la soubrette à forte poitrine que Yuri avait au préalable rencontrée sur le toit d’un immeuble. J’ai donc trouvé ce tome très intéressant car il fait aussi avancer l’intrigue, on en apprend davantage sur le fonctionnement du masque, des ordres émis ou de cette personne qui doit devenir Dieu. Sont introduits de nouveaux types de masqués et le Sniper est ici le masqué principal pour mon plus grand plaisir. D'autres masqués sont aussi montrés sans plus de précisions, il y a de fortes chances donc qu’on les recroisent dans le prochain tome et je parle principalement du cuisto. Aussi, j'ai apprécié que ce tome s'accentue sur les actions qu’entreprend Rika, le mettant bien en avant face aux masqués nous dévoilant ainsi un tempérament qui n'est pas celui que Yuri décrit depuis le début. Comme quoi, ce monde a le don de changer la nature et le tempérament des gens.



« En plus du Sniper, Rika est ici à l’honneur et fait preuve d’un tempérament assez violent. Le scénario nous en dit davantage sur le système intégré aux masques et il semble que Dieu soit de la partie ! »
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Yuri, jeune lycéenne, se retrouve dans un monde rempli de gratte-ciels et ne comprend pas ce qu'elle fait là.

La seule chose qu'elle comprend c'est qu'elle va devoir survivre car des personnes masqués tuent tous ceux qui ne se jettent pas d'eux même des toits...



Yuri décide de rejoindre son frère qu'elle sait aussi être dans ce monde et passe de building en building par des passerelles situées à des hauteurs vertigineuses et devant se battre contre ces hommes masqués.



Ce premier volume nous laisse dans le flou total quant aux raisons de ce monde et de ses "habitants". On ne fait que découvrir les lieux et le mangaka distille au compte goutte des indices qui risquent ensuite d'être importants pour la suite de l'intrigue.



Encore un seinen qui allie sang, jolie fille et survival game (depuis battle royal on ne compte plus inspirations plus ou moins bien réussies). Le dessin est appliqué mais n'a rien de spécial, quant à l'intrigue il faut voir où cela mène.



En somme un manga de bonne facture mais qui ne révolutionne rien, maintenant l'histoire ne fait que commencer et j'ai envie de connaitre la suite.

[ATTENTION, SPOILERS POUR CEUX QUI N'ONT PAS LU LE 1er TOME !]







Ce deuxième tome s’ouvre exactement là où on avait laissé Yuri, c’est-à-dire, en très mauvaise posture : Nishiura, tombé sous l’emprise d’un masque, s’apprête à l’attaquer !





Une nouvelle fois, Sky-high Survival s’ouvre donc de manière très efficace, et Yuri se révèle l’être tout autant.

On retrouve ainsi une Yuri très débrouillarde, malgré le nombre d’agressions et de morts alarmants auxquels elle est confrontée. Mais Yuri n’est pas seulement badass : elle est aussi sensible, et il lui arrive parfois de craquer face à ce que sa survie exige d’elle. Ce deuxième tome sera ainsi l’occasion de creuser un peu plus le personnage, qui est très intéressant à suivre.





Ce deuxième tome est donc dans la lancée du premier, avec des moments jouissifs et d’autres pendants lesquels on est cramponné à notre chaise. Mais il nous délivre également certaines révélations clés. On revient entre autres sur la façon dont Yuri a pu venir dans ce monde, qui semblait autant inexplicable à elle qu’à nous.

Mais la grande avancée concerne avant tout les masques, dont nous en apprenons plus dans ce tome. Et le moins qu’on puisse dire, c’est que les questions soulevées par ces réponses sont plus nombreuses qu’au départ…





Yuri avait également découvert dans le premier tome qu’il ne fallait pas forcément un masque pour tuer les autres. Les humains ordinaires pouvaient également tout à fait l’agresser, même s’ils étaient des policiers. C’est avec cette pensée en tête qu’elle fait ainsi la connaissance d’un nouveau personnage, qui devrait rester pour la suite de la route… sauf accident. ^^

Dans un autre registre, elle croise de nouveau la route du sniper masqué, qui avait laissé penser qu’il était le frère de Yuri, et qui intrigue toujours autant… Il est d’ailleurs toujours étonnant de voir à quel point son frère semble détenir des connaissances peu communes, et qui ont marqué à ce point sa sœur. On a donc hâte d’en savoir au sujet de ces personnages, très charismatiques et très intrigants.





On pourra également souligner le trait de dessin toujours soigné d’OBA Takahiro, toujours efficace. Ses personnages masqués sont toujours inquiétants lorsqu’ils surgissent, mais aussi très intéressants. ^^ Les combats et autres moments d’action nous accrochent toujours autant, et nous font demander une seule et unique chose : la suite !





En tout cas, ce deuxième est l’occasion de donner un nouvel objectif à Yuri, différent de ceux qu’elle s’était fixée au départ. Et cela nous promet de jolies perspectives pour sa survie…





Bilan : un très bon deuxième tome, toujours aussi efficace et addictif ! On a plaisir à suivre Yuri dans sa survie et dans son exploration d’un monde bien étrange et bien dangereux…
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J'aime vraiment beaucoup cette série, qui m'a convaincue en deux tomes de la profondeur du récit. Si ce manga revêt l'apparence d'une histoire un peu cra-cra, à l'occasion même franchement gore, l’intérêt se situe toutefois plus loin, sur ces cases que l'on créés, notre tolérance (et ses limites), et notre crédulité. Et les extremes, d'un côté, comme de l'autre. C'est un poil manichéen (le héros est très très gentil, les méchants très très méchants), mais il y a aussi le reste du monde, et ça, ça m'intéresse !

En bref, une série très prometteuse, et un vrai coup de coeur pour moi, qui m'emmerdais sérieusement en mangas ces derniers temps.

Dans ce deuxième tome, l'intrigue se densifie. On assiste à d'horribles scènes de torture, et aussi à des scènes de combat sanglantes. Si on n'apprend rien de plus sur les ajin, les personnages ambigus de Sato et Tanaka se dévoilent davantage. Celui de Yuki apporte un peu d'humanité dans cet impitoyable monde de violence. Le dernier chapitre, consacré à l'histoire d'un certain Shinaya, m'a laissée perplexe: son récit est redondant par rapport à celui de Kei, et surtout, quel est le rapport entre les deux personnages ? Réponse dans le tome 3, peut-être...

Kei Naga est un lycéen studieux qui se destine à de brillantes études de médecine. A la veille des vacances d’été, il se fait renverser par un camion et meurt sous les yeux de ses camarades. Immédiatement après et contre toute attente il revient à la vie. Le doute n’est plus possible : Kei est un AJIN , une créature immortelle mi-humaine mi- ? . Comme les 46 autres recensés à travers le monde, Ajin devient une proie de grande valeur. Il n’a d’autre choix que de s’enfuir, aidé dans sa course par son ami Kaito. En effet, il deviendrait un cobaye pour la recherche sur les Ajin, à qui l’on fait subir les pires tortures pour tenter de comprendre leur fonctionnement et leurs capacités extraordinaires. De mystérieux fantômes noirs semblent accompagner les Ajins, qu’eux-mêmes ne semblent pas totalement connaître ni maîtriser. Kei, réfugié dans la montagne, est alors contacté par deux mystérieux individus qui semblent intéressés par ses capacités…

Avis : un manga très prenant dès les 1ers pages ; du fait de l’histoire elle-même de nombreuses scènes violentes émaillent le livre ; Kei mourant au moins de 3 façons différentes dans ce 1er tome… (accident, égorgement, décapitation, etc). Un manga a réserver aux plus grands lecteurs. A suivre !

La violence est à son comble dans ce volume. Entre les traitements infligés aux Ajin, la vengeance de ces derniers, le personnage principal se retrouve réellement coincé, et c'est tout ce qui le construit qui permet de maintenir la tension du début à la fin. Cela détermine ses choix, ses actes face à ses comparses totalement déstructurés. C'est un des meilleurs mangas que j'ai pu lire jusqu'à présent.
Lien : http://lanaellogan.canalblog..

Extrait :

Nouvelle série chroniquée, mais ça reste une série que j’ai depuis longtemps, j’ai relu son premier tome car ma lecture commençait à vraiment dater, et je crois que je n’étais pas allée bien loin. J’ai aussi sa version animé en DVD, mais je ne l’ai pas encore visionné, afin de d’abord connaître la série avec son format papier. Elle est d’ailleurs terminée depuis un petit moment avec 17 tomes, ce qui en fait une série de taille raisonnable je trouve.



Le plus marquant dans ce premier tome, c’est l’ambiance qui s’en dégage, qui change du tout au tout dès lors que Kei apprend qu’il est un Ajin, et qu’il se retrouve poursuivi. Il vivait alors dans l’insouciance la plus totale et c’est ça qui fait sûrement le plus peur. Les gens vivent entourés d’Ajin, et peuvent même en être un, sans même le savoir tant il n’y a pas d’informations à leur sujet qui fuite. Kei semble être un personnage assez fade, dans le sens où il est sérieux, et semble totalement détaché face à cette réalité, dans le sens où « ça n’arrive qu’aux autres » (vous savez, ce que beaucoup pense). Sauf que l’on apprend très vite qu’il ne l’est pas depuis l’accident, mais depuis un moment déjà, c’est juste, comme je l’ai dit, qu’il ne le savait pas, car personne n’a dit que voir une espèce de momie signifiait être un Ajin. Un peu comme une maladie invisible dont on ne peut dénombrer le nombre exacte, car il n’y a pas vraiment de moyens pour le deviner, la série créer ainsi une ambiance assez particulière.



Pour le moment, l’horreur n’intervient que dans le quotidien de Kei qui change d’un coup. Forcé de fuir, car il sait très bien ce qu’on fait aux Ajin et comment ils sont considérés. Toutefois, comme il le devine assez bien lui-même, il y a des groupes d’Ajin réussissant à se cacher… mais ils peuvent êtres pacifique comme violents envers les humains (qui le sont tout autant à leur égard, les considérants comme des monstres). Est-ce que cette série va me dégoûter un peu plus du genre humain ? Après tout, les cas d’expériences et tortures sur des humains, ça existe (et oui, j’utilise le présent). L’ambiance pourrait donc être amenée à encore changer, suivant si Kei rejoint un groupe violent, s’il se fait capturer et torturer, etc… La peur, déjà bien présente chez les humains (autant que la fascination), pourrait bien s’accentuer en voyant que les Ajin ne se laissent plus faire, voire pire, souhaitent leurs morts car ils sont des monstres (torturer des gens parce qu’ils sont différents, c’est être un monstre, désolé). Dans tous les cas, si la série part dans ce sens, les humains ne pourront pas dire qu’ils ne l’ont pas cherché… après tout, la tête des Ajin est mise à prix, et même les proches n’hésitent pas à traiter de monstre leur ancien ami ou famille, comme c’est beau les relations humaines !



[...]
Lien : https://sunread26.wordpress...

Critique très rapide... je suis d'accord avec Alfaric... Même si je note un peu mieux le tome que ce babéliote émérite, je partage ses doutes, ses déceptions et ses emballements concernant ce tome (et cette série globalement).



Sur une idée assez intéressante, même si elle n'est pas fondamentalement originale, on a une succession de scènes qui m'ont globalement plu. Eh oui, j'apprécie assez le glauque et le morbide, quand c'est bien mené.



Côté pile, on a des expérimentations sur les Ajins afin de voir comment ils déclenchent et gèrent leur "alter ego noir". Leur fantôme, leur horlas... si on veut invoquer Maupassant, qui n'a rien à voir avec la choucroute en l'occurrence. Ce sont des scènes assez dures. Mais le dessin (malheureusement ou heureusement) n'arrive pas à rendre complètement l'horreur et le vomitif de la situation. Par rapport au premier tome où les dessins manquaient parfois d'ors, de corps et de décors, ici on est mieux "servis" (ce qui peut en indisposer certains, que cela soit dit). On a aussi la mise en place des différentes factions, avec des personnages qui ne sont pas complètement bons ni méchants (enfin, ils sont davantage méchants que bons... quand même). Ces petites nuances et cette absence de dichotomie primaire me convient assez.



Côté face, on a quelques scènes inutiles, quelque digressions de la même couleur et des personnages qui en savent long mais n'en disent mot et se contentent de lâcher quelques sentences sibyllines, mystérieurses et ineptes le plus souvent. Cette façon de procéder m'indispose généralement. Cela permet à l'auteur de ne rien expliquer en noyant le poisson et de se contredire (ce dont il ne se prive généralement pas) quelques tomes plus tard, sans vraiment donner l'impression de se contredire... Pendant ce temps-là, le lecteur va à la chasse aux indices... et essaie de recoller les bouts d'infos.



Le tome reste plaisant (si on aime la torture et les sévices corporels...). A suivre.

Mon premier et seul manga d’horreur. J’avoue que c’est ces scènes la qui me plaisent le moins. Surtout que les dessins sont super beaux et donc rendent ces scènes encore plus en mode horreur.

Dans la globalité, j’ai trouvé ce premier tome très bon. En effet, l’histoire est prenant et intrigante. On ne sait pas encore qui sont les gentils, qui sont les méchants et surtout, qui sont vraiment les Ajin. J’aime beaucoup quand les mangas parlent d’inclusion et de différences grâce à des personnages fantaisie. J’en plein de questions maintenant que j’ai lu ce premier tome. J’ai hâte de lire le deuxième et que l’histoire se développe.

Je recommande ce manga. C’est rapide à lire et intrigant.

3.5/5