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EAN : 9782842657956
288 pages
La Decouvrance (22/09/2014)
4/5   5 notes
Résumé :
Après une première traversée de l'Atlantique en solitaire en 1923, attiré par le Pacifique et la Polynésie, Alain Gerbault quitte New York en 1924. Il rentre en France en 1929 après avoir navigué autour du monde au gré de son humeur et de ses escales avec le Firecrest : Bermudes, Panama, Galapagos, Gambier, Marquises, Tahiti, Wallis, Fidji, Nouvelle-Guinée, Maurice, Cap-Vert, etc, et c'est ce qu'il nous raconte dans cet ouvrage préfacé par Jean-Baptiste Charcot.
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Critiques, Analyses et Avis (3) Ajouter une critique
Voila, je referme ce petit livre qui raconte l'épopée d'un navigateur solitaire qui bien avant Georges Moitessier qui Alors qu'il est annoncé en vainqueur de la première course autour du monde, en solitaire et sans escale, renonce à couper la ligne d'arrivée, abandonne la course, et continue, toujours sans escale, en direction de l'océan Indien, a fuit la civilisation a bord de son voilier, pour découvrir le monde qui se trouve au bout de ses navigations.
A l'époque pas de GPS, il fallait savoir se servir d'un sextant pour faire le point, pas de moteur, pas de Winch, cela dénote un certain courage ou folie selon son point de vue.
ce qu'il raconte? surtout les échanges avec les différents peuples Îliens qu'il a rencontré et leur généreuse hospitalité.
Un très beau récit préfacé par Jean-Batiste Charcot, médecin et explorateur des régions polaires.
A la fin du livre vous trouverez un lexique des termes marin employés par l'auteur pour ceux qui ne seraient pas assez amarinés, Ainsi qu'un plan en coupe de son voilier et de son plan de voilure.
j'ai bien aimé et j'ai suivis sur une mappemonde ses navigations entre deux escales.
Merci a Babelio et au éditions la Découvrance pour cette découverte.
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Alain Gerbault a parcouru les Galapagos, les Marquises, Tahiti en partant de New-York en mars 1924 à bord du Firecrest, bateau qu'il avait conçu de toutes pièces. Il effectue la route du retour par l'Océan Indien puis l'Océan Atlantique et arrive au Havre en août 1929..
Dans son Journal de bord, il nous livre un superbe récit de cet immense parcours où, au cours de ses nombreuses escales, il rencontre les peuples indigènes.
C'est avec beaucoup de facilité qu'il compose avec les us et coutumes des indigènes, racontant avec une grande émotions et des détails parfois amusant l'accueil chaleureux qui lui est réservé;
Des Marquises, il repart le coeur serré, sentant qu'il aurait pu être très heureux s'il avait choisi de rester y vivre. mais à chaque fois, l'appel de la mer est plus fort et il repart à l'aventure.
Pour qui aime la mer;, le récit est fort passionnant pour les aspects de navigation et les moyens d'alors. L'aventure prend là toute sa dimension.
L'ouvrage est ponctué de cartes permettant de situer l'évolution du marin dans les différents archipels. Plusieurs croquis du bateau permettent aussi d'imaginer la vie à bord.
Un superbe récit recellant beaucoup de sensibilité et écrit avec un style très sensible.
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Un livre très intéressant, même s'il s'adresse surtout aux passionnés de voile et de voyage. Pour les néophytes (dont je fais partie), le vocabulaire est parfois un peu abstrait, même s'il y a un lexique des termes liés à la navigation à la fin du livre. La carte au début est aussi bien utile pour suivre les différentes étapes du voyage, car on ne sait pas toujours situer toutes les îles qu'il traverse. Cela permet une bonne révision géographique !
Par ailleurs, ce qui est intéressant, c'est la description des îles et de leur peuplade que fait Alain Gerbault. Même s'il ne s'attarde pas trop sur les aspects géographiques, il nous parle bien de la beauté fascinante qu'elles exercent et de la beauté également des peuples indigènes, hélas corrompus par l'arrivée de la civilisation blanche. Il y a en effet une forte critique de la colonisation occidentale et une analyse des répercussions désastreuses de celle-ci sur les traditions indigènes. Plus que le côté exploit de la traversée à la voile en solitaire (indéniable bien sûr), c'est ce que j'ai trouvé le plus intéressant dans le récit, car il montre un personnage certainement atypique pour son époque.
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Video de Alain Gerbault (1) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Alain Gerbault
Pot-Pourri d'Alain Gerbault Ecrit par Sacha Guitry pour Yvonne Printemps. Compositeur Albert Willemetz : Bonsoir, Madame la Lune, Bonsoir (bis) C'est votre ami Gerbault qui vient vous voir, Bonsoir, Madame la Lune. Sur mon bateau, au fil de l'eau, Je m'en vais là-bas vers le large, Je navigue en rêvant où me pousse le vent, Devant moi et toujours en avant, Pourquoi je fuis Paris, son bruit, Pourquoi je me suis mis en marge, M'éloignant sans regret Voyageant sans arrêt...
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