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3.54/5 (sur 629 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : Scranton, Pennsylvania , le 22/11/1943
Biographie :

William Kotzwinkle est un scénariste et un écrivain américain de roman policier et de littérature d'enfance et de jeunesse.

Il est diplômé en littérature de l'Université d'État de Pennsylvanie. Après des études avortées en interprétation théâtrale, il se tourne vers l'écriture, tout en exerçant divers petits métiers à New York (vendeur, employé d’une compagnie maritime, peintre d’enseignes) où il s'installe dans les années 1960. En 1965, il épouse l'écrivaine Elizabeth Gundy (1942).

Pendant la décennie suivante, il réside avec sa femme au Nouveau-Brunswick, une province du Canada, avant de revenir, en 1983, aux États-Unis, dans le Maine.

Auteur d’une quarantaine de livres, William Kotzwinkle s’est essayé dans des genres aussi variés que le burlesque, l'érotisme, le fantastique, la science-fiction, le roman pour enfant, l'absurde.

Il est surtout connu pour la novélisation du scénario de "E.T. l'extra-terrestre" (1982), le roman "Fata Morgana" (1977) et la série de romans jeunesse "Walter le chien qui pète" ("Walter the Farting Dog", 2001-2007). Il obtient le prix World Fantasy-Meilleur roman 1977 pour "Docteur rat" ("Doctor Rat", 1976).

En 1996, il publie l'un de ses romans les plus extravagants, "L'ours est un écrivain comme les autres" ("The Bear Went Over the Mountain"), dont une nouvelle traduction sort en 2014. En 2019, Alain Kokor l'adapte en bande dessinée.

site officiel : http://www.kotzwinkle.com/

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Source : www.polarnoir.fr
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Attention, voici un album poilant ! Alain Kokor adapte avec brio le roman culte de William Kotzwinkle. Quand un ours se rend à New York avec le manuscrit abandonné d?un roman, il ne faut pas longtemps pour que le plantigrade devienne la coqueluche du monde des lettres. Et vous, on vous a déjà dit que vous ressembliez à Hemingway ?


Citations et extraits (95) Voir plus Ajouter une citation
Un rat sans prunelles
Qui courait dans l’herbe
Je l’attrape par les dents
Je le montre au Président
Le Président dit :
« Coupez-lui les couilles,
Tranchez-lui l’côlon
Ça vous f’ra une subvention
De plusieurs mil-lions ! »
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Personne ne vous a jamais dit à quel point vous ressemblez à Hemingway ?

— Qui ?

— Qui, en effet ! Il se peut fort bien que vous soyez celui qui va le reléguer dans l’oubli .
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William Kotzwinkle
Les auteurs en tournée sont des adultes en couches-culottes.
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Il lui semblait que la compréhension entre les êtres humains était comme un filet auquel on rajoutait sans cesse des mailles.
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L'agent, un individu au physique de pingouin, était vêtu d'un jogging hors de prix dans lequel il n'avait jamais couru plus de trois mètres.
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" On n'a plus qu'à attendre et on verra bien ", fit Pinette en portant le biscuit détrempé à ses lèvres.
Le chien se mit à battre plus fort la queue, adressant à son maître son regard le plus éloquent, celui qui disait "biscuit" sans la moindre méprise possible.
Se tournant vers la fenêtre, Pinette contempla les tourbillons de neige qui commençaient à ensevelir les épaves de voitures dans son champ. Art Bramhall lui manquait, leurs conversations près du poêle lui manquaient, regarder passer en sa compagnie la lente procession des journées hivernales lui manquait. " Art est un type bien. J'espère qu'on va le revoir."
Le biscuit est l'aliment naturel des chiens, fit le chien, en appuyant son propos d'un regard pathétique destiné à montrer quel effet pitoyable la privation avait sur son organisme.
" Tu en as déjà eu quatre", rétorqua Pinette.
C'est l'hiver, je suis un chien ; seules deux choses me permettent de tenir : mes couilles que je lèche et l'amour des biscuits.
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Puis la camionnette aborda le virage suivant, près de la rivière qui surgissait des ténèbres, sa carapace de glace luisant au clair de lune.
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Elle s'agenouilla pour déverrouiller la vitrine, et sa jupe remonta sur ses cuisses d'une dizaine de centimètres. Comme beaucoup d'hommes, je me demande où poser les yeux quand j'ai le choix entre des jambes ravissantes et une tasse de grande valeur.
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"- Vous avez vraiment vécu, dit-elle.
- Dans une caverne." Il sirotait son miel, pas le moins du monde gêné par son aveu, maintenant qu'il avait compris que les gens entendaient toujours autre chose que ce qu'il cherchait à leur dire. (...)
Elle eut le sentiment qu'il essayait de lui enseigner quelque chose d'important. "Une caverne ?
- L'hiver.
- Vous faites référence à Platon ? A son mythe de la caverne ?
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S'agenouillant, il ôta son chapeau et plongea la tête tout entière dans l'eau de la fontaine. Honnêtes citoyens de cette ville, pardonnez-moi, je suis un voyageur fiévreux.
Mais la ruelle était déserte. Personne ne le vit. Picard était seul, d'une solitude qui lui parut soudain totale, infinie, s'étendant sur l'Europe entière, et au-delà, tout autour de la terre elle-même.
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