Un homme occidental en fin de vie se souvient de son parcours, de ce qu'il a vu et vécu. Des détails, des scènes lui reviennent à l'esprit. le roman se lit facilement et nous rappelle la vacuité de l'existence et qu'on aurait tort de remettre au lendemain ce que l'on peut faire ce jour. Car qui sait c'est ce n'est pas la dernière fois que l'on prend un bain de mer, que l'on franchit le seuil de la porte de sa (son) bien-aimée (é)?
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Mire, yo creo que el asco está siempre cerca del deseo. Son como el ciego y su perrillo.
Écoutez, je crois que le dégoût est toujours proche du désir. Ils sont comme l' aveugle et son petit chien.