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EAN : 9782714493163
448 pages
Belfond (05/03/2020)
4.01/5   848 notes
Résumé :
Une femme dans le coma. Un choix impossible. Une famille déchirée. Mêlant thriller et roman psychologique, Barbara Abel met le sens de la famille à rude épreuve !

4e de couv (pocket 2021)
Depuis quatre ans, depuis l'accident de voiture, le choc, le précipice, Jeanne n'est plus qu'un corps inerte. Allongé, intubé, ventilé, végétant dans le coma. Ce trou noir pour l'instant sans issue a happé sa vie et celles de ses proches. Gilbert et Micheline... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (240) Voir plus Ajouter une critique
4,01

sur 848 notes
Jeanne est plongée dans le coma depuis quatre ans. Maintenue artificiellement en vie grâce à l'appui financier de son père, redoutable homme d'affaires. Autour de Jeanne gravite la famille, les vivants. La mère Micheline, la soeur Charlotte et le mari de Jeanne, Jérôme. Quand le docteur Goossens annonce une terrible nouvelle à la famille, les vivants commencent à se déchirer autour de l'inerte Jeanne.

J'ai beaucoup aimé les citations choisies par l'auteure au début de chaque chapitre. Je trouve celle-ci très forte :
« L'approche de la mort terrifie, et si le nouveau-né avait conscience de l'approche de la vie, il serait tout aussi terrifié. » Charlie Chaplin.

Il y avait certainement sujet à une longue dissection entre la vie et la mort. Il est en effet ici question de tout ce qui se joue quand les chats dorment, non-dits, jalousie, secrets de famille, rancoeurs, regrets. Et pendant que Jeanne dort du sommeil de dieu, les vivants conspirent, se déchaînent, se dévoilent, se déchirent.

Barbara Abel est une auteure que j'aime beaucoup, ses livres je les ai tous dévorés avec addiction. Ici, j'avoue avoir eu un peu plus de mal à rentrer dans l'histoire. Beaucoup de personnages avec chacun leurs problèmes et leur caractère rendant à ce roman un aspect assez brouillon de l'intrigue. J'aurai préféré un travail plus psychologique, une intrigue plus palpitante. J'ai eu l'impression de tourner en rond dans une famille dysfonctionnelle.
Néanmoins, le roman est servi par une plume interpellante même si sur ce coup, Et les vivants autour n'aura pas attrapé mon coeur contrairement aux autres romans de cette auteure.
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Ma chère et tendre épouse étant une fidèle de Barbara Abel , je lui ai offert son dernier opus en guise de " sortie du confinement " , et , naturellement , je le lui ai emprunté . Ben , oui , hein , on s'interroge toujours sur les intérêts de son conjoint ( ou sa conjointe ...) et puis , il est toujours constructif de confronter les points de vue après lecture ....
Le sujet abordé est douloureux , très douloureux . Suite à un accident de voiture , Jeanne , la fille des Mercier est dans le coma depuis 4 ans . Ceci n'est pas sans nous rappeler des faits ayant défrayé la chronique il n'y a pas si longtemps ....Autour du "sommeil artificiel " de Jeanne , c'est l'union familiale sacrée. Il y a Micheline et Gilbert , les parents , Jérôme, le mari et Charlotte , la soeur ....Mais 4 ans ...Où est l'espoir ? A quoi se raccrocher ? Qu'attendre ? Les convictions , peu à peu , en toute légitimité, se lézardent.
En convoquant la famille , le professeur Goossens va - t -il sceller le sort de Jeanne , un sort qui permettrait aux uns et aux autres de " passer à autre chose " ? Et voilà, les amis , il a parlé et.. déclenché un séisme, un tsunami . L'info donnée est juste .....de nature à mettre à mal la belle harmonie , l'union sacrée. Mais qu'a - t - il bien pu annoncer ? Si vous avez une idée, appelez le .... oh, appelez qui vous voulez , moi , je suis tenu au secret . Sachez cependant que ça secoue , ça vibre , ça tremble , ça décoiffe . Famille , " je vous hais...me ". Ah, il a tiré le " gros lot " , le professeur . Incroyable ...Oui , juste incroyable car , si je puis m'exprimer ainsi , " trop , c 'est trop ". On plonge de Charrybe en Scylla au point de ne plus vivre dans le monde contemporain mais " dans un ailleurs inimaginable" , enfin espérons- le , sinon c'est à désespérer de nos proches les plus intimes . Jeanne , la pauvre ....On se demande si ce n'est pas elle qui a " le beau rôle ." , vous vous rendez compte ? Pour tout vous dire , en tournant la dernière page , j'ai bien observé le visage de mon épouse pour voir ......Ben , oui , quand on voit agir une famille pire que celle des Atrides ...on pense à regarder chez soi , on ne sait jamais.....
En clair , c'est une histoire incroyable narrée avec brio . Facile à lire , peu de personnages ( heureusement ...) superficiels , un machiavélisme mené à son paroxysme . Incontestablement , Barbara Abel connaît les codes et n'omet aucune justification à l'intrigue . le fond manque toutefois de consistance , à mon avis , et si on choisit un drame pour point de départ , il convient de garder raison , ne serait-ce que par respect pour les familles concernées . A trop insister , on se retrouve face à une caricature de mauvais goût ou presque .
Je vous rassure , mon épouse a le même ressenti et trouve que ce roman est bien inférieur aux autres écrits par Barbara Abel .Donc , pour moi , c'est simple , je lui fais totalement confiance et je lirai les précédents car , même si ce roman est ....il semble qu'elle ait écrit , par ailleurs , de fort belles choses .
Allez , amies et amis , bonne soirée. Mon épouse m'invite à passer à table : ce soir , "omelette aux champignons" ...Je suis certain que celles et ceux qui ont lu le roman aimeraient être à ma place...
Et continuez à prendre soin de vous ....et ...attention à la famille , hein , regardez bien la couverture ...ça sent le départ précipité, ça....
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Depuis quatre ans Jeanne est plongée dans le coma et toute la vie de sa famille tourne autour de ce corps, allongé dans ce lit d'hôpital. Les parents, tout d'abord, Micheline et Gilbert, qui forme un couple étrange, lui ne pensant qu'à son travail de chef d'entreprise, régnant de manière despotique sur son personnel, n'hésitant pas à licencier pour un simple retard, sans se soucier des répercussions.

Il est tout aussi tyrannique avec son épouse, ménagère modèle qui s'est investie à fond dans la maison, l'éducation de leurs filles, et qui se tait devant ce mari qui la rabaisse sans arrêt et qui a toujours raison.

Ensuite nous avons Charlotte, la soeur aînée de Jeanne, qui a dû faire le deuil de son envie de devenir comédienne et aide son mari guillaume à gérer un restaurant qui ne tourne pas trop. Elle ne s'est jamais sentie aimée par sa mère que n'avait d'yeux (Dieu ?) que pour Jeanne, qui était plus belle et à qui on passait tout, Charlotte qui essaie à tout prix d'avoir un enfant et n'y parvient pas.

Enfin, nous avons Jérôme, le mari de Jeanne, amoureux fou de sa femme et qui se sent coupable depuis l'accident qui a provoqué le coma. Évidemment, Gilbert n'a jamais accepté ses gendres pas assez bien pour lui (pensez donc un artiste et un cuisinier !) et ne se gêne pas pour leur manifester son mépris à chaque repas de famille.

Chacun se rend à l'hôpital, voir Jeanne en fonction de ses disponibilités et bien sûr, la mère parfaite veille jalousement sur sa progéniture, lui faisant la lecture… finalement, les vivants l'intéressent beaucoup moins.

Tous les « vivants » qui entourent Jeanne sont d'accord sur une seule chose la maintenir en vie lorsqu'ils sont convoqués par le professeur. Il s'est passé quelque chose de grave, mais divulgâchons pas ! A partir de là, tout va se compliquer. L'harmonie est beaucoup moins solide qu'on le pensait.

Ce roman noir est passionnant, Barbara Abel aborde tous les problèmes qui peuvent survenir, avec une réflexion dur la loi Claeys-Leonetti, à propos de l'euthanasie, sur les convictions religieuses intégristes de Micheline qui parle à Dieu, s'en référant à lui pour prendre toutes les décisions de la vie de tous les jours, et par ses prises de positions, je n'ai pu m'empêcher de la comparer à la mère de Vincent Lambert.

L'auteure évoque aussi, les relations entre époux, beaucoup plus complexes qu'elles ne paraissent dans la vie de tous les jours mais peuvent basculer et pousser à des comportements extrêmes, la jalousie entre soeurs, les traumatismes de l'enfance et tant d'autres…

Ce roman noir démarre en douceur, puis le rythme s'étoffe, s'accélère, un peu comme « le boléro » de Ravel, je l'ai lu en apnée, impossible de le poser. C'est le premier roman de Barbara Abel que je lis et j'ai adoré, donc continuer à explorer ses livres.

Un grand merci à NetGalley et aux éditions Belfond qui m'ont permis de découvrir enfin cette auteure avec ce livre génial.

#Etlesvivantsautour #NetGalleyFrance
Lien : https://leslivresdeve.wordpr..
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Une jeune femme dans un lit d'hôpital dort, depuis 4 ans.
Et puis lui arrive une chose effroyable, aberrante.
Les vivants, autour d'elle, vont se déchainer.

Les vivants, ce sont sa famille : père, mère, soeur ainée, mari, chapeautés par le docteur Goossens, chef du service qui leur a annoncé LA nouvelle, et surveillés par les deux inspecteurs de police immédiatement entrés en scène dès cette annonce.
Je préfère ne rien vous dévoiler, cela vous ôterait le plaisir de découvrir de quoi il s'agit. Mais je suis sûre que vous avez déjà deviné, en tout cas, moi, j'y ai pensé tout de suite, et j'ai eu raison.

Tout ceci pour vous dire que le suspens n'est pas ce qui est le plus important dans ce roman. Ce sont plutôt les réactions des vivants autour de la jeune dormeuse, de l'échauffement à l'explosion finale, qui retiennent l'attention.
Je me suis passablement ennuyée dans la première moitié, mais comme pour « Derrière la haine », mon intérêt a augmenté au fur et à mesure des pages. Difficile de décrocher car il y a des révélations, des points du passé qui s'allument, des caractères qui se dévoilent.
Barbara Abel écrit assez bien, c'est dommage qu'elle n'évite pas les expressions bateau, et que certains passages soient très prévisibles.

« Et les vivants autour » est pour moi un roman qui fait passer agréablement le temps, et par cette journée pluvieuse, c'est déjà très bien !

Merci à Babelio et aux éditions Belfond pour ce cadeau lors d'une Masse critique privilégiée.
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Lectrice inconditionnelle de Barbara Abel , je me suis lancée en toute confiance dans celui-ci.
Toute la famille de Jeanne est à son chevet depuis 4 ans car elle est plongée dans le coma.
Le professeur responsable de sa santé rassemble la famille.
Alors que tout le monde s'attend à une proposition de débrancher les appareils, c'est l'horreur qui s'abat dans les déclarations du professeur.
A partir de là, alors que l'ambiance n'était déjà pas au beau fixe, c'est un climat de plomb qui va s'installer.
Bien que je reconnaisse la finesse de l'observation des personnages, je me suis bien ennuyée dans une telle atmosphère.
Les critiques sont en général très élogieuses mais pas pour moi, ce fut une grande déception avec une impression que l'auteure a voulu en faire "trop".
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Citations et extraits (158) Voir plus Ajouter une citation
Gilbert s'éloigne de la fenêtre et revient près du li Il regarde Jeanne, ouvre une nouvelle fois la bouche, s'apprête à lui parler, quelques mots seulement, juste
lui dire qu'il est désolé et qu'il l'aime…...
Le silence qui règne dans la chambre se fait dense presque compact. Assourdissant, en fait. Tellement envahissant qu'il ne laisse aucune place au mots, pas même aux soupirs. Gilbert serre les dents. En vérité, la seule chose qu'il a envie de faire, là, maintenant, hurler un bon coup, pousser un cri a réveiller les morts, empoigner sa fille, la secouer dans tous les sens pour qu'elle bouge enfin, qu'elle cesse de jouer les belles endormies, qu'elle arrête de les faire culpabiliser parce qu'ils veulent qu'elle vive, ils veulent qu'elle meure, parce qu'ils viennent la voir, parce qu'ils ne viennent pas la voir...
Le cœur en miettes, Gilbert regarde Jeanne sans bouger, les bras ballants, muet comme une carpe.
Elle dort.
106/107
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Parce qu'il en a toujours été ainsi. Jeanne la cadette, la petite, celle que l'on protège, celle que l'on chérit. Celle qui, soudain, s'est posée là comme une fleur en prenant toute la place, pousse-toi de là que je m'y mette. Celle que l'on admire, celle à qui l'on pardonne tout, celle qui a toujours raison, Charlotte laisse ta sœur tranquille, oui mais c'est elle qui m'ennuie, ne discute pas s'il te plaît, c'est toi la grande, tu dois donner l'exemple et Jeanne qui la regarde avec son sourire d'ange, narquoise, si forte, tellement présente. Jeanne. Celle qui transforme l'amour en haine, la haine en passion, le bonheur en rancœur, les larmes en sourire, les mensonges en vérité, les illusions en promesses, les cadeaux en chantage. Celle qui ne fait pas de bêtises, c'est pas moi c'est elle, celle qui est si jolie qu'on lui donnerait le bon Dieu sans confession, celle qui fait tout bien, et même quand elle fait mal, c'est tellement mignon.
... Jeanne, sa sœur, sa douceur.
... Jeanne, sa douleur.
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Jeanne disait souvent que son cœur n’avait commencé à battre que le jour où elle avait rencontré Jérôme. Jérôme disait toujours que le jour où il avait vu Jeanne pour la première fois, son cœur s’était arrêté. Entre eux, ce fut le coup de foudre, le vrai, celui qui n’existe que dans les romans. Celui que les mots ne peuvent décrire. Celui qui ne se raconte ni ne s’explique. Celui qui se vit.
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Jérôme s’empare de sa brochure, qu’il ouvre à la bonne page. Il balance sa première réplique, Marie lui renvoie la sienne, à laquelle succède la suivante, Jérôme, Marie, Jérôme, et ainsi de suite. Ils se la font à l’italienne, sans intonation, sans émotion, juste le texte. C’est une scène d’amour, le moment où les deux personnages, vaincus par leurs émois, et après avoir lutté durant tout le premier acte, tombent dans les bras l’un de l’autre, et tant pis pour le désastre que leurs phéromones affolées sont sur le point de provoquer. Après tout, les gens heureux n’ont pas d’histoire.
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Lire l’apaise, ça lui permet d’alimenter le lien verbal, capital selon les médecins pour garder le contact avec les gens en état d’« éveil non répondant » – c’est ainsi que, aujourd’hui, on désigne les personnes plongées dans le coma ou dans un état végétatif – sans pour autant devoir faire la conversation
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Découvrez l'émission intégrale ici : https://www.web-tv-culture.com/emission/niko-tackian-la-lisiere-53718.html Les études de droit et d'histoire de l'art peuvent mener à l'écriture de roman noir. La preuve ! C'est en tout cas le chemin pris par Niko Tackian pour arriver en librairie au rayon des romans qui font peur…
On l'a aussi connu journaliste, auteur de BD, metteur en scène et scénariste. On lui doit d'ailleurs la série télé « Alex Hugo » écrite en collaboration avec Franck Thilliez.
Mais aujourd'hui, c'est avant tout de l'auteur de thrillers que je veux vous parler, lui qui, en quelques titres, est devenu un incontournable. Il fait d'ailleurs partie du collectif « La ligue de l'imaginaire » aux côtés de Bernard Minier, Olivier Norek, Bernard Werber ou Barbara Abel.
Dans l'univers du thriller, Niko Tackian fait ses armes avec « Quelque part avant l'enfer », un premier titre primé au festival de Cognac. Rapidement les succès vont s'enchainer au rythme d'un livre par an.
Et si vous n'avez pas encore lu « Avalanche hôtel », « Celle qui pleurait sous l'eau » ou « Repère », allez-y ! Vous allez adorer avoir peur ! Dans ses romans, Niko Takian aime décortiquer la psychologie de ses personnages, les mettre face à des situations toutes plus angoissantes les unes que les autres et, à chaque fois, son histoire prend place dans un paysage différent, sorte de huis-clos naturel qui joue un rôle dans le déroulé de l'intrigue.
Avec « La lisière », le nouveau thriller de Niko Tackian, nous voici en Bretagne. Mais pas la Bretagne de bord de mer, riante et touristique. Non, nous sommes ici au coeur de la Bretagne, celle des monts d'Arrée, rugueuse et austère, pétrie de légendes autour des elfes, du chien noir et de l'Ankou, le serviteur de la mort.
Ce soir-là, Vivian est en voiture avec son mari Hadrien, au volant et leur fils Tom à l'arrière. Il fait nuit, le crachin masque la visibilité, le vent s'engouffre dans ses paysages tortueux des monts d'Arrée. Tout à coup, une forme surgit devant la voiture obligeant le conducteur à s'arrêter précipitamment. Hadrien descend du véhicule pour vérifier que tout est en ordre. le petit Tom descend aussi pour soulager un besoin pressant. Une minute passe, puis deux… Vivian sort à son tour de voiture. Personne. Son fils et son mari ont disparu, elle est seule dans cette lande bretonne battue par le vent et la pluie.
Voilà le point de départ de cette histoire à vous empêcher de dormir. Une petite famille bien ordinaire embarquée dans une intrigue sinistre à souhait.
L'écriture est vive, rythmée, addictive. Les situations angoissantes s'enchainent, les chausses trappes abondent et le lecteur de suivre frénétiquement les soubresauts de l'enquête et d'accompagner Vivian dans sa quête de la vérité. Que sont devenus sont fils et son mari ?
Un thriller impeccablement réussi que vous allez dévorer jusqu'à la dernière page avec une conclusion terrifiante que vous n'aurez pas vue venir. Et cerise sur le gâteau, Niko Takian vous offre aussi un chapitre supplémentaire grâce à un QR code en fin de roman qui vient compléter le plaisir de lecture.
Vous qui aimez avoir peur, vous allez vous régaler.
« La lisière » de Niko Takian est publié chez Calmann Lévy.
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