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3,87

sur 406 notes
Alors qu'il avait décidé de vivre sur la planète Krikket, Arthur Dent rentre sur Terre en stop. Après 8 ans d'absence, il retrouve même sa maison là où il l'avait laissée. Ah mais, attendez un peu... est-ce que la Terre n'avait pas été anéantie par les Vogons ? C'est d'autant plus énigmatique qu'Arthur ne semble avoir été absent que quelques mois. Hummm, état de fait totalement invraisemblable et paradoxal o.O

Peu importe, avec son flegmatisme habituel, notre héros ne va pas trop réfléchir à la question. Il va même tomber amoureux d'une violoncelliste et faire des galipettes dans les nuages. La routine quoi !

Et quid des autres ? Pourquoi est-ce que du fin fond de l'espace Ford Perfect téléphone à l'horloge parlante de Londres ? Que font Zaphod et Trillian ? Où est Marvin ? Et surtout qui est John Watson ? Et aussi qu'est-ce que c'est que ce bocal sur lequel est gravé le message : « Salut, et encore merci pour le poisson » ? Et accessoirement, où ont disparu les dauphins ?

Si vous êtes prêt à connaître l'Ultime Message de Dieu à Sa Création, vous pouvez lire ce livre tout en étant conscient que la morale cette histoire a « temporairement échappé à l'esprit du narrateur. »

Il ne me reste plus à lire que le 5ème tome de cette divertissante trilogie et le « bonus track » ^_^



Challenge défis de l'imaginaire 2019
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Après un long trajet en stop inter-galactique, Arthur Dent revient sur Terre, qu'il pensait pourtant détruite. Tout paraît normal, à part quelques incidents mystérieux survenus à la période de la supposée destruction (dont la disparition des dauphins) et attribués à la CIA. Arthur reprend donc son ancienne vie avec une certaine satisfaction, d'autant plus qu'il tombe amoureux de Fenchurch, seule autre personne sur la planète qui a conscience que l'histoire de la Terre a subi quelques raccords.

On reste un peu sur sa faim avec ce quatrième tome : pas de traces de vies extraterrestres déjantées, tout se passe sur Terre, ce qui s'avère être aussi décevant qu'un James Bond sans gadget. Fenchurch est un personnage un peu pâlot, qui ne remplace pas avantageusement les autres héros (Marvin, Zaphod, Trillian) tristement délaissés. Et l'intrigue, une petite amourette assez banale, est tout aussi plate. Un peu décevant, j'espère tout de même un final en fanfare pour le dernier volume de cette série.
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Ah ! Me voilà réconciliée avec la saga...

Arthur est de retour sur Terre, et tout - ou presque ! - est comme avant...

Il y a bien ce bocal, avec l'inscription "Merci pour le poisson" qui l'intrigue... Et la disparition des dauphins aussi, mais bon, Arthur ne s'en soucie pas trop, car il est amoureux !!!

Et la femme de sa vie, Fenchurch, a un point commun avec lui. Elle aussi se souvient de la fin de la première terre... Ce qui lui a valu quelques séjours en hôpital psychiatrique... Et ce qui nous vaudra une très jolie scène entre nos deux tourtereaux, quand Fenchurch demandera à Arthur qu'il trouve quelle particularité elle a...

Et Arthur va trouver, et, en retour, lui apprendre à voler ! de belles scènes d'amour et d'humour que ces scènes de vol !!!

Et ils vont aussi avancer dans la compréhension des événements grâce à un nouveau personnage à l'étrange maison où tout est inversé, le dehors et le dedans...

Bref, résolument tourné vers l'histoire d'amour d'Arthur et Fenchurch, ce quatrième volume rattrape largement la déception du précédent !
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Qu'est-ce qui est le plus difficile ? Faire le deuil de sa planète natale ? Ou apprendre que, tout compte fait, elle n'a pas été détruite, et qu'elle continue toujours à abriter ses ouailles dans un coin perdu de l'Univers ?


Demandez ça à Arthur Dent, il vous répondra… même si lui-même n'a sans doute pas une réponse bien définie sur la question. Oui, la Terre existe toujours, et avec elle son lot de fous du volant qui méprisent le plus minable des auto-stoppeurs coincé sur le bord d'une voie rapide, sous le déluge. Alors qu'il croise une âme charitable qui accepte de le faire grimper dans sa voiture, Arthur Dent fait la connaissance de Fenchurch (rajoutez un nom improbable à votre longue liste des noms improbables déjà présents dans les tomes précédents). Il fallait bien que ça finisse par se produire… Nous sommes dans l'avant-dernier tome de la série, et Douglas Adams nous avait épargné jusqu'alors les traditionnelles histoires d'amour qui ne font pas avancer l'histoire mais qui offrent une touche de romantisme aux lecteurs accros au parfum d'eau-de-rose (on aimerait demander à ceux-ci : pourquoi êtes-vous venus vous perdre dans la lecture du Guide du voyageur galactique ?). Dans ce quatrième volume, impossible d'y échapper. Douglas Adams ne se contente pas de caler une légère allusion mielleuse entre deux pages qui détonnent d'une dérision réjouissante –non : il fait tourner l'intégralité de son récit autour de cette histoire d'amour étonnamment conventionnelle, pour ne pas dire niaise.


C'est accompagné de sa Fenchurch –dont le potentiel comique est nettement moins élevé que celui de l'androïde dépressif Marvin- qu'Arthur Dent va aller de (maigres) surprises en (rares) réjouissances. La technique qui permet de rater le sol, découverte dans le volume précédent, devient ici prétexte foireux à décrire les joies du transport amoureux. Les particularités du personnage de Fenchurch décrivent une jeune fille éthérée dont le seul ressort comique résulte de la confrontation avec la grossièreté généralisée du reste de l'Univers (mais qui paraît de manière bien amoindrie dans ce quatrième volume). Douglas Adams aurait-il essayé d'imiter le style de Barbara Cartland ?


Malheureusement, les personnages secondaires s'estompent au profit de cet ennuyeux couple et ne viennent pas relever le niveau des aventures. Douglas Adams offre toute la virulence de ses descriptions absurdes et déjantées dans les premières pages du livre. le reste s'essouffle rapidement. Si Zola peut ennuyer pour ses longues descriptions monotones, Adams ennuie au contraire dans la succession des actions fadasses qu'il fait vivre à ses personnages.


On comprend pourquoi les dauphins se sont barrés de ce volume. Prochain départ annoncé, celui du lecteur ? Même si Douglas Adams a finalement réussi à me décevoir, arrivée à ce point de ma lecture de la « trilogie en cinq tomes », je suis bien trop attachée à son univers pour lâcher en si bon chemin. L'écrivain a réussi à s'attirer un capital sympathie qui résiste même aux plus grossières fautes de goût. Alors, espérons seulement que ce soit Fenchurch qui disparaisse du volume suivant… la qualité des aventures du Guide du voyageur galactique s'en ressentira certainement.

Lien : http://colimasson.over-blog...
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Arthur Dent se retrouve sur terre à six kilomètres de son village. Sa maison est toujours là. Sa boîte aux lettres est pleine de factures et de prospectus. Il retrouve sa chambre et s'étend sur le lit qui sent le moisi. À part la présence d'une épaisse couche de poussière et de pas mal de choses pourries ou mortes comme le chat, rien n'a vraiment changé. Il trouve un joli bocal dans un carton. Il le remplit d'eau du robinet et y place le babbelfish qu'il a dans l'oreille à titre de traducteur avant de s'endormir. le lendemain, il enterre le chat, essaie d'obtenir des nouvelles de Fenella ou Fenny et finit par aller au pub où il raconte qu'il a fait un long séjour en Californie. Là-bas, les Californiens ont redécouvert l'alchimie. Il prétend même qu'ils ont trouvé comment transformer en or l'excès de graisse corporelle !
« Salut, et encore merci pour le poisson », quatrième tome de la saga « H2G2 », est un roman de science-fiction humoristique qui ne s'embarrasse ni de logique ni de vraisemblance. La terre a été pulvérisée pour former une déviation spatiale, cela n'empêche nullement Arthur d'y revenir d'abord dans une caverne, puis carrément chez lui ! Avec Douglas Adams, on fait fi du temps et de l'espace. L'ennui, c'est que tout ça donne un peu beaucoup l'impression de tourner en rond, que l'intrigue est toujours aussi peu travaillée. Résultat : le lecteur, au fil des tomes, est de moins en moins surpris des trucs, ficelles et astuces drôlatiques de l'auteur. Seule originalité de cet opus, l'amourette, décalée bien sûr, entre Fenny ou Fenchurch, on ne sait trop, et le héros principal, Arthur Dent. Un peu mince pour sortir d'une monotonie qui commence un peu à lasser les meilleures volontés.
Lien : http://www.bernardviallet.fr
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Derrière ce titre hautement philosophie se cache le 4° tome de la trilogie en 5 volumes de Douglas Adams...
Après le guide du voyageur galactique, le dernier restaurant avant la fin du monde, et La vie, l'univers et le reste, c'est peu de dire que je me réjouissais de retrouver Marvin, Trillian, Zaphod, Ford et Arthur dans l'univers délirant de Douglas Adams.

Et c'est peu de dire que j'ai été très déçue par ce 4° tome.
Pas de Zaphod ni de Trillian, Ford apparait à peine, et Marvin encore moins.
Ce tome est tout entier consacré au retour d'Arthur sur Terre, une Terre qui n'a pas été détruite par les vogons ( univers parallèle? Ne rêvez pas , le sujet est à peine évoqué!), et sa réadaptation à une vie à peine absurde en regard de ses aventures des 3 premiers tomes.
et c'est bien le problème: bien que héros jusque là, Arthur l'anglais moyen était drôle de par son décalage avec le reste de la galaxie. Remis dans son élément normal, il redevient un type parmi tant d'autres. Il y a des moments assez drôles, c'est vrai, mais tellement peu. comme le type qui est un dieu de la pluie sans le savoir, et est constamment suivi par les nuages qui l'adorent et lui rendent hommage en se déversant à tout instants sur lui, à son grand dam et à sa totale incompréhension. Ce qui me fait systématiquement penser au nom du Chef Rain-in the-face.

Le paradoxe est donc que ce tome manque de fantaisie de, folie et d'absurde. L'intrigue principale est terriblement ennuyeuse: Arthur va-t-il oui ou non réussir à conclure avec Fenchurch ( c'est son vrai nom!) la dépressive sortie de nulle part ou c'est tout comme. en fait il semble que Fenchurch soit purement et simplement la femme mentionnée en une ligne dans l'introduction du tome 1, celle qui a eu l'intuition génial que les problèmes de l'humanité pouvaient être réglés très facilement, avant d'être pulvérisée en même temps que la terre avant d'avoir eu le temps de parler de sa découverte. Il aurait mieux valu que ça en reste là, car Fenchurch, malgré les efforts évidents de Douglas Adams pour nous la rendre sympathique et farfelue, est un non personnage, ce qui la rend encore plus agaçante, dans le sens où il a complètement évacué Trillian, de son histoire pour lui faire de la place. Or Fenchurch, c'est juste Arthur au féminin, un personnage qui se laisse porter par les événements, vaguement incomprise, dépressive prise pour une folle par son frère, mais sans plus de précisions, il est très difficile de s'y intéresser. J'ai vraiment l'impression qu'elle n'est là que pour qu'Arthur puisse s'envoyer en l'air. Au sens propre, puisqu'il maîtrise tant bien que mal la lévitation depuis le tome précédent et va apprendre à Fenchurch à léviter à son tour, et à faire des acrobaties en plein vol. Sauf que la lévitation, c'était cool tant que c'était gratuit. Que ça deviennent une simple métaphore sentimentale du type " je suis au 7° ciel" ou " sur un petit nuage", et c'est banal.

et tout est banal dans ce livre, à tel point qu'au passage où Adams dit " à partir de là, on va se concentrer sur le fait de savoir si Arthur a une vie sentimentale, si ça ne vous intéresse pas, vous pouvez sauter directement au dernier chapitre où on retrouve Marvin" ou quelque chose comme ça.. hé bien j'ai été tentée de suivre son conseil. Je ne l'ai pas fait par acquit de conscience, mais j'aurais aussi bien pu, vu le nombre de fois ou j'ai soupiré devant la banalité de l'action, des personnages et le manque de folie de l'ensemble. Car oui, je fais partie des lecteurs qui se foutent éperdument de la vie sentimentale d'Arthur sur Terre.

Aussi je le dis tout net, je me renseignerai bien sur le 5° tome avant de le lire: si on n'y retrouve ni Ford, ni Marvin, ni Trillian, ni Zaphod, pour moi, la trilogie aura pour toujours 3 tomes seulement.
J'ai l'air très critique avec ce livre. Plus que sa valeur personnelle ( il n'est pas nul, juste dispensable), c'est , comme dans les séries de films, le canard boiteux de la série. C'est vraiment parce qu'il s'insère mal dans l'ensemble qu'il m' à autant déçue. est-ce que c'est du à la traduction? Je ne sais pas. En tout cas elle m'a parue moins gratuitement vulgaire et je m'en-foutiste que celles des autres tomes, j'ai même l'impression qu'il y a une amélioration à ce niveau ( le Grand ordre de la serviette disait il y a peu sur sa page Facebook que la traduction donnait l'impression que "les Monty Pythons avaient été traduits par le scénariste de mon curé chez les nudistes" J'ai l'impression que c'est vrai pour le tome 1 surtout.)

Lien : http://chezpurple.blogspot.f..
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Alors qu'Arthur Dent parcourt la galaxie depuis la destruction de la Terre, voila que celle-ci, en fait, existe toujours... Mais pour quelle raison ?
C'est en cherchant (vaguement) la réponse à ce mystère que notre héros va faire la rencontre de Fenchurch, jolie jeune fille un peu décalée qui se pourrait bien être celle qui sait "comment on pouvait faire du monde agréable et chouette."

Mais en partant à la recherche de l'amour de sa vie, Arthur va faire d'autres rencontres, tel un routier poursuivi par la pluie, un bocal contenant un message mystérieux et surtout un vieil homme qui connait la raison de la disparition soudaine et inexpliquée de tous les dauphins du monde, sans compter que quelque part, sur une autre planète, se cache le dernier message de Dieu à la Création...

Autant être franc, le niveau baisse. La relative confusion des trois premiers, qui se voulaient bon enfant, s'exacerbe au détriment du lecteur. On s'attend à des coups de théâtre, des explications plausibles, puis on se souvient qu'on parle de Douglas Adams, alors désolé, ce ne sera pas au programme.
Les autres personnages sont vraiment secondaires : Ford n'apparait qu'à la fin, Marvin fait un p'tit coucou et Zaphod et Trillian sont tout bonnement absents du livre.
Tout tourne autour d'Arthur et de Fenny, de leur romance et de leur capacité à "rater le sol".

Au final, le 4eme tome de la trilogie n'est pas indispensable, sauf si on s'est pris d'affection pour le style de Douglas Adams. Même si celui-ci aussi est en baisse dans ce volume, il demeure un auteur cinglé doté d'un humour absurde et il serait dommage de passer à côté de ce "Salut et encore merci pour le poisson".
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Je l'ai trouvé beaucoup moins intéressant que les tomes précédents.
C'est peut-être dû au fait que nous sommes surtout restés sur cette globalement inoffensive planète qui, contrairement au reste de l'Univers est en fait assez ennuyeuse.
Ce qui fait la magie de cette saga c'est la découverte de l'Univers et de ses bizarreries, ce qui s'est moins rencontré dans ce tome.

Je suis attristée d'apprendre le sort réservé à Marvin et il me faudra du temps pour digérer ce qui lui est arrivé.
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Un tome moyen, comme le précédent mais qui me plaît toujours grâce à son style unique mêlant humour et une absurdité sans limite.
Même si ce quatrième volume me laisse moins enthousiaste, je l'ai quand même trouvé drôle, cela dit il faut toujours garder en mémoire que qui a été écrit au long du roman voir des tomes précédents sinon j'ai tendance à m'y perdre.
Autant je trouve ça drôle d'avoir 8 pages des personnages en début de livre parodiant les bouquins avec bien trop de personnages pour s'en souvenir, ça l'est moins quand je dois sans cesse y retourner pour me rappeler qui est qui. Peut-être aurais-je dû lire les 5 tomes de la trilogie (oui c'est normal) d'un coup ?
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Et ce qu'on peut dire de ce 4ème épisode c'est qu'il ne s'y passe rien du tout. Ouf! Fin.
....... Bah oui, rien du tout et c'est presque logique et surtout très sympathique. Arthur est de retour et après avoir vu sa planète détruite, ses convictions détruites, voyager dans tout l'espace et le temps, et surtout avoir eu des difficultés monstres pour boire un véritable thé ; au final se retrouvez chez soi et ne rien faire ça a du bon et il mérité bien ^^

Donc, oui, oui, et oui, il ne se passe rien, mais soyez rassurer la Terre n'est plus la même pour longtemps. Même si au premier coup d'oeil rien n'a changé pour lui, une rapide rencontre va ramener Arthur dans le monde de l'absurde mais sans le choquer, sans le déstabiliser, c'est son quotidien à présent et il aime presque ça. Et de l'absurde il va y en avoir mais pas de panique c'est normal de toute façon, le lecteur et Arthur le vit très bien.

Non vraiment je le dis il ne se passe rien d'extraordinaire. "Arthur Dent a t il une vie amoureuse/sexuelle ?" et "Comment ça, plus de dauphin ?", seront peut être les grandes questions de ce tome. Mais après tout le fait qu'il ne se passe rien prouve qu'il se passe bien quelque chose. Non ?
C'est au final (oui ça fut rapide, je le redis) un tome de transition/pause avant de repartir à l'aventure, mais une pause bien agréable, elle a un quelque chose de Doctor Who ou de Dirk Gently, avec en plus une nouvelle membre d'équipage.
De toute façon à quoi se poser des questions quand on a la réponse : 42.
Le tome V peut tranquillement repartir sur les chapeau de roue et faire n'importe quoi. On est prêt !

A noter la totale absence de Zaphod et Trilian et ça aussi ça fait du bien.
Les tomes II et III sont vraiment chiants quand même avec le recul. le tome IV aurait pu être le II. Ok, Adams aurait du faire une pirouette bien longue à la fin du I, mais on parle de Douglas Adams.
Enfin voilà... A mon humble avis personnel à moi même qui est très humble bien sur... ah ah...
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