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Citations de Zoulfa Katouh (151)


La cupidité est une maladie qui rend insensible à la faiblesse et au désespoir des autres.
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- La vie se cache dans les choses les plus insignifiantes, les plus simples. Je comprends maintenant. La liberté a toujours coûté cher. On la paie avec…
- … notre sang. Des litres et des litres de sang.
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La Syrie est notre pays. La terre de ton père, et de son père. Ton histoire est gravé dans ce sol. Aucun pays au monde ne t’aimera jamais autant que le tien.
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Vivre, ce n'est pas simplement survivre.
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Les survivants portent leurs remords comme une seconde peau.
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Le soleil est presque couché et le bleu est en train d'engloutir toutes les autres couleurs. La nuit tombe vite, mais elle n'est pas éternelle. Nous ne serons pas toujours confrontés à l'obscurité, au mal. Tant que nous garderons la foi et que l'histoire de la Syrie continuera à couler dans nos veines, il restera une lueur d'espoir.
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Tous les jours, tu perds des patients. Chaque nouveau mort est un regret qui vient te briser le cœur. Rester ici finira par te détruire...
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On a droit au bonheur, Salama. Tant pis si on ne nous le sert pas sur un plateau d'argent. On ramassera les morceaux et on le construira nous-mêmes.
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De chaque citron naîtra un enfant, et les citrons ne mourront jamais.
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Pour eux, la soif de liberté est une maladie contagieuse. Il faut nous abattre pour nous empêcher de la répandre.
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- Je t'aime.
J'espère que cela suffira à exprimer tout ce que je ressens pour lui. C'est tellement plus vaste que ces trois syllabes, mais je ne vois pas d'autre façon de le dire. Je devrai donc m'en contenter, faire un univers infini dans sept petites lettres. Et me réjouir parce que, grâce à Kenan, j'ai la chance de comprendre ce qu'elles signifient.
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- Tu n'as pas peur ? je m'étonne.
Il me dévisage une seconde et sourit.
- Bien sûr que si. Mais je n'ai rien à perdre.
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Je t’aime
J’espère que cela suffira à exprimer tout ce que je ressens pour lui. C’est tellement plus vaste que ces trois syllabes, mais je ne vois pas d’autre façon de le dire. Je devrai donc m’en contenter, faire tenir un univers infini dans sept petites lettres. Et me réjouir parce que, grâce à Kenan, j’ai la chance de comprendre ce qu’elles signifient.
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Ton histoire est gravée dans ce sol. Aucun pays au monde ne t’aimera jamais autant que le tien.
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Dans les ténèbres qui nous entourent, il est devenu mon rayon de soleil. Au milieu de toutes ces morts, il m’a donné envie de vivre.
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Pour eux, la soif de liberté est une maladie contagieuse. Il faut nous abattre pour nous empêcher de la répandre.
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"est-ce que je vais mourir ?" Il demande, et je ne vois aucune peur dans son regard. Est-ce que tous les enfants de six ans connaissent la mort ou seuls les enfants de la guerre ?
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Ce pays est le mien. Je n'en ai pas d'autre. Partir, c'est aussi mourir.
Je serre les poings. Moi, je suis déjà morte.
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Partir ne sera pas facile. Je sèmerai des morceaux de mon cœur brisé derrière moi sur les côtes syriennes, et les cris de mon peuple me hanteront jusqu'à là fin de mes jours
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Dans les ténèbres qui nous entourent, il est devenu mon rayon de soleil. Au milieu de toutes ces morts, il m’a donné envie de vivre.
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Du bazar mélancolique au souk joyeux, le borborygme assourdissant des bonimenteurs

Bazar et vacarme sont le même mot. Le mot persan bazar s’analyse en wescar. Le mot arménien vacarme se décompose en wahacarana. L’un et l’autre disent la rue marchande (mot à mot « l’endroit où on marche pour acheter », la ville).

Émile Zola
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