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Critiques de Véronique Ovaldé (1278)
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À nos vies imparfaites

Parfois il suffit d’une rencontre hasardeuse pour introduire une silhouette, telle celle de l’agente immobilière du premier texte, qui deviendra ensuite la protagoniste du texte suivant. Cette construction habile est en fait une forme romanesque plus délicate et subtile, car à la fin, oui, le texte fait roman et la constellation des personnages dessine la forme d’un entrelacement discret, comme la main du destin qui viendrait tenir par des fils ces marionnettes inconscientes d’être reliées à d’autres. Ce que dit ce texte, en creux, c’est qu’en croyant agir pour nos propres intérêts, en pensant n’avoir d’influence que sur notre vie ou celles de nos plus proches, nos actions se répercutent parfois sans qu’on le sache sur autrui, où sont parfois moins libres et moins indéterminées qu’on le pense. Ce que cela dit aussi, c’est que pendant que nous regardons le monde depuis notre prisme, nos problèmes, nos désirs, notre expérience, se déroule quelque chose à plus vaste échelle. Qu’on le veuille ou non, nous faisons société, nous cohabitons et c’est cela qui est beau, qui met de l’imprévu, de l’inopiné, de la surprise dans nos existences. Les rencontres, même si elles peuvent parfois passer pour déplaisantes, voire dangereuses dans la scène du cambriolage en particulier, sont en réalité les vecteurs d’une transformation de nos existences. Sans le hasard qui nous met en présence des autres, qui vient faire s’entrechoquer les personnages comme des boules de billard sur le tapis vert de l’existence, il n’y aurait pas de roman, rien à raconter. Le romanesque n’est que cela, l’interférence de trajectoires.



Et Véronique Ovaldé a le don pour bien les choisir, pour croquer en quelques phrases des personnalités singulières ou attachantes, des personnages parfois éminemment fictionnels et parfois très proches de nous, et souvent les deux à la fois. Chaque histoire est l’occasion de nous entraîner avec savoir-faire dans la petite économie d’une nouvelle à chute et en même temps d’égrener des réflexions sur l’existence. La moindre situation concrète, la moindre ligne de dialogue ou pensée saugrenue est en fait un regard extrêmement juste porté sur un aspect de la vie. D’une page à l’autre, on se prend à réfléchir non seulement à ce que vivent les personnages mais à ce que l’on expérimente soi-même. Qu’est-ce qui conditionne nos choix professionnels ? Comment trouver l’équilibre entre être soi-même et maintenir un lien de qualité avec ses proches ? Qu’est-ce qui fait qu’on tient à la vie et qu’est-on prêt(e) à risquer pour la sauver ? Et parfois même des choses en apparence prosaïques mais si révélatrices : être une femme, n’est-ce pas avoir le souci de son canapé ? Bien sûr, l’autrice n’est pas la première à maîtriser l’art du texte court qui en dit long. On pourrait penser notamment aux recueils de Franck Courtès, pour l’acuité du regard sur le monde, au travail narratif de toile d’araignée de Pierre Raufast à travers ses différents textes dans la vallée de la Chantebrie. Mais ce qui caractérise ce livre c’est peut-être d’avoir réussi à condenser tout cela dans un format relativement court qui parvient à la fois à nous emmener dans plein de directions et en même temps à garder toujours un cap, porté par une écriture minutieuse, travaillée, qui ne tombe jamais dans des facilités mais offre presque à toutes les pages la sensation, sous couvert d’humour, de révélations.



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Fille en colère sur un banc de pierre

En lisant Fille en colère sur un banc de pierre, j’ai dû plusieurs fois me servir du dictionnaire et cela m’a énervée parce que celui intégré à ma liseuse est tellement sans valeur. Mais j’ai adoré l’histoire et la narratrice, cette histoire de la famille Salvatore contée sur un ton léger malgré le drame, et la narratrice qui est un genre de raconteuse-commentatrice avec beaucoup d’imagination et de caprices, qui sert souvent de notes d’humour pour détendre l’atmosphère et qui, en plus, sait bien décrire les insectes ! Quelle heureuse découverte ! Un vrai coup de cœur. Le style d’écriture de Véronique Ovaldé m’a totalement charmée.



Citations :

« Souvenez-vous de cet âge où la vue d’un lit vous donnait envie de faire du trampoline et pas du tout de vous y assoupir. »



« Au sol, sous les fenêtres, gisent des guêpes momifiées. Et dans les angles de la pièce, des faucheux repliés, tout secs, petites cages en forme de diamant à cinquante-six facettes. »



« Ils se sont toujours détestés, Severini et Salvatore. Mais survivre à ses ennemis est l’un des seuls plaisirs qu’il y a à durer. »
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À nos vies imparfaites

Où est la fantaisie d’Ovaldé ? L’écriture est fine et élégante, mais il manque le rythme, l’énergie contagieuse qui happerait le lecteur ou la lectrice.
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À nos vies imparfaites



J’ai lu et aimé :

«  A NOS VIES IMPARFAITES  »



Huit nouvelles de Vies Ordinaires .

Huit persOnnages plus ou mOins tOurmentés .

Huit tranches de Vie, liées de près ou de lOin .



Des nOuvelles cOmme une tOile .

Qui s’enchaînent , qui se relient .

Un fil rOuge à suivre .



Des persOnnages, qui vOnt, qui Viennent .

Drôles ou tragiques .

Courageux ou élégants .

Fragiles ou Malchanceux .



Une ode à nOs vies imparfaites ,

et C’est tant mieux .



Une lecture toute calme ,

agréable à lire , qui se lit vite .

Comme un assemblage de Vies ,

d’instants saisis ,

de portraits réussis .



#malchance #espoir #désarroi #réussite #doutes #imperfections #conséquences #faiblesses .



Une Vie Ordinaire , cela n’existe pas !



Je ne suis pas fan des Nouvelles ,

mais j’ai passé un bOn mOment .

Comme une parenthèse , en dOuceur .

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À nos vies imparfaites

Je viens de découvrir ce recueil de nouvelles à ma bibliothèque de quartier et commencé ce matin, je l'ai terminé en fin d'après-midi. C'était agréable à lire. Le fait que dans la première histoire, Eva Coppa, l'agente immobilière, qui est le deuxième personnage le plus important et dont on sait seulement qu'elle a une fille adolescente qu'elle est obligée d'élever toute seule, Eva donc devient le personnage principal de la deuxième nouvelle qui la met en scène avec sa fille, Marguerite dite Bob (15 ans). Pour la 3ème nouvelle, c'est Bob qui préfère finalement le prénom de Rose qui parle d'elle-même. Dans la 4ème nouvelle, c'est Rachel, une vieille dame qui vient de perdre son mari et qui est importunée gravement par un visiteur et que Bob vient plus ou moins de sauver. Et ainsi de suite... Les nouvelles sont liées par plusieurs personnages et c'est ce qui fait leur charme. Les réflexions de l'autrice sont tellement vraies et simples qu'on pourrait aussi les avoir eues face à ces êtres qui ont beaucoup de mal à trouver leur place dans la vie. Des vies ordinaires mais très bien décrites. Un régal de lecture.
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Personne n'a peur des gens qui sourient

Ce roman démarre avec une intrigue enigmatique. Dès les premières pages, l'auteur installe une tension palpable qui titille notre curiosité et nous poussent à continuer la lecture.

L'histoire se déroule sur deux niveaux : le présent de Gloria et les souvenirs de son enfance, où l'on découvre des éléments sombres et traumatisants de son passé. Cette structure permet de comprendre progressivement les raisons de sa fuite et son état d'angoisse constant.

Cependant, le développement du récit présente plusieurs faiblesses. Le rythme du thriller, bien qu'initialement prometteur, s'essouffle rapidement. De nombreuses longueurs ralentissent la progression de l'intrigue, ce qui nuit à l'intensité et à la tension que l'on attend d'un bon thriller psychologique. Le style d'écriture de l'auteur, avec ses fréquentes digressions et ses apartés entre parenthèses ou tirets, alourdit le récit et donne une impression de lourdeur. Ces précisions souvent superflues peuvent frustrer le lecteur, rendant la lecture laborieuse et pesante.

Malgré ces défauts, la curiosité pour le dénouement de l'histoire peut encourager à persévérer. On veut savoir ce qui pousse Gloria à fuir, quels secrets se cachent dans son passé et comment tout cela va se résoudre. Malheureusement, la conclusion du roman ne parvient pas à rattraper les faiblesses de la narration. La fin, jugée peu crédible et insatisfaisante, laisse un goût amer et renforce l'impression de déception globale.

En somme, "Que fuis Gloria ?" est un thriller psychologique qui avait le potentiel d'être captivant, mais qui souffre de longueurs et d'un style d'écriture peu engageant. L'intrigue, bien que prometteuse, ne parvient pas à maintenir l'intérêt jusqu'à la fin, rendant la lecture décevante. Pour ceux qui cherchent un thriller intense et bien rythmé, ce roman risque de ne pas répondre à leurs attentes.

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Fille en colère sur un banc de pierre

je suis particulièrement mitigée concernant ce livre. En effet le synopsis est accrocheur. On s'attend à une enquête sur ce drame survenu des années auparavant. En fait non..... une grande partie du livre retrace l'histoire de cette famille, l'évolution de leurs relations au fil des années. La vérité quant à elle tombe un peu comme un cheveu sur la soupe. En 3 pages, le mystère est résolu. On s'attend à de la vengeance, une demande de justice mais pas vraiment enfin selon mes critères....
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À nos vies imparfaites

L'écrivaine joue avec la forme du recueil pour relier entre elles ses nouvelles comme autant de chapitres d'une même histoire.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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À nos vies imparfaites

À partir de huit nouvelles, Véronique Olvadé construit le roman de nos vies ordinaires.

Chacun à ses figurants dans sa vie de tous les jours. Des êtres qui nous entourent et quelquefois ne nous touchent pas. Un jour, un de nos figurants entre dans notre lumière, sans savoir pourquoi, sans en pressentir le moment et sans surtout en comprendre l’alchimie qui est à l’œuvre. Tragique ou drôle, cette incursion transforme le cours d’une vie. Ce sont ces figurants que choisit Véronique Olvade de nous faire connaître.



À côté d’Auguste Baraka, qui n’en a aucune, apparaît Eva avec son rayonnement de la réussite. Celle-ci a une fille Marguerite qui se fait appeler Bob pour illustrer la nouvelle Le chemin jusqu’à soi. Après, il s’agit d’une voisine qui aurait pu croiser sa propre mort le jour des funérailles de son conjoint. Et puis au milieu de ses nouvelles, Véronique Olvadé soliloque avec son lecteur, lui demandant directement sa participation même s’il semble qu’il lui soit impossible d’en tenir compte !



Pourtant la lectrice que je suis s’est entichée de Lazlo, du moins de la façon qu’à Véronique Olvadé de raconter cet escroc et son méfait. Ainsi de suite !



Ainsi, ses nouvelles forment presque un roman, en tout cas, une ode à Nos vies imparfaites que nous aimons tant et que la littérature, notamment celle de Véronique Olvadé, sait tellement bien nous raconter !
Lien : https://vagabondageautourdes..
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À nos vies imparfaites

Véronique Ovaldé raconte en huit nouvelles le destin catastrophique de personnages tous liés par de semblables petits désastres quotidiens.
Lien : https://www.sudouest.fr/cult..
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13 à table ! 2021

Trouvé dans une boîte à livres, je n'ai pas pu m'empêcher de le prendre avec moi, tant j'ai apprécié l'édition 2016 de 13 à table. Et je n'ai pas été déçu par la version 2021 !

Comme toujours, les auteurs se succèdent avec des nouvelles ayant l'amour en thème principal. J'ai eu une grosse préférence pour la nouvelle de Jean-Paul Dubois qui met en lumière l'amour entre l'homme et l'animal. C'est la seule qui m'a décroché une larme !

Celle de Franck Thilliez était vraiment géniale aussi, avec un petit côté fantastique que j'adore !

Par contre, je suis passé complètement à côté de celle de Véronique Ovaldé..
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À nos vies imparfaites

Dans son dernier recueil de nouvelles, la romancière s’amuse tendrement de nos « Vies imparfaites ».
Lien : https://www.lepoint.fr/livre..
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À nos vies imparfaites

Huit histoires, huit existences imparfaites. Dans son recueil de nouvelles, l?auteur raconte avec humour les turpitudes humaines.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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À nos vies imparfaites

Je n'ai pas lu ce recueil mais je l'ai écouté lu par l'auteur et c'est un pur délice!!

Son ton, ses intonations collent si parfaitement au texte que j'ai eu l'impression de l'avoir sous les yeux.

Tous les livres audio devraient être lus par leur auteur!!
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Fille en colère sur un banc de pierre

J’ai abandonné cette lecture tant l’écriture m’était insupportable! Une mélange incessant de langages châtié et populaire, une utilisation excessive des parenthèses, qui par ailleurs n’apporte rien, si ce n’est de la lourdeur.

Ma deuxième déception de l’année.
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13 à table ! 2021

Cette édition est globalement plaisante à lire, habituellement j'ai toujours quelques déceptions mais là je n'en ai pas eu hormis la nouvelle de Véronique Ovaldé dont je n'ai pas compris le sens.

Certaines sont plus plaisantes que d'autres, toutes ont le thème du "premier amour".

J'y ai retrouvé une de mes auteurs chouchous (Leïla Slimani) et découverts certains autres notamment Tonino Benacquista (Malavita m'attend dans ma PAL d'ailleurs) et Philippe Besson.

Toujours agréable de faire une bonne action en achetant ce livre.

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À nos vies imparfaites

Les romans de Véronique Ovaldé, souvent situés dans des lieux qui n’existent pas, frappent par la puissance de l’imaginaire onirique de l’auteure qui s’enroule telle une liane autour de l’intrigue. Si le genre de la nouvelle reste très prisé outre-atlantique, il est hélas considéré, à tort, comme mineur en Europe, où le roman tient le haut du pavé. Auteure accomplie, Ovaldé fait ainsi preuve d’un certain panache en publiant « À nos vies imparfaites », son premier recueil de nouvelles.



La première des huit nouvelles du recueil nous conte le destin singulier d’Auguste Baraka, qui doit son surnom à une malchance légendaire. Une malchance telle que notre héros, ingénieur du son de son métier, a rejoint les MA, les Malchanceux Anonymes, un groupe de parole dédié à tous ceux qui comme Auguste doivent affronter une malchance difficile à concevoir. Un jour de grève, il visite un appartement où il compte installer un studio d’enregistrement. Un endroit particulièrement calme et parfaitement adapté au projet d’Auguste. C’est une certaine Éva Coppa, agente immobilière peu efficace, qui s’occupe de la transaction. Auguste est tellement enthousiaste qu’il propose à Éva, dont le charme ne le laisse pas insensible, de conclure sur-le-champ l’acquisition de l’appartement. Cette dernière hésite, car elle sait que l’immeuble est situé au-dessus d’un croisement entre deux lignes de métro, et qu’excepté les jours de grève, le lieu est extrêmement bruyant et tremble toutes les deux minutes. Mère célibataire d’une petite fille dont le père n’a jamais saisi la notion de pension alimentaire, elle décide de vendre l’appartement à Auguste, pour toucher sa commission.



Le twist final nous apprend que, des années plus tard, Auguste et Éva se remémoreront ce jour si particulier, le jour de leur rencontre. Un twist qui éclaire rétrospectivement la nouvelle d’une lueur teintée d’espoir. S’il n’a pas fait l’affaire du siècle en achetant cet appartement, Auguste a rencontré la belle Éva et peut-être enfin vaincu le mauvais sort. « Les désarrois d’Auguste Baraka » nous rappelle enfin que la chance est une notion toute relative et qu’une rencontre amoureuse ne saurait se comparer à une transaction immobilière, aussi malheureuse soit-elle.



***



Si les nouvelles peuvent se lire indépendamment les unes des autres, Véronique Ovaldé tisse une toile qui les relie, en faisant de l’un des personnages secondaires d’une nouvelle, le personnage principal de la nouvelle suivante. La deuxième nouvelle approfondit ainsi la destinée d’Éva Coppa, tandis que la troisième nous conte l’adolescence insolite de sa fille qui se fait appeler Bob et ainsi de suite. Si le personnage d’Éva Coppa apparaît dans plusieurs nouvelles, « À nos vies imparfaites » n’est pas un roman déguisé, tant les nouvelles du recueil explorent des univers distincts. A la manière de Joseph Incardona, l’auteure s’adresse parfois directement au lecteur, pour lui donner son avis sur telle ou telle situation. Des incises discrètes et décalées qui font mouche.



« Mon amie chinoise me dit toujours que son nom lui ouvre les portes de n’importe quel service d’ingénierie informatique, les humains sont accablants, je ne vous le fais pas dire. »



Les fins des nouvelles sont particulièrement percutantes. Elles nous proposent tantôt un twist inattendu, tantôt une conclusion qui donne au texte une couleur que l’on n’avait pas décelée. Démiurge littéraire facétieux, Véronique Ovaldé surprend son lecteur avec une facilité déconcertante. Un effet de surprise, jamais artificiel, qui confère au recueil toute sa force de percussion.



***



Les nouvelles nous sont étrangement familières, dans la mesure où nous y retrouvons l’un des protagonistes de la nouvelle précédente et pourtant surprenantes, tant les univers abordés diffèrent d’un texte à l’autre. On y retrouve l’imaginaire foisonnant de l’auteure, sa drôlerie irrésistible, sa façon d’aborder des sujets sérieux sans jamais se prendre au sérieux. Malgré la gravité des situations abordées, Véronique Ovaldé aime ses personnages et leur offre la possibilité d’une rédemption. Sans doute sa manière de rendre hommage à la poésie improbable de « nos vies imparfaites ».



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À nos vies imparfaites

Une petite lecture bien agréable.



A nos vies imparfaites de Veronique Ovalde nous présente 8 personnages .

Certains ont un lien familial, de voisinage, d’amitié, de rencontre amoureuse… et d’autres pas.



Ces 8 nouvelles se lisent comme si vous étiez spectateur de leur vie.

Chacun a ses tourments parfois depuis leur enfance , d’autres depuis leur age adulte.



J’ai beaucoup aime cette lecture car j’ai trouve que c’était un roman qui place le lecteur comme un visiteur dans plusieurs vies. J’ai beaucoup aime les histoires sur les personnages de Auguste, d’Eva, de Marguerite, de Rachel et de Lazlo qui ont une histoire commune et peut etre un peu moins les personnages de la fin.



Mais il s’agit d’une très belle parenthèse de lecture entre des lectures de thriller et de polars . Un moment doux
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À nos vies imparfaites

Véronique Ovaldé imagine une galerie de personnages esquintés par l'existence. Avec humour et finesse sociologique.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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À nos vies imparfaites

Quel plaisir que des nouvelles aussi bien tournées, d’autant plus que l’auteure tout en donnant à chacune une identité propre les relie avec un fil rouge romanesque.

J’ai surtout apprécié le calme et la sérénité que provoquent cette lecture.

Bien sur, les différents personnages ont quelques problèmes avec leur vie, mais leur destinée est positive et la belle écriture de V.Ovaldé sait les mettre en valeur.
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