Palestiniens et Hébreux continuaient leur bataille pour s’emparer de la mythique ville de Jérusalem.
La succession d’Arafat, suivie peu après de celle de Sharon, contribua à accroître la haine : ils ne collaborèrent pas, au contraire, ils se montraient plus belliqueux et déterminés que jamais.
L’Europe, partagée comme à son habitude, demeurait dans l’attente. En effet, quelques États se risquèrent parfois à prendre ouvertement position pour l‘une ou l‘autre des parties sans parvenir au moindre consensus. Les attentats des kamikazes étaient toujours plus meurtriers et dévastateurs, et irrémédiablement suivis par la rétorsion exaspérée de l’armée Israélienne entraînant systématiquement la mort de centaines de victimes innocentes.
De tels évènements eurent le mérite de réveiller les consciences des hommes les plus lucides et les plus puissants du monde, suscitant en eux un sentiment de solidarité.
Ainsi, les États les plus évolués vinrent en aide aux pays touchés par les catastrophes grâce à d’importantes donations. Malheureusement, tout comme la vague anonyme qui bouleversa l’Océan Indien, les élans de bienveillance cessèrent subitement.
Parmi ces événement , le Tsunami ne fut malheureusement pas l’unique calamité désastreuse de cette période. Il fut suivi de l’ouragan Katrina, qui détruisit l’entière ville de New Orleans, et de la tornade Rita, moins violente du point de vue météorologique, mais tout aussi néfaste sur le plan psychologique.