Yukito Ayatsuji

Je suis ce manga avec beaucoup d’intérêt. Il s’agit d’un thriller psychologique certes assez classique dans sa construction, mais qui m’accroche autant pour son suspense que pour ses dessins incroyables !



Dans ce quatrième tome, tout s’accélère à une vitesse folle ! Il ne reste plus beaucoup de survivants et il est temps de mettre toutes les théories sur la table pour tenter de s’en sortir et surtout de savoir qui est le véritable meurtrier.



Les rebondissements sont légion et les doutes persistent. Cependant, l’heure des révélations a également sonné lorsqu’on découvre le lien entre les étudiants et la jeune fille décédée l’an passé. Il suffit alors d’assembler les pièces du puzzle pour commencer à comprendre. C’est quand même bien fichu et haletant. Je l’admets, je suis assez bon publique alors je me prête assez facilement au jeu. Jusqu’au bout, j’ai moi aussi mes propres théories grâce aux éléments recueillis avec la camarade restée sur place en métropole. Quant à la fin de ce tome, elle se termine sur un sacré cliffhanger et j’ai autant hâte que j’appréhende d’avoir le dénouement de cette histoire. Y aura-t-il au moins un seul survivant de cette expédition sur l’île du décagone ? Je suis curieuse de le savoir !



En bref. J’ai passé un bon moment avec cette suite qui a très bien fait son office et m’a tenu en haleine jusqu’au bout.
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Qui est le mort ?

Le tuer mettra-t-il fin à la malédiction ?



Dans ce dernier tome, l'histoire s'affole. Dans une tentative désespérée, la classe de 3e3 reproduit le voyage scolaire qui avait permis de stopper temporairement la malédiction il y a de ça plusieurs années. La K7 audio peut enfin être écoutée, et apparemment tuer le mort permettrait de libérer la classe. Mais qui est le mort ? Cette question n'aura jamais été aussi importante...



Ce manga en quatre tomes s'achève donc, et j'avoue être un peu mitigée. J'avais compris qui était le mort depuis le tome 2, et même si ce n'est pas mauvais, ça reste quand même très évident. A grand coup de dramas familiaux, le mangaka a essayé de nous orienter vers Mei Misaki mais il était évident que ce n'était pas elle. Par ailleurs, son pouvoir de voir la mort avec son œil de poupée m'a semblé totalement de trop, je n'ai pas adhéré du tout.



Au final, ce manga est donc sympathique mais sans vrai surprise, c'est aussi effrayant que n'importe quelle légende urbaine, autant dire : pas des masses. Tout ça manque beaucoup de subtilité, et si l'ambiance n'est pas mal, ça ne fait pas peur pour autant. Un résultat en demi-teinte pour ma part donc.

Qui est le mort ?



Maintenant que nous connaissons plus en détail la malédiction de la 3e3, l'histoire continue avec cette question. Les élèves sont de plus en plus inquiets, les morts continuent, l'enquête avance doucement.



J'avoue que le coup du ''on a une K7 audio qui explique tout mais zut de zut, la bande a été abimée et en plus, on a pas de lecteur. Allez Mochi, répare ça et trouve un lecteur pour qu'on puisse vite savoir !'' c'est quand même un cliché bien peu subtil. Ça permet de gagner du temps, mais c'est un peu gros quand même.



Côté dessin, c'est toujours aussi sympathique. L'histoire avance, l'ambiance est toujours aussi lourde. Le mangaka sème des petits cailloux pour nous pousser à explorer des pistes : la famille de Kôichi, la sœur de Misaki, la demi-sœur d'un autre élève, la K7 mystérieuse... c'est une manière classique de faire, mais vu que le manga va très vite, je trouve qu'on a pas vraiment le temps de s'immerger. C'est un peu comme ce qui arrive à l'élève avec ses couettes et son frangin bizarre : ce n'est pas mauvais, mais comme ça va très vite, ça ne génère pas d'empathie pour elle. On suit finalement les peurs et les morts d'un œil lointain, et c'est un peu dommage.

En 1972,une élève douée et populaire est décédée. Inconsolables, ses camarades de classe et ses professeurs décidèrent de nier la réalité, de faire comme si Misaki était encore en vie. Lorsqu'elle apparut sur la photo de classe de fin d'année, tous surent qu'une étrange malédiction venait de se lancer...



Série de mangas courte en quatre tomes, ''Another'' repose sur une légende urbaine assez classique. L'ambiance est lourde, paranoïaque, et fraichement arrivé au collège, Kôichi se rend rapidement compte que quelque chose ne tourne pas rond. Il va s'intéresser à l'une de ses camarades, Mei Misaki, une étrange jeune fille qui traine dans un atelier de BJD (Ball Jointing Doll), des poupées asiatiques en résine de très belle qualité. Une Mei Misaki dont on lui explique rapidement qu'elle n'existe pas.



Le mystère plane donc, on se demande de suite si Misaki est un fantôme ou une élève brimée par ses camarades, on cherche également si cette malédiction de 1972 est réelle et quels sont ses liens avec la jeune fille. Le dessin est sympathique, l'ambiance est intéressante bien que pas vraiment inquiétante. J'avais commencé l'animé pour les BJD (qui étaient plus longuement montrées dans l'animé et très inspirées des DollChateau) mais elles sont plus en retrait dans le manga. De mémoire, je crois d'ailleurs que je n'avais vu qu'un épisode ou deux, il y a de ça plusieurs années, donc je n'ai plus vraiment de souvenir de l'histoire mise à part ces poupées.



Pour le moment, on reste sur un manga ''horrifique'' assez classique. Je me permets de mettre des guillemets parce que jusqu'à présent, j'ai trouvé ça très sage, c'est du vu et revu, à voir pour la suite.

Ce manga ressemble vraiment à un roman policier..

Dans sa narration, dans les dialogues, dans le scénario..



On va dire que c'est déjà un hommage aux grands auteurs classiques du genre, avec les surnoms des personnages qui sont les noms de ces mêmes auteurs..

Mais aussi pour le scénario qui s'inspire ouvertement de ces mêmes classiques.



Après beaucoup de choses qui sont aussi originales, sinon ce tome n'aurait pas beaucoup d'intérêt..

Des intrigues entremêlées, un lieu vraiment très étrange ce décagone... Et des personnages plutôt haut en couleur!



Deux équipes d'enquêteurs aussi pour que l'on ait nos dix personnages! Une sur l'île avec son passé dramatique et mystérieux, passé très récent quand même, donc un mystère qui reste frais! Et l'autre en dehors, qui peut enquêter avec une vision d'ensemble.



Bref un tome menait avec beaucoup d'intelligence, et beaucoup de clin d'oeil qui seront appréciés par les fans du genre policier !



Un premier tome à découvrir vraiment, que je conseille aux fans du genre policier quand même, mais pas exclusivement !



Bonne lecture à tous !

"Meurtres dans le décagone" est une excellente surprise, qui sait poser son ambiance et nous happer dans ses filets dès le début, dès les premières pages, et ne jamais nous lâcher jusqu'à la fin du tome. S'il sait continuer ainsi du début à la fin de la série, au cours de ces 5 tomes, ce sera vraiment du très bon et à mettre dans toutes les mains qui aiment les histoires policières, de meurtres et d'enquêtes. Après, peut-être que certains préféreront attendre que tout soit sorti.

Avec une couverture et une histoire qui attirent l'œil, l'intérieur ne nous déçoit pas, déjà le trait graphique est superbe et fait son travail, et toute l'ambiance glaçante, les frissons, nous les sentons arrivés.

Tout commence par quelques pages couleurs et en très peu de temps avec l'ambiance et le texte nous sommes plongés dedans. Il y a même du rouge qui ressort et il fait son effet.

La série est proposée par les éditions Pika, au dessin nous retrouvons KIYOHARA Hiro, au scénario AYATSUJI Yukito, tous les deux sont à l'origine d' "Another" et ont fait d'autres choses.

C'est également l'adaptation d’un autre roman célèbre de Yukito Ayatsuji paru sous le même nom dans son pays d'origine.

Tout commence avec un groupe d'étudiants qui sont sur une île. Ils vont y rester une semaine, il n'y a pas de réseau, il y a eu des meurtres macabres il y a six mois. Ils seront logés dans une maison en forme de décagone, à 10 côtés, ça change et c'est assez impressionnant. Tous nous sont présentés au fur et à mesure, des universitaires d'un même club : "Le laboratoire du polar".

Nous sommes ainsi en présence de gens qui aiment les histoires policières, en résoudre, réfléchir. Ils sont de différents cursus, les âges varient aussi, les caractères et la façon d'être encore plus.

Si leurs noms vous ont semblé bizarres et familiers, c'est que ce sont des pseudonymes de maîtres occidentaux du roman policier qu'ils admirent, et chacun a choisit soigneusement le sien.

On appréciera également les bonus nous donnant des informations sur chaque personnage mais également sur ceux à l'origine de leurs surnoms. Surtout que certains c'est le nom d'autres le prénom qu'ils utilisent.

Bref, de quoi mieux maitriser et s'immerger dans l'histoire.

Il y a bien sûr des moments plus classiques, des moments que nous voyons souvent, des rebondissements de taille, des questionnements intéressants, une menace qui plane, des évènements qui se dévoilent comme quelque chose qui s'est passé lors d'une sortie de leur club.

Il y a également de l'humour, des confrontations, des divergences d'opinion. Par exemple, ils peuvent dire ne pas être dans un roman policier.

Le fameux doute qui s'installe. N'oublions pas qu'ils sont entièrement livrés à eux-mêmes sur cette île. Cela fait pas mal ambiance "dix petit nègres" d'Agatha Christie. Est-ce que certains s'amuseraient à faire de mauvaises blagues ?

Chaque fin de chapitre assène un coup, c'est vraiment géré de main de maître.

Ajoutons à cela que tout ne se passe pas seulement sur cette île, et que c'est toujours aussi lié à l'affaire de celle-ci. Oui, tous les membres ou ex-membres n'ont pas acceptés ce voyage. Mais certains semblent avoir reçu une étrange lettre.

C'est très intéressant, tout aussi prenant, et permet de sortir de l'île, d'apprendre des choses à côté, d'avoir totalement une identité propre, ce que permet déjà la particularité de la maison.

Adepte de frissons, venez dans le décagone si vous l'osez. Un régal à lire.

Ceci est le dernier tome de la série Another.

Je dois dire que ce manga a vraiment été une bonne surprise. On sent qu'on se rapproche de la fin, on cherche de plus en plus qui est le mort... On soupçonne vraiment tout le monde et... PAF!

La seule personne qu'on ne soupçonne pas, on ne pense presque pas à elle, et pourtant... Et pourtant c'est belle est bien elle la morte.

Je suis choquée mais en bien!

Alors si vous hésitez à lire ce manga, n'hésitez pas. Quatre tomes, c'est peu, donc ça se lit vite! Et en plus l'intrigue est géniale et le suspens insoutenable!

Attention, risque de spoilers si vous n’avez pas lu le tome précédent !



Comme je le disais dans mon avis sur le premier tome, j’avais été charmée par la couverture et le résumé que j’avais trouvé très intriguant. Mon seul regret était de ne pas avoir découvert cette nouvelle duologie plus tôt. Je suis toujours du même avis, j’ai adoré ces deux tomes ! Ce deuxième tome, La fille à l’oeil de poupée de Yukito Ayatsuji m’a énormément plu !! Un vrai coup de coeur ! J’ai passé un super moment, très angoissant par moment je dois bien l’avouer.



Dans ce second tome, on reprend la lecture exactement là où on l’a laissée à la fin de Celle qui n’existait pas. Comme j’ai enchaîné les deux livres, j’avais l’histoire encore bien en tête, et même si ça n’avait pas été le cas, les rappels sont faits pour ne pas perdre le lecteur. Concernant les personnages, je me suis encore plus attachée à Misaki. Elle reste le personnage le plus mystérieux de l’histoire avec son oeil de poupée, son passé intriguant et très triste lorsque l’on sait de quoi il s’agit.



Ce qui m’a bluffée dans cette histoire de malédiction, ou plutôt de phénomène, c’est que l’on ne sait jamais à quoi s’attendre ! J’ai fait plusieurs suppositions, j’étais persuadée d’avoir percer le mystère et de savoir qui était « le mort », « celui de trop ». Et je me suis pris une grande claque ! Quelle surprise, je ne m’attendais pas du tout à ça ! C’est que Yukito Ayatsuji sait y faire avec son histoire, il la maitrise à la perfection, nous balançant un détail que l’on n’avait pas vu venir et finalement tout se tient.



L’ambiance était encore plus angoissante que dans le premier tome. Les morts se succèdent et ça devient de plus en plus rude mais on ne s’arrête pas de lire car on veut savoir ce qui suit ! J’ai dévoré ce tome en très peu de temps, comme je l’avais fait avec le premier. Ca faisait un moment que ça ne m’étais plus arrivé. On passe de révélations en révélations, on se rapproche du but mais on sait que ça ne va pas être facile, et qu’il faudra en payer le prix…



Bref, Another tome deux, La fille à l’oeil de poupée est un tome encore plus excellent que le précédent ! J’ai tout adoré, aucun reproche. L’histoire était prenante autant qu’il le fallait, l’ambiance angoissante, pas de là à en faire des cauchemars, mais assez pour ne pas qu’on s’arrête avant d’avoir trouvé qui était « le mort ». N’hésitez pas à découvrir la duologie Another ! Une histoire originale et addictive.
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Avis plutôt mitigé. L'idée de départ me plaisait vraiment beaucoup mais ce premier tome me semble trop confus. Trop de mystère tue le mystère.

De plus les dernières pages sont clairement là pour nous inciter à acheter le tome 2 au plus vite alors que l'histoire se trainait un peu jusque là, du coup bof bof.

Comment dire... je n'ai pas accrocher du tout. Le roman est lourd, remplis de détail parfois superflu et surtout rempli de répétition. On ce retrouve parfois avec des pages entières de "flash back" des pages précedentes, ce qui est franchement agaçant.



L'ambiance supposé angoissante, terrifiante, apparait que trop tardivement, étant donner que l'auteur se centre principalement sur la maladie de la mère du héros.

Le coté angoissant arrive à peine au début de la moitié du roman et encore... pour quelqu'un qui aime frissonner, c'est pas top.



Bref je ne m'éternise pas sur ce roman que, j'avoue, n'ai pas envie de relaté. En tout cas, si vous êtes un féru d'horreur et de frisson, passer votre chemin. Ici, vous ne frissonnerez pas. Par contre, vous connaîtrez la maladie d’Alzheimer de long en large.

Ahh ce manga qu’est ce que je l’aime! Cette histoire c’est le genre d’histoire qui vous tient en haleine tout le long de votre lecture, le genre d’histoire que l’on n’a pas envie de voir se terminer tant c’est palpitant. Meurtres dans le décagone c’est. unpeu une partie de Cluedo géante en quelques sortes. On est complètement dans le flou et plus on avance dans notre lecture plus on est perdu! Dire que ce quatrième tome c’est l’avant dernier! Je meurs d’impatience de découvrir ce que nous réserve le dernier tome!



Dans ce quatrième tome, il ne reste plus que trois survivants. Le temps passe et le sort continue de s’acharner sur les étudiants présents sur l’île. Mais l’heure n’est plus aux hypothèses : il leur faut percer au plus vite les secrets du Décagone et les mystères des meurtres en série pour espérer échapper à la mort. Kawaminami et Shimada, eux, avancent petit à petit dans leur investigation en trouvant une lettre sur la tombe de Chiori Nakamura. Cela va permettre de lever enfin le voile sur sa tragique disparition…



Encore un tome à la hauteur de mes espérances. Il faut le dire, l’étau se resserre désormais, on se rapproche de la vérité. L’histoire ne cesse d’avoir des rebondissements. Je ne sais jamais où donner de la tête, on nous entraîne sur une piste, on finit par y croire et boum tout change et on se retrouve au point de départ. J’adore ce genre d’histoire, j’ai les rouages de mon cerveau qui tournent à plein régime! Mais dans ce tome, on aperçoit le début de la vérité. Et je dois dire que ça m’a un peu surprise, enfin non pas que ça me déplaise mais j’avoue que je ne m’attendais pas vraiment à ça. D’ailleurs, dans ce tome, on découvre l’accident qu’on subit le club avant de venir sur l’île du décagone. Et cette fin! Wow! Je sens que le dernier tome va être explosif, j’ai vraiment hâte de découvrir le dénouement de cette histoire.



Un avant dernier tome complètement dingue! On approche de la fin et tout finit par s’enchaîner. L’histoire est si complexe, on ne sait plus où donner de la tête tant on nous envoie sur différentes pistes. Je suis vraiment fan de cette histoire et ce manga est vraiment incroyable. J’ai hâte de découvrir le tome final, je me demande comment toute l’histoire va se terminer. Vivement sa sortie!
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Encore un très bon tome pour cette courte série!



Les protagonistes de l'île font de nombreuses découverte, mais toutes les pistes restent ouvertes, la tension dans le décagone monte toujours et toujours à mesure que les meurtres s'enchaînent.



En métropole , notre étrange duo/trio d'enquêteur déterre des mystères, des vérités , des suppositions.

Ils peuvent ce mouvoir et interroger témoins ou suspects...



La mise en parallèle des deux situations et vraiment une bonne idée, le lecteur peu essayer de se faire une meilleure idée de la situation et de la résolution du mystère et des meurtres par les découvertes et les déclarations des protagonistes..



Sachant qu'il n'y a plus que deux tomes à la série, le suspense monte aussi pour nous-même, les lecteurs-enquêteurs que nous sommes rapidement devenus à la lecture des premiers tomes!



Continuons l'aventure pour découvrir la vérité derrière toutes cette histoire et ces meurtres! C'est un vrai plaisir!



Bonne lecture à tous!

Avis rédigé suite à la lecture des deux premiers tomes :

Meurtres dans le Décagone étreint le lecteur pour l’emmener au cœur d’une enquête reprenant les ficelles des grands romans policiers considérés comme « classiques » tel Ils étaient dix. D’ailleurs, les surnoms des personnages découlent de cette littérature en s’appuyant sur les prénoms d’écrivains célèbres : Agatha, Leroux, Poe, etc. Cette caractéristique donne lieu à des explications et anecdotes sur ces auteurs en interlude, ajoutant un aspect informatif au livre. Si certains noms sont connus, d’autres le sont moins, aiguisant la curiosité du liseur et augmentant les titres sur sa liste de souhaits livresques.

Contrairement à la plupart des mangas, il n’y a ici aucun sentiment de précipitation. L’auteur prend le temps de tout mettre en place ainsi que de livrer toutes les informations nécessaires. Rien n’est laissé au hasard ni à l’interprétation. Le récit s’en trouve riche et dense. Richesse qui se retrouve également dans les illustrations où les détails fourmillent et dont le maître mot est minutie. Les dessins des décors sont à ce point précis qu’ils donnent l’impression de photographies. Ce réalisme facilite l’immersion du lecteur dans ce huis clos rythmé par des meurtres complexes pour lesquels les protagonistes posent, à chaque fois, tous les scénarios possibles en prenant en compte de nombreux éléments. Cet aspect est très intéressant et incite à prendre part à l’enquête. Cependant, les personnages sont tellement dans la recherche d’informations et de révélations qu’ils en oublient d’être touchés par ce qui leur arrive à eux et à leurs compagnons. Il y a un certain manque de réaction de leur part comme s’ils n’éprouvaient aucun sentiment. Ce détachement déteint sur le lecteur qui prend du recul par rapport aux crimes et n’éprouve que peu d’empathie.

Plusieurs réserves peuvent être ressenties lors de la lecture du récit, mais celles-ci sont relevées en fin de volume par l’auteur lui-même sur le ton de l’humour. Un autre exemple que, dans ce manga, tout est pensé et réfléchi.

Enfin, quelques petites erreurs se sont glissées dans le texte et dans les illustrations, mais l’ensemble de l’œuvre reste de qualité et provoque un réel plaisir lors de sa découverte.

Un début de série prometteur qui fait la part belle aux romans policiers !


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Un premier tome qui met tout de suite dans l'ambiance ! Je pense ne pas me tromper en disant qu'il n'y a que 4 tomes pour cette histoire sortie aussi en série Netflix.



Évidemment je lis d'abord les livres qui attendent depuis un bon moment dans ma bibliothèque...



Le suspense et la frayeur de ce récit horrifique sont bien dosés et bien disséminés au fil des pages. C'est meilleur que ce à quoi je m'attendais !



Je souhaite que les prochains tomes gardent ce rythme. Les protagonistes que je découvre et surtout le personnage principal a le caractère et la curiosité qui m'apporte le plaisir de lire et poursuivre ce manga.



Pour l'instant c'est un sans faute.

Une ambiance mystérieuse et tendue à la Agatha Christie, digne de "Ils étaient dix", plusieurs enquêtes à élucider, de nombreuses références aux polars ou à leurs célèbres auteurs et une intrigue prenante et bien menée. Ce manga (en 5 tomes, dont 2 déjà publiés en France) n'est pas aussi classique et simple qu'il n'y paraît.

Ce premier tome est très prometteur et une fois le premier chapitre passé, il se lit avidement avec l'envie de mener l'enquête nous aussi.

L'ambiance et l'atmosphère sont les points forts de ce manga qui saura plaire aux férus de polars, mais pas seulement. Un manga policier savoureux!

Hâte de lire la suite!

J’ai préféré ce tome au précédent celui ci était un peu confus pour moi.

Certaines bulles pour moi sont écrites trop petite les prénoms fort difficiles a enregistrer et trop ressemblant.

Il faut être vraiment dedans pour suivre.

Le final est pour moi un peu simple j’avais compris qui était là personne en trop depuis le tome précédent mais cela reste une bonne série prenante et touchante.

J’aime toujours autant l’histoire mais je dois dire que j’ai un peu de mal à suivre par moment les prénoms sont difficile à mémorise et parfois la narration nous fait perdre le fil maintenant je commence dans le manga c’est mon 20 eme tomes à peu près je ne suis pas encore tout à fait dans mon élément mais j’apprécie de plus en plus.

Curieuse d’avoir le fin mot de cette série.

Ce que j’adore dans ce genre d’histoire c’est la manière dont le réel et le surnaturel s’imbriquent. À tel point qu’on ne sait plus faire la différence. Et puis… que dire de cette ambiance mystérieuse et qui a su m’effrayer et me faire frissonner d’angoisse ? Là encore, l’auteur joue sur les sensations éprouvées par ses personnages. Et puis, au Japon, il y a des tas de légendes sur tout et n’importe quoi… avec des dieux mineurs, des esprits divers et variés… Entre tout ça, les assassinats d’enfants semblent poursuivre Shingo où qu’il aille. Serait-ce lié à lui ? Pour le savoir… j’ai été dans l’incapacité de me détacher du livre.



Le terrain de jeu est immense et Yukito Ayatsuji s’en sort à merveille pour nous tenir éveillés, la peur au ventre. Que vont trouver Shingo et Yui au bout de cette quête un brin horrifique ? Entre des secrets de famille pour les moins étonnants et les meurtres, je peux vous garantir que les lecteurs sont servis.
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Je sors ici totalement de ma zone de confort. Je ne suis pas très orientée » fantastique » mais la couverture a attiré mon attention et le résumé a fortement attisée ma curiosité. Puis, quand je l’ai feuilleté, les dessins m’ont beaucoup plu.

Dès les premières pages, l’ambiance est pesante dans ce collège de la ville de Yomiyama. Et cela n’échappe pas à Kôichi Sakakibara qui sent qu’on lui cache quelque chose. Les anciens élèves ont un comportement étrange. L’atmosphère est digne d’un bon thriller. C’est d’ailleurs précisément sur cet environnement oppressant, presque étouffant même que repose la réussite de ce manga. Les dessins sont très beaux et les textes assez nombreux pour le genre. Tous ces ingrédients font que les pages se tournent très vite.

Ses nouveaux camarades de classe restant dans le silence, le jeune garçon décide de mener lui même ses propres investigations. Il tombe sur des lieux qui font froid dans le dos. Et, il n’est pas au bout de ses surprises… De quel façon est-il impliqué dans tout cela ?

J’apprécie rarement ce genre : le fantastique. Néanmoins, la façon dont est contée l’histoire (associée aux dessins) fait que j’ai envie d’en savoir plus.

Tant que je trouverai l’ensemble bien mené, j’aurai envie d’en savoir plus sur cette mystérieuse jeune fille et ce collégien.

Et puis, avec une telle fin, impossible de ne pas vouloir lire le tome 2 !!!
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Quelle fin !



J'ai été bluffé par le dénouement de ce manga, je ne m'attendais vraiment pas à cela et autant le dire, ce fût une énorme surprise !



Du coups une belle adaptation qui me donne très envie de lire l'original, une réussite en bref !



Bonne lecture à tous.