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Critiques de Vincent Delareux (171)
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Le cas Victor Sommer

Entrainant, ce livre se lit rapidement et comporte du suspense. Dans une ambiance sombre, parfois électrique, j'ai eu beaucoup d'empathie pour Victor. Le jeune homme a été captif toute sa vie, il a subi le caractère névrosé de sa mère. J'ai ressenti du soulagement lorsqu'elle a disparu, et pourtant, j'avais hâte de savoir ce qu'elle était devenue (même si j'avais ma petite idée). J'ai bien aimé la structure du roman : plusieurs parties qui marquent l'évolution de l'histoire. Le récit retranscris toute la mélancolie et la gravité de la situation, les diverses émotions sont palpables, c'est prenant. Soignée, la plume de Vincent Delareux est agréable à lire.

(avis complet sur le blog)
Lien : https://leslecturesdangeliqu..
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Le cas Victor Sommer

Pour commencer, je remercie l'auteur pour m'avoir proposer son roman en découverte via le site Simplement Pro.



Victor Sommer à 33 ans et vit avec sa mère. Il ne m a jamais quittée. Il n a pas d emploi, ni de vie sociale et il est célibataire. Sa vie tourne exclusivement autour de Maman. Voilà le début de l histoire...



Ce livre ressemble plus à un journal intime qu'à un roman au sens propre du terme. Mais il a une particularité: Victor a commencé à l'écrire quand il avait 33 ans, âge qu'il avait au moment de son décès. Oui vous lisez bien. Il a ressenti très tard de mettre par écrit son ressenti et pour cause.



On a cette certitude qu'une mère aime son enfant plus que tout et qu'elle est là pour l'aider à grandir, à évoluer et à prendre son envol mais dans certains cas, cette mère peut être égoïste et croit aimer son enfant alors qu'en réalité c'est de la dévotion, l'amour extrême qui peut se révéler nocif voire destructeur. Dans cette histoire, Victor fait les frais de cet amour maternel qui l'étouffe, l'esseule et le détruit petit à petit sans qu'il ne s'en rende compte jusqu'à un moment où son cerveau beugue et oublie certaines choses pour le protéger. Mais un jour, le voile se lève et il voit sa vie autrement et comprend que certains de ses actes ont eu des conséquences irréparables. Je ne peux vous en dire plus sinon je vous raconterais l'histoire complète.



Cette histoire qui pourrait paraître exceptionnelle est certainement plus répandue que l'on ne le croit. Une mère abusive qui veut garder son enfant pour elle uniquement. Oui c'est une mère, pas une maman. Je fais cette différence car le mot "maman" est un mot affectueux qui fait référence à cette personne qui nous aime sans condition et qui nous aide à grandir, à devenir indépendant, à trouver notre voie. Il est difficile d'imaginer ce que Victor a pu ressentir en découvrant l'envers du décor et ce journal nous l'explique avec des mots simples mais douloureux. La douleur transparait tout au long du récit. L'auteur met beaucoup d'émotions dans son récit et permet au lecteur de comprendre ce que Victor a vécu. L'histoire est fluide et ponctuer de moments forts et tristes. Il nous montre que le cerveau sait la vérité mais qu'il peut la cacher pour aider la personne a avancé et quand il sent qu'il est prêt à voir la vérité, le cerveau la dévoile sous forme d'énigme afin que la personne soie moins choquée. mais est-ce possible de rester de marbre face à cette histoire et ses conséquences? Non, le récit m'a émue, bouleversée. Le roman est tout simplement génial. Mais j'ai une question qui me trotte dans la tête: est-ce un simple récit ou y a t il une part de vérité? Car franchement si c'est juste une histoire, c'est fou comme elle donne une impression de réalité tellement les mots sonnent juste.



Douleurs, haine, questionnement sur sa vie et recherche de soi sont les ingrédients de ce roman qui ne m'a pas laissé de marbre et qui je suis sûre plaira à un grand nombre d'entre vous tellement il est très bien écrit. Je remercie l'auteur pour me l'avoir proposé car il est excellent. Surtout n'hésitez à le lire ....




Lien : https://cocodelecturebelge.b..
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Le cas Victor Sommer

Une lecture rapide et surprenante !

Un roman qui nous fait entrer dans la tête d'un homme, Victor, complètement emprisonné par sa mère. Il va enfin essayer d'exister et de vivre pour lui à partir du jour où sa mère disparait sans laisser de trace. Mais pas facile de vivre pour soi quand on a vécu tant d'années pour quelqu'un d'autre...

Une histoire surprenante et très bien écrite qui nous offre une lecture agréable.

Je recommande vivement !
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Le cas Victor Sommer

Ce roman est une véritable pépite. Il est aussi noir que prenant.



C'est une véritable plongée dans le monde de Victor Sommer, dans cet univers sombre à l'ordre bien établi sous l'égide d'une mère tyrannique. Le quotidien de celui-ci semble tracé, confiné en réalité. Jusqu'à ce que la disparition de sa mère opère un véritable bouleversement.



L'écriture est fluide, agréable. Les personnages sont très intéressants, particulièrement bien dépeints. J'ai eu un véritable coup de coeur pour Victor Sommer, finalement n'est-il pas l'incarnation d'une part de noirceur qu'on porte tous dans notre coeur ? Et puis exister et non seulement vivre, n'est-ce pas la volonté de tous ?



Le fait qu'il y ait plusieurs niveaux de lecture est réellement appréciable : on peut y trouver un roman palpitant, avec des rebondissements. Ou bien un roman psychologique et philosophique. Dans tous les cas, il est très bien mené et saura vous captiver. Jusqu'au bout.
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L'idole

Moi, je veux mourir sur scène. Devant les projecteurs...

Terribles et touchantes paroles de cette magnifique chanson de Dalida qui exprime tout le désarroi d’une star qui refuse d’abdiquer dans l’anonymat et de perpétrer le métier qu’elle adore jusqu’au bout de sa vie.

Dalida, SÉRAPHINE la connaissait bien.

Elles étaient même amies car elles ont arpenté les scènes de France et de Navarre durant des années à chanter et à faire danser leurs publics dans des salles combles.



SÉRAPHINE, le soleil, l’astre lumineux, le jaune incandescent, le canari jaune, tous ces surnoms qui l’ont suivis tout le long de son chemin vers le succès.

Mais à 47 ans et une nouvelle génération de chanteuses naissante, elle n’est plus dans le coup. Son imprésario, BERNARD, la pousse pourtant à remonter sur scène uniquement pour la pompe à fric, mais la Diva n’en peut plus.

À l’extérieur, elle brille de mille feux; à l’intérieur, le feu l’a consumée.



Lorsqu’un soir de gala, elle veut en finir avec cette vie qu’elle déteste désormais, car privé de l’homme qu’elle aimait et lassée d’un métier auquel elle a pourtant tout donné, elle est subitement enlevée et mise en captivité dans un lugubre sous-sol.

Elle pensera à un coup de pub de son imprésario pour relancer sa carrière, mais l’auteur de l’enlèvement, un homme au comportement plus qu’étrange, semble plutôt lui vouer une admiration sans bornes.

Quel est le véritable dessein du ravisseur et qu’adviendra-t-il de notre chanteuse populaire aux cheveux dorés?



VINCENT DELAREUX m’a totalement happé avec ce roman L’IDOLE.

Je n’ai presque pas lâché le livre une seconde tellement je voulais savoir ce qu’il se passerait entre ces deux personnages.

Son écriture est fluide, légère et rythmée.

L’essentiel du récit est basé sur les discussions entre la star lumineuse et son kidnappeur, mais cela ne gâche en rien la qualité du texte. Que du contraire.

Le style est très réaliste, voire cynique sur le monde du show-business principalement.

L’auteur aborde finement la psychologie des personnages.

Avec SÉRAPHINE, il dépeint la vérité sur ce qu’elle est réellement et le personnage médiatique qu’elle est devenue. On ressent sa détresse, sa colère et ses angoisses. Malgré son caractère capricieux, on ne peut que ressentir de l’empathie envers elle.

Idem avec le ravisseur qui, avec un lourd passé et à sa manière, nous donnera aussi quelques larmes aux yeux.

Les dialogues sont truculents. De vraies joutes verbales et les clashs fusent.

Ca part dans tous les sens et c’est jouissif.

L’écrivain, hormis le côté showbiz, va aborder des thèmes plus difficiles comme la relation avec Dieu, le deuil, la mort, la solitude, les douleurs du passé, mais toujours avec un ton léger qui ne tombe pas dans le pathos.



VINCENT DELAREUX nous offre un récit très psychologique où il explore les failles et les angoisses d’un quidam ou d’un personnage ultra médiatisé. Avec une écriture moderne et un style très incisif et cynique, on termine ce livre avec beaucoup de questions existentielles alors qu’on pensait lire un simple thriller.

Excellent moment lecture.
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Les pyromanes

iLes Pyromanes, je n'ai qu'un seul mot magistral !! Cela donne tout son sens au Cas Victor Sommer. On est embarqué dans la folie intelligente de Françoise, on lui pardonne tout car son existence depuis son arrivée sur terre n'est que souffrance, on plonge littéralement dans l'abîme des passions humaines. Je dis bravo, j'adore cette façon d'écrire, quand on commence à lire on a envie d'aller au bout pour savoir. Merci Monsieur Vincent Delareux !!
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Le cas Victor Sommer

C’est un roman très court. Il m’a fallu un petit temps d’adaptation pour entrer dans le livre car c’est décalé. Et une fois ce temps d’adaptation passé, ce livre se lit d’une traite.



On se doute dès le début du dénouement de l’histoire mais on se demande quel sera le chemin pour y arriver.



Le personnage est un peu déroutant et met globalement mal à l’aise. Mais en plus de ce côté sombre, ce livre questionne aussi sur l’éducation et la relation parent-enfant.



Un livre surprenant qui m’a fait sortir de ma zone de confort !
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Les pyromanes

Hier soir j’ai terminé ma lecture du nouveau roman de Vincent Delareux : Les Pyromanes, paru chez L’Archipel en cette rentrée littéraire. J’avais découvert la plume de Vincent Delareux à la sortie de son premier roman, l’an dernier : Le Cas Victor Sommer. Moi qui ne suis clairement pas une habituée des romans noirs, je m’étais délectée de son univers glaçant mâtiné d’interrogations à la Zola sur la question du déterminisme social. Son écriture m’avait rappelé celle de Maupassant : comme lui, Vincent a l’art de parler de la sombreur d’un quotidien sans attrait, subi de génération en génération.



Avec ce nouvel opus, j’ai eu l’impression de tomber tout entière dans la cheminée. De m’y rouler avec délectation, jusqu’à n’être plus qu’un tas de cendres. Vincent Delareux nous emporte ici dans les vies de Thérèse Sommer, infidèle en diable, et de Françoise, à qui elle donne le jour bien malgré elle. La première va immédiatement abhorrer cette enfant de malheur au plus profond de sa chair. Les années passant, leur coexistence dans ce petit village normand devient un vœu pieu pour Jeanne, la mère de Thérèse, sans qui Françoise n’aurait pas survécu. On prend alors de plein fouet la vision naturaliste de l’auteur : embarqué dans un train sans arrêt jusqu’au précipice, le lecteur est emporté par l’implacable déroulement des destins de damnés.



Avec ce roman noir, Vincent Delareux nous en fait voir de toutes les couleurs ! J’ai été impressionnée par la maturité de son écriture en matière de construction du récit, par la consistance de l’histoire et l’épaisseur des personnages, si mauvais qu’on se demande ce qu’il leur reste d’humanité. Chaque chapitre distille une goutte supplémentaire de poison dans les existences de ces femmes, qui semblent nées pour souffrir. On a l’impression que chacune passe sa vie à construire son propre échafaud. J’ai aussi apprécié les trouvailles de Vincent quant à l’enchainement des évènements. Quant à la façon dont Françoise érige la religion comme mode de vie, c’est fascinant. À pas lents et à bas bruit, on s’enfonce en enfer sans espoir de retour. Un roman flamboyant à découvrir d’urgence.
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Les pyromanes



Aujourd'hui je viens vous parler du dernier roman de Vincent Delareux "Les Pyromanes" aux Éditions de L'Archipel



Et sans faire durer le suspense, je peux vous dire que c'est un gros coup de coeur pour moi ❤



Ce roman m'a touchée par sa singularité et je trouve qu'il n'est pas aisé d'en parler sans trop en dire.



Je dirais donc qu'avant toute chose, "Les Pyromanes" se caractérise par son ambiance si singulière et se lit à travers le prisme de ses personnages !



Parce que OUI, ce roman est avant tout une histoire de femmes. De femmes fortes. Qu'elles soient attachantes ou antipathiques, aucune ne vous laissera indifférent !

A commencer par Thérèse, cette femme de caractère qui n'a que faire du "qu'en dira-t-on". Elle est jeune, belle et prend plaisir à mener tout le monde par le bout du nez. De son mari à ses amants, en passant par sa mère, Jeanne. Elle est libre, indépendante. Mais sa vie bascule lorsque nait sa fille, Françoise.



L'une d'elles est de trop ! 😰



Cette dernière, non désirée, grandit entre haine et violence. Très croyante, la prière l'aide à se construire, ainsi que Jeanne, sa grand-mère, qui lui offre quelques parenthèses de tendresse.



Privée de l'amour d'une mère, Françoise s'épanouit donc grâce à l'attention que lui porte Jeanne. Mais n'est-il pas trop tard ? Le mal n'engendre-t-il pas le mal ?



Quand vient le jour où Françoise fait la connaissance de son cousin Antoine, tout son petit monde se verra chambouler.



Entre amour, passion et haine ce roman enflammera votre coeur de lecteur(triche) passionné(e) 🔥❤



Je vous laisse réfléchir à cette phrase : Jusqu'où êtes vous prêt à aller par amour ??

Et pour savoir jusqu'où est allée Françoise, je vous invite à lire ce roman brûlant ❤❤

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Les pyromanes

Je crois qu’il suffit de lire quelques lignes du prologue, pour ne plus jamais réussir à refermer ce livre. C’est en tout cas ce qui m’est arrivé. Et les premiers instants avec le personnage de Thérèse Sommer donnent le ton : un village normand, une femme délurée qui use ses draps avec d’autres hommes que son époux : elle est manipulatrice, égoïste et méchante.



L’arrivée d’un bébé ne va pas l’adoucir, bien au contraire. Elle va exécrer sa fille dès sa naissance. Françoise, vivra sans amour ni attention. Elle pourra avoir quelques instants de répit auprès de sa grand-mère. Jusqu’où les deux femmes seront prêtes pour s’imposer l’une sur l’autre ? Comment peut-on détester autant son enfant ? Comment se construire alors qu’autour de nous tout n’est que saleté, misère et violence ?



J’ai simplement tout aimé dans ce roman : le style de l’auteur, qui nous propose un ton et une voix bien différente de ce que j’ai l’habitude de lire. Il y a un coté classique dans l’écriture, mais avec beaucoup de modernité. Il nous livre des personnages finement travaillés, il ne leur épargne rien et n’hésite pas à nous montrer ce qu’il y a de pire en eux.



J’ai été transportée, dans une ambiance malsaine et glauque. C’est sombre, c’est noir et lugubre. On a envie de croire qu’un peu de lumière pourrait apaiser les personnages, mais on comprend bien que ce n’est pas le dessein de l’auteur.



Un roman brillant, c’est juste excellent : il y a du Zola dans cette histoire, par sa laideur et son coté étouffant et par la description d’une famille, d’un village, dans des conditions sociales provinciales misérables. Un roman très visuel, aux touches cinématographique, mais musical également: ma lecture, faisait aussi résonner dans mon imaginaire, le vibrato d’Edith Piaf.



Un vrai coup de cœur pour ce roman. Je me suis sentie honteuse d’avouer à l’auteur que j’avais son premier roman qui attendait sagement dans ma PAL depuis bien trop longtemps. Autant dire, que je vais me jeter dessus sans plus attendre, maintenant que je connais le talent de Vincent Delareux.
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Les pyromanes

Les années 50, dans un petit village. Thérèse cumule les amants. Son mari Serge est pécheur et est donc peu présent. Et lorsqu’il est là il est tellement alcoolisé qu’il s’effondre en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Alors Thérèse, elle en profite. Mais le jour où elle découvre qu’elle est enceinte, son monde s’écroule. Elle, la belle Thérèse, celle que tous désirent, ne peut se permettre d’avoir un enfant. Alors elle souhaite par-dessus tout que cette grossesse s’arrête. Mais rien n’y fait et la petite Françoise pointe le bout de son nez un jour de mars.



L’accouchement a lieu à la maison, Thérèse est secondée par la doyenne du village, un peu malvoyante mais très clairvoyante. Cette dernière annonce d’ailleurs une sentence qui fait froid dans le dos. Cette enfant non désirée, Thérèse va l’ignorer puis la haïr. Il n’y a en effet pas de place pour deux femmes dans la maison…Heureusement que Jeanne, la mère de Thérèse prend Françoise sous son aile.



Mais quelle merveille ce roman! J’ai absolument tout aimé. Je découvre la plume incisive et limpide de Vincent Delareux. Les personnages ont une profondeur psychologique intense. On sent la tension, les drames sous-jacents et on est hypnotisé par ces femmes. Cette mère et cette fille. Et on ne cesse de se poser cette question omniprésente dans le roman: comment peut-on haïr sa fille de la sorte?



On en apprend alors un peu plus sur l’enfance de Thérèse et sur l’histoire de cette famille qui se répète. J’ai eu énormément de peine pour Françoise et je l’ai trouvée plus d’une fois si courageuse et pleine de résilience. Elle m’a plus d’une fois fait penser à ces héroïnes grecques, belles, magnétiques et faussement résignées…



Paradoxalement, pour cette famille païenne et pas vraiement sainte, la religion a une place importante et apparaît en filigrane tout au long du roman. Comme Sainte Thérèse, forcément, pour qui Françoise voue un culte et qui occupera une place très importante dans le récit.



Je conseille?



Vous l’avez compris, c’est un énorme coup de cœur!!!!! Que vous dire de plus à part que ce roman est une pépite et qu’il faut absolument le découvrir!! C’est sombre mais c’est diaboliquement addictif. Ce trio de femmes nous maintient en haleine tout au long de la lecture. Et elles ne nous épargnent pas! Vincent Delareux réussit à nous hypnotiser durant tout le récit. À nous figer même, car une fois commencée, il vous sera impossible de lâcher cette petite merveille. C’est typiquement le genre de roman que n’êtes pas prêt d’oublier! Foncez le lire!!!
Lien : https://ladybookss.wordpress..
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