Derrière la haine

Deux couples du même âge, deux maisons mitoyennes séparées par une simple haie et deux petits garçons nés le même année... il n'en faut pas plus pour devenir amis et trouver dans ces voisins bienvenus la famille qui nous manque. Mais il suffira d'un drame pour que cette belle amitié se fissure et que petit à petit tout vole en éclats.
Avec un tel résumé, je m'attendais à un thriller psychologique tout en subtilité, faisant petit à petit monter la pression à partir des caractères de chaque personnage mais raté ! Je n'ai pas réussi à accrocher à ce roman, j'ai trouvé l'intrigue fade, les personnages ne sont pas bien campés, chacun est finalement réduit à quelques traits de caractère sans aucune profondeur. le début m'a semblé s'éterniser et même quand le drame arrive, la tension ne monte pas vraiment. Certes on a envie de résoudre le mystère, de comprendre comment la haine a succédé aussi vite à l'amitié mais cela reste plat, sans relief. Je me suis surprise plusieurs fois à compter les pages pour voir où j'en étais de ce livre, ce qui est quand même un comble pour un thriller.
Je pense que c'est aussi le style qui m'a rebutée, des phrases courtes, peu construites, très scolaires, encore une fois cela manque de profondeur et nous empêche d'être embarqués dans l'intrigue. La fin n'a rien arrangée pour moi, je l'ai trouvée tirée par les cheveux et sans cohérence avec ce qui précède alors que le reste du roman avait au moins pour lui de ne pas en faire trop et d'être relativement plausible.
Bref même si ça se lit vite et plutôt bien, c'est une déception. J'ai vu qu'il y avait une suite mais je ne poursuivrai pas avec cette auteur.

Savons-nous réellement ce qui se cache derrière les belles façades au autre bow-windows de nos voisins? Ou, dans ce cas précis, derrière leur haie?

Laëtitia aime David; David aime Laëtitia. de leur union naîtra le petit Milo.
De l'autre côté du mur, Tiphaine et Sylvain ont emménagé et ont accueilli le petit Maxime, né trois mois à peine après Milo. Déjà que les deux couples s'entendaient bien, là, avec l'arrivée d'un fils dans chaque foyer, c'est la cerise sur le gâteau, d'autant que les deux garçonnets s'entendent à merveille.

Mais un jour, les deux couples ne s'entendent plus. Pire, ils commencent à se haïr.

C'est un roman qu'il me pressait de découvrir et je sors très très déçue de cette lecture. Non, franchement, Barbara Abel, mais c'est quoi cette histoire?
J'ai lu que c'était insoutenable, diabolique, un super thriller, moi je me suis juste dit que c'était mal écrit, fait de grosses ficelles rafistolées pour un ensemble cousu de fil blanc. Je n'ai pas cru à son histoire, c'était trop énorme pour y adhérer une seule seconde. Et la fin, la fin, non mais c'est invraisemblable. Je sais qu'il y a une suite - que je ne lirai probablement pas - et je me demande si elle parvient à retomber sur ses pattes.

Après, je reconnais avoir tourné les pages avec entrain à partir de la moitié du livre, je voulais connaître le dénouement. Mais ce que je retiens est la grosse déception, au final. de trois étoiles, je suis passée à deux et demi puis deux pour terminer à une et demi. Non, le souvenir qu'il me reste est trop décevant pour mettre davantage.

Il s'agissait du premier roman de cette auteure que je lisais. Il paraît que c'est l'un de ses meilleurs. Je vais passer mon chemin alors.

Un scénario qui promettait… Deux couples, voisins et amis, qui deviennent encore plus proches à la naissance de chacun des enfants à trois mois d'écart, jusqu'au moment du drame…
La quatrième de couverture m'avait interpellée et comme je ne connaissais par l'auteure je faisais d'une pierre deux coups. le début est long, long, j'ai même lu quelques pages en diagonale, je me suis ennuyée et la fin est complétement incohérente, sans rapport aucun avec la personnalité des personnages que décrit l'auteure. Grosse déception pour moi et je ne vais certainement pas lire la suite.

Oh! Chers voisins...

Des voisins avec qui l'on sympathise, qui deviennent proches...trop peut-être ?

C'est avec ce titre que je découvre cette autrice belge, Barbara Abel.
Et je n'ai pas vraiment accroché. 🙄
Certains adorent, ceci n'est donc qu'une question de goût et pas de qualité d'écriture.

Ca n'est pas mon style parce que le rythme est devenu intéressant selon moi qu'au dernier quart. Parce qu'aussi il y a trop de descriptions ou de détails qui sont celles du quotidien.
Exemples: liste des médicaments en citant les marques, ou noms des jouets alors qu'en soit ça n' apporte rien au récit. Au mieux ça me rappelle à mon quotidien, et au pire ça fait placement de produits.

Ensuite...et là ne lisez pas car je vais "spoil"
La réaction peu crédible des personnages (toujours selon moi). Ok, je comprends c'est la fin du livre et la tension doit monter. Mais si on veut être si proche du réel au point de nous citer la liste les dessins animés et des jouets tendances, on doit l'être aussi dans la réaction des personnes qui sont encore logiques (entendez par là les personnages qui n'ont pas versé dans la psychose).

Donc on a David qui est en garde à vue et qui comprend que son fils est en danger. Pourquoi n explique-t-il pas ça à la police pour qu'ils se rendent chez sa voisine au lieu de vouloir abréger sa garde à vue et de se jeter dans la gueule du loup ?

Pourquoi l avocat qui a été mis au courant de ses doutes ne se manifeste pas ensuite ?

Et pourquoi Sylvain, qui a culpabilisé pendant des années d'avoir subtilisé une ordonnance n'a d'un coup plus aucun scrupule à commettre 2 meurtres de sang froid ?

Non je n'ai pas été embarquée 🤫

Après c'est peut-être moi qui suis passé à côté de certaines subtilités...n'hésitez pas à me le dire si vous l'avez lu car je n'aime pas rester sur ma faim, surtout que ce livre est super bien noté

Déçue par ce livre. Je n'avais jamais rien lu de cette auteur dont on m'avait dit tant de bien.
Le déroulement est très prévisible. Beaucoup de clichés. Personnages peu crédibles.
Et une écriture trop descriptive avec des énumérations qui n'en finissent pas.
Un bon scénario pour le téléfilm policier du samedi soir sur France 3 !

Découverte de cette auteure avec ce roman et j'avoue que cela n'a pas du tout fonctionné avec moi.

J'aime pourtant les romans psychologiques mais là, les personnages m'ont plutôt énervé et je les ai tous trouvés sans personnalité.
Si on échange, on mélange les couples, les enfants, je n'aurai pas vu la différence.

Le roman se lit quand même plutôt bien et malheureusement, cela sera mon seul point positif.

J'ai compris le dénouement final au quart du roman, du coup, je me suis assez ennuyée jusqu'à la fin (j'espérais me tromper).

Je retenterai peut-être un autre roman pour ne pas rester sur une note negative.

Je n'ai pas du tout accroché à ce roman. Je l'ai trouvé assez fade contrairement à l'ensemble des commentaires sur Babelio. Je n'ai ressenti aucune empathie. Aucun suspense à l'horizon, ni frayeur. Il se lit d'une traite c'est son seul « avantage ». Bref je ne le conseille pas.

🌺Toujours désireuse de découvrir des auteurs de thrillers que je ne connaissais pas, Barbara Abel semblait correspondre au "profil recherché". Un "synopsis" prometteur, une photo de couverture accrocheuse et intrigante à souhait, et tous les avis lus sur internet m'ont encouragée à lire ce roman qui ne faisait pas partie de ma pile à lire du mois de mai. Je me rends compte au fur et à mesure de me lectures et de certaines déceptions que je deviens assez exigeante en matière de thrillers/romans noir/polars. Je m'attendais donc à être surprise et à ce que l'écrivain allie la qualité du style à la maîtrise de la tension psychologique.


           Laëtitia Brunelle va assister impuissante à un drame qui va toucher la famille voisine, les Geniot. Depuis de nombreuses années, les deux familles sont inséparables, leurs fils respectifs, Milo et Maxime, grandissent ensemble comme deux frères. 


              "DERRIERE LA HAI(N)E", titre que l'on peut aussi lire autrement si on supprime une lettre, est un roman qui contient de bons ingrédients mais dont le mélange n'a pas été cohérent. Regardez l'image de couverture avec ces deux maisons mitoyennes, jumelles qui semblent n'en former qu'une, les deux garçons qui sont nés à trois mois d'intervalle sont fusionnels, les deux familles qui se fréquentent quotidiennement dans une osmose parfaite... jusqu'au jour où survient le drame.

             Après ce drame, un enchaînements de circonstances, d'incompréhensions, de doutes va avoir raison de l'amitié si solide qui liait les deux familles; l'ascension vers la haine va inexorablement les mener vers la folie et l'impensable.


          La seule qualité de ce roman en dehors du fait que l'écriture est fluide, agréable et qu'il peut se lire d'une traite, est sans doute l'intrigue qui semblait prometteuse mais que l'écrivain n'a pas su faire décoller. En effet, de nombreuses ébauches de rebondissements n'ont pas été exploitées et la psychologie des personnages pas assez développée. Quelques incohérences m'ont laissé croire que l'auteur nous réservait des surprises, or je suis restée sur ma faim, en effet, ATTENTION JE SPOILE ENCORE comment se fait-il que Maxime n'entend pas Laëtitia quand celui-ci était penché par la fenêtre? pourquoi semblait-il être dans un état second? ok il avait de la fièvre mais ça aurait pu ouvrir la voie à un bon suspens si tous les éléments que j'ai relevés avaient été exploités.


             Je ne suis pas ressortie stupéfaite de ce roman, mais légèrement frustrée et déçue que Barbara Abel ne soit pas allée au bout de sa proposition en nous tissant une intrigue mieux ficelée et en exploitant tous les éléments qui auraient donné à son histoire plus de relief et de profondeur.


MON AVIS /


Sans vouloir être méchante, je dirai que en lisant ce roman j'ai eu l'impression d'avoir entre les mains le scénario d'un téléfilm américain de TF1, que je regardais quand adolescente je séchais les cours l'après-midi...et à l'époque je regardais TF1 :-(

Lien : https://www.Instagram.com/au..

Je ne sais pas ce qui nous pousse à visionner des films d'horreur. le frisson d'effroi et de révulsion mêlés, en toute sécurité ? Il en va de même en littérature. le moment jubilatoire entre tous, est celui de l'anticipation. Une première de couverture au titre torturé, une maison silencieuse et pâle sur ciel de plomb, une quatrième de couverture qui fait saliver...
Ensuite on se glisse dans le roman tout doucement. le malaise se fait ténu avant de se muer en nausée. Oui, cela fonctionne, on est pris, poings et pattes liés. Partagé entre une méchante envie de s'en tenir là pour stopper la noire spirale et l'impossibilité de renoncer au dénouement (ha, arrggghhhhh ... comment tout cela va-t-il se finir ?
Décidemment, il faut que j'arrête de donner dans ce genre... j'ai du mal à supporter

Il s'agit de ma première lecture d'un livre de Barbara Abel.
Je ne connaissais pas du tout et j'ai bien aimé, que dis-je j'ai adoré !
Petit bémol : je n'arrivais pas à mémoriser qui était qui, alors cela interférait dans ma compréhension. Mais j'ai tout de même réussi à m'en sortir !
Avec une intrigue très bien menée et une fin plus que surprenante. Je suis tout de même restée sur ma faim en me disant que cela ne pouvait pas se finir comme cela et qu'il manquait quelque chose. Et j'avais raison puisqu'il y a une suite !
J'espère pouvoir la trouver un jour pour connaitre la fin car c'est tellement horrible de rester sur un tel suspens.
D'ailleurs, je pense qu'on aurait pu appeler ce livre Derrière la haie 😅