Valentine Goby

j'ai bien aimé ce livre passionnant qui est une histoire super intrigante et super belle; Cela parle d'une jeune fille qui est née sans bras et malgré cela elle vit comme les autres. Donc je recommande ce livre pour les passionnés de livre ou même les personnes qui n'aiment pas trop lire. Cela peut être un début de lecture d'une très belle histoire sur le handicap et la manière dont il est surmonté grâce a Hallix un jeune garçon .

Bookseur-Malia

Comme ce livre est magnifique



l'auteur a su allier les affres de la guerre et la fuite des juifs avec la douceur d'un paysage de montagne avec des personnages hauts en couleur qui donnent envie d'accompagner l'auteur dans son voyage en montagne



beaucoup de poésie, de douceur, de couleurs.



je ne peux que le conseiller

Ce livre parle de deux amis une nommée Camille et l’autre portant le nom de Halis ,les deux ont un problème. L’une à qui il manque des bras et l’autre qui se dit “gros”.

J'ai beaucoup aimé ce livre car quand on regarde la couverture on imagine un livre très simple à la vue de la couverture très simple et monochrome, mais il raconte une histoire très intéressante avec deux personnages qui dans le début du livre sont très renfermés sur eux-mêmes et finissent le livre beaucoup plus sûrs d’eux, ce livre m’a donné beaucoup d’espoir.

Je n’ai pas aimé le livre, cat il est d'un genre dont je n'ai pas l'habitude. Je comprends que d'autres personnes aiment ce genre de livre, qui parle du harcèlement et des différences physiques. Personellement, j’ai trouvé que le rythme n'était pas bon et l'histoire ne m'a pas plue.

Simon, 5C

Eléonore : C'es un garçon de 13 ans qui est obèse et qui rencontre une fille. Il se sent très différent des autres garçons jusqu'au jour où la nouvelle de son collège est aussi différente. Elle est née sans bras. Ensuite ils vont découvrir qu'ils ont la même passion pour un manga.

J'ai bien aimé mais ce n'est pas mon préféré mais j'ai été très intriguée par l'histoire.

L'anguille



Thèmes :

Les thèmes sont : amitié, harcèlement et handicap.



Résumé :



C'est l'histoire de Camille, née sans bras, mais qui ne se considère pas comme « handicapée » qui déménage à Paris au milieu de l'année scolaire et fait sa rentrée dans un nouveau collège et Halis, obèse et mal dans sa peau.

La première fois, les élèves sont choqués en la voyant sans bras mais ils se rendent très vite compte que Camille utilise ses pieds et sa bouche comme personne.

A la piscine, Camille nage plus rapidement que la plupart des élèves. Tout le monde l'encourage en criant « CA-MILLE, CA-MILLE, CA-MILLE ! ». Halis qui se sent mal dans sa peau ne se baigne pas.



Camille et Halis se retrouvent chez Camille pour faire un exposé. Il se rend compte qu'elle lit les mêmes mangas que lui.

Lorsque Camille se rend chez Halis, pour travailler sur l'exposé, elle découvre qu'il coud de magnifiques costumes.



Ils décident de participer ensemble à un concours vidéo de l'auteur des mangas pour lequel il faut imaginer une suite aux livres.

Pour cela, ils cherchent des acteurs parmi leur camarades de classe, Halis coud les costumes et ils tournent la video. Durant ce tournage, Camille et Halis se rapprochent et deviennent amis. Halis est même secrètement amoureux de Camille.

Finalement, ils partent tous s'amuser en classe verte à Marseille.



Les personnages principaux :

Camille, 11 ans, née sans bras, cheveux roux, heureuse. Elle est amie avec Halis mais n'aime pas Zac.

Halis, 12 ans presque 13, a redoublé, il est obèse et se sent mal dans sa peau. Il est amoureux de Camille mais il ne support pas Zac.

Zac se sent supérieur aux autres et harcèle Halis. Il ne parle pas à Camille.



Mon avis sur le dénouement :

Tout est bien qui finit bien : Halis se sent mieux dans sa peau, Camille est acceptée par les autres.

Je reste un peu sur ma fin car j'aurais aimé connaître le résultat du concours vidéo.



Mon avis sur le livre :



Le livre se lit facilement et rapidement. La morale de l'histoire est vite comprise : on peut vivre comme les autres avec un handicap.



J'ai été attiré par le thème du livre qui parle de harcèlement, qui me touche car je suis collégien et parce qu'il permet certainement d’empêcher des enfants de harceler les autres. Et puis, au fur et à mesure de la lecture du roman, ce n'est plus une histoire de harcèlement mais une histoire d'amitié très forte entre les deux personnages de Camille et Halis.



J'ai bien aimé également le caractère du personnage principal, Camille, née sans bras qui ose parler de son handicap et l'assume. Dans le roman, ce n'est pas vraiment elle qui se fait harceler parce qu'elle ne se considère pas comme une « handicapée » mais plutôt son meilleur ami Halis parce qu'il est obèse.



Personnellement, j'aurai choisi un autre titre que l'Anguille. Il ne reflète pas trop le livre parce qu'il n'est pas question d'anguille, à part quand la classe de Camille se rend à la piscine. Le livre pourrait porter le titre suivant : « Les différents ».



J'ai vraiment aimé ce livre et je recommande sa lecture à tous.



L'extrait :

« Camille monte sur le plongeoir. A sa droite, Abdoulaye fait de même. Elle plie les genoux. Avance la tête, prête à bondir. La fille en forme de flèche place ses orteils tout au bord, hyper concentrée. Quand Jordane plaque la main au mur sous elle, elle s'élance en harpon la tête la première, crève la surface et disparaît, ondulant en apnée au-dessous façon serpent d'eau. Halis s'approche, scrute l'eau. Tous les élèves l'imitent. « CA-MILLE, CA-MILLE, CA-MILLE ! » s'époumone son équipe. »

(p. 85-86) 



J'ai choisi cet extrait car c'est le moment où Camille impressionne tous ses camarades et qu'elle montre ce qu'elle sait faire. Et elle montre qu'elle a peur de rien, et qu'elle ne se considère pas handicapée.

Murène. Un poisson plutôt repoussant d’aspect avec son corps de serpent et sa gueule agressive. Et pourtant, un poisson qui va inspirer François.

Jeune, volontaire, travailleur, charmeur, amoureux de la flamboyante Nine, François est victime d’un terrible accident alors qu’il monte sur un wagon de train. Électrocuté, il est retrouvé par une fillette presque mort dans l’hiver ardennais.

Brûlé au troisième degré, certaines parties de son corps sont intactes mais les dégâts sont irréversibles. Pas d’autre solution que de l’amputer des deux bras. Il va passer des mois à l’hôpital, objet de soins très douloureux, de greffes, puis de séances éprouvantes de rééducation. Admirables les femmes de son entourage. Mum, sa mère, qui passe ses journées à l’hôpital, ne pouvant voir son fils mais lui écrivant de longues lettres d’amour, effondrée par les dommages mais heureuse que son fils soit en vie, malgré tout, malgré les séquelles irréversibles. Sylvia, la jeune sœur, aimant de façon inconditionnelle son frère, qui jamais ne se décourage, reportant sur le ficus de François les soins qu’elle ne peut lui prodiguer. Nadine, enfin, l’infirmière qui investit ce corps souffrant, insufflant à François jour après jour la volonté de se battre, douce et compatissante.

Et puis, François sort de l’hôpital. Il est sauvé mais invalide, définitivement dépendant pour les moindres gestes du quotidien. L’amputation ne permet pas les prothèses. Et l’avenir s’avère sombre. La dépression guette, le désespoir s’insinue, la famille impuissante regarde François s’enfoncer.

Une rencontre va favoriser la renaissance et permettre à François de retrouver le goût de la vie. A l’épreuve de son corps, il va se redresser et conquérir une nouvelle dignité.

C’est un roman admirable. Plus je découvre l’œuvre de Valentine Goby plus je suis séduite par la qualité de son style et le choix de ses sujets, étonnants mais toujours passionnants.

Dans la première partie du livre, les descriptions minutieuses des opérations et des soins, jamais ennuyeuses, nous plongent au cœur de la souffrance physique du jeune homme et témoignent de l’empathie que l’auteur ressent pour son personnage. Elle s’en veut parfois des douleurs qu’elle lui inflige, intervenant dans le roman pour s’excuser auprès de lui. Procédé littéraire surprenant 😊.

La seconde partie du roman s’intéresse davantage à la naissance et au développement de l’handisport. C’est très documenté et permet de voir aussi comment évolue le regard de la société sur les personnes en situation de handicap.

Valentine Goby, c’est aussi des personnages inoubliables, pas toujours à leur avantage - le père de François est un peu lourd parfois - mais d’une humanité rare. On peut aussi lui reconnaître que si les sujets abordés sont graves, souvent dramatiques, l’espoir est toujours en filigrane du récit.

Un roman très réussi.

Je vais vous parlez du livre l'Anguille , c'est l'histoire d'une fille et un garçon qui ont notre âge . Le garçon lui est assez complexé par sa morphologie étant donné qu'il est en surpoids , la fille elle au contraire elle est très alaise avec son corps malgré le faite qu'elle soit née sans bras . Les deux sont dans la même classe et au cours de l'année scolaire ils vont se lier d'amitié et c'est cette amitié que nous allons suivre dans ce livre. Moi j'ai bien aimé ce livre car sa parle de discrimination mais avec moins de cliché que nous avons l'habitude de lire.

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C’est l'histoire de Camille qui se retrouve à changer de collège en plein milieu de l’année. Le nouveau professeur de Camille la décrit comme une élève”handicapée”. Tous les nouveaux camarades de Camille s'attendaient à la voir arriver en fauteuil roulant. Quelle ne fut pas leur surprise quand ils découvrirent qu’elle avait bien deux jambes mais pas de bras.



J’ai adoré ce livre car il parle du quotidien d’une personne en situation de handicap et que même sans bras elle se débrouille très bien.



Je le recommande pour les personnes qui aiment les livres où il n’y a a peu d’action mais trop ainsi que ceux qui aiment les livres qui parlent de sujet tabou en normalisant cela.



Agatha

La critique de Charlène :

Ce livre raconte l'histoire d'une fille qui se nomme Camille mais qui est surnommée L'Anguille par ses camarades, car elle née sans bras. Elle a quelque chose d'exceptionnel, elle a la capacité de mangé et d’écrire avec ses pieds

Halis qui a 12 ans est gêné par son poids, il subit beaucoup de moqueries.

Seulement leur différence va les rapprocher et ils vont peu à peu se faire plein de nouveaux amis et réaliser un film tous ensemble.

J'ai beaucoup aimé ce livre car il y a beaucoup d'activités que l'on pratique dans la vraie vie et chaque personnage a quelque chose de particulier, par exemple Camille est née sans bras et Halis avec un corps obèse. Je trouve que ce livre est assez intéressant et très attachant. de plus, ce livre est basé sur l'acception de soi, et sur le regard que les autres portent sur nous.

Halis, un jeune garçon, se sent gros. Il se sent TRÈS gros. Pourtant, il dispose de nombreuses qualités, comme son talent en couture… Sa vie au collège va changer lorsque Camille, une fille née sans bras, arrive dans sa classe. Elle est tout de suite dévisagée comme une inconnue, une « handicapée », mais elle est déterminée à prouver le contraire.



Je trouve cette histoire très émouvante et intéressante. Nous pouvons comprendre le point de vue des personnes harcelées à travers l'écriture simple et le point de vue sympathique de l'autrice.

Je recommande ce livre aux amateurs d'émotions fortes et de thèmes de société.

J'attribue une note de 4,5/5 à ce roman, car je l'ai vraiment apprécié.



Un grand bravo a l'autrice,Valentine Goby, pour ce livre épatant !



Vukasin



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L'anguille est un roman écrit par Valentine Coby. le livre aborde plusieurs thématiques comme le harcèlement scolaire , la difficulté de changer d'environnement (déménager), le handicap et surtout le poids du regard des autres vis à vis de personnes différentes.

Et puis il raconte surtout la rencontre entre Halis, 13 ans , un redoublant mal à l'aise dans ses baskets, passionné de couture et de manga, au grand coeur caché sous ses kilos en trop, qui subit sans protester les moqueries de ses camarades sur son poids et Camille, Camille l'anguille née sans bras mais avec une dose de courage supplémentaire qui l'aide à supporter au quotidien les «grappes d'yeux» .

Camille vient de déménager . Avant elle vivait à Farjevol, là où personne ne la dévisageait.

La rencontre d'Halis et de Camille relève du coup de foudre amical. Ils vont se trouver le même goût pour les tartines de beurre saupoudrées de cacao, le manga « Règne des dragons » et ensemble vont faire de leurs complexes et de leurs difficultés des forces .

C'est vraiment un livre génial, très décomplexant,le style décontracté de l'auteure est sympa à lire, bref facile, simple, efficace j'ai adoré, donc 5/5 sans hésiter.



VAVA

C'est l'histoire de Halis qui ne se plaît pas et n’est pas bien dans sa peau et de Camille, née sans bras. D’un jour à l’autre, Camille se retrouve propulsée en plein milieu d'année dans l'école de Halis pour cause de déménagement.

Tout le monde la regarde comme si elle était un objet que personne n'avait jamais vu. Tandis que Halis, qui se faisait déjà embêter, se lie d'amitié avec Camille, elles apprennent à se connaître et à faire beaucoup de choses malgré le handicap: une pièce de théâtre pas exemple...

Ce livre m’a beaucoup émue car c'est beau de voir comment Camille arrive a tenir le coup si fermement face à sa honte et ses différences et surtout face au regard des autres. C'est ce que j'ai beaucoup aimé dans cette histoire.

Lou.

Quelle  claque !!

Un livre difficile, fort..

Quelle horreur vécue par ces femmes si courageuses et par leurs bébés!!

L'indicible porté par la plume de Valentine Goby , qui , nous plonge dans   ce camp de concentration de Ravensbrück où plus de quarante mille femmes sont entassées,  meurent ou survivent dans des conditions atroces avec comme seul espoir pour certaines .. La kinderzimmer réservée aux bébés qui naissent au camp ... mais qui y meurent aussi ..



Un roman coup de poing qui m'a happée du début à la fin!!

J'ai beaucoup apprécié cette lecture. Toute en douceur. Le choix des mots, des couleurs nous accompagne au fil des pages. Nous devenons complice de ce petit garçon et de ses découvertes. Le temps d'un hiver, d'un printemps et jusqu'à l'été nous le voyons grandir.

Les paysages, les sons. Les odeurs illustrent le quotidien de la vie au village. L'amitié, la complicité, les jeux font oublié la guerre et Blanche qui ne revient pas. Et Sophie, la maman, Jean et le père parti.

Puis la réalité reprend ses droits. Y aura t'il un automne ?

Un jeune garçon est envoyé se réfugier dans le village de Vallorcine, dans les Alpes proches de la frontière suisse. Petit parisien, il arrive au cœur de l'hiver dans un paysage d'une blancheur immaculée. Vadim est juif, nous sommes en 1943. Il va devenir Vincent accueilli par un couple à Vallorcine pour soigner son asthme. Voilà les circonstances de l'histoire.

Au fil des pages d'une écriture riche, puissante, intensément évocatrice,s nous ressentons avec Vincent/Vadim l'éblouissement de sa découverte de la magie de la montagne, de la beauté, des milles et une nuance d'un paysage qui change chaque jour et dont il ne se lasse jamais. "L'ile haute" (superbe titre) est un roman d'initiation. Le jeune Vadim va grandir, découvrir la vie simple et rude de la montagne, les travaux et les jours qui impliquent aussi les enfants, bien loin de son quotidien de citadin. Les jours passent lentement. La petite Moinette est son guide. Elle aime tant apprendre la vie à la montagne à ce petit parisien ignorant qui n'a jamais rien vu . La neige s'efface, le printemps arrive et la vallée s'ouvre. Le reste du monde peut y entrer et la guerre aussi.

Un très beau roman contemplatif, d'une richesse inouïe, de cet autrice que je découvre pour la première fois !

J'ai trouvé ce livre intéressant car il était agréable et simple à lire. Les mots utilisés par l'autrice sont clairs et précis ; je n'ai donc eu aucun mal comprendre l'histoire. Je trouve que les sentiments des personnages sont finement exprimés. Je dois avouer tout de même que j'ai eu plus de mal pour comprendre le personnage de Camille car il était assez complexe et parce qu'on a du mal à se glisser dans la peau de ce personnage...

Note : 4/5 Benjamin

Je donne une note de 4/5 pour ce livre, l'Anguille, de Valentine Goby car c'est un livre pour faire comprendre la différence de chacun. Camille et Halis sont attachants. En revanche, je n'ai pas aimé quand la narratrice prend la parole car j'avais du mal à rester dans l'histoire. Je ne comprends pas pourquoi elle apparait dans certains passages. Mylia



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J'ai adoré ce livre et j'ai beaucoup aimé suivre l'aventure de Halis et de Camille car ce livre m'a appris énormément de choses sur le handicap mais aussi sur l'obésité. Les enfants sont méchants entre eux, quand on est gros : tout le monde se moquait (dans le livre, c'était Zac). Camille subissait elle aussi des remarques car elle est différente. Camille et Halis sont différents, c'est donc pour cela que les gens les regardent d'une autre manière. J'ai aimé l'évolution d'Halis quand il prépare les robes des filles car on a compris qu'il avait du talent et qu'il prenait davantage confiance en lui. Camille a aidé Halis à se sentir mieux dans sa peau et lui a prouvé qu'il pouvait affirmer sa personnalité même en étant différent. La morale de cette histoire c'est que, malgré les différences, on peut s'épanouir dans de nombreux domaines et on peut même impressionner les autres. note: 4/5 Mathieu



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J'ai aimé l'histoire globale du livre. Les personnages principaux sont touchants et attachants. Cela donne envie de continuer la lecture sans s'arrêter, pour connaître la suite de leur vie. Les thèmes principaux évoqués sont le handicap, le harcèlement, les différences, l'amitié. Ils concernent plus particulièrement les adolescents de nos jours car c'est la période de développement où certains manquent de maturité, d'autres de confiance. Ce livre permet de comprendre que les personnes atteintes d'un handicap ou d'une différence sont comme nous. L'auteur a écrit une histoire d'amitié pour faire comprendre aux lecteurs à quel point l'amitié permet de surmonter les épreuves de la vie. Camille

Lilou : Des enfants Halis Yildiz, douze ans, bientôt treize et Camille Berthier qui a onze ans et demi. Au début ils ne se connaissent pas mais Camille déménage dans le collège d'Halis. Ils sont tous les deux différents. Halis est obèse et Camille n'a pas de bras.

J'ai bien aimé ce livre, mais il est long à lire. Sinon j'ai bien aimé car il montre que personne n'est différent, et qu'il faut aimé les gens tels qui sont.



Léna : C'est l'histoire d'une fille née sans bras, Camille. Elle rencontre Halis et tous deux ont la même passion : la natation. L'anguille raconte l'histoire d'amitié improbable entre un obèse et une fille sans bras.

Je n'ai pas aimé car c'est un livre de fiction.



Lorenzo : Camille cherche dans ses affaires pour trouver sa tenue pour la rentrée. Une nouvelle rentrée car elle quitte ses anciens amis avec une immense peine. Camille n'a pas de bras.

Je n'ai pas aimé car Halis et ses camarades se sont moqués. Et il parle d'école et je n'aime pas l'école.



Jérémy : C'est l'histoire d'Halis et de Camille. Halis a presque treize ans et a des problèmes de corpulence (obèse). On se moque de lui à l'école. Camille est une fille, née sans bras, elle a presque douze ans. Camille déménage au milieu de l'année et entre au collège d'Halis. Au collège ils sont tous les deux discriminés. Puis Camille fut nommée "Camille l'anguille" par ses camarades.

Ce livre est bien car les mots sont cools (temps de chiottes), puis facile à comprendre. Il nous montre aussi leur vie difficile à cause des préjugés et que peut importe le physique que l'on a on reste des humains et non des animaux.

"L'île haute" de Valentine Goby m'a captivé dès les premières pages, m'emportant dans un tourbillon de neige et de brouillard à l'arrivée de Vadim sur le quai de la gare de Chamonix, le coupant du reste du monde. Il est asthmatique et vient officiellement prendre le bon air de la montagne sous le prénom de "Vincent", car d'origine juive sa famille l'envoie s'y cacher en ces temps troublé de l'occupation allemande.

Tout de suite, les mots de l'autrice se déploient dans des phrases poétiques, où chaque mot trouve sa juste place et nous entrainent à la suite de Vadim/Vincent vers une famille d'accueil.



Le lendemain matin, lorsque Vincent s'éveille, épuisé par le voyage nocturne, il découvre la majesté de la montagne. Son regard est captivé par les Aiguilles Rouges, dont les sommets se dressent fièrement, telle une "île haute".



Au fil des pages, nous partageons le quotidien de Vincent et de son amie Moinette, ainsi que celui des habitants de la vallée. Les personnages, tant les enfants que les adultes, sont attachants et complexes, rendant cette lecture d'autant plus captivante.



Ce roman explore avec finesse des thèmes profonds tels que la sortie de l'enfance, l'amour, la perte et la quête d'identité, nous invitant à réfléchir au-delà de l'histoire immédiate.



Valentine Goby a su créer un univers empreint d'émotions intenses qui a su me transporter au coeur de son roman.

Une fois de plus, Suzanne vient témoigner devant des lycéens. Résistante et déportée, il faut leur raconter les quatre jours de wagon à bestiaux, l’arrivée, la marche dans la nuit, jusqu’à Ravensbruck. Une jeune fille l’interrompt, comment saviez-vous que vous alliez à Ravensbruck ?

Suzanne doit alors se replonger au plus près des sensations immédiates, quotidiennes, celles de Mila, enceinte depuis peu, marchant dans l’obscurité, épaule contre épaule, jusqu’au baraquement de quarantaine, où les corps et les parasites grouillent, où faire ses besoins relève de l’exploit.

Ne pas dire, laisser deviner la grossesse. Tenir. Se nourrir de peu. Tenir. Voir crever une amie. Tenir.

Jusqu’à ce que. L’enfant que l’on croyait mort, a l’intérieur. Qu’il naisse.

Kinderzimmer, c’est un vécu au plus proche des sensations, terribles, crues, innommables. Au plus près de la peau desquamée, des cheveux rasés, de la dysenterie, des morts d’épuisement, de froid. Au plus près de la solidarité de ces femmes.

Et l’espoir, cultiver l’espoir, la beauté d’un lac, d’une fleur entrevus.

Valentine Goby excelle a nous faire ressentir l’abjection comme l’espérance, éclaire l’existence de ces Kinderzimmers méconnus, mouroirs pour la plupart des bébés qui y naîtront. Lieux de l’expression d’une humanité aléatoire et parfois surprenante.



Époustouflant de justesse.