Yoshichi Shimada

Dans ce volume, Akihiro trouve un disciple en pauvreté à qui il apprend tout ce qu'il a appris de sa grand-mère. Bel exemple de transmission.

Et puis l'épisode de la promenade d'école dans la nature où Akihiro, Nanri et M. Iota l'instituteur se perdent est assez cocasse mais montre aussi la proximité du maître avec ces deux garnements^^

Après avoir longtemps entendu parler de ce manga, je ne regrette vraiment pas cette découverte ! Je m’étais fait une idée d’un manga plutôt humoristique, sans trop de conséquences : il n’en est rien. L’histoire de ce manga est celle d’Akihiro, envoyé vivre soudainement à la campagne auprès de sa grand-mère à cause des problèmes d’argent de sa mère. Sa grand-mère vit très pauvrement, mais ne manque pas de jugeotte et d’esprit pour mener un train de vie décent. Très vite Akihiro est confronté à la valeur, relative, de l’argent, et va comprendre le sens des mots générosité, travail... C’est peut-être un message « naïf », mais en renonçant à une forme de confort, Akihiro vit plus simplement, et pas d’une manière plus malheureuse. Certes, les disettes sont parfois un peu rudes , mais cela ne fait que plus savourer le repas suivant. J’ai également beaucoup apprécié le portrait d’un Japon moins mis en avant, campagnard, après la Seconde Guerre Mondiale. Les personnages gravitant autour d’Akihiro sont très intéressants, et en particulier sa grand-mère, très pragmatique, un peu rude mais au bon cœur. On retrouve également la candeur du monde de l’enfance, avec des souvenirs assez cocasses autour de la bande d’amis d’Akihiro. Malgré sa simplicité apparente c’est vraiment un manga passionnant, qui fait renaître un peu de nostalgie en nous.

Voici les deux premiers tomes d’une série qui s’est achevée en 2012 déjà (en 11 tomes) mais qui reste un vrai petit bijou tant sur les valeurs qu’elle véhicule que sur l’évocation des personnages et le dessin très plaisant. C’est avec un grand bonheur que j’ai découvert Akihiro et sa grand mère qui ont gagné mon cœur en quelques pages seulement.



Passée la tristesse que l’on ressent pour ce petit garçon obligé de se séparer de sa mère qui n’arrive financièrement plus à l’élever, on découvre avec bonheur l’environnement de la grand mère et sa grande sagesse. Ponctué de belles maximes édictées par cette grand mère, le manga se découpe en chapitre qui développe chacun une facette des personnages. Par sa bonté et son humanisme qu’il développe au contact de sa grand mère, notre petit héros s’acclimate très vite et très bien à cette vie de pauvre, notamment en se liant d’amitié avec Nanri dont il devient indissociable.



Chronique d’un Japon post Hiroshima et d’une enfance pauvre où le bon sens prend de plus en plus de place, ce manga vaut le détour avec bien des attraits. En plus d’une palette de sentiments dignement retranscrites par l’illustrateur Saburo Ishikawa, les valeurs humanistes et proches de la nature développées par l’auteur font écho à plus d’une raison dans notre monde moderne actuel…



A lire sans modération et à méditer…

« – Mamie, j’ai faim !

– Allons, tu te fais des idées. »
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Un beau coup de coeur! Je ne m'attendais pas du tout a aimer autant. Une vendeuse de la boutique manga m'avait conseillé cette saga pour mon fils lorsqu'on cherchait une série qui pourrait lui plaire. Et lorsque j'ai vu qu'il était à la bibliothèque, j'ai pris le premier tome.



Le petit Akihiro doit quitter sa mère et son grand frère pour aller vivre chez sa grand-mère qui vit très loin de chez lui, à la campagne. On est en 1958, la vie n'est pas facile tous les jours. Akihiro, petit garçon très capricieux va apprendre que la vie est très dure, il va connaître auprès de sa grand-mère: la faim, la pauvreté. Mais il va connaître aussi l'amour, l'amitié, la débrouillardise. Il va apprendre que rien ne se perd, que tout se transforme et que l'entraide est importante.



J'ai craqué pour cette histoire, émouvante, drôle, tantôt triste, tantôt gaie. La grand-mère de Akihiro va lui apprendre les véritables valeurs. J'ai été très émue par le fait que celui-ci soit séparé de sa mère, qui n'avait pas d'autre choix si elle voulait nourrir ses deux enfants. Il sera séparé très longtemps et ne la verra pas très souvent. On vivra la première année de la cohabitation entre Akihiro et sa grand-mère.



Les dessins sont superbes, ils reflètent parfaitement la situation. Ils sont fins et délicats, ce qui apporte énormément à l'histoire.



Je reviens rapidement avec la suite de cette saga qui est merveilleuse!
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Akihiro est confié à sa grand-mère, qu’il connait à peine et qui vit à Saga, à plus de trois cent kilomètres de sa mère. Un changement profitable pour le petit garçon chouineur et capricieux qui fait tourner en bourrique sa maman et son grand frère, déjà autonome. Il va grandir auprès de cette mamie qui prend les choses toujours du bon côté et va lui apprendre à en faire autant, à se contenter de ce qu’il a c’est-à-dire pas grand-chose en ces temps difficiles d’après-guerre mais point de misérabilisme ni de pathos dans ce manga positif, qui met du baume au cœur et nous permet de relativiser. Avec sa mamie, rien ne se jette, tout se transforme et se recycle : les légumes défraîchis jetés dans la rivière par les marchands lors des jours de marché viennent compléter les repas de riz quotidiens, une bouillotte devient un vase ou une gourde, en fonction du besoin, etc… Une mamie toujours de bonne humeur, ingénieuse et inventive, sage et forte qui lui inculque de nombreuses valeurs : la solidarité, la débrouillardise, le travail, … et un petit garçon que l’on voit évoluer, s’épanouir au fil des planches. Un très beau manga aux accents autobiographiques car très fortement inspiré par la vie d’un des auteurs, Yoshichi SHIMADA. Une très belle découverte à poursuivre !
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Nous continuons à suivre les aventures de Akihiro chez sa grand-mère dans le village de Saga dans la campagne japonaise. Toujours aussi bien menées, sans violence. La pauvreté n'est pas si grave, il y a toujours des astuces et puis la plus grande richesse est celle du coeur. Les vraies valeurs comme l'amitié, le partage, la solidarité sont toujours au centre de ce très plaisant récit.



Un théâtre ambulant arrive à Saga, une nouvelle camarade de classe arrive, Mizuki Asakura. Elle fait partie des gens du voyage. Pourquoi est-elle différente ? Désagréable avec ses copains de classe ? Ce n'est pas facile de se faire de nouveaux amis si elle sait qu'elle les quittera bien vite.



Un incendie survient et détruit les décors et les costumes du théâtre, et une fois encore la solidarité sera de mise.



Une très jolie série, je ne m'en lasse pas. Idéale pour les enfants à partir de 7 ans.





Ma note 9/10


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Ainsi s'achève une superbe série de mangas pleine de tendresse, de sagesse, de bon sens. Plus d'une fois j'ai versé ma petite larme. Triste de quitter ces personnages attachants.

L'univers d'un petit garçon élevé par sa "super" mais vraiment SUPER mamie. C'est mignon, tendre et amusant !!!

Akihiro a emménagé chez sa grand-mère depuis 2 ans. Nous sommes en 1960 à Saga, petit village campagnard du Japon.



Cela commence fort : Akihiro Tokunaga se dispute avec un copain de classe car il a gagné la meilleure rédaction dont le sujet est la pauvreté.. Un autre garçon veut se battre avec lui pour savoir qui des deux est le plus pauvre... un comble non !



Un clin d'oeil également avec l'arrivée de la télévision, de la machine à laver , bref du début du confort..

On découvrira également son premier amour avec beaucoup d'humour! , le retour d'Akihiro à Hiroshima en visite à sa maman, la perception de la mort et de l'amitié, la peur de perdre sa mammie et comme dans le premier opus toujours la débrouille et la bonne humeur.



Dans la même veine que le premier, un vrai régal.


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Une sacrée mamie est une série qui vous fait réfléchir, sourire et remet en perspective l'échelle de vos valeurs.

Dans ce manga, il n'y a ni pouvoirs magiques, ni super-héros, ni monstres patibulaire; juste une grand-mère et son petit-fils dans le Japon d'après-guerre.

Ce manga raconte l'histoire de Akihiro, un petit garçon d'Hiroshima, qui est envoyé du jour au lendemain chez sa grand-mère qui vit à la campagne et qu'il ne connaît pas. En plus de se retrouver privé de sa mère et de son frère, il découvre ce que le mot pauvreté veut dire.

Malgré ce pitch, ne vous attendez pas à trouver une histoire triste et larmoyante. Mamie a la pauvreté heureuse. Elle en est même fière. La débrouillardise et l'imagination sont au pouvoir!

Vous ne pourrez vous empêcher de sourire à la lecture des 11 tomes. vous méditerez aussi sur la valeurs que nous donnons aux biens terrestres et à l'importance d'être généreux en tout temps.

Bref, Une sacrée mamie est un manga que je recommande chaudement!

Le tome 5 de Sacrée Mamie est sorti en librairie le 10 mars… je n’ai pas résisté longtemps pour me replonger dans l’univers de Akihiro.



Plus court que les tomes précedents, ce volume nous plonge à nouveau dans la vie quotidienne du jeune Akihiro. Toujours hébergé par sa super mamie, à la campagne, on reprend vite ses marques. L’humour est toujours au rendez-vous, ainsi que la douce morale. Akihiro découvre les injustices, et doit ralier ses amis pour défendre la terreur de l’école.



J’ai été un peu déçue par ce volume trop court (près de 100 pages de moins que les 4 précédents volumes)… non pas tant par l’histoire en elle-même, mais pour ne pas en avoir eu assez…



J’ai cependant apprécié cette lecture, et retrouvé le bonheur de partager la vie de ce petit garçon … inutile de vous dire que j’attends désormais le tome 6 prévu pour le 12 mai… quelques semaines à attendre avant de le déguster, je l’espère dans ma nouvelle maison !!!
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« Une sacrée Mamie » a été écrit par Shimada Yoshichi, un  écrivain japonais. C’est un manga qui raconte une histoire se déroulant à Hiroshima en 1958. On suit un petit garçon qui s’appelle Akiro ; il vit avec sa mère et son frère. Mais un jour, sa mamie l’emmène avec elle, car sa mère n’arrive pas à s’occuper de ses deux fils, ils sont beaucoup trop agités et se disputent tout le temps. La mère a donc besoin de prendre une pause.

La mamie d’ Akiro est pauvre, donc l’enfant va devoir se contenter de peu de choses et apprendre à vivre différemment à la campagne.

Certains passages sont plutôt tristes et je recommande ce livre aux personnes qui aiment découvrir des tranches de vie japonaises. Grâce à ce manga, on découvre les difficultés vécues par la population japonaise après la 2nde guerre mondiale.

Gabrielle

Une belle leçon de vie, pour cet enfant qui vit avec sa grand-mère dans des conditions extrêmement pauvres. Les anecdotes du quotidien, drôles et poignantes à la fois, sont pleines de tendresse, de solidarité et d'ingéniosité sans jamais être mièvre. Un vrai plaisir à lire

Ce manga est tiré de l’histoire de Yoshichi Yamada, il a passé une grande partie de son enfance à Saga, petit village japonais à plus de 300 km d’Hiroshima.



Dans ce seinen( manga pour adultes), l’auteur nous dépeint le Japon d’après guerre et plus spécialement la vie à la campagne.

Akihiro va au début avoir peur de sa grand-mère et au fil du temps, une complicité va se créer entre eux.



Divers sujets sont abordés tels que la débrouillardise et l’amitié. Même si la pauvreté est présente, dans divers chapitres, j’ai beaucoup ri durant ma lecture!



Un manga que je vous recommande si vous souhaitez découvrir le Japon d’après- guerre et surtout lire une belle tranche de vie entre un garçon et une sacré mamie.



Une belle découverte!

Tome 4 de ce manga. J'aime toujours suivre ce petit garçon et sa mamie pleine de ressource pour embellir la vie de son petit-fils. Un livre rempli de valeurs et de principes.

Je continuerai avec plaisir à me plonger dans cette série. Le tome suivant m'attend déjà dans ma bibliothèque

Je suis vraiment fan de cette saga de manga. Je retombe en enfance et j'ai l'impression de lire un dessin animée. Le découpage par épisode est intelligent et l'histoire est pleine de bons sentiments sans être mièvre

La relation entre ce petit garçon et sa grand mère est de plus en plus forte.

Un très beau manga

Série toujours aussi intéressante. Les personnages sont savoureux ainsi que les situations. On ne s'ennuie pas et il n'y a pas de répétitions. On sent le vécu et le ton est vraiment juste. Et la grand-mère finit par baisser la garde dans le dernier épisode !

Série toujours aussi plaisante à lire. Le jeune Akihiro est très attachant, les situations sont drôles, parfois tristes. C'est très réaliste et on suit ses aventures d'enfant avec bonheur. On y voit les différentes strates de la société mais cela n'est jamais caricatural.

Akihiro vit maintenant depuis trois ans chez sa grand-mère. La vie est toujours difficile mais il est heureux et plein de réparties. Toute la première partie tourne autour de la fête annuelle des sports, un peu moins intéressant à mon goût. Mais cette série reste vraiment très plaisante à lire et donne de véritables leçons de vie. Et c'est plein d'humour et d'autodérision.

C'est délicieux ! Cette adaptation en manga d'un roman autobiographique est très réussie. C'est l'histoire d'un jeune garçon qui vit à Hiroshima avec sa mère et son frère et qui est confié à sa grand-mère qui vit à la campagne. Le récit se déroule à la fin des années 1950. C'est touchant, drôle, triste, plein de vie et surtout de leçons de vie données par une "sacrée" grand-mère. Les dessins collent parfaitement au texte et tous les personnages ne se ressemblent pas comme dans certains autres mangas.