Yvon Mauffret

Un belle histoire, facile à lire et sympa.

Je recommande

il est pas terrible

Je n'ai pas aimer se livre car il etait trop long pour moi au dessus de met competence.

je l'aimé car il y a beaucoup de suspense,le livre est un peu triste car la maison de leur oncle brule,il est assez long,il est écrit gros il est facile a lire car l’expression est facile a comprendre



mais il y a une partie du livre que je n'ai pas aime car en général je n'aime pas le thème aventure

Ce livre est paru en 1969, ce fut une époque où les citadins se sont expatriés vers les campagnes " les hippies du Larzac" Après la crise du COVID un mouvement similaire est en marche, alors si vous songez à un retour à la nature c'est le livre qu'l faut faire lire à vos enfants de 7/10 ans.
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De par les photographies de P. Plisson, peintre et photographe renommé, ce document appartient à la catégorie « des beaux-livres ». Sa structure documentaire en est très simplifiée :

- chaque double page met une focale sur un aspect soit caractéristique soit particulier du monde de la mer. Ainsi, certains thèmes sont classiques tels que la navigation, la faune et la flore, la pêche… ; et d’autres sortent des sentiers battus comme l’élevage des poissons, les marais salants, l’offshore en mer, la marine marchande, la vie en haute mer, la connaissance des courants marins, le rôle des phares ;

-chaque double page présente un texte à gauche et une photo légendée à droite. Le texte, titré sur un aspect du sujet est redécoupé en trois parties pour mettre en exergue l’histoire, le contexte, ou la problématique s’y rapportant.



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Étant en vacances en Bretagne, il me semblait amusant de lire un petit roman évoquant des êtres du folklore, les korrigans. Nous suivons ici l’histoire d’un paysan très travailleur qui a une particularité physique dont il a fini par s’accommoder : une disgracieuse bosse. Sa rencontre avec des korrigans va néanmoins lui permettre de la faire disparaître. Mais devenir normal va-t-il vraiment le rendre plus heureux ? Question d’autant plus pertinente que ce petit miracle va éveiller la jalousie d’un personnage odieux et plein d’avarice.



Petite histoire qui se lit très rapidement, La nuit des Korrigans permet de réfléchir à différents choses : la notion de bonheur, l’argent, la jalousie, l’envie... A travers deux personnages au tempérament diamétralement opposé, l’auteur nous prouve qu’il est parfois suffisant de se contenter de ce que l’on possède pour être heureux. J’ai, en outre, apprécié l’apparition des facétieux korrigans qui se jouent des hommes quand ceux-ci se montrent sous leur plus mauvais jour.



Quant aux illustrations qui parsèment le livre, elles permettent de se plonger de manière encore plus importante dans le récit même si j’ai un peu regretté qu’elles ne soient pas en couleurs.



En résumé, la nuit des korrigans est une jolie petite fable qui devrait plaire aux petits et aux grands, les premiers seront transportés par l’histoire quand les seconds devraient en apprécier la morale.
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Kenzo vit en Californie avec son papa et sa maman.

Tous les jours son père l'amène dans la forêt , car il est gardien d'un parc de séquoia (les séquoia sont les arbres les plus grands au monde )

pour Enzo ces arbres sont exceptionnels, et unique .Mais il va découvrir qu'on peut être aussi petit et exceptionnel comme un bonsaï.

Dans une ville de Bretagne détruite par les bombardements et interdite aux civils français, Maryvonne et son frère Alain se débrouillent pour survivre. Une relation, inattendue, est nouée avec un soldat allemand, Hans, qui déteste la guerre. Les enfants sauvent un soldat néo-zélandais, Angus, parachuté au mauvais endroit, grâce à l'aide de mamie Conon et de Prosper le clochard, qui appartient en réalité à la résistance. Un belle histoire, un ouvrage porteur d'espoir au-delà des destructions et des souffrances de la guerre.

Que de souvenir que ce roman "Le mousse du bateau perdu", découvert à l'école primaire Voltaire dans notre classe de CM2 à Tarare.

Nous devions tous le lire, la professeur. (intentionnellement, je n'ajoute pas de e à professeur, la règle à l'époque n'existait pas encore, et puis nostalgie jusqu'au bout.)

Je disais donc la professeur a proposé d'écrire une suite au roman, ce qui fut fait par toute la classe, la prof a envoyé ensuite le manuscrit à l'auteur Yvon Mauffret, il a répondu (mais je me souviens plus ce qu'il a écrit.) à mon avis il à dut nous remercier de l'intérêt porté à son roman.

Ma doué benniget!! quel joli roman que celui-ci découvert une fois encore à l'occasion d'un challenge..

Simon est accueilli par Tonton Apostol sur l'île de Saint-Cado dans la rivière d'Etel en pays morbihannais. Plus tout jeune mais toujours bon pied bon oeil Apostol est encore le meilleur pêcheur de l'île. Si il a du désarmer son thonier à voile cela lui a brisé le coeur.....

Simon va, avec la complicité de Mélie la petite voisine , découvrir l'île, apprendre à attraper les crabes, à godiller, bref devenir un gamin de l'île ..

Yvon Mauffret nous offre un roman où l'affection entre Simon et Apostol passe par l'amour de la mer, du bateau, de la voile. Sur que ces deux là vont se revoir l'été prochain .

Un souvenir d'enfance, ma mère, les larmes aux yeux, me racontant la bénédiction des thoniers à voile ...

J'ai lu ce livre enfant. J'en ai gardé un souvenir magique. C'est une histoire d'amitié entre une enfant et un homme solitaire qui suite a une blessure toute

autant physique que psychologique c'est retiré du monde. Elle va lui redonner le gout de la vie....

Ronan est un jeune marin de quatorze ans qui a vécu toute sa vie près du Golfe du Morbihan avec son grand-père. Parce que ce dernier ne peut vivre seul, Ronan est dans l’impossibilité de poursuivre ses études au lycée de Vannes, alors que l’école le passionne. C’est grâce à Domitilla, qu’il aura la chance de suivre des cours supplémentaires. A côté de cette histoire sont évoqués la découverte d’un menhir et d’une mystérieuse pierre. Ronan va alors devenir un passionné d’archéologie.



Un bon roman jeunesse qui permet de de découvrir ou redécouvrir le golfe du Morbihan, l’univers marin, l’archéologie et la géologie. Une belle excursion en Bretagne !

La presqu’île de Rhuys, le golfe du Morbihan. C’est là que vit Ronan, jeune garçon de 14 ans qui doit arrêter ses études pour s’occuper de son grand-père vieillissant et parce que l’argent fait défaut. Mais une tempête en décidera autrement. Le vieux chêne est déraciné et, sous le menhir qu’il a déchaussé dans sa chute, Ronan découvre une merveilleuse pierre polie. Il ne croit plus aux histoires de trésors des Korrigans cachés au pied des menhirs, pourtant il ne peut s’empêcher d’espérer que cette pierre lui portera bonheur, comme dans les vieilles légendes…

Une histoire toute simple, très joliment écrite, avec un petit goût de terroir distillé comme sans y penser (j’ai par exemple appris comment s’écrivait « tacaud », nom de ces poissons que mon grand-père pêchait régulièrement, ainsi que pleins de mots de navigation). Si l’histoire des parents brouillés qui se réconcilient me paraît un peu datée et fait mal vieillir le livre pour des lecteurs d’aujourd’hui, j’ai bien aimé cette histoire toute simple qui allie de belles descriptions à une histoire simple pleine de jolis sentiments.

Un bon livre pour des enfants du coin ou pour accompagner des vacances dans la région. Les enfants qui le liront seront peut-être plus attentifs pendant la visite de l’énigmatique Gavrinis qui n’est pas loin de la maison de Ronan et qu’il va d’ailleurs visiter avec ses nouveaux amis. De quoi susciter des vocations peut-être…

Un garçon de 14 ans obligé d'arrêté l'école pour vivre avec son grand-père découvre l’amitié d'une jeune parisienne et la poossibilité de poursuivre ses études grâce au père de de celle-ci.

Sur fond de Bretagne, d'archéologie et de légendes liées aux menhirs...

Beaucoup de mots de bretons, du vocabulaire de marins (bateaux, courants...) et du vocabulaire archéologique pré-celtique...

Agréable à lire.

Livre choisi pour l'emplacement géographique de l'action...la presqu'île de Rhuys dans le Morbihan

lu avec plaisir car les personnages sont attachants, sortant un peu des sentiers "battus"; en particulier celui de le jeune héroine. Elle rappelle un peu celle de Yves Josso, Clémence de Rosmadec dans un "été meutrier à Pont Aven".

Le style est agréable.

Ce roman jeunesse s'intéresse à un phénomène historique peu connu hors des frontières de la Bretagne et peut-être même hors de celles du Léon (dans le nord Finistère). Dans cette région au climat et à la terre propices à la culture des légumes et, en particulier, des fameux oignons roses de Roscoff, les débouchés manquaient. Un Breton entreprenant s'avisa qu'il n'y avait qu'à traverser la Manche pour se rendre dans un pays où les légumes ne poussent pas en quantité suffisante. Il embarqua ses oignons pour aller les vendre en Angleterre et revint les poches pleines de pennies. Beaucoup d'autres de ses compatriotes l'imitèrent bientôt. Surnommés "Johnnies" par les Anglais, ces Bretons parfois très jeunes arpentèrent ainsi les rues de Grande Bretagne lourdement chargés de bottes d'oignons roses jusqu'à ce que d'autres voies commerciales se développent.

C'est ce métier difficile que choisit Saïk, le héros de ce roman, pour venir en aide à sa famille. Malgré ses onze ans et son problème de bégaiement, il s'embarque pour Cardiff, au Pays de Galles, une expérience dont il reviendra transformé.



C'est un roman jeunesse de facture assez classique, écrit dans un style correct. Les péripéties de la première moitié du roman sont peu originales : la décision de Saïk, le voyage, les premiers jours difficiles, ses déboires avec l'inévitable "bully" de service... L'histoire prend un tour plus inattendu dans sa deuxième partie. C'est une peinture très réaliste de la vie des Bretons du Léon à la veille de la Première guerre mondiale. C'est en même temps une lecture accessible qu'on peut particulièrement recommander aux petits Bretons d'aujourd'hui, à partir de 11 ans, pour qu'ils aient un aperçu de ce que fut le vie de leurs ancêtres. Vie rude mais qui révèle en même temps des caractères solides et fiers.

Malheureusement, ce livre n'étant plus édité, il vous faudra écumer les ventes d'occasion pour vous le procurer.



Challenge Romans Jeunesse 2023

Ce livre parle d'un fils, Thomas, un jeune adolescent de treize ans, qui envoie des lettres à son père retenu prisonnier en Allemagne pendant la deuxième guerre mondiale,Ces lettres parlent de la vie de tous les jours pendant la guerre: les arrestations (son prof ou son ami), les bombardements ou encore la libération.

Ce livre m'a plu car ça explique la guerre. Je le conseille à tous ceux qui aiment ce genre de livre. (Florian)

Le journal de Thomas, de décembre 1940 à mai 1945, écrit à l'intention de son père, prisonnier en Allemagne. Le jeune garçon raconte la vie quotidienne de la famille à Paris sous l'occupation allemande. L'histoire dresse le tableau de la vie d'une famille "ordinaire" sous l'occupation d'une manière claire et juste.

Le maitre-mot de ce livre est: attendrissant. C'est mignon comme tout et plein de bons sentiments, l'écriture est plutôt très correcte et les personnages, bien qu'ils manquent de nuances, sont très attachants.



C'est une jolie plongée dans les Belle-Île d'autrefois, avec de pittoresques descriptions plus vraies que nature qui immergent bien dans l'atmosphère insulaire.



Une petite lecture agréable à découvrir en famille, avant un voyage en Bretagne par exemple !