Citations de William Irish (279)
Quand un homme et une femme se sont aimés, il doit en rester toujours quelque chose, ne fût-ce qu’un souvenir commun. Il subsiste certainement en elle quelque bon sentiment à votre égard que vous pourrez réveiller.
Comme l’aimant et la limaille... nous ne pouvions pas rester éloignés longtemps l’un de l’autre.
Une femme ne tient jamais beaucoup aux amis que son mari fréquentait
avant leur mariage.
Pour l’amitié véritable, le temps ne compte pas.
Il faut un homme, un homme qui connaisse la vie et sache se débrouiller, mais qui ait aussi pour vous une affection sans limite. Vous devez bien connaître quelqu’un comme ça... tout le monde a quelqu’un comme ça dans sa vie.
quand on combine un faux alibi, on fait ça minutieusement.
On se souvient toujours des gens qui vous tuent.
Ça n’est jamais facile de mourir, mais c’est encore plus difficile de mourir pour une erreur. C’est certainement ce qu’il y a de plus pénible.
Que dire quand on vous prouve que vous êtes coupable d’un crime et que vous êtes seul à savoir que vous ne l’avez pas commis? Qui voudra vous écouter et vous croire?
Le mariage était un lien sacré qu’on ne rompt pas pour un oui ou un non, à la première occasion.
On ne peut pas douter de choses pareilles ou alors c’est fini, on devient fou ! Elle a été à côté de moi pendant six heures, je l’ai touchée, je l’ai vue boire, manger, parler, monter en taxi! Ça n’était pas un fantôme...
Maintenant que je suis dans le bain, il vaut mieux tout leur dire puisque, aussi bien, il n’y a rien dont nous puissions avoir honte. Plus vite vous le ferez et plus vite ce sera fini.
Une femme aime mieux se voir voler tout, plutôt que son chapeau.
Il est des gens qui n'en manquent pas une [exposition de peinture], quel que soit l'artiste ou le lieu. Il y avait les dilettantes ou, comme ils auraient préféré se faire appeler, les connaisseurs, qui venaient faire un tour, le sourcil froncé, pour trouver de quoi alimenter les conversations à leur prochain cocktail.
- [...] Vous arrêtez les gens, et pour vous c'est la routine. Vous ne pouvez savoir ce qu'on ressent lorsqu'on est dans sa chambre, en sécurité, heureuse, en paix avec la terre entière, et que l'instant d'après on vient vous chercher. On vient chez vous, on vous emmène devant tout le monde, on vous traîne dans la rue jusqu'au bureau de police, et là on vous apprend que vous avez tué un homme !