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Critiques de Yves Jacob (71)
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Les blés seront coupés

La grande guerre abordée du point de vue d'une famille qui a vu le père partir au front et qui doit gérer tant ses angoisses quant à la survie du mari/père aimé, que les nécessités du quotidien.



Outre un style d'écriture qui vous entraine dans le récit comme une barque sur un cour d'eau, j'ai trouvé ce livre attachant.
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Une mère en partage

Dans Marie sans terre, Yves Jacob avait déjà abordé avec beaucoup de sensibilité et de force le thème de l'enfance malheureuse. Il renouvelle son coup d'essai dans ce nouveau roman pudique et profond.



Son histoire est contemporaine et les problèmes de société qu'il aborde sont malheureusement de ceux que l'on rencontre partout dans le monde. Le malheur des enfants dont il est question dans ce livre est universel et saura, à n'en point douter, émouvoir et bouleverser le lecteur.



Il y a dans Une mère en partage un puissant sentiment d'abandon, une détresse morale poignante dans l'histoire de ces deux jeunes frère et sœur que la vie n'a pas épargnés. A quatre et cinq ans, violents et fragiles, victimes de divers sévices, leur passé est déjà lourd. Ce sont deux enfants brisés dont l'auteur nous conte l'histoire et le quotidien sordides.



Avec un réalisme saisissant et une plume parfois dure (sachez qu'il est question d'attouchements, de viol et d'inceste), Yves Jacob sonde avec justesse les âmes noires comme les cœurs purs. Ses personnages, croqués à la perfection, sont d'ignobles ivrognes, dont la bassesse et la laideur morales n'ont d'égale que la noblesse d'âme d'Héloïse et des siens. On y retrouve la même verve et la même plume acerbe que dans le saisissant Meurtre au château.



Cependant, il y a également dans Une mère en partage beaucoup d'amour et de tendresse. Autant la plongée au cœur de l'alcoolisme et de cette hideur morale est étourdissante et incompréhensible, autant la façon dont Héloïse et les siens s'appliqueront à panser les blessures de ces enfants cabossés par la vie est une véritable bouffée d'air pur ! Et c'est heureux pour le lecteur qui ne pourra que se réjouir de leur renaissance et de leur bonheur retrouvé !



Une mère en partage est un roman bouleversant, un récit dramatique et émouvant, également porteur d'un merveilleux message d'espoir.
Lien : http://histoiredusoir.canalb..
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Meurtre au château

Yves Jacob part d'un fait réel. Un meurtre au château de Fresné-la-Mère, en 1912. Il reproduit même certaines lettres, certains passages avérés. Il n'invente rien sur les faits minutieusement décrits. Là où son rôle de romancier intervient, c'est dans les personnages. Il se glisse tour à tour dans la peau des uns et des autres pour tenter de recréer l'atmosphère du moment, pour cerner les tentations et les raisonnements qui vont pousser au meurtre.

A la manière d'un numéro de l'émission de télévision Faites entrer l'accusé, il raconte les circonstances, l'environnement, tous ces petits événements qui, mis bout à bout mènent certains à l'assassinat. Mais, Yves Jacob évite le côté pesant de l'émission. Au contraire, il pose son oeil et sa plume alertes (un oeil alerte ???) et ironiques pour décrire des scènes pathétiques. Il vole dans la première partie du roman une certaine légèreté en opposition au thème du bouquin, qui s'échappe totalement dès qu'on entre un peu plus dans le château. On l'attend le meurtre annoncé dans le titre. On l'attend car il tarde à venir. Mais sans impatience, car en son absence, on a notre lot d'aventures, de coucheries, d'aléas de la vie d'une famille de châtelains désargentée avec madame la baronne en pochtronne en chef ! On en est presque à redouter qu'il survienne ce meurtre et à émettre des hypothèses sur le nom de la future victime : le baron ? la baronne ? Rouillère, le journalier ? la petite bonne délurée ? Robert, le fils aîné ? Et quid de l'agresseur ? J'aurais pu m'éviter toutes ces interrogations en lisant la quatrième de couverture, qui bien que peu explicite donne un indice certain sur le nom de la victime, mais c'est une chose que je ne fais que rarement, ce qui, comme vous pouvez le constater, me procure du suspense supplémentaire. Et puis, le meurtre survient. Après une préparation active pour que le tueur soit efficace. Puis l'enquête et le procès.

Un petit bémol quand même au milieu de ces compliments ? Celui-ci peut-être : plus j'avançais dans ma lecture, plus je pensais que l'auteur exagérait un peu et qu'il caricaturait ses personnages : la baronne en alcoolique finie, aux moeurs débridées (et c'est un euphémisme), Robert le fils aîné, haineux en proie à des pulsions sexuelles, Marie-Louise, la jeune bonne délurée, le baron un homme apprécié par les gens (hormis sa famille) pour sa bonté, sa bonhommie et sans doute par pitié aussi. Mais que nenni ! Car, dès que j'ai refermé le livre, je me suis précipité (enfin, point trop rapidement quand même, pas échauffé, je pourrais me faire du mal) sur Internet pour y fair des recherches sur ce meurtre, et là, quelle ne fut pas ma surprise de lire que les personnages auxquels Yves Jacob redonne vie étaient tels qu'ils les décrit. Certes, il prévient bien le lecteur dans un préambule, mais le voir écrit dans des documents d'époque (un article du Petit Parisien, notamment) l'innocente totalement du délit d'exagération.

Je n'ai donc plus rien à reprocher à Yves Jacob ; il vous reste donc à lire cet excellent roman qui montre qu'il n'est parfois point besoin d'aller chercher bien loin les idées pour construire une histoire policière sordide mais passionnante. Une telle histoire inventée par l'auteur et on crierait à l'incroyable, au manque de véracité.
Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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Marie sans terre

Oui Marie sans terre est un très beau toman, comment ne pas être sensible à cette hiistoire et ne pas avoir les larmes aux yeux. Ce livre est certainement un des plux beaux que j'ai lus au cours de ma vie. J'ai détesté devoir le fermer

quand j'ai eu fini de le lire.....C'est ça un beau roman, on a du mal à décrocher tellement on veut connaître la suite. On éprouve diverses émotions. On peut rire, pleurer, sourire, espérer, détester mais jamais rester indifférente. Et voilà une fois la dernière page lue la joie laisse place à une certaine tristesse, je dirais même de la frustration...mais je pense que tous les lecteurs ont compris ce que je veux exprimer.

Marie sans terre en tout cas lisez le, ne passez pas à côté. Bonne lecture à tous !
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Les anges maudits de Tourlaville

J’ai une nouvelle passion: Yves Jacob.



Cet auteur breton, normand d’adoption, est ce qu’on appelle un auteur du terroir. Il raconte brillamment des faits divers et/ou historiques de chez nous, Normands. J’avais déjà beaucoup aimé « Sous l’ombre des pommiers », dont l’action se déroule à une poignée de kilomètres de chez moi.



Cette fois, l’histoire se passe à la pointe de la Manche, tout prêt de Cherbourg. Il s’agit de l’histoire passionnante mais dramatique de Marguerite et Julien, qui s’aiment d’une passion dévorante, bien qu’interdite, puisqu’ils sont frère et sœur. Pourtant, ils ne parviendront pas à ne pas succomber. Leur amour sera plus fort que tout. C’est beau. C’est tragique. C’est magnifiquement raconté. Yves Jacob sait parfaitement emmener son lecteur avec lui revivre l’histoire de notre région.



J’adorerais prendre un café avec Monsieur Jacob, à l’écouter parler de ses recherches et de ses livres. Cet homme est captivant, fascinant. A avoir pu échanger quelques mots avec lui au Salon du livre de Trouville, je crois que je pourrais passer des heures à l’écouter raconter les grandes et petites histoires de Normandie.



Une pépite régionale.


Lien : https://lyseelivres.wordpres..
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Les sortilèges du Tremblay

Bonjour,



Voici un roman que je viens vous chroniquer en retour de lecture : "Les sortilèges du Tremblay" de Karine Lebert aux éditions France Loisirs.



C'est l'histoire d'une Irlandaise qui s'expatrie en France, en Bretagne exactement, pour y pratiquer l'art de la dentelle dans une maison de couture. C'est ainsi qu'on va suivre sur plusieurs générations la famille de dentellière aux pouvoirs de sorcellerie qui sont étroitement liés au domaine du Tremblay et avec ses héritiers.



Un roman que j'ai trouvé bien écrit dans l'ensemble, même s'il ne m'a pas transportée plus que ça. L'histoire familiale est surtout contée de manière succincte, s'arrêtant sur des pans de leur vie assez conséquentes sur l'avenir de la famille. Plus on avance dans la génération, plus la succession se répète un peu, ce qui, à la longue, devient vite ennuyant. La malédiction qui se transmet à la génération suivante finit un moment par me lasser.



J'ai quand même aimé le côté légende et sorcellerie en Bretagne, la contrée est déjà reconnue pour cela et dans ce livre, les légendes s'entretiennent. Ce don qui se transmet que de mère en fille est un trésor familial, ce pouvoir de guérisseuse qu'elles vont toutes chérir au fil du temps.



Je reste mitigée sur ma lecture. Ce n'est pas une fausse note, c'est juste qu'il ne m'a pas marqué l'esprit. J'avais cru que ce roman serait plus ancré dans l'imaginaire, le titre est trompeur.



Bonne lecture amis Lecteurs
Lien : https://lecture-chronique.bl..
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Les anges maudits de Tourlaville

en bonne Normande, je connaissais l'histoire (et sa fin) avant de lire le roman et les XV°-XVIII°s sont ma période de prédilection donc j'ai beaucoup lu et étudié cette période, donc cela a peut-être impacté mon regard sur l'ouvrage.

J'ai trouvé que l'auteur ne voulait pas jugé le sujet : il parle avant tout d'amour, d'une passion indomptable, de (fausses ou courtes) tergiversations, de tentatives d'éloignement, religion etc), c'est la jeune fille qui porte le plus de responsabilités; l'auteur a pris des libertés avec l'Histoire alors qu'il semble avoir veillé au cadre. je salue d'ailleurs son écriture très immersive. mais je sors de ma lecture avec une impression mitigée, je n'ai pas réussi à "accrocher" aux personnages... il me semble que la série La Florentine, de Juliette Benzoni s'inspire de cette histoire : j'irai peut-être voir ces romans par curiosité....
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Marie sans terre

Cette histoire est très belle d’autant que réelle en partie. Marie et Julien ont vraiment existé. Leur amour l’un pour l’autre fait rêver, malgré la guerre et tout ce que cela implique. A lire que si votre moral est bon.
Lien : https://28bng.wordpress.com
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Meurtre au château

On ne ressort pas indemne de ce livre. Que de cruauté ! C'est une histoire authentique du début du 20ème siécle où sont évoqués des crimes sexuels (inceste mère/fils et fils/sœur) de manière très naturel et puis, il y a le fameux crime. Ce crime qui parait une évidence dans la vie de ces châtelains.

J'ai beaucoup aimé ce livre qui se déroule du côté de Falaise (14) : bien écrit, fluide, chapitres pas trop long, ...
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Les Deux Vies de Marie Salmon. Nouvelle édition

J'ai lu la nouvelle édition du roman d'Yves Jacob " Les deux vies de Marie Salmon" paru aux éditions Presses de la cité. Ce roman est inspiré d'un fait réel. L’affaire Marie Salmon nous entraîne dans la sinistre réalité d’une justice qui n’en avait que le nom.



A l'été 1781, Marie, 21 ans, est accusée d'avoir empoisonné son maître au service duquel elle venait d'être engagée depuis cinq jours. Elle est donc arrêtée, jetée en prison et condamnée à être brûlée vive. Sa culpabilité et les motifs de cet acte sont mal établi et Marie va devoir se battre seule au fond de son cachot avec pour seule compagnie la visite de rats qui lui apporte du réconfort. Mais un avocat, Pierre-Noël, convaincu de l'innocence de Marie, va se prendre de passion pour l'affaire et petit à petit, ils vont même s'éprendre l'un de l'autre.



Au travers de ce roman, Yves Jacob dresse un tableau des mœurs de l’Ancien Régime en nous promenant dans les rues de Paris, de Caen ou de Rouen.

J'ai passé un excellent moment lecture avec ce magnifique bon dans le passé.
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Le silence de Justine

Tout en dénouant les fils d’une authentique énigme judiciaire, Yves Jacob, récompensé notamment par le prix Guillaume-le-Conquérant et le prix du Roman populaire, brosse une passionnante peinture de la Normandie du XIXème siècle, entre ville et campagne, bourgeoisie distinguée et monde ouvrier.

L’auteur donne un éclairage très intéressant sur l’acte civique et le devoir citoyen des jurés d’assises, qui selon leur « intime conviction », sont chargés de rendre la justice.

Mais comment décide-t-on de la culpabilité de quelqu’un ? Comment choisit-on sa peine, sachant qu’au moment des faits décrits par Yves Jacob, la peine capitale était toujours en vigueur ?

Les questions de responsabilité et de l’angoisse du « pouvoir de juger » se posent alors. Elle forcent le lecteur à réfléchir au fait que la peine de mort est irréversible et le risque d’exécuter un innocent toujours présent…
Lien : http://histoiredusoir.canalb..
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Les blés seront coupés

J'ai beaucoup aimé ce roman au style agréable qui parle avec beaucoup de justesse de la Première Guerre Mondiale, autant du point de vue des soldats que de leurs familles restées à l'arrière.
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Sous l'ombre des pommiers

Un peu sombre mais pas mal
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Marie sans terre

Roman éponyme : on suit la vie simple et modeste du personnage dans la campagne normande du début du XXème siècle. Une vie vraie et saine où l'amour trouve son chemin.
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Marie sans terre

1920, en Normandie.

Une fillette de trois ans vagabonde avec son jeune frère et une mère alcoolique sur les plages et dans les chemins du Bessin. Ils survivent en récoltant moules et escargots qu'ils revendront au plus offrant.

Ils dorment dans les fossés ou sur la paille des granges.

A onze ans, Marie devient apprentie puis trayeuse de vaches dans une ferme. A seize ans, elle touche son premier salaire.

Sa rencontre avec Julien à la veille de la déclaration de guerre bouscule définitivement sa vie....

Marie a réellement existé.

Mémoire à elle seule de tout un peuple des campagnes, elle a conté à l'auteur sa vie qui en a conservé l'essentiel.

Toutefois, pour les besoins du récit, Yves Jacob a remplacé les gens qu'elle a connus par des personnages fictifs et y a ajouté des situations romanesques destinées à amplifier l'intrigue tout en restant fidèle aux mœurs du temps.

J'encourage vivement les personnes passionnées par les romans du terroir à y faire un petit tour.
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Claudius ou les beaux jours

Comme mon papa, Claudius est né à Dinan. Comme mon papa, Claudius est le petit dernier de la famille. Comme mon papa, Claudius a grandi pendant et après la seconde guerre mondiale. Comme mon papa, Claudius possède la joie de vivre des enfants pauvres et la débrouillardise des gamins de la campagne... Vous l'aurez compris, l'histoire de Claudius, c'est presque celle de mon papa, et rien que pour ça, elle a trouvé sa place dans mon cœur.



J'ai aimé plonger dans cette enfance d'une autre époque au côté des "éperviers", redécouvrir avec eux des lieux et des vocabulaires familiers. Ce roman, c'est une sorte de Guerre des boutons à la bretonne. Sans être de la grande littérature, il a l'avantage d'être accessible aux plus jeunes sans pour autant lasser les adultes. Et malgré sa légèreté, il nous nous oblige à porter un regard critique sur les défauts de notre société actuelle. Tout était plus intense alors : les bêtises (les gamins du XXIè siècle s'amusent tout de même rarement avec de vrais obus !!!) mais aussi les jeux, les joies, les amitiés... Nos enfants qui ont tout savent-ils encore se réjouir des détails de la vie comme Claudius et sa bande ?



Pour résumer, "Claudius ou les beaux jours", c'est un roman sans intrigue, une jolie tranche de vie remplie de bons et de mauvais moments, mais surtout de gaité et de joie de vivre... Une jolie découverte de la Masse Critique, que je partagerai avec grand plaisir avec mes pitchous dans quelques années.

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Les sortilèges du Tremblay

Je suis plutôt partagée pour cette lecture.

D’un coté une histoire sur plusieurs générations de femme qui m’a beaucoup plus. Surtout que cela se déroule en Bretagne, ma région « fétiche ». Une histoire qui se lit rapidement (un week end pour moi). Des références aux folklores locales (Ankou, rebouteux etc.). Des femmes fortes.

D’un autre côté j’ai eu l’impression que l’histoire était survolée. Les personnages de femmes auraient pu être beaucoup plus intéressants s’ils avaient été développés. Et la fin m’a paru bâclée et m’a déçu.



Donc je reste mitigées.
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Marie sans terre

Un livre qui se dévore avec plaisir malgré la douleur des personnages. Une histoire touchante où les valeurs sont vraies. Une belle claque d'humanité.
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Les sortilèges du Tremblay

Dairine,

Nicolette,

Manon,

Gwen,

Morgane,

Clara,

Chloé....



7 femmes d'une même famille,

6 générations représenter ici,

Une malédiction qui pèse sur chacune d'elles...



Plus de 100 ans éloigne Dairine O'Shea de Chloé Forget, mais l'histoire ce répète sur chaque générations



Entre l'Irlande et la Bretagne, une famille de dentelière dotée de pouvoir de sorcellerie est liée par un mystérieux sortilège aux héritiers du manoir de Tremblay.



Pourquoi chaque femmes depuis la venue de Dairine a Cancale, tombe t-elles amoureuse d'un Le Guen?!

Est ce vraiment une malédiction ou l'histoire que l'on se perpétue influence elle leur choix?!



Ici Karine Lebert nous entraine a travers les siècles dans une histoire charger de magie, de légende et de sortilège qui nous laisse haletant et palpitant.

Dès que l'on ouvre la première page, il nous est impossible de lacher. Petit bémol. La toute fin que je n'es pas compris et qui gâche un peut 357 pages de pure magie.
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Marie sans terre

Originaire de la région, j'ai voulu découvrir ce récit. L'auteur restitue très bien l'accent, les expressions, la description d'une vie à la ferme. Ce récit est émouvant, on s'attache aux personnages.
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