Ces pays du froid où la vie est si difficile, attirent semble-t-il les hommes qui ont besoin de défi, de se trouver par rapport à leur passé, ou peut-être de se perdre... pour mieux se retrouver.
Le froid confronte irrémédiablement à soi-même, à ses propres retranchements jusqu'à la folie !
J'aime cette volonté à se surpasser, cet acharnement créatif à construire ce cerf volant, projet symbolisant le plus grand, plus fort que soi, si proche de la performance.
N'est-ce pas aussi le rêve d'Icare qui demeure profondément ancré et anime la fascination de l'homme ?
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Interview de Kathryn Harrison (en anglais)