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Citations de Élisabeth Barbier (100)


Tu n’es rien, pour lui. Rien d’autre qu’une envie comme une autre, assez sale, qu’il oubliera aussitôt que tu auras cessé de te frotter à lui.
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Cela n’a rien d’un tour de force, que je sache, ni, en général, d’un acte d’héroïsme. Où est le mérite ? La plupart des gens meurent parce qu’ils n’ont pas pu faire autrement. Allez, allez, c’est la frousse qu’en ont les vivants qui
les incite à ces momeries.
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Restait l’amour. Cette colonne de force, droite et pure, qui soutient la voûte du ciel. S’y cramponner, quoi qu’il arrivât. Cela suffirait bien pour la vie entière.
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La maternité avait donné à ses formes jadis trop grêles le tendre arrondi qui leur manquait. La ligne de son cou et celle des épaules avaient une courbe charmante. Les seins ronds se devinaient agréablement dans l’échancrure du corsage, parmi les fleurs et la dentelle, comme des oiseaux au nid.
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On ne pouvait entièrement faire fi de l’opinion des autres.
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L’amour avait le goût des figues, leur odeur et celle de la sève laiteuse coulant de leurs palmes dont Julia faisait des éventails .
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Les gens qui volent, même s’ils ont eu froid ou faim, on les emprisonne.
Tant pis pour eux, ils n’avaient qu’à rester tranquilles, à patienter !
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L’année cinquante-quatre ! Encore une dont on se souviendra. Tout va de mal en pis. Jusqu’aux saisons, maintenant, qui se détraquent ! À croire qu’elles prennent modèle sur les hommes !
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On ne peut plus rien arrêter. Cette épine qui s’enfonce. Un peu plus à chaque pas que l’on fait. Pauvre petite Finou. Rose, potelée, tendre. Pauvre petite caille. Si quelqu’un devait, plus tard, lui infliger une souffrance pareille…
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Si votre Rodolphe apprend que l’on vous courtise, vous le verrez changer
ses batteries. Rien de tel que la jalousie pour vous le débusquer.
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L’amour et la paix n’avaient pas grand-chose à voir ensemble ; et que le bonheur était une entreprise désespérée, à la mesure de notre seule vie humaine.
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Et après tout, je n’aurais que ce que je mérite ! Quand une fille est assez sotte pour transiger sur son honneur et sa réserve au profit d’un homme… !
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Paris vaut mieux qu’une messe, fût-elle de mariage. Ah ! Paris ! si tu savais…
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Je ne suis pas un anachorète. Vous me feriez jurer de ne pas recommencer… eh bien, quand le diable y serait ! je ne sais pas si je pourrais vous tenir le serment. Que voulez-vous ? un homme ne peut se refaire. Mais je vous aime, vous le savez bien. Il faut que vous en soyez sûre, une fois pour toutes. Le reste…
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Mais tu as raison : je n’ai pas de morale. Et celui qui m’aimera pourra en remercier mon Créateur ; car, moi, je le ferai passer par d’agréables sentiers dépourvus de pierre. Tandis que vous, les gens vertueux, la morale que vous avez inventée vous sert à
persécuter les autres.
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Le plus brûlant délire poétique n’eût pas traduit la passion avec plus d’éloquence.
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C’est de cela que l’on vieillit : le poids des tâches mal remplies, des intentions
qui ont échoué, des velléités non abouties, pèse comme du plomb, et creuse plus profond que les plus lourdes fautes.
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Il a plus de finesse et de régularité dans les traits, plus d’élégance ; il est
bien plus racé. Enfin, c’est un homme du monde. Tu aurais là un mari plein d’égards. Et cultivé ! Et raffiné !
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Évidemment, dans le monde actuel où l’on voit régner la canaille, tous les principes peuvent être bafoués. Quoi qu’il en soit, ce qui était bon sous nos Rois l’est encore et le demeurera, pour moi. Dans ma famille, on vit sur les traditions reçues en héritage.
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La vie n’est pas une histoire de cape et d’épée. N’empêche qu’elle est magnifique. Vous verrez cela. N’attendez pas que je vous récite des fadaises, mais comptez sur moi pour vous aimer. Vous ne serez pas déçue.
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