Yoshichi Shimada

Une de mes séries de manga préférées, si ce n'est MA série de manga préférée. J'aurais tellement aimé pourvoir retrouver Akihiro et sa grand-mère encore un peu. En tout les cas, c'est une très belle série, l'histoire est extra du début à la fin. Je conseille cette lecture à tout le monde.

Une de mes séries de manga préférées, si ce n'est MA série de manga préférée. J'aime toujours autant la complicité qui se noue entre les deux personnages, Akihiro et sa grand-mère. L'histoire est touchante, c'est raconté impeccablement, on passe du rire aux larmes sans que cela vire au drame.

Akihiro s’est très bien adapté à son nouvel environnement et sa nouvelle vie avec sa grand-mère. Entre les duels de pauvreté avec Takeyama, qui n’a pas la vie facile lui non plus, ces parties de pêche avec Taku, son ami, sa nouvelle maîtresse, Melle Mizushima (dont il tombe amoureux, forcément lol), le camping au bord de la rivière où lui et ses amis vont faire une étrange rencontre, etc…, il n’a vraiment pas le temps de s’ennuyer, toujours sous l’œil avisé et amusé de sa sacrée mamie. Un tome encore une fois plein de tendresse, de simplicité et d’humanité qui nous fait passer du rire aux larmes avec une grande facilité. Le message est toujours aussi positif, tout comme Mamie, pleine de sagesse, d’entrain et de malice. On y rencontre de nouveaux personnages tout aussi charismatiques comme Tome-aux-oreilles-infernales, la grand-mère de Nanri, au courant de tout ce qui se passe dans le village et qui veille sur ses « enfants » d’étrange manière. C’est aussi un beau témoignage sur la vie au Japon dans les années 50 où les appareils ménagers commencent à entrer dans les foyers (les plus aisés) et où l’on s’entraide entre villageois, se contentant de peu et n’hésitant à le partager avec les autres…
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Akihiro est un petit garçon turbulent. Sa mère décide de l'envoyer vivre chez sa grand-mère. En arrivant, il est désemparé et perdu face à toutes les tâches qu'effectuent sa grand-mère et qui lui semblent bien étrangères à son quotidien. Mais peu à peu le quotidien s'installe et le petit garçon se fait vite à tout ce quotidien, entre l'école et les corvées sa petite vie s'organise en compagnie de sa "gabaï" mamie.



Un premier tome aux jolis graphismes emprunts de douceur. Un style drôle, tendre. Des situations dures vécues avec une philosophie de la "débrouille". Des personnages attachants. Un délicieux parfum de campagne japonaise où la simplicité côtoie l'humanité.



Merci à Marjorie d'Exploratology pour cette jolie découverte :)

Cinquième volet des aventures d'Akihiro chez sa sacrée mamie dans la campagne de Saga.

Les apparences sont parfois trompeuses c'est en effet ce dont Akihiro se rendra compte au gré de ses aventures. Il rencontrera un moine usurpateur et un de ses amis sera victime de la rumeur.

En effet, Iwata est plutôt fort en tête, c'est un dur qui n'a pas peur de se battre dans le but de protéger ou venir en aide aux plus faibles. Une rumeur va se répandre dans l'école accusant son père d'être un yakusa. Résultat tout le monde lui tournera le dos, lui cherchera des noises. Akihiro et son ami Nanri vont vouloir lui venir en aide, le défendre. Pour combattre cette injustice ils prendront le chemin de la paix et la méthode de Gandhi.



L'amitié reste toujours au centre de cette saga, la morale se met en place de façon naturelle.



Akihiro aura également la visite de son frère qui vit en ville et qui découvrira de ses yeux ce qu'est la pauvreté et de quelle façon mamie et son frère la combattent sans pour autant être malheureux.



On reste dans la même dynamique depuis le début, c'est toujours aussi vrai, agréable à mettre en avant les vraies valeurs dans la vie en société.



Magnifique



Ma note : 9/10


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Une Sacrée mamie est un manga passionnant, qui nous laisse un sourire aux lèvres après cette lecture dont on aurait pu penser qu'elle nous fendrait le coeur. Bien au contraire !



Critique plus détaillée sur Lirado
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Ici, pas de super pouvoir ou lycée avec des jolies filles.

Akihiro, petit garçon de la ville, part vivre chez sa grand mère à la campagne.

Il apprend avec elle le règne de la débrouille. des petites chroniques de la vie de tout les jours avec des personnages qu'on pourraient rencontrer dans tout les villages.

Une chronique douce et nostalgique du japon campagnard des années 50.

Découvert grâce à Babelio, j'ai pris beaucoup de plaisir à lire ce manga. La grand-mère du petit Akihiro est effectivement "une sacrée mamie". J'ai adoré son humour (qui lui permet aussi de cacher bien des sentiments) et sa philosophie de vie (pauvre, oui, mais joyeux). En résumé, un bon manga qui nous donne une belle leçon de vie, et qui ravira petits et grands (même si personnellement je l'ai trouvé au rayon jeunesse de ma bibliothèque de quartier ^^)!

Ce tome clôt en douceur et en nostalgie cette série, et les dernières pages sont particulièrement émouvantes, car cette sacrée mamie nous apparaît avec son coeur de grand-mère, tendre et protectrice, elle qui a tant fait et si bien enseigné la vie à son petit fils.
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Ce manga est l'adaptation du roman autobiographique de Yoshichi Shimada. L'histoire se passe au japon après la guerre dans les années 50. Le jeune Akihiro vit avec sa mère et son grand frère à Hiroshima. Mais n'ayant plus suffisant les moyens financiers de l'élever, sa mère le confie à sa grand-mère qui habite à Saga, une petite ville de campagne.

Là, au milieu des rizières, chacun s'apprivoise et apprend à vivre ensemble dans une petite maison qui prend l'eau. Akihiro doit s'adapter à sa nouvelle vie à Saga avec cette mamie unique et c'est une vie de pauvreté où on ne mange pas tous les jours...Ce qui donne lieu à des moments paradoxalement très drôles puisqu'Akihiro est doté d'un appétit féroce mais c'est sans compter sur son excellente mamie qui rivalise de malice et de ruse pour détourner le petit garçon de sa préoccupation première.

Car malgré un quotidien parfois rude, ce qu'Akihiro apprend aux côtés de sa mamie n'a pas de prix. Il sait pourquoi il est utile de trainer un aimant derrière soi, pourquoi le meilleur sport est la course à pied, il sait aussi faire le marché dans le ruisseau, il sait se contenter de peu et surtout se réjouir de ce peu même si c'est juste des boulettes de riz aromatisées aux arêtes de poisson!

L'air de rien, cette série et ses personnages sont d'une grande richesse et véhiculent à la fois humilité, force, optimisme, détermination, simplicité tout cela avec un humour et une bonne humeur communicative ce qui les rend terriblement attachants.




Lien : http://tribulations-litterai..

Un enfant se voit contraint de partir vivre à la campagne chez sa grand-mère, sans préavis. La famille vit dans la pauvreté, et mamie voit toujours le verre à moitié plein. Emprunte d'optimisme, elle transmet à son petit fils des valeurs essentielles, et elle a souvent besoin d'humour pour faire passer la pilule.

Le thème est plaisant, et cette mamie sacrément attachante.

En revanche, je n'ai pas accroché avec le format manga.

Akihiro est un jeune garçon turbulent qui vit à Hiroshima avec sa mère et son frère. Mais faute de gagner suffisamment d’argent pour élever seule ses deux fils à Hiroshima, Hideko envoie le plus jeune à la campagne pour qu’il vive avec sa grand-mère. Tout d’abord triste de quitter sa famille et un peu effrayé de vivre seul avec une vieille femme à la campagne, Akihiro doit néanmoins apprendre à s’adapter et à aimer sa nouvelle existence. A son contact, il apprend à se débrouiller avec le peu qu’il a, à utiliser tout ce que la nature lui offre et à prendre en considération un bon sens que rien ne vient perturber.



Cette nouvelle série qui met l’accent sur la nature et les liens humains est un véritable petit bijou.

Un manga drôle et émouvant sur l'enfance, la mamie est incroyable, avec ses petites combines pour toujours se débrouiller sans dépenser d'argent, son sacré caractère et sa vision de la vie toujours positive. Une sacrée mamie! Un manga qui fait penser un peu à Tom Sawyer. Très bonne BD à lire.

Comme beaucoup de sagas où l'on passe du temps de lecture, il est difficile de se séparer des personnages, drôles et attachants. Le manga est découpé en épisode, comme dans les magazines japonais, en dizaine de pages. Chaque épisode est une anecdote de la vie quotidienne de Akihiro et sa grand-mère. A chaque fois une leçon de vie et d'humour (qui permet aussi à la grand-mère de ne pas trop dévoiler ses sentiments, parfois sa frustration de ne pas pouvoir donner plus à son petit-fils), où Mamie apprend aussi a Akihiro que largent ne fait pas toujours le bonheur et qu'on peut être pauvre mais joyeux. J'ai beaucoup ri en lisant ce manga !



Akihiro est obligé de quitter sa mère et son frère, vivant à Hiroshima, pour aller vivre à la campagne, à Saga avec sa grand-mère. Elle vit de manière très rudimentaire, sans électricité ou presque, sans eau courante. Très pauvre, la vie quotidienne est une vie pleine d'astuces pour économiser, ne pas trop dépenser mais vivre quand même. Comme l'épicerie de la rivière, un morceau de bois qui retient les fruits et légumes jetés par les commerçants du marché lorsqu'ils sont invendables, ou bien l'aimant avec lequel elle se promène pour attraper tout type de ferraille et la revendre.

Mais cette sacrée mamie a plus d'un tour dans son sac et a un grand cœur. Elle est généreuse et pleine de bons conseils, qu'elle inculque à son petit-fils. Il passe plus de 2 ans avec elle sur les 11 tomes de la sage. Il est scolarisé à l'école du village et on suit ses petites aventures du quotidien, avec ses amis et son meilleur ami Nanri.

Cette série ne perd pas en qualité au fil des tomes. J'ai aimé les nombreux thèmes abordés et les personnages rencontrés : la troupe de théâtre ambulant, papy Kondo...Les situations sont drôles, tristes parfois, réalistes et plaisantes à lire. Et toujours la bonne morale de la mamie qui sait donner un sens à toute chose !

L'histoire se déroule des les années 50 au Japon, Akihiro, un jeune garçon d'une famille pauvre vivant à Hiroshima avec sa mère et son frère va se retrouver contraint de quitter ces derniers pour aller vivre avec sa grand mère à la campagne.



Récit tranche de vie très feel good, Une Sacrée Mamie va simplement nous faire suivre la vie de ce jeune garçon dans sa nouvelle vie à la campagne qui change drastiquement de tout ce qu'il connaissait.

Voilà une histoire qui aura su m’attendrir ! Cette biographie nous dépeint la vie d’un jeune garçon dans le Japon d’après-guerre, obligé d’aller vivre chez sa grand-mère à la campagne. 



Avec un mélange de doux-amer, on compatit vite pour cette petite famille recomposée. J’ai adoré découvrir leur quotidien, leurs joies et leurs peines. 



Sur ce fond assez dramatique (le Japon est assez mal en point économiquement suite à la guerre), l’auteur parvient à mettre en avant les petits bonheurs de la vie. J’aime beaucoup cette philosophie ! 



Il aborde ses déboires d’enfance avec un regard léger, qu’il s’agisse d’un vase transformé en gourde improvisé ou des jours de disettes où seuls quelques grains de riz ornaient la table.



Je pense qu’Une Sacrée mamie est la première biographie que j’ai lu en manga. Elle m’avait déjà drôlement touchée avant que je n’apprenne que tout était basé sur les souvenirs de l’auteur ! 



Fun fact : c’est seulement lorsque j’ai lu le dernier tome que j’ai vu la mention “biographie” en fin de volume.



🍠 En bref, une excellente série à nouveau accessible depuis sa réédition ! Alors foncez, tant qu’elle est encore disponible

Best-seller dans l’archipel, ces souvenirs d’enfance s’inscrivent aussi, de façon inattendue, dans la veine survivaliste. De l’art de trouver des solutions quand tout semble compromis…
Lien : https://www.telerama.fr/livr..

Faute de ressources financières suffisantes, une mère de famille vivant seule avec deux garçons et gérant un restaurant se retrouve à confier son plus jeune fils à sa mère.



Le changement est rude pour le petit qui doit vivre de manière plus simple car sa grand-mère est pauvre. Cela ne les empêche pas de connaître des moments joyeux.



Des récits de la vie quotidienne qui emmènent les lecteur.ices dans la campagne japonaise avec des illustrations aux traits fins et réalistes.

Dans ce volume, Akihiro trouve un disciple en pauvreté à qui il apprend tout ce qu'il a appris de sa grand-mère. Bel exemple de transmission.

Et puis l'épisode de la promenade d'école dans la nature où Akihiro, Nanri et M. Iota l'instituteur se perdent est assez cocasse mais montre aussi la proximité du maître avec ces deux garnements^^