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Critiques de Yves-Daniel Crouzet (60)
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Solaris 230

Solaris est la plus vieille et plus prestigieuse revue de science-fiction/fantasy du Québec (tout de même disponible en France).



Dans cette édition #230, on retrouve plusieurs excellentes nouvelles.



Un truc cyberpunk plutôt trash sur la privatisation de la santé mentale.

Une nouvelle plutôt drôle sur la stratégie d'extraterrestres à tentacules pour se faire accepter parmi les humains.

Une autre sur un service de livraison instantané par portail et télépathie.



Et, sur le podium, une nouvelle hopepunk de @MarieLabrousse1, notre babelionaute préférée, qui nous parle de trois sujets importants : les étoiles, l'amour, et la nécessité de se débarasser des milliardaires.



Alléchant non?
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Les couleurs de l'amour

Travailler dans les beaux quartiers de Paris, avec pour fonction de lire des livres toute la journée, de rencontrer et de conseiller, rassurer, aider des auteurs... La belle vie, quoi! Pourtant, Valentin mène une existence pas forcément triste, mais plutôt... étrange! Ne plus voir qu'en noir et blanc depuis que l'amour de sa vie est parti, cela doit faire un choc, avouons le! Et pourtant, il mène sa barque bon an mal an, à la fois courageux et blasé. Jusqu'au miracle: le retour de l'être aimé qui se redonne à lui en même temps que les couleurs! Mais est-ce si simple? Au même moment, Valentin rencontre une jeune auteure avec laquelle il se lie d'amitié. D'où reviennent les couleurs? Valentin va-t-il devoir se questionner sur lui même, faire un choix? Pour ce faire, il lui faudra apprendre à se connaitre davantage et laisser faire la vie.

On dit que quand on aime, on voit la vie en rose... comme la couverture de ce roman, qui se it d'une traite et entraine son lecteur dans une belle aventure! Du monde des éditeurs à celui, plus simple et accueillant d'un célibataire dans la ville lumière, on parcourt d'une traite "Les couleurs de l'amour" et on en vient à s'identifier à Valentin et penser pour lui... Amitié, sens du devoir, mais aussi fait divers, inquiétude et questionnements, sans oublier l'amour, ce roman nous en fait voir de toutes les couleurs :)
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Les couleurs de l'amour

C’est avec cet opus que je découvre la plume de l’auteur et quelle plume ! Yves Crouzet m’a de suite emportée à la suite de ses personnages dans ce tourbillon de questionnement sur l’amour et ses couleurs. L’idée de base est charmante : voir en couleurs quand on est amoureux. Cela revient à dire que lorsqu’on ne l’est pas, la vie est insipide et par conséquent, on la voit en noir et blanc. Cela serait si facile ainsi de savoir si on est réellement amoureux ou pas, non ?

Mais l’histoire n’est pas si simple car Valentin va tout de même se poser des questions sur la relation entre la vision des couleurs et le sentiment amoureux qu’il croit porter à son amour de jeunesse.

Ce livre est addictif. Quand on le commence, on a du mal à s’en détacher. Et il donne matière à réflexion sur soi et sur les autres.

On a tous une couleur qui nous attire, nous enveloppe, nous retient et conquiert notre coeur. La mienne est gris bleutée, et la votre ?

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Moisson d'épouvante - Anthologie, tome 2

J’ai lu à la suite de la première mouture, cette deuxième « moisson d’épouvante ». Je ferai court, pour cette critique, puisque c’est dans l’ensemble dans la même veine que je le premier recueil et que je vous en ai parlé il y a peu.



On retrouve donc la grande diversité de l’horreur littéraire, avec des récits aussi divers qu’inégaux. J’ai malheureusement un peu déploré le milieu de recueil, que j’ai pour le coup moins trouvé à mon goût et porteur de récits un peu lourds. C’est dommage, car s’il y avait bien une caractéristique au premier volume, c’était son extraordinaire fluidité : que des textes courts, d’auteurs peu ou pas connus, très imaginatifs et portés sur la chute.

Ce deuxième recueil est bon, et d’ailleurs toujours bien meilleur que la plupart des anthologies sur le sujet, mais vous n’y trouverez pas autant de pépites que dans le premier. La conclusion est donc toujours la même : allez lire ces moissons d’épouvante, qui semblent hélas interrompues (pas de troisième volume annoncé depuis plusieurs années…).



Je trouve sincèrement dramatique, malgré toute la bonne volonté du monde, et la tolérance des goûts de tout un chacun et bla bla bla, que ce genre d’initiative ne parvienne pas à trouver son public alors que les rayons d’imaginaire comme de blanche, sont bourrés de navets écrits avec les pieds. Et il n’y a rien de « boomer » là-dedans ou je ne sais quoi, c’est juste un regret que je partage, puisque les gens liront bien ce qu’ils voudront lire, et tant mieux. On pouvait au moins retrouver dans ces recueils ce qui fait le contrat initial de l’auteur à son lecteur : le plaisir de partager une histoire.

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Moisson d'épouvante - Anthologie, tome 1

Si vous suivez un tant soit peu mes critiques, vous savez à quel point j’aime les recueils de nouvelles, et plus généralement le format de la nouvelle. C’est, plus j’y réfléchis, les récits qui me procurent le plus de plaisir en tant que lecteur. Je ne saurai malheureusement plus dans quel recueil Stephen King expliquait ce plaisir incroyable de lire d’une traite un récit horrifique, coincé dans un fauteuil au coin du feu par un soir d’orage, prêt à trembler et lâcher les chevaux d’un imaginaire sans limite… Certes, on ne retrouve pas la consistance réconfortante d’un roman, et l’élaboration d’une idée est moins « dense ». Mais c’est là la beauté de la nouvelle : créer une histoire cohérente, se suffisant à elle-même, absolument maîtrisée dans son exécution. La nouvelle doit être percutante, intrigante et beaucoup plus rationnelle dans son arborescence, contrainte de forme oblige. Et bien sûr, pour le panache : la chute, devenue quasiment la signature de ce type de récits…

La chose étant, si les excellents recueils de nouvelles se multiplient (à un rythme, certes, stable mais lent, très en contraste avec la belle époque des fanzines), autant dire que je ne suis généralement pas convaincu par les différentes anthologies proposées. J’ai des tas d’exemples de recueils d’auteurs absolument incroyables (citons les trois premiers qui me viennent en tête, sans exception des chefs-d’œuvre absolus : Brume de Stephen King, Les livres de Sang de Clive Barker et Le Pays d’Octobre de Ray Bradbury), mais nettement moins de véritables anthologies (systématiquement décevantes). Mais l’envie de se frotter à la nouvelle et découvrir de nouvelles plumes est bien trop fortes pour ne pas approfondir mes lectures d’anthologie, et soyez certains que les bonnes surprises suffisent, même lorsqu’elles sont à l’échelle de la nouvelle, à m’encourager.

Voici donc mon état d’esprit à l’ouverture de ce premier volume de Moisson d’Epouvante : heureux comme tout, mais peu confiant sur l’appréciation globale. La convocation d’auteurs globalement inconnus ou peu connus n’est par ailleurs pas pour rassurer le lecteur lambda, grégaire, qui aime voir ses grands créateurs littéraires à l’œuvre.



Finalement, n’y allons pas par quatre chemins, Moisson d’Epouvante est une excellente surprise. Si le recueil ne renferme aucun chef-d’œuvre à mes yeux, il est très majoritairement composé de textes bons, voire très bons, qui sauront contenter les lecteurs à la recherche de frissons.

Je salue modestement, à mon échelle, le travail d’anthologiste d’Yves-Daniel Crouzet, qui décidément assume ici une sélection délectable. La plupart des récits sont courts (une dizaine de pages), directs, réellement angoissants, et nombre d’entre eux bénéficient d’une chute réelle, aboutissement littéral d’un récit tourné vers elle (pas la chute artificielle qu’on vient greffer « parce qu’on fait une nouvelle »).

Le ton est, dans l’ensemble, résolument « horrifique ». Et vous aurez à mes yeux une bonne vision d’ensemble de l’horreur moderne : de l’horreur lovecraftienne, psychologique, fantastique, sectaire, du body-horror, de la sorcellerie, de la créature de la nuit diverse, du zombie et même de l’humour…

Lisez donc Moisson d’Epouvante. Loin d’être la réunion anecdotique de quelques textes amateurs, le recueil s’érige en modeste, mais jolie victoire pour le genre exquis qu’est la nouvelle d’épouvante.
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Les fantômes de Panassa

Si les musiciens utilisent depuis toujours les mêmes notes pour composer des mélodies originales, les romanciers utilisent les mêmes thèmes pour écrire des romans novateurs et personnels. Et, lorsque l'écrivain s'approprie les codes classiques du récit policier avec enthousiasme et originalité, il en ressort un livre prenant et attachant. C'est le cas des "Fantômes du Panassa" de Y-D. Crouzet. On y suit le retour d'un homme dans la ville de son enfance, entre présent et réminiscence d'une enfance qui, bien que lointaine, avait fortement marqué le personnage. Entre présent et passé, on suit l'enquête d'un homme qui, malgré ce qu'il croyait, comprend que le petit garçon qu'il était vit toujours en lui. On pense à "ça", On pense à "Mystic River", "Stand by me" ou "Le client". En tous cas, on est porté par ce polar, classique et donc rassurant, jusqu'à sa scène finale. Les fantômes sont là, s'invitant à la quête du personnage principale et suivent le lecteur tout au long du bouquin. "Bomaki est de retour!"
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Les couleurs de l'amour

Si avec Les couleurs de l’amour, Yves Croizet respecte tous les codes de la comédie romantique, il ajoute un peu d’originalité à ce genre que j’aime retrouver de temps à autre même si j’en déplore souvent les schémas identiques. Ici, il y a comme je le disais quelques éléments qui sortent des sentiers battus et c’était bien chouette.



Roman à deux voix, on suit tour à tour Valentin qui a perdu la vision des couleurs suite à une rupture amoureuse douloureuse, et Claire, une jeune dessinatrice et autrice, qui ne croit plus vraiment en l’amour. Deux personnages que j’ai eu plaisir à voir évoluer tout au long du récit. Pour une fois, c’est un homme qui mène une partie du récit et c’est bien vu, d’autant qu’il est éditeur et passionné de dessin.



J’ai aimé également les personnages secondaires comme Thibault, Julie et le personnel de la petite maison d’édition dans laquelle travaille Valentin et où Claire va éditer son premier roman pour la jeunesse.



J’ai beaucoup apprécié tous les passages au coeur de la maison d’édition, où l’on suit le quotidien d’un éditeur et les relations avec les auteurs. Il y a aussi de nombreuses références à la peinture, aux dessinateurs de bandes dessinées et de comics, ce que j’ai aimé aussi.



Tout comme le « handicap » de Valentin qui a un réel impact sur sa vie professionnelle et amoureuse et que j’ai trouvé très original. Autant de bons points à souligner et qui m’ont permis de passer un chouette moment avec cette lecture.



Quelques bémols toutefois : des longueurs dans le dernier tiers du récit et des péripéties qui m’ont semblé bien inutiles, j’ai eu l’impression par moment que l’auteur faisait du remplissage et c’est bien dommage. Le dénouement est loin d’être original mais c’est toujours ce que je reproche à ce genre.



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Morts Dents Lames

Trop dur pour moi ! A part la mienne, qui est gentillette par rapport aux autres, toutes ces nouvelles sont juste abominables ! Bien écrites peut-être, difficile pour moi de juger, je n'ai pas pu aller au bout de la plupart ! Pour amateurs du genre seulement !!!
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Les couleurs de l'amour

Livre à acquérir dès que possible car il est captivant et vous fait passer de bons moments.

Belle histoire avec du suspens.

Envie de le dévorer pour connaître le dénouement. Comme une série, j'attendais la suite.

Je suis rapidement "entrée" dans l'histoire de Valentin.

Il m'est arrivée de "lui parler" pour approuver ou contredire ses réactions tellement j'étais "dans" son histoire.

Le thème principal est l'Amour. N'est-il pas une de nos raisons de vivre ?

D'autres sujets sont également abordés qui nous incitent à une réflexion sur soi-même.

Foncez, vous ne le regretterez pas.

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Les couleurs de l'amour

Un roman que j'ai dévoré ! L'histoire est prenante, originale, avec de multiples rebondissements et on a envie de connaître le dénouement.



Les petites touches de pensée positive et de développement personnel font du bien et amènent à la réflexion. C'est une histoire rafraîchissante avec un décor parisien bien planté que l'on visualise parfaitement.
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Les couleurs de l'amour

Suite à la rupture amoureuse avec son premier amour Julie, Valentin perd la vision des couleurs. Il voit tout en noir et blanc avec des phases où les couleurs reviennent lorsqu il retombe amoureux mais cela ne dure jamais trop longtemps. Il vit avec cet handicap mais rêve de pouvoir recouvrer une vision coloré. Le destin lui fait rencontrer une jeune femme, dessinatrice mais fait aussi revenir dans sa vie Julie son premier amour. Les couleurs reviennent à ses yeux mais quelle femme est à l'origine de cette guérison ? Valentin va devoir affronter un dilemme crucial pour résoudre ce problème.

Si vous avez envie de passer du bon temps, foncez lire ce livre. C'est un livre écrit par un homme pour nous les femmes 😉, c'est frais, il y a de l'amour, on a envie d'aider Valentin à retrouver qui lui a rendu la vision des couleurs. On s'impatiente. Le style d'écriture est fluide, les chapitres défilent sans qu'on s'en rende compte. J'ai passé un très bon moment. Je le classerai dans les romans à emporter en vacances...
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Les couleurs de l'amour

À la suite d’un choc amoureux, Valentin a perdu la vision des couleurs. Depuis, il voit en noir et blanc avec de courtes phases de rémission lorsqu’il retombe amoureux. Malheureusement, cela ne dure jamais très longtemps. Il est convaincu qu’il guérira de cette étrange maladie quand il rencontrera la femme de sa vie. Mais d’échec en échec, il désespère de la trouver.

Jusqu’au jour où il retrouve celle qui est à l’origine de son mal : Julie, son amour de jeunesse. Le miracle tant espéré se produit enfin : il voit à nouveau en couleurs ! Mais est-ce bien Julie qui est à l’origine de cette guérison ? L’amour ne se cache-t-il pas plutôt sous les traits d’une autre jeune femme qui vient d’entrer dans sa vie ?

Tiraillé entre deux passions, Valentin va devoir sonder son cœur pour découvrir qui il aime vraiment.

Malgré quelques longueurs, ce roman est une très belle histoire d'amour et d'amitié, feel good . Il interroge aussi sur notre vision de la vie de couple, sur nos motivations à trouver l'âme soeur, sur l'usure des sentiments au fil du temps et de nos aspirations de jeunesse.

Valentin est attachant dans sa quête de couleurs (cela m'a fait un peu penser au roman Les Crayons de couleur.de J G Gausse qui est top)

L'écriture est fluide, simple et belle. belle histoire d'amour, mélangée à des réflexions sur la vie de couple, la recherche de l'amour. Je le conseille si vous avez envie de passer un bon moment !
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La plus grande ruse du Diable

Je ne suis pas une spécialiste du fantastique et de la science-fiction, alors c’est avec prudence que j’ai ouvert les pages de ce livre qu’on m’avait offert. Bonne surprise ! Je m’attendais à des monstres bien sanguinolents…, il y en a certes, mais pas que ! Il y a aussi de l’humour, des récits nostalgiques, du fantastique classique, de la science-fiction. Les récits mettant en scène des enfants m’ont plus particulièrement terrifié : Cat people, Bonzaï, le retour de Mamie Framboise, Pandy panda, la plus grande ruse du diable, les Griffus… L’auteur sait y faire pour vous emmener dans les recoins obscurs de l’âme humaine où on n’a pas envie d’aller. Petit bonus : la fin du volume présente une explication de la genèse de chaque nouvelle par l’auteur que j’ai trouvé très intéressante. A lire que vous aimiez ou non le fantastique !
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Mortelles attractions

Après « La plus grande ruse du Diable », j’ai voulu essayer ce second recueil de nouvelles de Yves-Daniel Crouzet. On y retrouve son humour noir et son sens de la chute, mais cette fois au service de récits noirs et policiers. On y parle souvent de passion et de sexe, on y croise des psychopathes, des pervers et des enfants manipulateurs. Certaines nouvelles sont drôles, d’autres dérangeantes ou flirtent avec l’horreur. Un recueil peut-être un peu plus inégal que le précédent, mais qui réserve son lot de très bonnes surprises.

Si je devais en retenir une seule, ce serait « Un plan presque parfait » avec son lamentable héros affligé d’un TOC. Très drôle !

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Triades sur Seine

Un roman très différent du précédent de son auteur « Les fantômes du Panassa ». J’ai été surprise et un peu déroutée au départ par le style de narration. Le récit est en effet rédigé à la première personne et ressemble à un journal. Le journal d’un type violent et pas très net. Difficile au départ d’avoir de la sympathie pour cette brute. Et puis au fur et à mesure qu’on progresse dans le récit on se laisse prendre par ce type pas très futé que rien n’arrête et que tout le monde essaye de manipuler. C’est violent, outrancier, caricatural, comme un film de Tarentino. A lire comme on regarde un film d’aventures : sans se prendre la tête !
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Les fantômes de Panassa

J’ai été attirée par le bandeau qui annonçait « Un excellent polar, nostalgique, qu’on ne peut pas lâcher » signé Paulo Coelho. Je dirais que c’est davantage un roman à suspense qu’un polar. Certes il y a des meurtres, des enlèvements, des policiers, une machination, un méchant (le terrible Bomaki !) mais là c’est un journaliste qui mène l’enquête. Ou qui, plutôt, suit les indices semés par un mystérieux inconnu. Entre présent et passé, l’auteur nous entraîne dans les rues d’un Saint-Etienne qui constitue un personnage à part entière du roman. Mais c’est surtout l’histoire de ses gamins qui m’a charmé, de leur amitié et de leur évolution. Le roman flirte parfois avec le fantastique et par certains côtés m’a rappelé le « Ça » de Stephen King. En moins horrifique cependant ! Un très bon moment de lecture.
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Les couleurs de l'amour

Alors là, c'est le moment de vous faire plaisir et de vous échapper de vos appartements au moins par la pensée !!

Que ça fait du bien de lire un bon roman !!

On suit Valentin, le" héros " avec délice.

On espère pour lui, on vibre avec lui, bref je suis rentrée en immersion dans ce livre.

Malgré sa couverture rose, il convient aussi bien aux hommes qu'aux femmes !

Seul bémol, j'aurais aimé qu'il ne se termine jamais ( ou presque !) tellement j'étais dedans !
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La plus grande ruse du Diable

J'avais découvert l'auteur à travers son recueil "Mortelles attractions" qui m'avait beaucoup plu. J'ai donc voulu renouveler l'expérience avec cette fois des nouvelles fantastiques.

Le recueil regroupe ses meilleures nouvelles parues en revues et dans des anthologies, ainsi que plusieurs textes inédits. La palette est large et il y en a pour tous les goûts : fantastique, horreur, science-fiction, humour, insolite... On sent que l'auteur est dans son élément. Certaines sont terrifiantes "Les Griffus", d'autres amusantes " La transmisgration de Charles Edberg", d'autres émouvantes comme "Cat people" ou pleine d'émotion telle "L'appartement du père". Cette diversité est selon moi une des grandes qualité de ce recueil qui mérite plus qu'un détour : qu'on s'y arrête !
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Mortelles attractions

Des nouvelles noires, souvent terrifiantes, parfois amusantes. J'ai aimé retrouver certains personnages d'une nouvelle à l'autre. L'auteur semble très à l'aise avec ce format court et nous offre souvent des chutes saisissantes, qui nous restent en tête. Bravo !

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Les fantômes de Panassa

Un roman sensible et nostalgique. Je me suis laissée prendre par cette histoire qui évoque l'amitié et l'enfance.

Le suspense est bien présent tout au long du récit avec une fin qui tient toutes ses promesses.

Une très belle surprise.
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