Yukito Ayatsuji

Une élève est morte il y a 26 ans de cela. Ses camarades de classe et professeur ne pouvaient pas y croire. Alors ils ont décidé de faire comme si elle était là. Or, à la fin de l'année, la fille morte est présente sur la photo de classe.

Nous suivons un jeune garçon du nom de Sakakibara qui rentre dans cette école en 3e3. Il y a une atmosphère lourde et une fille étrange, Misaki.

Cette histoire de fantôme fait froid dans le dos. Qui est réellement Misaki? Que s'est-il réellement passé? Et puis toutes ces superstitions...

C'est un bon manga. Il n'est pas joyeux, sombre et même un peu gore. Les âmes sensibles doivent donc s'abstenir.

Mais j'aime beaucoup les dessins des personnages. Le cache-oeil de Misaki me rappelle un peu Kaneki dans Tokyo Ghoul.

Le héros principal s'appelle Koîchi Sakakibara, Koîchi mène l'enquête sur une fille de sa classe qui se nomme Misaki Mei qui est apparemment invisible au yeux des élèves de la classe 3-3, Koîchi va-t-il parvenir à percer le mystère de la classe 3-3 du collège Yomiyama ?



J'ai aimé ce livre car il m'a surpris par son coté réaliste , le manga "Another" n'est pas pour tout le monde car on peut y voir du sang , des moments "gore" et du suspense et cela peut mettre mal a l'aise certaines personnes .



Mes personnages préférés sont Kiôchi , Mei Misaki et la déléguée du plan , ces personnages sont charismatiques car dans chaque scène ils attirent l'attention sur eux , Kiôchi , Mei ou un de leurs amis proches sont toujours présents dans les scènes et je les trouve attachants .



Dans cette histoire le suspense est omni présent dans l'histoire jusqu’à la révélation du mort , dans chaque scène il y a du doute etc . Il y a une atmosphère tendue parfois où on se sent mal à l'aise et chaque action prise est décisive dans l'histoire , plus on avance dans l'histoire plus on essaie de savoir qui est le mort .



J'ai pris plaisir à la lecture car c'est une histoire qui peut être vraie qui évoque le paranormal , la mise à l’écart d'une/d'un élève c'est ce qui prouve que l’œuvre est réaliste dans son histoire .



On peut faire le rapprochement avec des films tels que "SAW", ou avec l'actualité comme le meurtre en série (ici dans l'histoire c'est le mort) , se sont des faits inexpliqués et cachés aux yeux du monde sauf aux élèves du collège de Yomiyama .

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Au début de l'histoire, un nouvel élève doit arriver au lycée mais il a dû être hospitalisé. Des élèves du lycée lui rendent visite, une visite assez étrange.. Après ça, alors qu'il se promène dans l'hôpital, il aperçoit une fille avec un œil bandé. Cette fille lui semble très étrange et l'intrigue vraiment. À son retour au lycée il y a une ambiance glaciale et il entend beaucoup de rumeurs concernant une jeune fille...



J'ai bien aimé ce livre car il y a beaucoup de suspense donc ça donne encore plus envie de lire la suite. Mais j'ai été déçue de la fin car ça finit assez brusquement, comme si l'histoire n'était pas finie, mais c'est sûrement pour donne envie de lire les autres tomes du livre.

LL



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Une élève très populaire du nom de Misaki se trouvait au collège Yomiyama kita en classe de 3°3.

Celle ci ayant eu un grave accident, elle ne surviva pas mais personne n'accepte sa mort.

26ans plus tard, en 1998, Koichi Sakakibara vient d'arriver dans la ville de Yomiyama après avoir vécu 15ans à Tokyo, le jour de la rentrée dans son nouveau collège en classe de 3°3, il se retrouva hospitalisé à cause de problèmes de poumons, en ressortant de l'hopital il rencontra une jeune fille dans un ascenseur qui se nomme Mei Misaki.

Après s’être remis de son hospitalisation Koichi rentre enfin dans son nouveau collège dans la classe maudite de 3°3.

Il recroisa plusieurs fois Mei Misaki qui se trouve dans le même collège que lui.

Personne ne parle ou ne fait attention à cette fille, intrigué il se renseigne à son sujet et se rend compte que Mei Misaki avec qui il s'entend bien, était cette jeune élève populaire décédée lors d'un accident 26ans plus tôt.



Avis: Je n'ai pas aimé ce livre, car j'ai eu du mal à comprendre et je n'ai jamais été intéressée par les mangas.



Léa.L

Après avoir découvert ce que cachait la fameuse malédiction frappant nos collégiens, je ne pouvais pas attendre avant d’en connaître l’issue finale et j’ai dévoré ce second tome, encore meilleur que son prédécesseur.



En effet, Yukito Ayatsuji révélait au lecteur qu’un élément de trop au sein de la classe de 3ème 3 déclenchait d’étranges phénomènes paranormaux, entraînant la mort de plusieurs élèves, ou celle d’un membre de leurs familles et ce, jusqu’à la fin de l’année scolaire. J’ai vraiment trouvé cette partie et ces révélations captivantes même si elles étaient assez tirées par les cheveux. Il m’a fallu lire plusieurs fois certains passages pour comprendre ce qu’était réellement ‘le mort’ et pourquoi il sévissait ainsi. Tout comme Kôichi, notre héros, une fois ces informations assimilées, chaque personnage est devenu un mystère à part entière pour moi et je les soupçonnais tous d’être revenus de l’au-delà. Ce sentiment d’insécurité planant au dessus de notre héros a été exaltant à lire et pousse réellement le lecteur à se questionner. Ainsi, chaque page est inlassablement dévorée, offrant un rendu totalement addictif. De plus, l’auteur donne énormément d’informations sur cet étrange phénomène tout au long de son récit. Chaque révélation est plus ou moins importante et engendre aussi d’incroyables péripéties. Je me suis complètement laissé berné par sa plume qui se révèle bien plus efficace et machiavélique que précédemment. Je pense d’ailleurs que c’est un tort d’avoir scindé ce roman en deux car une fois le décor planté, le rythme ne cesse de s’intensifier et entraîne amplement le lecteur dans cette dangereuse course contre la montre où règnent action et peur. Cette immersion est totale jusqu’à la dernière page et la finalité du roman m’a totalement abasourdi malgré quelques découvertes parfois prévisibles. Je ne m’attendais absolument pas à découvrir ce protagoniste derrière cette malédiction. L’auteur s’est sciemment et facilement joué de moi et je l’en remercie sincèrement.



De plus, alors que j’adorais déjà nos deux personnages principaux, j’avoue qu’ils m’ont encore plus conquis dans ce second volet. Ce qui me plait le plus avec ce duo est l’alchimie qu’il dégage. En devenant tous deux inexistants parmi leurs camarades de classe, leur relation ne cessera de se solidifier à tel point qu’ils deviendront très vite inséparables. Étrangement, même si la romance n’a pas sa place dans l’univers de Yukito Ayatsuji, quelques passages m’ont pourtant semblé assez équivoque. J’ai vraiment apprécié ce décalage offrant un réel contraste avec la noirceur de son oeuvre. Une fois de plus, Mei déborde de mystères et dissimule énormément de secrets qu’elle ne semble pas prête à dévoiler. Cependant, au compte goutte, ce personnage se dévoilera et le secret qu’elle cache derrière son bandana m’a malgré tout sidéré alors que je m’y attendais plus ou moins. Je suis d’ailleurs ravi que l’auteur ait écrit un roman spécifique à ce personnage et à sa particularité. Il me tarde déjà de me le procurer.



Ce second tome est donc encore plus immersif que son prédécesseur. Dès les premières pages, l’action est omniprésente et ne cesse d’augmenter. Les nombreuses réponses apportées par l’auteur sont surprenantes et permettent des retournements de situation jouissifs ! Il me tarde de lire le dernier volume de cette saga.
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J’ai acheté le premier tome d’Another, Celle qui n’existait pas, de Yukito Ayatsuji car sa couverture et l’ambiance du résumé me plaisait beaucoup. Mon seul regret ? Ne pas l’avoir sorti plus tôt de ma bibliothèque pour le lire ! J’ai adoré et je ne vais pas attendre longtemps avant de lire le deuxième et dernier tome !



Dans ce tome, on fait la rencontre de Kôichi qui vit depuis peu chez ses grand-parents et qui fait sa rentrée en 3e-3, « la classe maudite ». Dès le début, il sent qu’il se passe quelque chose de pas net, de mystérieux dans cette classe et il ne va pas en rester là. Il est le seul à parler à Misaki qui est « celle qui n’existe pas »…



Le gros plus de cette nouvelle série, composée de deux tomes, est son histoire particulière. Une ambiance de malédiction qui va nous faire tourner les pages afin d’en apprendre plus aux côtés de Kôichi. Je m’attendais à un récit qui allait me donner des frissons et me faire peur, pour ce point là, c’est réussi ! Mais je ne m’attendais pas à apprécier autant l’ambiance particulière, surtout celle qui règne dans l’atelier de poupées, légèrement glauque et très mystérieuse !



La classe 3e-3 est maudite depuis vingt-six années, les élèves, refusant d’accepter la mort de leur ami, ont fait comme s’il était toujours vivant… Depuis, chaque année les élèves de cette classe subissent la mort de près ou de loin, au moins une fois par mois. J’ai énormément apprécié démêler le vrai du faux, essayer de comprendre ce qu’il se passe vraiment dans cette classe. Cerner le personnage de Misaki aussi, cette jeune fille à qui personne se parle excepté Kôichi.



J’ai fait plein de suppositions et aucune n’était juste ! J’adore me tromper dans mes lectures, les revirements de situations et les surprises n’en sont que plus agréables. J’ai énormément aimé ma lecture ! Les pages se sont tournées sans que je m’en rende compte, je l’avais commencé depuis peu qu’il ne me restait plus qu’une centaine de pages à lire avant la fin. J’ai vraiment hâte de lire le dernier tome pour savoir le fin mot de l’histoire et trouver qui est « le mort ».



Bref, Celle qui n’existait pas est un excellent premier tome ! Il n’y a pas énormément d’action mais le livre a un très bon rythme malgré tout, un vrai page turner. Une histoire de malédiction qui se transmet de génération en génération. Je suis très curieuse et impatiente de découvrir le dénouement final ! Si vous avez envie de frissonner un peu, ce livre est pour vous !
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« Another : celle qui n’existait pas » est le premier tome d’un light novel publié au Japon en 2009 et qui a connu un tel succès qu’une version animée a vu le jour, ainsi qu’un film et un manga. L’anime étant le premier à être arrivé dans nos contrées suivi il y a peu du manga, c’est tout naturellement vers le roman originel qu’ont décidé de se tourner les éditions Pika le mois dernier. Ils inaugurent ainsi leur collection « Romans » qui essayera de mettre en avant des light novel dérivés ou originels d’univers mangatesques. Comme j’avais adoré l’anime (moins sa fin un peu trop alambiquée), j’étais très curieuse de découvrir le roman originel et voir si je pouvais retrouver cette atmosphère horrifique si bien mise en place. Ce premier tome réussit-il à nous donner froid dans le dos ? En partie…



...la suite sur mon blog !
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Un premier tome lent et dérangeant, qui met tout doucement en place l'intrigue. Le résumé laisse supposer que l'élève "Misaki" de la classe de Kôichi est un fantôme, mais le récit est tourné de tel façon que tout est possible, y compris une grosse histoire de harcèlements à la japonaise.

L'atmosphère oppressante de ce premier tome est une réussite, et donne très envie de lire la suite.

Il y a 26 ans un drame s’est produit, Misaki une jeune élève populaire appartenant à la 3°3 trouve la mort. Sa classe ne pouvant supporter ce désastre, choisir d’admettre que Misaki était encore vivante. Cependant, ce qu’il ne savait pas, c’est que cela aller déclencher de graves choses qui persécuteront les générations futures.



J’apprécie le travail de l’éditeur, car au début de chaque tome, on trouve quelque planche en couleurs, et c’est un vrai bonheur pour les yeux. Le dessinateur a réussi à réaliser par le dessin l’atmosphère qui convenait, et cela, surtout dans les situations tendues. J’ai eu un gros coup de cœur pour son traits.



Nous sommes en 1998 et nous suivons le personnage de Kôichi. Dans le tome 1, on prend ce manga pour de la rigolade, c’est-à-dire on ne prend pas les choses au sérieux. Ce premier tome est plutôt léger, même s’il s’assombrit vers la fin. Par contre dans le tome 2 le ton devient grave et la tension augmente. Ce que j’ai particulièrement aimée est qu’on l’on essaye de découvrir en même temps que le personnage ce qu’il se passe. L’auteur ne nous donne jamais un aperçu de ce qu’il peut se passer en dehors du champ de vision du protagoniste. Et cela donne une vraie quête au lecteur.



Bien que l’on soit près du personnage durant toute l’histoire, on réfléchit par nous-même. Et on en déduit certain chose que le personnage n’a pas encore trouvé ou inversement. Ça peut vous paraître anodin et complètement débile de ma part de dire ça. Mais j’ai réellement eu cette sensation d’être détaché du personnage, attention ce que je dis n’est pas négatif. J’ai réussi à rentrer dans l’histoire sans aucun problème et je me suis identifiée au personnage. Cependant, j’ai eu plus l’impression d’accompagner le protagoniste, mais en étant tout aussi invertie que lui.



Ce manga parle beaucoup du faite que l’on ne veut pas regarder en face les événements et que l’ont choisi plutôt de détourner le regard. L’auteur nous fait réfléchir sur nos décisions. On observe qu’après toutes ces années de tragédie, les actions et réactions des personnages se répètent et sont toujours les mêmes. Ne vous en faite pas ce n’est par répétitif dans le sens que l’on a aucune idée de ce qu’il c‘est passé il y a 26 ans, donc on découvre les événements pour la première fois. Dans le tome 2, on apprend quelque chose de primordial et j’avoue que j’étais déçu, car la tension qui se faisait plus intense a flanchée à ce moment. Cependant, ce n’est qu’un subterfuge, car l’atmosphère oppressante ne devient que plus lourde après cette révélation.



On trouve de beaux jeux de lumière. Particulièrement avec le personnage du bibliothécaire qui a été beaucoup travaillé. Les dernières pages du tome 3 nous mettent en sur-tension. On est au bort du livre en attendant avec appréhension et curiosité ce qu’il va se passer. L’angoisse est de plus en plus oppressante. On est livré dans une réelle enquête pour découvrir le coupable. Je ne lis pas énormément de seinen, mais je suis comblée d’avoir lue celui-ci. La fin du tome 3 ne nous met aucunement en confiance, j’ai tellement hâte de lire le dernier de la série. Il y a tellement de questions qui méritent des réponses.
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le résumé avait attiré mon attention et j'en attendais surement trop. Ce premier tome est assez contradictoire pour moi car d'un côté l'intrigue est longue à se mettre en place et d'un autre il y a des raccourcis pris qui peuvent perdre le lecteur. Du coup j'ai oscillé entre "j'ai pas compris" et "c'est long quand est ce qu'on rentre dans le vif du sujet". J'ai un avis mitigé et pourtant je reste persuadé que l'histoire peut devenir prenante.

Un peu long à se mettre en place et des raccourcis sont vite pris dans le déroulement de l'histoire.

Il faut s'accrocher pour poursuivre mais au final ça peut valoir le coup.

La fin de se premier tome nous laisse sur un mystère que l'on veut éclaircir au plus vite.

La suite dans le deuxième volume prévu pour juillet.
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Je met ici ma critique pour l'entièreté de la série que j'ai lu d'une traite. Une belle surprise, vraiment. Avant de lire le manga j'ai regardé l'anime à plusieurs reprise et c'est tellement différent. Oui des détails changent mais aussi des pans complet de l'intrigue qui nous donne plus d'indices et permettent une meilleure compréhension et cohérence de l'œuvre. Le gros plus pour moi c'est qu'on est pas l'évènement plage sorti de nul part ni de fin en bain de sang inutile. Alors oui mon avis est un peu influencé par l'anime mais ça a vraiment joué sur mon appréciation de l'œuvre. Je rajoute à ça le fait que le duo entre l'auteur et le dessinateur (le même que pour Meurtre dans le Décagone) marche vraiment bien et que les planches sont sublime! A nouveau, c'est un point où le manga dépasse l'anime: les graphisme. Je recommande fortement la lecture de cette série!

Perplexe .. Ce livre me laisse perplexe. Le début m'a donné envie d'avancer dans ma lecture. Puis vint un moment, un long moment où j'ai peiné à continuer. Ce qui est dommage car l'histoire est très intéressante, avec une fin qui nous hape et nous tient en haleine jusqu'au bout. Je dirais que parfois le récit est un peu mal exploité avec trop de passages répétitifs, beaucoup trop ...

Je ne dirais malgré tout pas non à ses autres livres qui appellent ma curiosité au vu de l'intrigue de celui-ci.

[Critique pour la série]



Il y a quelques semaines, je me suis lancé à la recherche d'un nouveau manga policier à lire, de préférence assez court. On m'a alors vivement recommandé cette série, tirée d'un roman à énigmes de l'auteur Yukito Ayatsuji, reconnu dans son pays pour ses excellents romans policiers « Old school ».



Dès le départ, la situation m'a captivé : les membres d'un club de lecture passionnés de romans policiers se retrouvent isolés du monde sur une île, pour une semaine de lectures et de discussions autour de leurs auteurs préférés : Doyle, Christie, Leroux, Orcy ou encore Poe. Mais très vite, la mort vient assombrir le tableau.



J'ai littéralement dévoré les 5 tomes de cette série. Mon esprit en ébullition, je scrutais chaque page à la recherche du moindre indice dans ce page-turner.



Ce qui rend cette série si captivante, c'est le va-et-vient entre le huis clos de l'île et l'enquête menée par l'une des camarades restée sur le continent, autour de mystérieuses lettres. Ces deux histoires, intimement liées, nous révèlent progressivement toute la complexité de l'intrigue.



Quant aux personnages, ils peuvent sembler, de prime abord, stéréotypés : c'est le style qui veut cela. Cependant, leur psychologie se développe rapidement, ajoutant une profondeur attendue à l'ensemble. Sans cela, les 5 tomes auraient pu sembler un peu longs.



J'ai pris un réel plaisir à jouer au jeu de l'auteur et à suivre la ribambelle de pistes qu'il a semées. Ce fut une vraie lecture plaisir, et je serai certainement tenté par la lecture du roman qui l'a inspirée.

Un roman que j’ai beaucoup apprécié mais que je ne saurais pas comment décrire. En effet, si je devais le décrire un mot je dirais : lent (ou mou, à voir) mais pas dans un sens négatif car je ne me suis ennuyée à aucun moment en lisant ce roman.



Parler de l’Alzheimer (et/ou de la démence) est une bonne idée car ce n’est pas quelque chose que l’on retrouve souvent dans les fictions. De plus, cette perspective est abordée avec le point de vue qu’on avait de cette maladie à l’aube du deuxième millénaire.



L’auteur maîtrise bien sa plume. Si il n’a pas réussi à m’effrayer, il est néanmoins parvenu à me faire frissonner et peut être un peu à m’angoisser.



Si je devais lui reprocher quelque chose, cela serait sans doute que tout le long du roman l’auteur à fait en sorte qu’on ne sache pas si les événements qui se produisaient étaient dû à notre héros (dans sa tête en quelque sorte) ou si c’était dû à de vrais phénomènes fantastiques/paranormaux mais que cela est révélé vers la fin. Personnellement j’aurais préférée qu’on reste dans le flou, et que chacun soit libre de se faire son propre avis.

Dans cette atmosphère plus macabre que jamais au vu des morts qui s'enchaînent et des dessins de Hiro Kiyohara faisant tout pour accentuer l'aspect sinistre, ce quatrième volume se penche alors majoritairement sur la suite des funestes péripéties de trois dernières personnes encore en vie dans le bâtiment à dix côtés, celles-ci se devant de continuer soigneusement leur enquête: remonter le fil des événements avec leurs quelques indices, comprendre comment l'assassin a pu s'y prendre et quelles sont ses motivations exactes, continuer d'explorer les spécificités du décagone, essayer de déterminer ce que Leroux avait compris pour qu'il s'aventure à l'extérieur en pleine nuit...
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Et hors de l'île, Kawaminami, qui a elle aussi reçu une lettre, poursuit ses investigations non plus avec le pragmatique et sérieux Morisu, mais plutôt avec l'un peu plus audacieux et exubérant Shimada, en allant désormais enquêter auprès de Kôjirô, l'oncle de la défunte Chiori, qui cache peut-être quelque chose... et le résultat est là !
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Je trouvais que la série peinait un peu à décoller et ainsi une narration qui l'engluait, oubliez tout ça, avec ce tome 3, elle prend enfin son envol et c'est un régal !



Ambiance stressante à souhait, dans ce troisième volet, les auteurs par un savoureux jeu d'intérieur - extérieur élargissent le champ visuel de leur intrigue comme jamais et cela change tout. D'un huis clos qui tournait un peu en rond, on passe à une intrigue avec plus de ramification et donc de raisons d'avoir peur. Le mystère s'éclaircit mais pas la menace et celle-ci passe même à un niveau supérieur. On adore !



Sur l'île, nous avons droit à la découverte d'une partie du mode opératoire du tueur mais sans qu'on puisse l'en empêcher, ce qui fait augmenter la dose de frayeur ressentie. La preuve, certains plus fragiles commencent à craquer. Les corps pleuvent d'ailleurs dans les ultimes pages, ce qui est fracassant, surtout que l'un d'eux s'était peut-être approché d'une certaine vérité. Zut !



En dehors de l'île, leurs anciens camarades du club enquêtent et cela porte ses fruits. Ils découvrent une toute autre réalité sur ce qui s'est passé autrefois sur l'île et sur les liens que cela a avec une certaines familles. La tension et les questionnements montent. Mais qui est vraiment derrière tout cela et pourquoi. Est-ce la personne vers qui on nous oriente ou une autre qui nous surprendrait encore plus ? Les questions pleuvent.



Et je dois avouer que les très jolis dessins, entre beauté et froideur, d'Hiro Kiyohara contribuent bien à ce sentiment de malaise grandissant. Il y a une mise en scène qui semble être de plus en plus au scalpel avec une mise en garde contre la beauté qui pourrait cacher bien plus de noirceur, qui m'interpelle et me séduit. L'horreur et la tension gagne son trait qui offre des tableaux glaçants et morbides par moment, notamment quand on est sur ces fameuses pages à fond noir. J'adore !



Seul bémol et de taille : c'est quoi ce papier déjà tout jaunâtre choisi par Pika ? Je suis extrêmement déçue de ne pas pouvoir profiter des noirs et blancs profonds de l'oeuvre à cause de cela... C'était déjà le cas sur le tome 2 et je pensais que c'était une erreur, une anomalie, mais cela se répète ici, c'est donc un choix et je ne l'approuve pas V.V



Arrivée à mi-chemin, la série dévoile enfin son envergure et s'éloigne de cette narration trop explicative qui l'alourdissait. Alors tandis que des pistes se dessinent la tension monte et monte de la plus jolie et terrifiante des façons sous le trait acéré du mangaka. Cela devient un vrai plaisir coupable d'assister aux derniers instants des personnages et de suivre cette course contre la montre entre les survivants et le tueur potentiel. Un bien bon thriller au final !
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Encore une fois, on se trouve face à un roman qui se dévore à toute vitesse. Sans doute bien plus actif que le premier, on est plus vite plongé dans les événements avec la recherche de la compréhension et de la solution puisque l'on en sait enfin un peu plus grâce à la fin du tome 1. Néanmoins reste une question primordiale que l'on tentera de résoudre tout du long.



Et encore une fois, j'ai échoué lamentablement xD Mais j'adore ça ! Parce que les indices, je les ai vus ! Et chaque fois, j'étais là "hum, très chelou, ça doit vouloir dire quelque chose, mais quoi ?" et malgré tout, pas moyen de deviner, je suis restée sur les fesses lors de la révélation. C'est là qu'on voit à quel point c'est bien mené, bien écrit, bien ficelé.



Parallèlement, j'aime beaucoup le côté plus psychologique qu'on a en fond d'histoire, avec ce phénomène qui prend possession de la classe entière. Cette fameuse classe de 3ème3. Cette peur collective qui leur fait prendre des décisions complètement dingues avec le plus grand calme juste parce qu'ils ont une trouille pas possible. Ça aussi, c'est vraiment très bien amené.



Bref, un deuxième tome largement à la hauteur du premier, qui vient boucler tout ça avec un super rythme et des réponses aux questions qui nous hantent depuis le départ (mais pas toutes non plus, et ça aussi c'est cool). Décidément, j'aime beaucoup cet auteur, et c'est terriblement frustrant de voir qu'il n'existe pas plus de romans (en tout cas traduits). (Et Lisez Last Memory !!)

Après avoir adoré "Last Memory" il y a quelques années, j'ai été ravie de me replonger dans l'univers de Yukito Ayatsuji.



Le style est assez ciblé jeunesse et comporte quelques petits faux-pas (peut-être dus à la trad, d'ailleurs) mais rien que n'a pu m'empêcher de le dévorer de bout en bout et à toute vitesse.



J'ai tout de suite retrouvé ce côté étrange, un peu décalé, mais qu'on accepte immédiatement. Ce soupçon horrifique, mais pas trop. Surtout, ce mystère qui s'installe quasiment tout de suite et qui ne nous lâche plus avant qu'on nous accorde enfin quelques révélations 300 pages plus tard.



C'est un très bon page turner où tout s'enchaîne et bien fichu de manière à ce qu'on n'ait vraiment pas envie de lâcher le bouquin. Jusqu'au bout, je me suis demandé ce qu'il se passait, et jusqu'au bout j'ai eu mes théories (qui ne se sont pas avérées bonnes, d'ailleurs).



Il est vrai que si ça avait été un roman adulte, on aurait pu virer très franchement dans le flippant et l'horreur plus tranchée, voire dans le gore, et ainsi explorer bien d'autres émotions et sensations chez les lecteur, mais je vais vous dire, en fait pour une fois je ne trouve même pas ça nécessaire. Ce qu'on a là est juste suffisant. C'est très prenant, ça stimule déjà beaucoup l'imagination, et ce n'est pas si évident de deviner ce qu'il se trame.



D'ailleurs, les révélations sans probablement bien loin d'atteindre leur apogée, puisqu'il y a encore un tome à lire, dans lequel j'ai d'ailleurs hâte de me plonger !



Affaire à suivre...

On suit alors ce polar sans réel désintérêt, mais en ayant le sentiment que les choses peinent pour l'instant à décoller et à trouver plus de consistance. Les avancées sont pour l'instant minces et très prévisibles, aussi attend-on de la suite qu'elle sache surprendre un peu plus ou, au moins, hausser le ton.
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Ce premier tome de Meurtres dans le Décagone est une bonne surprise. Il vous happe et vous contrôle. Il vous donne envie de lire la suite et de découvrir ...le (ou les) meurtriers ! Ah oui, vous le verrez bien lors de la dernière page de ce premier opus !
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