Éric Metzger

Plusieurs nouvelles d' auteurs, j'ai été très surprise par l' écriture de certains.

Ce sont des petites nouvelles, de quelques pages, certaine mon surprise par leur tournure il faux être accroché car y a des contenus sensible des sujet dur comme ma mort, la tromperie , les attentat.

J ai été Surprise de retrouver une histoire qui me faisait penser à mon histoire, et la dernière carène ponte toujours un plaisir.

Un roman surprenant sur le deuil et la littérature !

A la recherche d'un oiseau, le héros de cette histoire repart d'une animalerie avec un poisson qu'il baptise Cookie. Cet homme solitaire et malheureux, amoureux de littérature va s'apercevoir que la lecture plaît à ce poisson combattant et va commencer à lui lire à voix haute de nombreux extraits littéraires sur l'amour, la mort, la vie. Ainsi, l'auteur nous parle de la littérature comme bouée de sauvetage, comme moyen de réfléchir à son existence. En effet, au cours de notre lecture, on découvre le drame qu'a vécu notre héros et sa difficulté d'y survivre. Ce texte quasi philosophique, plein d'humour et parfois surréaliste, s'adresse à tous les amoureux de la littérature.

Depuis que j’ai lu La citadelle ( j’ai commencé par le dernier sans le vouloir), je poursuis ma découverte des écrits de cet auteur que j’avais découvert sur Canal + avec Eric et Quentin, et qui nous proposait tout autre chose 😉



J’aime l’écriture sans fioriture et percutante de l’auteur. J’apprécie ces tranches de vie qui mêlent tragédie et émotion.



Ici, d’emblée le ton est donné : une promenade au bois de Boulogne à la recherche d’un chat disparu appelé Adolphe. Le protagoniste, tout juste quitté et en souffrance, n’a que faire de cette disparition. Mais pour accompagner sa mère qui est dévastée par cette absence – elle nourrit grand nombre de chats chaque jour et sont devenus ses seuls compagnons – le fils se plie à cette investigation en laquelle il ne croit guère et n’y met que peu de cœur. Au début…



Les voilà tous les deux en pérégrinations dans un lieu familier pour l’une, très nouveau pour l’autre. Les habitants du bois et tout ce qui s’y passe…L’occasion de revenir sur le passé, sur les relations parents-enfants, la pudeur des sentiments, la perte d’un être cher, les différences entre classes sociales. L’opportunité de tout remettre en perspective et de revoir ses priorités.



Un court roman drôle et touchant.
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J’avais beaucoup apprécié La Citadelle. Lorsque je suis tombée, un peu par hasard, sur La nuit des trente, je me suis dit : » Ah, voyons ça ! »



Me voilà donc partie en compagnie de Félix à travers Paris, la nuit de ses trente ans. Tous ceux qui sont passés par là, savent que trente ans…c’est un cap. Et chacun le franchit à sa façon. Le protagoniste, lui, a choisi d’écumer les bars avec collègues et amis. L’alcool aidant, cette nuit de beuverie sera aussi le théâtre de mille et une questions et réflexions que se fait l'(le jeune) homme. Les pensées n’empêcheront pas les actions. Si, de prime abord, Félix peut paraitre quelque peu timide, il est aussi un peu bagarreur. Parfois sur la touche, son entrée sur le terrain peut-être fracassante. Cette nuit, son ange et son démon se côtoieront. Je vous laisse le soin de découvrir qui des deux aura le dernier mot. Car Félix réserve bien des surprises et m’a fait passer par des émotions fort contradictoires. Oui, je l’ai un peu détesté ce type. Surtout lorsqu’il m’a montré son vrai visage. Et non, je n’ai rien vu venir…



Un livre très court qui se lit d’une traite afin de suivre le personnage dans son périple nocturne, bien mouvementé, comme on en a toutes et tous plus ou moins connu.



L’auteur décrit les scènes avec simplicité et réalisme. J’ai d’ailleurs trouvé que son style avait gagné en maturité entre cet opus et son dernier. Quelque chose me touche dans ses écrits. A chaque fois. Son ton décalé. La façon dont il exprime les émotions à travers ses personnages.



Je vais découvrir ses deux autres romans.
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Quelle claque ! Quel coup de coeur ! Dans ce roman, l'auteur Eric Metzger nous raconte les relations mère-fils, l'engagement et le chagrin amoureux, le deuil ainsi que l'importance des animaux.

Le héro de l'histoire vient juste d'être largué par la femme dont il est amoureux, celle avec qui il pensait construire sa vie. En même temps, il doit aider sa mère à retrouver un de ses chats qui répond au nom d'Adolphe.

Un roman émouvant et assez profond qui se lit plutôt rapidement grâce à la très belle plume de l'auteur.

ADOLPHE A DISPARU/ ERIC METZGER.- Gallimard ; 2017, 140 P

Plus grand que Central Park aux Etats-Unis, le Bois de Boulogne est situé à l’Ouest de Paris. Et c’est dans ce lieu vaste de 846 hectares et rempli d’histoire qu’Eric Metzger à campé son œuvre : « ADOLPHE A DISPARU » publié en 2017 chez Gallimard, un roman de 140 pages qui nous plonge dans la vie de Jules, jeune homme d’une trentaine d’années qui vient d’être plaqué par Lola sa dulcinée.

Alors qu’il est encore sous le choc, Sa mère, Elise, l’appelle en pleurnichant au téléphone pour lui dire qu’ADOLPHE A DISPARU et qu’elle a besoin de son aide pour le retrouver. Qui est Adolphe ? C’est un chat abandonné tout comme cette cohorte d’autres chats qui peuplent le Bois de Boulogne et qu’Elise, la mère de Jules s’est portée garante de leur servir de mécène en leur apportant soins et nourriture, occupation qui meuble les journées de cette mère divorcée et à la retraite après avoir été virée de l’entreprise où elle travaillait.

Mettant sa peine de côté, Jules va voler au secours de sa mère et, dans leur quête (initiatique), notre jeune homme va découvrir un tout autre monde dans le Bois de Boulogne : Des prostituées telles Paola, Luciana, Gabriella sans oublier cette plantureuse Noire qui sera verbalisée sous leurs yeux par des gendarmes à cheval, prostituées qui reçoivent même parfois la visite des haut-gradés de la capitale ! Le Bois de Boulogne ? C’est aussi le paradis des dealers, des transsexuels, des SDF et autres travestis. Bref, Jules va en prendre pleine la vue !!!

Hier vivant chacun de son côté, mère et fils vont ressouder leur lien pendant ces deux jours de recherche d’où le héros s’en sortira grandi : On peut perdre son amour, mais la famille est toujours là. La nature que nous fuyons pour nous enfermer dans des villas ou des hôtels cossus au nom de la civilisation reste un refuge pour tous: qu’on soit rebut social ou pas. Quel que soit le problème que chacun de nous peut rencontrer dans la vie, il nous est recommandé de toujours prendre du recule pour comprendre qu’il y en a qui connaissent pire…

Je ne saurais terminer sans citer quelques thèmes qui se dégagent de ce roman à savoir : La discrimination, la prostitution, la tolérance, l’amour, relation familiale et….

Eric Metzger est un écrivain français né en 1984 à Boulogne-Billancourt. Titulaire d’un Master Lettres à l’Université de Paris Sorbonne, il travaille au Petit Journal de Canal+ qu’il alimente en produisant des sketchs. « LA NUIT DES TRENTE » est son premier roman.

Cet article vous a-t-il plu ? Si oui, je vous recommande cette œuvre et, ci non, je vous la recommande toujours !!!!

BONNE LECTURE ! / Basile Netour…
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Les Orphée m'avait fait de l’œil dans un salon du livre l'an dernier et j'avais regretté ne pas l'avoir pris, alors quand je l'y ai revu cette année j'ai immédiatement franchi le pas.



Comme son titre l'indique, ce roman est une réécriture du mythe d'Orphée et Eurydice. D'un côté on a Louis qui, après avoir acheté un téléphone vintage dans une brocante, se retrouve à pouvoir discuter avec son père décédé depuis une vingtaine d'année. De l'autre on a Orphée - qui en réalité ne s'appelle pas Orphée nous prévient tout de suite l'auteur l'auteur - à la recherche d'Eurydice dans les excès des nuits parisiennes. Leurs histoires s'alternent à chaque chapitre, ce qui donne un bon rythme au roman.



Fidèle à la descente aux Enfers d'Orphée, l'histoire s'assombrit au fil des pages. On ressent cependant l'humour de l'auteur - qui est également connu pour cela en dehors de son travail d'écrivain - ce qui donne de l'air à l'histoire.



Ce roman plaira particulièrement aux adeptes de mythologie car le parcours d'Orphée regorge de références. Les Charon empruntés par le héros m'ont bien fait sourire. C'était le premier roman d'Eric Metzger que je lisais et je vais rapidement enchaîner sur un autre. L'écriture m'a vraiment plu. 4/5

Paris, Paris et Paris



Le premier livre d'Eric Metzger, du duo Eric et Quentin de Quotidien, est un road movie parisien nocture.



En trentenaire, je me suis retrouvée dans le questionnement de départ "Qu'as tu fait ?"; Rien ? 



En Parisienne, l'atmosphère noctambule est bien décrite.  J'ai retrouvé les différents arrondissements de la capitale. Ce roman me fait penser à l'oeuvre de Duchamp  Air de Paris réalisé en 1919.



Je recommande la lecture de ce livre qui rend hommage à la capitale à lire dans le métro ou dans le bus 56 direction Saint Germain.

Cela va faire bientôt un an que je tombais nez à nez sur Eric Metzger en séance de dédicace, un samedi en soirée. C'est alors que j'ai découvert que depuis l'époque où j'avais dévoré en un après-midi son premier roman, La nuit des trente, il en avait publié deux autres ! Sitôt dit, sitôt dédicacés, me voici repartie avec les deux opus paraphés sous le bras.



Une fois n'est pas coutume j'allais lire une intrigue totalement inconnu. A savoir que même si je fais des achats impulsifs pour la beauté du geste, je tiens à tout lire. J'aurais l'impression de gâcher sinon ! Il m'arrive de m'ennuyer longuement ou alors de tomber sur une petite pépite. Fort heureusement pour moi, Adolphe a disparu est affilié à la seconde catégorie. Voici ce que nous en dit le quatrième de couverture : «Elle m’a brusquement quitté un jeudi soir. Je ne m’y attendais pas. Autour de moi, tout s’est écroulé, les murs, le ciel et mes pensées. Et puis il y a eu ce coup de fil de ma mère. En sanglots, elle m’explique qu’Adolphe, un vieux chat asthmatique, a disparu au beau milieu du bois de Boulogne. Et alors? Elle me supplie de l’aider à le retrouver. En temps normal, j’aurais refusé. Mais je n’en avais pas la force ; c’est ainsi que l’aventure a commencé…»



J'ai ainsi passé une journée à me promener au Bois de Boulogne, à me perdre au gré des pas Jules, à mesure que celui s'enfonce un peu plus dans les affres de ses pensées. Nous cherchons donc Adolphe, chat loufoque nommé selon les normes du bon goût - on pense ici au huis clos Le Prénom - et asthmatique de surcroît. Ce matou (miteux) a tout pour plaire. Ce fil d'Ariane atypique m'a séduite, autant que les personnages haut en couleurs rencontrés.



La séparation de Jules à sa Lola, histoire somme toute commune, devient épique dans cette touffue forêt. Se mêlent aux pensées existentielles d'un trentenaire en mal de repères la vie atypique de sa mère, femmes aux chats, qui comblent sa solitude dans des amitiés improbables. J'y ai lu une transposition de son chagrin dans ses interactions aux boulonnais d'adoption abîmés par la vie. Le point d'orgue à cette promenade à deux chemins est le temps, menaçant et tempétueux.



Ce que j'aime dans les personnages d'Eric Metzger, c'est de m'y reconnaître. Pas complètement mais dans certains aspects de leur personnalité. Ce que j'aime dans sa plume, c'est ce côté classique, teinté de références plus ou moins subtiles. En bref, je ne saurais que vous conseiller ce roman décalé, perché à souhait.



Belle lecture à vous ! 🎈
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Ce soir, Félix a trente ans mais il n'a pas vraiment envie de les fêter ; alors pour éviter de se lancer dans le bilan de tout ce qu'il n'a pas fait, il se lance dans une promenade nocturne à forte teneur alcoolisée. Qui sait, de rencontre en rencontre, de bar en bar, s'il ne va pas finir par arriver quelque chose... j'ai aimé cette histoire brève et son personnage un peu morose, déjà nostalgique, vaguement hanté, pas vraiment courageux, qui semble passer à côté de sa vie plutôt que de la vivre. Un roman sur les regrets qui donne envie de découvrir les autres livres d'Éric Metzger.

Un merveilleux petit (141 pages) livre à lire à l'occasion d'une sieste sous les arbres.

Bon mercredi à vous mes amis (pour ma part, je vais faire le plein de bonne littérature à la médiathèque Pierre-Amalric à Albi :-)

Très surprise par ce roman, je connais l'auteur par son côté "loufoque" dans Quotidien sur Tmc. Je ne m'attendais pas à découvrir une si jolie plume. Une histoire d'amour qui s'achève, une page de vie qui se tourne. En cherchant le chat Adolphe, notre héros va sur des sentiers remplis d'émotions familiales. Une bien belle histoire. Merci!

Jules vient d'être quitté par sa petite amie et Adolphe, un chat du bois de Boulogne auquel sa mère est attachée, vient de disparaître. L'occasion pour ces deux personnages de se retrouver et donc de se confier sur ce qui les a éloigné, leurs tourments et ainsi appréhender l'avenir sous un angle plus optimiste. Un roman agréable, qui se lit facilement, mais un peu trop simple.

Il montre qu'il sait manier la plume et fichtrement bien trousser un récit. De bout en bout, son roman est une friandise. Le genre qu'il faudrait toujours avoir sous la main, en cas de coup de blues. Tout ça grâce à un félin nazi !


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Grande fan de l'émission Quotidien, j'ai lu avec curiosité ce premier roman d'Eric Metzger mais je n'ai pas du tout accroché. L'écriture est très maladroite, pleine de "bah" insupportables et le récit est assez creux. Je ne lirai pas le deuxième !

Si vous affectionnez les jeunes auteurs et que vous faites fi des quelques imperfections qui leur sont propres, je vous conseille la Nuit des Trente. Quant à moi, j'attendrai de lire un second ouvrage d'Eric Metzger, cela dit, avant de me faire un avis définitif sur sa prose.
Lien : http://boudoirdestendances.c..

Trente ans, ce n'est pas rien. C'est une étape à passer et une occasion de faire son introspection, de regarder ce que l'on a fait et de se demander ce que serait notre vie si nous avions fait des choix différents. La nuit de ses trente ans, Félix la passe dans des bars, à boire, se droguer, éprouver des sensations fortes, séduire des femmes, ... Mais il voit en même temps l'insouciance de sa jeunesse le quitter. Au fond de lui il y a aussi toujours "le fantôme" de son premier amour qui ne disparait pas avec le temps.

En une nuit, Félix va passer en revue sa vie, mais aussi à prendre des décisions pour son avenir. Il parcours Paris aussi vite qu'il redécouvre ses souvenirs. Eric Metzger, dans ce premier roman, nous invite à faire le même trajet que Félix en nous interrogeant sur nos vies et nos coeurs.

A lire d'une seule traite !

J ai lu ce livre car j aime le journaliste. Ce livre est sympathique on a envie de savoir ce qu il va se passé à la fin de la soirée et il est facile à lire. la fin m a déçu je m attendais a quelque chose avec plus de rebondissement mais enfaite il est juste marié.

Un coup de cœur ce petit roman. Nous suivons Félix qui a trente ans ce soir. Trente ans, déjà l’âge des regrets pour lui. Il n’a pas envie de les fêter. Sans grande envie il va quand même aller boire un coup avec des collègues. Le début d’une longue nuit, où il boit pour oublier. Oublier son fantôme. Oui, elle est son fantôme. Cela fait dix ans, mais elle le hante encore. Félix est désabusé par l’amour. Il ne veut plus jamais s’attacher. Alors quand il ne saisit pas l’occasion de concrétiser avec une charmante jeune fille cette nuit- là, il se sent soulager. Son cœur pourra rebattre à un rythme normal et lui reprendre sa routine habituelle. Que de belle mélancolie, et quelle belle ambiance du Paris du vendredi soir, tard. Nous sommes entrainer par les états d’âme d’un néo-trentenaire hanté par un amour déçu. L’impression d’y être avec lui. Ce roman s’écoule à peine sur une nuit, mais touchera au cœur pour longtemps tous ceux qui se retrouveront dans ce personnage.



Yassir (Poissy)

Le Félix d'Éric Metzger est un garçon d'aujourd'hui: désabusé mais pas révolté. Il pourrait sauter dans la Seine mais finit par rentrer chez lui. Où il va pouvoir cuver son vin et rêver confortablement de son fantôme en attendant la retraite ou le cancer. Ce roman se dévore à la vitesse d'un scooter lancé à fond dans la nuit de Paris. Pas de gras. Pas d'effets de manche. À suivre.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..