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Critiques de Véronique Ovaldé (1269)
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13 à table ! 2021

Trouvé dans une boîte à livres, je n'ai pas pu m'empêcher de le prendre avec moi, tant j'ai apprécié l'édition 2016 de 13 à table. Et je n'ai pas été déçu par la version 2021 !

Comme toujours, les auteurs se succèdent avec des nouvelles ayant l'amour en thème principal. J'ai eu une grosse préférence pour la nouvelle de Jean-Paul Dubois qui met en lumière l'amour entre l'homme et l'animal. C'est la seule qui m'a décroché une larme !

Celle de Franck Thilliez était vraiment géniale aussi, avec un petit côté fantastique que j'adore !

Par contre, je suis passé complètement à côté de celle de Véronique Ovaldé..
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À nos vies imparfaites

Dans son dernier recueil de nouvelles, la romancière s’amuse tendrement de nos « Vies imparfaites ».
Lien : https://www.lepoint.fr/livre..
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À nos vies imparfaites

Huit histoires, huit existences imparfaites. Dans son recueil de nouvelles, l?auteur raconte avec humour les turpitudes humaines.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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À nos vies imparfaites

Je n'ai pas lu ce recueil mais je l'ai écouté lu par l'auteur et c'est un pur délice!!

Son ton, ses intonations collent si parfaitement au texte que j'ai eu l'impression de l'avoir sous les yeux.

Tous les livres audio devraient être lus par leur auteur!!
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Fille en colère sur un banc de pierre

J’ai abandonné cette lecture tant l’écriture m’était insupportable! Une mélange incessant de langages châtié et populaire, une utilisation excessive des parenthèses, qui par ailleurs n’apporte rien, si ce n’est de la lourdeur.

Ma deuxième déception de l’année.
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13 à table ! 2021

Cette édition est globalement plaisante à lire, habituellement j'ai toujours quelques déceptions mais là je n'en ai pas eu hormis la nouvelle de Véronique Ovaldé dont je n'ai pas compris le sens.

Certaines sont plus plaisantes que d'autres, toutes ont le thème du "premier amour".

J'y ai retrouvé une de mes auteurs chouchous (Leïla Slimani) et découverts certains autres notamment Tonino Benacquista (Malavita m'attend dans ma PAL d'ailleurs) et Philippe Besson.

Toujours agréable de faire une bonne action en achetant ce livre.

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À nos vies imparfaites

Les romans de Véronique Ovaldé, souvent situés dans des lieux qui n’existent pas, frappent par la puissance de l’imaginaire onirique de l’auteure qui s’enroule telle une liane autour de l’intrigue. Si le genre de la nouvelle reste très prisé outre-atlantique, il est hélas considéré, à tort, comme mineur en Europe, où le roman tient le haut du pavé. Auteure accomplie, Ovaldé fait ainsi preuve d’un certain panache en publiant « À nos vies imparfaites », son premier recueil de nouvelles.



La première des huit nouvelles du recueil nous conte le destin singulier d’Auguste Baraka, qui doit son surnom à une malchance légendaire. Une malchance telle que notre héros, ingénieur du son de son métier, a rejoint les MA, les Malchanceux Anonymes, un groupe de parole dédié à tous ceux qui comme Auguste doivent affronter une malchance difficile à concevoir. Un jour de grève, il visite un appartement où il compte installer un studio d’enregistrement. Un endroit particulièrement calme et parfaitement adapté au projet d’Auguste. C’est une certaine Éva Coppa, agente immobilière peu efficace, qui s’occupe de la transaction. Auguste est tellement enthousiaste qu’il propose à Éva, dont le charme ne le laisse pas insensible, de conclure sur-le-champ l’acquisition de l’appartement. Cette dernière hésite, car elle sait que l’immeuble est situé au-dessus d’un croisement entre deux lignes de métro, et qu’excepté les jours de grève, le lieu est extrêmement bruyant et tremble toutes les deux minutes. Mère célibataire d’une petite fille dont le père n’a jamais saisi la notion de pension alimentaire, elle décide de vendre l’appartement à Auguste, pour toucher sa commission.



Le twist final nous apprend que, des années plus tard, Auguste et Éva se remémoreront ce jour si particulier, le jour de leur rencontre. Un twist qui éclaire rétrospectivement la nouvelle d’une lueur teintée d’espoir. S’il n’a pas fait l’affaire du siècle en achetant cet appartement, Auguste a rencontré la belle Éva et peut-être enfin vaincu le mauvais sort. « Les désarrois d’Auguste Baraka » nous rappelle enfin que la chance est une notion toute relative et qu’une rencontre amoureuse ne saurait se comparer à une transaction immobilière, aussi malheureuse soit-elle.



***



Si les nouvelles peuvent se lire indépendamment les unes des autres, Véronique Ovaldé tisse une toile qui les relie, en faisant de l’un des personnages secondaires d’une nouvelle, le personnage principal de la nouvelle suivante. La deuxième nouvelle approfondit ainsi la destinée d’Éva Coppa, tandis que la troisième nous conte l’adolescence insolite de sa fille qui se fait appeler Bob et ainsi de suite. Si le personnage d’Éva Coppa apparaît dans plusieurs nouvelles, « À nos vies imparfaites » n’est pas un roman déguisé, tant les nouvelles du recueil explorent des univers distincts. A la manière de Joseph Incardona, l’auteure s’adresse parfois directement au lecteur, pour lui donner son avis sur telle ou telle situation. Des incises discrètes et décalées qui font mouche.



« Mon amie chinoise me dit toujours que son nom lui ouvre les portes de n’importe quel service d’ingénierie informatique, les humains sont accablants, je ne vous le fais pas dire. »



Les fins des nouvelles sont particulièrement percutantes. Elles nous proposent tantôt un twist inattendu, tantôt une conclusion qui donne au texte une couleur que l’on n’avait pas décelée. Démiurge littéraire facétieux, Véronique Ovaldé surprend son lecteur avec une facilité déconcertante. Un effet de surprise, jamais artificiel, qui confère au recueil toute sa force de percussion.



***



Les nouvelles nous sont étrangement familières, dans la mesure où nous y retrouvons l’un des protagonistes de la nouvelle précédente et pourtant surprenantes, tant les univers abordés diffèrent d’un texte à l’autre. On y retrouve l’imaginaire foisonnant de l’auteure, sa drôlerie irrésistible, sa façon d’aborder des sujets sérieux sans jamais se prendre au sérieux. Malgré la gravité des situations abordées, Véronique Ovaldé aime ses personnages et leur offre la possibilité d’une rédemption. Sans doute sa manière de rendre hommage à la poésie improbable de « nos vies imparfaites ».



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À nos vies imparfaites

Une petite lecture bien agréable.



A nos vies imparfaites de Veronique Ovalde nous présente 8 personnages .

Certains ont un lien familial, de voisinage, d’amitié, de rencontre amoureuse… et d’autres pas.



Ces 8 nouvelles se lisent comme si vous étiez spectateur de leur vie.

Chacun a ses tourments parfois depuis leur enfance , d’autres depuis leur age adulte.



J’ai beaucoup aime cette lecture car j’ai trouve que c’était un roman qui place le lecteur comme un visiteur dans plusieurs vies. J’ai beaucoup aime les histoires sur les personnages de Auguste, d’Eva, de Marguerite, de Rachel et de Lazlo qui ont une histoire commune et peut etre un peu moins les personnages de la fin.



Mais il s’agit d’une très belle parenthèse de lecture entre des lectures de thriller et de polars . Un moment doux
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À nos vies imparfaites

Véronique Ovaldé imagine une galerie de personnages esquintés par l'existence. Avec humour et finesse sociologique.
Lien : https://www.lalibre.be/cultu..
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À nos vies imparfaites

Quel plaisir que des nouvelles aussi bien tournées, d’autant plus que l’auteure tout en donnant à chacune une identité propre les relie avec un fil rouge romanesque.

J’ai surtout apprécié le calme et la sérénité que provoquent cette lecture.

Bien sur, les différents personnages ont quelques problèmes avec leur vie, mais leur destinée est positive et la belle écriture de V.Ovaldé sait les mettre en valeur.
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Fille en colère sur un banc de pierre

Aïda qui vit à Palerme, revient dans son île natale après quinze ans d'absence et de silence.

Elle appréhende les retrouvailles avec ses deux sœurs et sa mère.

Enfant, elle était fusionnelle avec sa petite sœur Mimi qui a disparu le jour du carnaval.

La famille l'a tenue pour responsable, d'où son exil à Palerme.

Elle compte bien en rentrant sur l'île comprendre la disparition de Mimi.

C'est une histoire de famille.

Une famille un peu complexe et des relations pas forcément faciles.

L'ambiance est intense et l'écriture serrée, pleine de longues phrases et de nombreuses virgules accentue cette intensité.

J'ai aimé découvrir cette histoire, cette famille, ces personnages, ces secrets, cette région.
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Soyez imprudents les enfants

La vie d'une adolescente espagnole change lorsqu'elle voit lors d'une visite au musée un tableau d'un peintre contemporain. Quelques mois plus tard, elle apprend que ce peintre est un cousin de son père que sa grand-mère a a élevée suite au décès de ses parents. A dix-huit ans, ce peintre ayant mystérieusement disparu, elle se lance à sa poursuite, à Paris d'abord où vit le plus grand spécialiste de son oeuvre puis en Andalousie où vit une de ses filles. Cette recherche est entrecoupée de chapitres sur l'histoire familiale. Entre les méduses, le Congo, le Brésil, le franquisme, on s'y perd un peu dans ce roman selon moi.
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À nos vies imparfaites

Il existe des romans qui ressemblent plutôt à un assemblage de nouvelles mais l'inverse, Véronique Ovaldé le prouve dans A nos vies imparfaites, est également possible. Sans se répondre tout à fait, les huit nouvelles qui composent le recueil ont parfois des personnages en commun, qui de principal deviennent secondaire et vice-versa. Au début, le livre semble devoir ressembler à La Ronde de Schnitzler mais finalement non, l'autrice préfère les surprises aux scenarii trop prévisibles. Une fois de plus, Véronique Ovaldé démontre que la légèreté et la fantaisie font bon ménage avec la profondeur et la réflexion, combien d'écrivains peuvent se targuer de réussir une telle alchimie ? Les nouvelles sont courtes et plaisantes, toujours centrées sur un personnage attachant, lequel se débrouille tant bien que mal avec son inné et ses acquis, dans une vie imparfaite, laquelle ne l'est pas, mais c'est la sienne. Quelques drames, incidents et regrets surviennent mais de ces aléas et de la mélancolie de l'existence, en général, V.O fait son miel avec l'ironie, l'humour et l'élégance qu'on lui connaît. A nos vies imparfaites ne remplace pas un gros et bon roman de l'écrivaine mais il serait injuste de déprécier cet exercice de style qui pourrait représenter, pour ceux ou celles qui n'ont pas encore découvert son talent, une entrée en matière idéale pour goûter la petite musique d'une autrice qui ne déçoit jamais quand il s'agit de réenchanter la vie.
Lien : https://cinephile-m-etait-co..
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À nos vies imparfaites

🫴 Un recueil de vies avec leurs blessures, leurs petits côtés claudiquants, leurs gaucheries, leurs petits défauts, leurs tas de poussière sous le tapis.



🫴 En lisant ce livre j'avais l'impression d'être penchée à ma fenêtre et d'observer la vie de chaque habitation de l'immeuble d'en face. Sans voyeurisme, ni méchanceté, juste cette coquetterie d'observer un peu la vie des autres.



🫴 Et j'ai trouvé cela doux et beau. Un peu court par contre, j'aurais aimé entendre parlé de José le concierge, de John le nouveau stagiaire de la grosse firme internationale... C'est tellement succulent que l'on ne peut qu'en redemander.



🫴 J'aime beaucoup le style de Véronique Ovaldé, la rythmique des textes, le jeu des consonnes, les sifflantes, les percutantes. C'est délicieux à voix haute.



🫴 J'ai eu de l'affection pour Rachel, Bob/Rose, Lilly et Joe. Des bribes de vie plein d'humour, de positivité malgré les aléas. C'est vivant et humain. Tout ce que j'aime dans l'écriture.
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À nos vies imparfaites

J aime lire des nouvelles, de temps en temps, pour aller au bout d une histoire en une seule lecture, ce qui est difficile face à un roman.

J ai bcp aimé les personnages mis en scène pour Véronique Ovaldé: on entre rapidement dans leur vie, on attend la chute comme un moment fort de leur vie.

Sans spoiler le déroulement global, bravo à l auteure pour l enchâssement des nouvelles les unes dans les autres. A la fin ce fut un délice pour moi de repenser à ce que j ai lu.

Une question tout de même : qui est le narrateur ??
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Fille en colère sur un banc de pierre

Ce roman m’intriguait depuis qu’il avait obtenu le prix des romancières au Forum du Livre de Saint Louis l’an dernier. J’ai sauté sur l’occasion de le lire lors de la préparation du Club de Joss du mois de mars (lien). J’ai bien aimé pour l’ambiance et le mystère.



L’histoire nous est contée par un (une) narrateur (trice) qui nous fait suivre Aïda à son retour sur l’île de son enfance pour l’enterrement de son père. Son retour est étrange, plein d’évitements et de non-dits dans une ambiance malaisante.



Les secrets semblent habiter cette île et l’autrice les dévoile petit à petit, comme dans un thriller. Il y a un soupçon de tension psychologique qui nous fait nous demander pourquoi Aïda a été tellement mise au banc de la société.
Lien : https://lesmotsdevirginie.wo..
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Fille en colère sur un banc de pierre

Je pense que c'est le 3ème Ovaldé que je lis, je sais que j'avais bien aimé "Ce que je sais de Vera Candida" il y a un paquet d'années,

ici, comment dire ? J'aime toujours beaucoup le style de l'écrivaine, son rapport à ses personnages, mais

pfff, ce roman est trop long pour ce qu'il est; rapidement on se traîne, on se démotive.

Il y a (pour moi) une très grosse surprise vers la fin, mais la fin en elle même est juste frustrante.



C'est l'histoire d'une vie écrasée par le poids d'une culpabilité...

Lorsqu'elle avait 8 ans, Aïda a perdu Mimi, sa petite soeur de 6 ans, une nuit de carnaval dans la petite île sicilienne où elles vivent. Pendant 9 ans, elle reste subir la colère de son père; puis sa mère l' "extrade" à Palerme. 15 ans plus tard Aïda revient sur son île pour enterrer son père. Comment sa mère, et surtout ses 2 soeurs aînées qui n'ont jamais pris de ses nouvelles vont-elles l'accueillir?

Réveil de souvenirs toujours en embuscade, la petite Mimi est plus qu'omniprésente dans les esprits ..
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Personne n'a peur des gens qui sourient

J'aime les livres qu'on me recommande.

Celui-ci est le livre qu'une collègue m'a prêté et dont elle m'a dit le plus grand bien. Intriguée par le résumé et en confiance totale avec son choix (elle m'a fait lire La décision de Karine Tuil qui a été une magnifique découverte que j'ai tout bonnement adorée) je met le livre dans mon sac.



Alors forte de sa recommandation et de mon ancienne découverte, je me plonge dans ce livre.



Et alors là, les pages durent et durent, le temps s'éternisent comme 1h de cours dans une classe surchauffée avec un prof qu'on déteste.

J'ai mis beaucoup de temps à le lire car je n'ai pas accroché. Mais hors de question de rendre le livre sans l'avoir terminé (pas de défaite svp).



Bon les critiques (en dehors de la mienne) sont plutôt bonnes. Alors on va dire que je suis passée à côté de l'histoire, des personnages et du message de fond.



Est-ce que j'ai perdu mon temps ? Oui et non. Je vais pouvoir rendre ce livre à sa propriétaire et lui dire ce que j'en ai (sincèrement) pensé. J'ai découvert une nouvelle autrice. Et grâce à ma critique je me souviendrais de ne pas emprunter ou acheter un nouveau livre de cette autrice.



Enfin sûrement jusqu'à ce qu'on me conseille de façon dithyrambique un nouvel ouvrage et que je me plonge dedans en me disant : pourquoi pas ?
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Déloger l'animal

Dès le départ je me suis dit "ok là on tient quelque chose".



Rose petite fille de 15 ans, probablement avec un retard de développement, un problème de croissance, de comportement, peut-être une déficience, un problème de santé mentale ou un TSA, cherche des explications à la disparition de sa mère. Ne cherchez pas, on n' arrive pas vraiment à comprendre son trouble à l' exception de sa petite taille.



Rose nous raconte son histoire, elle est impulsive, farfelue et crue. Elle porte une cape de magicien, s'occupe de ses lapins et déteste aller à l' institut. Sa mère, une femme superbe, diaphane et fantasque, portant une perruque blonde synthétique et un maquillage vulgaire ne rentre pas à la maison. Monsieur Loyal, son père/beau-père/ pas son vrai père ne dit rien, ne cherche pas à expliquer sa disparition, il reste complètement apathique.



Menée par la blessure de l' absence de sa mère qui ne "serait jamais partie sans elle" et par la colère de voir son entourage lui dissimuler tout ce qui la concerne elle, son histoire et celle de sa mère, elle enquête dans son petit monde pour élucider le mystère. Car bien qu'elle soit différente, elle n' est pas idiote. Sa perception biaisée ne l' empêche pas d' avoir un regard incisif sur le monde.



Face à l' apathie de Monsieur Loyal, Rose n' a d'autres choix que de se tourner vers la vieille voisine madame Isis, qui semble connaître les secrets de sa mère.



Entre les bribes des souvenirs qu'elle garde de sa mère et les anecdotes révélées par la voisine, une histoire se dessine. Rose met en scène le passé de sa mère. Une ode pleine d' amour, de compassion et de mystères l' accompagne dans sa détresse.



Il s'agit ici d'un récit qu'on ne souhaite pas quitter. Plus le roman avance, plus on panique: mais comment tout cela va finir?

L' auteur nous mène et nous malmène. Entre les réflexions impudiques de Rose, on découvre l'humour noir de l' auteur.

On ne sait plus distinguer le vrai du faux, mais on souhaite ardemment que la petite Rose trouve la vérité.

Rose, une enfant différente et difficile à comprendre, nous reflète ce que c' est que la disparition d'un parent qu'on n' a pas assez connu. Lorsqu'on recherche notre passé sans que personne ne sache nous le raconter.

Une histoire sur l'amour, l' admiration et parfois le jugement qu'on porte sur nos mères.



Déloger l' animal, c' est grandir, admettre et accepter cette peur, cette douleur et cette colère qu'on ne peut éviter lors d'un abandon. Déloger l' animal, c' est exorciser l' illusion pour regarder la vérité en face, même lorsqu'elle est décevante.

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À nos vies imparfaites

Comme un maillage de l’humain avec les doutes, les ressemblances et surtout les imperfections ces 8 nouvelles qui sont 8 portraits de personnes liées par le hasard de la vie.

C’est écrit avec humour et élégance avec toujours quelques mots inventés comme une signature cachée de l’autrice.



J ai picoré chaque portrait, avec une préférence pour celui d’Herman !
Lien : https://www.instagram.com/p/..
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