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Critiques de Wei-Jan Chi (10)
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Rue du dragon couché

Ce dragon avait tout pour me plaire : coloré, asiatique, fascinant, astrologique, puissant, dévorant, mythique, mystique, mystérieux, sauvage...

Sa rue ne pouvait être qu'intrigante et se balader dans les quartiers de Taïpei ne pouvait être que dépaysant et addictif.

C'est avec ces sentiments d'urgence, de force, de liberté et de dévotion que je me suis plongée dans les lignes de ce roman, comme les dragons de Danaerys plongent sur les ennemis de leur Reine, les babines déjà salivantes de la saveur de leur prochain festin.



Et pourtant... Dès les premières pages, une espèce de langueur brumeuse s'est installée, me coupant ferme dans mon élan enthousiaste.

Wei-Jan Chi plante son décor et la psychologie de ses personnages de manière lente, patiente, contemplative. Trop...

Quel contraste déstabilisant avec mon énergie en vol.



Le dragon de lectrice en moi s'est retrouvé à chuter lourdement, perdant au passage quelques écailles et sa fougue légendaire.

J'ai failli abandonner le combat.

Mais je suis de celles qui vont au bout de l'aventure.

J'ai repris du poil de la bête. Je me suis relevée, debout comme un seul homme, comme une seule femme ou comme Falkor-Fuchur pour une Histoire sans fin.... ou pour la fin de l'aventure de la Rue du dragon couché.



Et au final j'ai bien fait. La deuxième partie du roman est plus dynamique. L'enquête pour trouver le serial killer du quartier se fait quête d'identité, de croyances et d'intériorité. La dragonne en moi plane et survole le quartier des Pompes funèbres. L'histoire s'en va vers son dénouement.



J'atterris, avec maîtrise, sans grande surprise. Le danger s'écarte et je peux rentrer dans ma grotte, le sentiment du devoir accompli. J'aurais espéré une fin surprenante. Je reste sur ma faim. C'est pas grave. C'est l'heure d'hiberner.



Le voyage fut intéressant, sans plus. Je dois être une dragonne un peu trop occidentale pour comprendre la profondeur et la richesse de ce texte.

Je retournerai à Taïpei un jour, lorsque sera venue la prochaine année du Dragon. En attendant, je garde mon feu sacré en moi pour le laisser jaillir lors d'une prochaine lecture coup de coeur.
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Rue du dragon couché

Rue du dragon couché Chi Wei-Jan Calmann-Lévy janvier 2019 #ruedudragoncouché #NetGalleyFrance

Taiwan, Taipei. Wu-cheng, universitaire, dramaturge connu, décide de tout laisser tomber ! Il a besoin de prendre du recul, de sortir d'un milieu dans lequel il étouffe. le voilà donc installé comme détective privé Rue du Dragon couché .Regardé très bizarrement par le voisinage il passe outre. Sa première cliente Mme Lin lui confie une enquête.

Peu de temps après des meurtres sont commis à proximité de son domicile et il va se retrouver suspect numéro 1 ....

Arrivera t'il à se disculper?

Un roman dépaysant c'est le moins que l'on puisse dire. Une plongée au coeur de Taiwan, de ses us et coutumes, de ses habitants, de leur religion, de la toute puissance des caméras de surveillance et de l'omniprésence des médias.

C'est sans aucun doute ce que je retiendrai de cette lecture. Il m'a été difficile de m'immerger dans les propos souvent abscons de notre détective, la première partie m'a semblé à la fois longue et lente, la seconde partie avec la recherche du tueur en série bouge d'avantage et du coup mon intérêt s'est réveillé, il était temps .Un lecture en demi-teinte pour moi qui ne connait ni Taiwan et le méandre de ses rues ni le bouddhisme, il est des romans qui sortent assez difficilement de leurs frontières.

Un très grand merci aux éditions Calmann-Lévy-Lévy pour ce partage

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Rue du dragon couché

Rue du dragon couché n'est pas un polar tendu et plein de suspense. On est plutôt sur un roman policier un brin loufoque.

Le livre ne commence par forcément très bien. Racontée à la première personne, l'histoire se perd dans les digressions de son héros, pas franchement intéressantes, voire carrément ennuyeuses. Quand le première enquête arrive, on entre enfin dans le vif du sujet, même si l'intérêt n'est pas au top, les enjeux de l'intrigue étant finalement trop légers. C'est à la moitié du roman que le roman prend toute son épaisseur et gagne fondamentalement en intérêt.

Côté personnage, Wu-cheng est imbu de lui même et pas forcément sympathique. Mais la galerie de personnages qui tourne autour de lui offre un portrait savoureux de la société taïwanaise.

Au final, le roman reste intéressant si l'on arrive à passer les premières pages, pas franchement passionnante.

Merci à Netgalley et à Calmann-Lévy pour cette découverte.
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Rue du dragon couché

Il s’agit d’un polar chinois atypique dans lequel j’ai eu bien de la peine à rentrer. Wu Chen, professeur de littérature et de théâtre à l’université de Taiwan décide de changer de vie de manière radicale. Sa femme l’a quitté, il déteste le monde entier, boit et souffre de nombreux troubles psychologiques comme la dépression et plusieurs phobies. Il est très connu et organise une fête dans laquelle il dit tout le mal qu’il pense du monde entier et de ses amis en particulier. Après cet exploit il démissionne de son poste, vend son appartement et part s’installer rue du dragon couché dans le quartier des pompes funèbres pour devenir détective privé. Il n’a pas d’autre formation en la matière que la lecture assidue de romans policiers. Il se lie rapidement avec un chauffeur de taxis, un agent de police et un garagiste du quartier.



Sa première cliente est Madame Li venue le consulter à propos de sa fille adolescente. Depuis trois semaines, celle-ci fuit son père comme la peste. Elle ne comprend pas ce qui a pu se passer entre eux et charge Wu d’enquêter. La première idée qui lui vient est que le père aurait violé sa fille, mais la mère assure que c’est totalement impossible. Wu et son ami chauffeur filent Monsieur Li et résolvent l’affaire en une semaine.



Deux meurtres ont eu lieu dans le quartier et Wu soupçonne un tueur en série, il se renseigne sur les crimes auprès de son ami policier et sur les tueurs en série sur le net. Cette partie constitue en quelque sorte le plat de résistance du roman et Wu sera entraîné bien plus loin qu’il ne le souhaite dans cette enquête.



Ce polar est plutôt atypique, il démarre très très lentement par la description par le menu des états d’âme de Wu, il ne se passe pratiquement rien dans le premier quart du livre. L’intrigue commence vraiment avec l’enquête demandée par Madame Li. A partir de ce moment, il devient de plus en plus intéressant. L’affaire du tueur en série est vraiment très bien ficelée.



Wu est un personnage assez intrigant et complexe, ses états d’âme sont souvent barbants, il passe une grande partie de son temps à se regarder le nombril. Taipei est le personnage central du livre, on visite la ville et surtout le quartier des morts dans ses moindres ruelles. On se perd dans les détails et comme cette ville est largement inconnue ici en Occident, ça devient vite ennuyant. Idem pour les longues descriptions de la philosophie bouddhiste.



J’ai trouvé ce polar très atypique, avec finalement assez peu d’action et trop de palabre. J’ai bien aimé la chasse au tueur en série, mais dans l’ensemble c’est un livre très moyen. Je pense qu’il est trop marqué par la couleur locale et de ce fait trop éloigné de notre univers. L’auteur donne l’impression de s’adresser avant tout à un public chinois.



Merci à Netgalley et aux Editions Calmann -Lévy pour ce partenariat.

#RueDuDragonCouché #NetGalleyFrance
Lien : https://patpolar48361071.wor..
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Rue du dragon couché

Vous ne connaissez pas Taïwan ? Cela tombe bien, ou presque, moi non plus ! Partons donc ensemble à la découverte de ce pays, via Wu-Cheng, apprenti détective. Traditionnellement, dans la littérature policière, le détective est quelqu’un qui a été policier avant de se lancer dans la brillante (ou pas) carrière de détective. Ici, rien de tout cela : Wu est un quinquagénaire. Universitaire pas geek du tout, il démissionne, se sépare quasiment de sa femme, et se lance, sans que personne ne comprenne pourquoi, dans la belle et noble profession de détective. Avec lui, nous découvrons la ville de Tapei, quelques trafics par-ci, par-là, parce que, soyons honnête : Wu n’a pas beaucoup de client. A vrai dire, il en a même une seule, au début, et s’il réussit à boucler son affaire, il n’a pas grand chose à faire de ses journées. Il a même un emploi du temps réglé comme du papier à musique, solitaire, certes, mais régulier. Pendant ce temps, des crimes sont commis à Taïwan. De là à dire qu’un tueur en série sévit dans la ville, il n’y a qu’un pas que certains sont tout prêts à franchir, à condition, bien sûr de ne pas faire peur à la population locale. Wu, pendant ce temps, se renseigne sur les tueurs en série. En fait, Wu se renseigne sur à peu près tout – est-ce parce qu’il est universitaire ? Il est capable de disserter de tout et de rien, des parisiens, notamment, de l’art, de la musique – et de son corps de quinquagénaire qui n’apprécie pas ce nouveau métier.

Il se retrouve bien malgré lui, alors qu’il n’appréciait rien tant que sa petite vie de détective presque tranquille, plongé au cœur de cette enquête pour meurtres, mais pas de la manière dont il l’aurait voulu ! Heureusement, il peut compter sur les rares amis qu’il a – pour être détective ou universitaire, il faut parfois être imbuvable. Il faut dire aussi qu’avant de quitter l’université, il a piqué une crise assez conséquente, sur laquelle il revient de temps en temps. Oui, il n’est vraiment fier de ce qu’il a fait, bien conscient qu’il a eu, qu’il a encore des « problèmes », mais ce n’est pas une raison pour qu’on remette ça sur le tapis !

Sauf qu’on le remet, forcément, parce qu’il est au coeur de cette enquête. Qui pouvait en vouloir aux victimes, d’innocentes personnes âgées, pour de pas dire, dans le cas de la troisième victime, des personnes impotentes, qui ? Et qui aurait intérêt à impliquer cette universitaire démissionnaire, cet auteur de théâtre pas vraiment réussi, dans une affaire pareille ? *

Oui, cela fait beaucoup de question, pour Wu, pour la police, et pour le lecteur aussi. Ce n’est pas tant les méandres d’une enquête qu’il faut suivre qu’une organisation tellement bien huilée qu’elle est implacable. Les américains n’ont pas le monopole des tueurs en série. Les taïwanais n’ont pas vraiment envie d’en avoir un et d’examiner ses obsessions.

Rue du dragon couché, un roman pour lecteur qui aime être surpris.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..
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Rue du dragon couché

Je remercie les éditions Calmann-Lévy et Net Galley qui ont donné une suite favorable à ma demande.



Si vous voulez profiter pleinement de ce bouquin, je vous invite à ne pas lire la quatrième de couverture. En effet celle-ci est beaucoup trop bavarde et pas forcément représentative de l’intrigue.



Si, comme moi, vous ne connaissez pas Taiwan alors le dépaysement va être assuré avec ce roman. L’auteur nous plonge au coeur de la culture et des us et coutumes du moins chinois des territoires Chinois. Une île tiraillée entre tradition et modernisme, entre Orient et Occident.



À force de lire des polars et thrillers, j’ai croisé toutes sortes de privés, mais force est de reconnaître que jamais encore je n’en avais croisé un qui ressemble à Wu Ch’eng, le héros imaginé par Chi Wei-jan. Non seulement le gars décide, quasiment sur un coup de tête, de s’autoproclamer détective privé, mais en plus il n’en a strictement aucune compétence (tout ce qu’il sait du métier lui vient de sa passion pour les romans policiers).



Notre sympathique détective débutant va donc se lancer corps et âme dans sa première affaire. Une enquête pas franchement palpitante qui permet de planter le décor et de poser les personnages. L’intrigue ne démarrant réellement que quand le chemin de Wu Ch’eng va croiser la route d’un tueur en série.



Une enquête ponctuée de nombreuses digressions de notre héros sur des sujets divers et variés, du plus sérieux au plus futile ; digressions non dénuées d’humour et d’une touche de cynisme. Un improbable fourre-tout qui pourrait devenir lassant pour le lecteur, mais il n’en est rien. L’auteur revient au cœur de son intrigue avant que le lecteur n’atteigne le point de rupture.



Une enquête qui, presque contre toute attente, tient plutôt bien la route d’un point de vue strictement policier sans non plus être menée à un train d’enfer. L’ensemble est plutôt bien dosé et correctement amené, juste ce qu’il faut pour nous donner l’envie de découvrir le fin mot de l’histoire.



La principale force du roman tient dans ses personnages, à commencer bien entendu par Wu Ch’eng, mais l’auteur apporte aussi beaucoup de soin à ses personnages secondaires. Difficile de ne pas céder aux charmes de tout ce petit monde.



Je ne serai pas surpris d’apprendre que Wu Ch’eng et ses amis sont appelés à revenir dans d’autres aventures littéraires ; en tout cas c’est l’impression que me laisse la fin du présent roman. Si tel devait être le cas, c’est avec plaisir que je serai fidèle au rendez-vous.



Avec ce premier roman, Chi Wei-jan a su séduire un large public, mais aussi la critique ; ce bouquin a en effet raflé plusieurs prix littéraires à Taiwan. Une bonne nouvelle n’arrivant jamais seule, une adaptation pour le cinéma serait d’ores et déjà en chantier.
Lien : https://amnezik666.wordpress..
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Rue du dragon couché

Que voilà un polar intéressant. Si il ne convient pas aux lecteurs de polar pur et dur, il est parfait pour les amoureux de polar d'ambiance. Avec son enquêteur atypique, ex professeur et acteur de théâtre, il va nous promener dans Taïwan tant géographiquement que culturellement. J'attends avec impatience le prochain roman de cet auteur et le remercie pour ce passionnant voyage.
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Rue du dragon couché

Wu-Cheng en a eu marre d’être professeur et dramaturge. Il a alors décidé de changer de vie : il sera désormais détective privé. Mais voilà que, peu de temps après avoir commencé cette activité, il se retrouve soupçonné de meurtre. Il se lance alors lui-même dans l’enquête afin de s’innocenter.

Le début du roman est bourré de digressions et, bien que j’apprécie en trouver dans certaines histoires, je préfère quand elle ne sont pas trop nombreuses, ou bien pas trop longues. Or, dans Rue du Dragon couché, non seulement il y en a plein, mais en plus elles s’étendent sur plusieurs pages, ce qui a fait que j’ai mis un peu de temps à bien me plonger dans le récit. Aussi, je vais être honnête, j’avais pas mal de choses à gérer et donc pas trop la tête à lire ; s’il y avait eu de l’action dès le début, j’aurais probablement eu moins de soucis à me plonger dedans mais, après avoir bien avancé, j’ai vraiment aimé reprendre ma lecture quand j’en avais l’occasion. J’admets également que les digressions ont, pour la plupart, leur importance car elles nous permettent de mieux discerner le héros, de mieux le connaître, et c’est plus simple également d’appréhender les lieux : l’histoire se déroule à Taïwan et, pour ma part, n’y ayant jamais mis les pieds et n’en connaissant guère la culture, c’était plutôt enrichissant.

Dans le même temps, nous avons une première enquête qui débute : Mme Lin vient trouver Wu-Cheng afin qu’il découvre pourquoi la fille de celle-ci ne parle plus à son père, en est presque à l’éviter. Cette investigation est l’occasion pour notre détective en herbe de faire ses preuves, et c’est le moment où l’auteur introduit de nouveaux protagonistes dans l’entourage de Wu. J’ai d’ailleurs beaucoup aimé le chauffeur de taxi, plein d’énergie et toujours prêt à faire des suggestions, à donner son avis ; j’ai trouvé que lui et Wu formait un bon tandem. C’est seulement après tout cela, bien que l’on ait eu quelques éléments annonciateurs, que l’intrigue autour du serial killer et de Wu cherchant à démontrer son innocence débute. Et une fois qu’elle débute, les neurones chauffent, les réflexions s’enchaînent, de même que les découvertes… C’était vraiment sympa de découvrir tout le cheminement du détective et, de leur côté, des forces de police.

Finalement, ce que je déplore le plus dans ce roman, c’est l’emploi intempestif des insultes basées sur les mamans – en dehors du fait que ce soit sexiste, j’aurais apprécié plus de variété.



Malgré un début qui traîne un peu, les enquêtes présentées dans Rue du Dragon couché sont prenantes. Je ne sais pas si je garderai bien en tête cette lecture mais j’ai passé un bon moment, et c’est ça l’important. Il faut dire que j’aime découvrir de nouveaux pays et cultures par le biais de romans, à défaut de voyages, et c’est ici réussi. Je ne serai pas contre de lire un autre roman de Chi Wei-Jan.

Belle journée et bonne lecture à vous.
Lien : https://malecturotheque.word..
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Rue du dragon couché

Les émotions de lecture de Cécile

Quelques séries, tout autant de films, un conte noir, et maintenant un roman foisonnant, je tombe sous le charme de Taïwan.



Rue du dragon couché de Chi Wei-jan confirme mon engouement. C’est un polar pas comme les autres. Le héros, un prof de théâtre dépressif, bourré de phobies, amorce un changement de vie radical en devenant détective privé à la consternation de sa mère et de sa sœur. Ses anciens collègues sont incrédules, la police tout autant mais animé de ses certitudes, il fonce dans cette nouvelle activité aidé d’un chauffeur de taxi et sous le charme de sa première cliente.



Il jure comme un charretier, n’est pas toujours aimable mais il est tenace, bavard sur ses maux, nos maux et terriblement perspicace. Il lui faudra toutes ses qualités et ses défauts pour résister au déferlement médiatique et de suspicions dont il fera l’objet quand il se retrouvera le principal suspect de meurtres en séries.



C’est addictif comme un excellent polar avec ses codes mais aussi avec la folie narrative d’un dramaturge et enthousiasmant comme pourrait l’être le meilleur guide touristique de Tapei, la Capitale de Taïwan, et des ruelles étroites de Wolong street.



Chi Wei-Jan a scellé une bonne fois pour toute notre destin de voyageurs … enfin si on voit un jour la fin du truc de 2020. Taïwan est définitivement sur ma liste d’envies.




Lien : https://collectifpolar.com/2..
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Rue du dragon couché

Chi Wei-Jan nous fait voyager dans la société de Taïwan, entre modernité et tradition. Dans une société entre l’orient et l’occident à travers le jeu de piste d’un détective privé.
Lien : http://www.lesoir.be/201396/..
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