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3.84/5 (sur 230 notes)

Nationalité : France
Né(e) à : Dinan, Bretagne , 1940
Biographie :

Yves Jacob est un écrivain français.

Romancier, nouvelliste, essayiste et historien, il est l'auteur d'une trentaine d'ouvrages et s'adonne avec un plaisir égal, et pour le plus grand bonheur de ses lecteurs, à tous les genres littéraires.

En 2012, il a publié un roman intitulé "Le secret du docteur Mériaux", sous le pseudonyme de Y. Bocaj.

Deux fois Lauréat de l'Académie française, il a reçu plusieurs prix littéraires dont le prix Guillaume-le-Conquérant et le Grand Prix du roman de la ville de Rennes.

Yves Jacob a été directeur de collections aux éditions Maître Jacques, vice-président de la Société des Auteurs et créateurs de Normandie, chroniqueur littéraire dans plusieurs supports normands, et pendant quatre ans l'inspirateur et le responsable du Salon du Livre de Caen.

Il est aussi fondateur en 2003 du salon du livre de Cheux et du prix du roman Reine-Mathilde financé par le Centre Régional des Lettres de Basse-Normandie.

Yves Jacob vit aujourd'hui en Normandie.
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Source : Wikipédia
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France 3 Normandie - 10/11/2010 Gilles Henry et Yves Jacob : le roman historique. A l'occasion de la sortie de 'Dans les pas des Dumas' aux éditions OREP. www.orepeditions.com.


Citations et extraits (37) Voir plus Ajouter une citation
Il la guide, s'efforçant de lui éviter les pièges, conscient qu'il navigue lui-même dans une jungle où triomphent souvent de très mauvais livres soutenus à grand renfort de presse et de publicité, véritable insulte à l'intelligence des lecteurs qui, fort heureusement, ne se laissent pas toujours duper.
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Elle affichait quelques kilos de trop. Mais des tous petits, de ceux qui font que les os ne sont plus des écueils effarouchés par trop de vives étreintes, mais des havres où l'on aime s'attarder.
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Mécréant vous êtes, mécréant vous resterez ! Vous n'avez pas plus de cœur qu'un menhir !
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Chaque fois que je relis un de ses ouvrages, je ne peux m'empêcher de comparer les héros de Barbey d'Aurevilly au Cotentin sauvage perdu à l'extrême ouest de notre continent.
On retrouve en eux, transformés en passions humaines, la farouche originalité de ses paysages et leur singulière beauté...
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Ils étaient amis, ce qui ne les empêchait pas d'être objectifs l'un envers l'autre. Canteleu jugeait Léonard rude, le cœur sec, âpre au gain ; Lefebvre pensait que la vie citadine avait corrompu son camarade. Celui-ci épluchait tous les jours les articles du Journal de Honfleur, parlait politique, économie et autres sujets abscons ou confus auxquels Léonard ne comprenait goutte. Pire, il évoquait le partage des biens entre les gens d'une même communauté. Propos fumeux et dangereux. Pour Léonard, le monde était divisé en deux: les bosseurs et les feignants. Les uns méritaient de s'enrichir, les autres pouvaient bien crever.
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Pour tout remède en cas de rhume, ils ne disposaient que du mouchoir d'Adam*.
*les doigts
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Je n'invente rien. Chaque scène que je décris, avec la liberté créatrice de l'écrivain, a été au départ transcrite avec une froide et implacable précision dans les interrogatoires et confrontations établis par les magistrats penchés sur cette affaire. Une fois encore, la réalité dépasse la fiction. (p.11)
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Gustave Le Rouge, dont le nom doit s'orthographier en deux mots, malgré l'Etat-Civil, est né à Valognes dans la Manche, le 22 juillet 1867, au numéro 7 de la rue de Poterie.
Son père prit la suite de son grand-père à la tête d'une petite entreprise de peinture en bâtiment.
Spécialisés dans les travaux de dorure, ils restaurèrent de nombreux autels ou chœurs d'églises du Nord Cotentin.
Après des études primaires à l'école communale de garçons puis au collège de Valognes, dirigé par des Eudistes, Gustave Le Rouge poursuivit ses études au collège de Cherbourg entre 1881 et 1886, aspirant à préparer le concours d'entrée à l’École-navale.
Trop faible en mathématiques, il dut en rabattre, et revenir vers les classes préparant au baccalauréat ès-Lettres.
C'est durant cette période qu'il connut Jules Tellier, natif du Havre, jeune homme brillant et poète précoce, qui fut nommé à vingt ans tout juste titulaire de la chaire de Rhétorique du collège de Cherbourg.
Mais Le rouge et lui ne firent que se croiser : contrairement à une idée reçue, Tellier ne fut jamais le professeur de Le Rouge…
Gustave Le Rouge obtient son baccalauréat ès-Lettres en août 1886 ; il s'inscrit alors à la faculté de Droit de Caen, où il fut étudiant trois années. Durant cette période, il semble avoir été rédacteur à un jeune hebdomadaire local, d'inspiration républicaine : "Le Matin Normand".
Ses premiers textes littéraires sont publiés dans de petites revues comme "Les Abeilles Normandes" ou "La Revue septentrionale".
A quelques semaines de l'examen terminal de Licence, il tombe amoureux de l'une des quatre écuyères du cirque Priami.
Ses parents interviennent et y mettent bon ordre.
Le cirque repartit vers son destin, et Le Rouge obtint sa Licence en Droit en septembre 1889. Il monte à Paris pour poursuivre ses études ...
(extrait de la biographie de Gustave Le Rouge écrite par Henri Bordillon)
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[...] vaches et chevaux paissaient l'herbe épaisse pendant qu'autour d'eux leurs petits gambadaient, insouciants, multipliant écarts et cabrioles comme s'ils avaient voulu mesurer leurs limites et affirmer leur plaisir d'exister.
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" - T'es bien comme tous les autres ! Tu ne penses qu'à ça !"
Et elle s'éloigna vers les vaches. Il trottina derrière elle, la rejoignit.
" - Mais non, Marie, c'est pas ce que tu crois ! Je te jure ! Et puis, je t'épouserai, si tu veux !"
(...)
" - C'est ça, quand tu m'auras bien effeuillée et fait un éfant, tu feras un trou au vent. Allez, va retrouver les autres, sinon ils vont se demander où t'es passé !"
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