Le voile n'est pas qu'un bout de tissu , c'est un uniforme religieux sexiste qui porte en lui une profonde charge de violence contre les femmes .
Les libres penseurs issus de l'Islam n'ont pas attendu l'aval des islamistes ou de leurs collaborationnistes occidentaux pour entreprendre un travail de raison face aux mythes sacralisés de la religion de Mahomet. Ils bravent la menace de mort sociale ou physique, de prison et de calomnie pour faire triompher des valeurs universelles que l'Occident croit acquises, mais que le fascisme islamique, comme autrefois le fascisme européen, ne manquera pas d'ébranler s'il n'est pas fermement combattu. Cet Occident, lorsque ceux qui ont le courage de se battre contre le fascisme islamique s'y sont réfugiés, a laissé leurs persécuteurs les traiter d'islamophobes.
S'ils prenait inconditionnellement parti pour ceux qui mènent ce combat, cet Occident saisirait une opportunité historique d'affirmer que ses valeurs sont bel et bien universelles.
[Extraits de l'avant-propos, par Zineb]
Le dessiner, pourquoi le dessiner ? Parce qu'il est inacceptable que des vies soient menacées car une plume, quelque part sur terre, esquisse le turban du prophète. Parce que le caricaturiste qui a fait de l'irrévérence un sacerdoce se soit de repousser les limites de la censure là où elles étranglent la liberté. D'ailleurs, le tome 1 de la vie de Mahomet, publié en hors série de Charlie Hebdo, bien qu'il ait fait couler beaucoup d'encre, n'a pas fait verser une seule goutte de sang. Ceux qui tuent à Islamabad ou à Tripoli au nom du choc des civilisations n'ont pas attendu que l'on profane leur sacré pour faire leur besogne. Alors, pourquoi le pinceau ne colorerait-il pas la barbe du prophète ? [...] Ici, Muhammad n'est pas représenté, il n'est pas caricaturé. Son personnage, le petit bonhomme jaune de Charb, est une métaphore. Soyons sérieux, qui pourrait prétendre que Mahomet était ainsi, sous les traits que lui attribue ce livre ?
[...]
Que celui qui trouve dans le Coran ou la sunna le moindre texte interdisant de représenter Mahomet, ou qui que ce soit d'autre, nous jette la première pierre. Non que nous ayons le souci de nous conformer aux préceptes de l'islam, mais, pour avoir passé au peigne fin ses sources, il s'avère que le tabou le plus tenace de la religion musulmane, celui pour lequel les foules s'insurgent et tant de crimes sont commis, ne se fonde sur rien, dans une religion où seul l'écrit scelle les enseignements d'Allah. D'ailleurs, ce pour quoi on nous vouerait aux flammes de l'enfer, les musulmans chiites le font depuis toujours. Que d'enluminures persanes représentent un Mahomet enturbanné, assis en tailleur et dispensant ses enseignements...
... accepter un féminisme au rabais pour les femmes musulmanes en le refusant pour soi est la définition même du racisme.
-Que vous arrive-t-il, mon enfant ?
-Que du bien, mère. Deux hommes, de blanc vêtus, vinrent à moi. L'un tenait une cruche en argent, et l'autre une vasque sertie d'émeraude et remplie de glace. Il me prirent, alors que je jouais près de la rivière.... et m'emmenèrent au sommet de la colline. Puis ils me fendirent le corps, du torse jusqu'au pubis, et en extirpèrent une tache noire? Ils le jetèrent en me disant : "nous te débarrassons de la haine et de l'envie". Ensuite, ils lavèrent mon cœur avec de la glace. Je les regardais faire, sans endurer la moindre douleur.
Ainsi, les archanges Gabriel et Michaël prirent une apparence humaine et arrachèrent de ses entrailles cette tache noire qui existe chez tous les hommes et qui est le nœud de l'emprise de Satan sur les créatures terrestres.
Si aucun esprit sain ne peut prétendre que tous les musulmans sont des terroristes, rappeler que tous les terroristes sont des islamistes et non des déséquilibrés ou des criminels de droit commun, c'est s'exposer à l'accusation d'islamophobie. Celle-ci sert à noyer les islamistes et leur bras armé terroriste dans la masse des musulmans à chaque fois que leur idéologie suscite des critiques. C'est d'ailleurs là, le véritable amalgame.
Celui qui change de religion, tue-le !
Lors de la polémique sur le port du burkini, aucun imam "modéré" n'a levé le petit doigt pour dire qu'une musulmane pourrait parfaitement porter le maillot de bain. Ils se sont toujours rangés du côté de ceux qui crient à l'islamophobie, exacerbant ainsi le sentiment infondé chez les Musulmans modérés d'être une communauté haïe et persécutée.
Pour moi le 13 novembre a commencé des 9h00, à l'hôpital Necker où se tenait ce que l'on appelle un exercice sur table.
Patrick Pelloux, médecin urgentiste, assiste au siège du Samu à une simulation d'attentat en présence de ses collègues, des pompiers de Paris et de policiers de la Brigade de recherche et d'intervention, la BRI. Le scénario imaginaire du jour, c'est une attaque terroriste simultanée contre plusieurs sites de la capitale. Mais ce qui est encore inimaginable pour ces professionnels du secourisme, c'est qu'ils allaient devoir mettre l'exercice en application le soir-même.
Seule une minorité de connaisseurs savent qu'il est strictement interdit à l'homme musulman de porter de la soie, de l'or ou de l'argent. Si certains pratiquants observent sans doute cette règle dans le souci personnel de plaire à leur Dieu, elle n'a jamais fait l'objet de débats publics enflammés pour autant. On n'a jamais entendu des salariés d'une entreprise quelconque crier à l'islamophobie en raison de la présence de fils de soie dans leurs uniformes de travail, ni vu des bijoutiers se faire lyncher pour avoir vendu des gourmettes en argent aux messieurs. Le voile est donc bel et bien un instrument sexiste, et non une expression de spiritualité.
Sous couvert d'antiracisme, ce féminisme crypto-islamiste adopte la posture raciste du relativisme culturel.