J'ai pris un peu de retard dans la saga de Lily, mais j'étais bien décidée à le rattraper.
Et quel bonheur de retrouver les Hell's.
J'ai littéralement dévoré ce tome en deux jours ! Pour dire que la plume de l'auteure est addictive !
J'ai passé un moment génial avec ce livre, le rebondissement et le suspense est présent. le scénario est trop, une geekette pour un geeks, ça tombe plutôt bien ! Lily nous offre toujours quelques petites scènes, bien chaudes. C'est original, l'histoire est à couper le souffle.
J'adore le fait de découvrir chacun des Hell's dans un livre !
Côté personnage, bien à réfléchir à present c'est difficile d'avoir toujours son chouchou. Les bunkers, sont plus tendres les uns que les autres, mais je crois vraiment que j'ai un petit penchant dans la balance pour Grim... Il est l'eau qui dort, la force cachée.
Arianna, est bien on la découvre au fil des pages d'abord "terrifiée" puis amoureuse.
Entre-eux deux, le feeling est passé de suite et cela à travers leurs écrans !
Je me demandais comment lily allait finir ce tome et elle nous met en haleine, avec une nouvelle problématique. Et vous savez quoi ? J'en dirais pas plus, j'y cours !
#bookaddictreaders #adeline
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Jamais déçu avec lily Hana, toujours un plaisir de retrouver les hell's et de découvrir à chaque fois l histoire de chacun .
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Qui sont les cons qui trouvent l’Italie géniale ? Personnellement, il m’avait fallu seulement trois mois pour en avoir ras-le-bol de leurs nanas folles dingues, de leur bouffe naturelle qui a un goût de foin, et je ne parle même pas de leur langue qui doit automatiquement finir par un « o » ou un « a ». Sérieusement, il y a d’autres syllabes dans l’alphabet. Et c’est quoi ces prénoms ? Je jure avoir rencontré au moins vingt « Paolo » et quarante « Marco ».
Je regrettais mon Amérique et sa malbouffe trafiquée. J’avais grandi avec des produits non naturels, ici même le beurre avait un goût étrange. De… beurre sain. Dégueulasse.
Assis à la terrasse d’un café, j’attendais que Nix me rejoigne en buvant un concentré de café dans une mini tasse, parce qu’ici, bien sûr, même le café est différent. Aucun gâteau pour aller avec, les muffins et autres, inconnus au bataillon. Il y avait des gressins, et des gâteaux aussi secs que de la paille pour les courageux. Une boulangerie était une boulangerie : du pain, des gressins, et rien d’autre.
J’étais perdu dans le trou du cul du monde, et je n’avais pas ma dose journalière de sucre dans le sang. Si on ne se bougeait pas à régler cette affaire, j’étais prêt à faire sauter la moitié de cette foutue ville pour rentrer chez moi.