Les éditions de la Martinière sont une maison d`édition fondée en 1992 par Hervé de la Martinière qui appartient à La Martinière Groupe. La maison d`édition est connue pour publier des beaux livres.
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Voilà un choix de titre bien étrange puisqu'en dehors d'extraits ses carnets personnels, on trouve dans cette autobiographie beaucoup de lettres et de conversations choisies et mises en forme par une équipe de chercheurs et d'archivistes du Centre Nelson Mandela pour la mémoire et le dialogue.
Ce n'est pas l'ouvrage que je conseillerais pour une première découverte de Nelson Mandela : il vaut mieux avoir lu Un long Chemin vers la liberté (même si son écriture a été très encadrée par l'ANC) et connaître un peu l'histoire de l'Afrique du Sud au XXe s.
L'équipe mentionnée plus haut a sélectionné et ordonné des archives en 4 parties chronologiques : comment s'est opéré le choix ? Comment a été décidé l'ordre à l'intérieur de chaque partie ? Mystère, d'autant plus frustrant qu'il y a des erreurs et des oublis de datation qu'on peut repérer en se référant aux photographies des archives qui illustrent l'ouvrage.
Ceci dit, ce livre reste très intéressant. Loin de la figure totémique, on y voit un homme passionné (dans tous les sens du terme) et investi, qui change d'avis, qui est écrasé par le poids de son rôle de chef du MK. Sans oublier qu'il peut mentir (par exemple quand il affirme à Ahmed Kathrada n'avoir jamais levé la main sur sa première épouse), on comprend les tensions qui agitaient l'ANC et les douleurs que le choix de la lutte lui ont fait subir ainsi qu'à ses proches.
J'ai été particulièrement impressionnée par sa description de son entraînement militaire par le FLN, les courriers adressés à l'administration pénitentiaire pour demander le respect des droits des prisonniers politiques, la fatigue et les frustrations de son mandat présidentiel.
À l'heure où le nom de Mandela est traîné dans la boue par une partie de la jeunesse sud-africaine alors qu'il était adulé à la fin de sa vie, ses écrits rappellent qu'il faut se garder des idoles et que la volonté d'un seul homme ne suffit pas.
Ce n'est pas l'ouvrage que je conseillerais pour une première découverte de Nelson Mandela : il vaut mieux avoir lu Un long Chemin vers la liberté (même si son écriture a été très encadrée par l'ANC) et connaître un peu l'histoire de l'Afrique du Sud au XXe s.
L'équipe mentionnée plus haut a sélectionné et ordonné des archives en 4 parties chronologiques : comment s'est opéré le choix ? Comment a été décidé l'ordre à l'intérieur de chaque partie ? Mystère, d'autant plus frustrant qu'il y a des erreurs et des oublis de datation qu'on peut repérer en se référant aux photographies des archives qui illustrent l'ouvrage.
Ceci dit, ce livre reste très intéressant. Loin de la figure totémique, on y voit un homme passionné (dans tous les sens du terme) et investi, qui change d'avis, qui est écrasé par le poids de son rôle de chef du MK. Sans oublier qu'il peut mentir (par exemple quand il affirme à Ahmed Kathrada n'avoir jamais levé la main sur sa première épouse), on comprend les tensions qui agitaient l'ANC et les douleurs que le choix de la lutte lui ont fait subir ainsi qu'à ses proches.
J'ai été particulièrement impressionnée par sa description de son entraînement militaire par le FLN, les courriers adressés à l'administration pénitentiaire pour demander le respect des droits des prisonniers politiques, la fatigue et les frustrations de son mandat présidentiel.
À l'heure où le nom de Mandela est traîné dans la boue par une partie de la jeunesse sud-africaine alors qu'il était adulé à la fin de sa vie, ses écrits rappellent qu'il faut se garder des idoles et que la volonté d'un seul homme ne suffit pas.
Très joli conte moderne dont les messages sous-jacents sont plus que jamais d’actualité : destruction de l’environnement par l’homme, nécessaire solidarité entre les peuples…Ce récit a été adapté en film d’animation sous le titre "La mouette et le chat".
Ce roman policier fait partie de la première sélection du Prix poche Relay et KitKat 2024. Je n’ai pas lu les 2 premiers tomes de la série mais çà ne m’a pas posé de problème pour entrer dans l’histoire qui raconte une enquête menée par un commissariat dans une petite ville d’Islande. Il y a beaucoup de personnages aux noms plus ou moins imprononçables et il faut s’accrocher pour les replacer au fil de l’histoire qui par ailleurs est écrite dans un style très fluide. L’enquête est bien menée mais elle aurait pu être plus condensée car certaines parties sont un peu trop lentes.
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