Dans une vie, il peut parfois pleuvoir durant des jours et des jours. Mais quand vient l'éclaircie, il faut savoir chasser les nuages. Un par un, deux par deux... Même si la tâche n'est pas facile, nous finissons toujours par trouver le soleil.
Si vous doutez de vos capacités à affronter l'inconnu, retournez-vous et regardez tous les obstacles que la vie a posés sur votre route et que vous avez franchis en devenant une meilleure version de vous-même à chaque fois.
Échouer, c'est apprendre à réussir pour la prochaine fois.
Mes mots vont peut-être paraître durs, mais pour être honnête, si vous n'êtes pas prête à échouer, ne vous attendez pas à réussir.
Vos relations sont comme des sachets de thé qui infusent dans votre vie. Elles sont censées vous apporter de la douceur, du sucré, vous surprendre ou vous stimuler. Aussi, il ne faut surtout pas garder celles qui n𠆞ngendrent qu𠆚mertume et nausées. Plus elles tremperont dans votre quotidien, et plus il en deviendra imbuvable.
Peu importe la couleur ou la forme de notre cape, nous sommes tous le héros de notre propre histoire.
Parce que tout l’or du monde ne remplacera jamais la présence de nos proches. Le bonheur ne se saisit pas, il se respire d’un sourire. Les cadeaux ne se trouvent pas au pied du sapin, mais dans le cœur de chacun.
Ce que pensent les autres de vous ne définit pas la personne que vous êtes.
Pour espérer récolter des patates, il faut commencer par les planter.

Non, personne ne croyait la fin possible, là était le véritable danger.
Quand l’Homme vomissait son quotidien sur la planète, il ne voyait pas l’impact direct de son geste. Un quelconque individu montrait son déni de conscience dès la première heure d’une journée. Il se levait, allumait sa lumière fournie au nucléaire, restait 20 minutes sous la douche car ça réveille et ça détend, enfilait son 5ème pantalon de la semaine, son 8ème tee-shirt alors qu’il n’était que jeudi, utilisait des cosmétiques de torture animale, avalait un verre de jus d’oranges pressées à l’autre bout du monde, compacté dans du plastique qui finira sur le 7ème continent, ne mangeait qu’à moitié une tartine recouverte d’un chocolat saveur déforestation de masse, chaussait des baskets fabriquées par des orphelins payés à la cacahuète, de l’autre côté des océans, se blottissait dans un manteau raffiné au pétrole et montait dans sa voiture fumante de CO².
Tout le monde faisait ce genre de chose, mais tout le monde n’était qu’un petit moi qui n’était pas responsable. Ils étaient des milliards de petit moi, en participant à ce déni universel, tous se suivaient vers une fin du monde – quelle qu’elle soit.