Dossier 64

J'ai encore une fois adoré l'enquête du département V mené par Carl , Assad et Rose.

Pour ce tome 4, nous avons affaire à un parti politique qui prône l'eugénisme et se donne le droit de décider de qui peut ou ne peut pas avoir d'enfants en pratiquant des avortements et des stérilisations forcées à des jeunes femmes jugées débiles et débauchées.

L'auteur nous livre encore une histoire bien ficelée avec une fin à laquelle on ne s'y attendait pas

4ème tome de la série des « cold case » du département V, une enquête menée par l'incroyable trio, Carl Morck, Rose et Assad. Autour de ce fameux Dossier 64, se joue un jeu de dupes macabre dans lequel Carl Morck semble être au coeur du maelstrom. Son équipe est finalement aussi mystérieuse que les enquêtes qu'il ouvre. Un Assad au passé ambiguë et secret, une Rose aux multiples personnalités et un Carl Morck semblant toujours être dépassé. Pourtant, ce dernier semble trouver un équilibre plutôt précaire mais bienveillant avec ses coéquipiers et ses amis dont il partage la maison. Adler-Olsen sait raconter des histoires, on ne va pas s'en plaindre.

La soeur d'un flic à la retraite, tenancière d'une maison close, vient d'être brutalement agressée, celui-ci vient au commissariat pour forcer la main de Carl Morck à l'aider de façon tout à fait officieuse, cela le met en rogne. Mais la journée des mauvaises nouvelles ne fait que commencer. Alors qu'il se prend la tête avec ses problèmes, Rose saisie l'opportunité d'ouvrir un cold case sur disparition d'une prostituée il y a 20 ans. Avec l'aide d'Assad, Rose exhume de mystérieuses disparitions signalées exactement à la même date. Petit à petit, d'autres éléments concourent à remonter les pistes d'un passé peu glorieux pour le Danemark.

En conclusion, Jussi Adler-Olsen est assez doué pour créer des personnages aux comportement profondément humains. le trio constitué par Carl Morck, Assad et Rose devient de plus en plus détonnant et étonnant, et constitue de façon ingénieuse l'élément moteur de la série. Quant à l'intrigue de Dossier 64, elle est très bien construite, car les différents chemins se croisent pour le plus grand plaisir du lecteur. A très bientôt pour jouer au détective avec l'équipe du département V.

❓Dans les thèmes Polars, est-ce que vous connaissez d'autres coldcase intéressants à lire ?

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4e enquête de cette saga du département V et je vous conseil vraiment de les lires dans l'ordre pour mieux comprendre certains passage.

En cette année 2024 j'ai envie de me mettre le plus à jour dans les sagas que j'ai commencé donc je me lance dans ce pavé de 700 pages environs.
Il y a longtemps que j'ai lu le tome 3 donc j'ai eu du mal à me souvenir de certains moments ce qui m'a perdu au début de ma lecture de ce 4e tome.
Et dans ce tome ci on parle pas mal de l'enquête du tome 3...

Le point le plus négatif dans cette saga (puisque dans les autres tomes aussi) ce sont les chapitres beaucoup trop long à mon gout. En moyenne 10 pages.

J'aime bien le personnage d'Assad, qui a du mal avec les expressions française et qui les modifie un peu et que Carl doit lui expliquer.

J'ai mis plus de la moitié du livre à rentrer dans l'histoire et dans un livre qui fait environ 700 pages c'est long... J'ai trouvé qu'après cette première moitié il y a eu plus d'actions et que l'enquête commençais vraiment.

Par contre pendant les 200 dernières pages de ce livre je n'avais pas envie de lâcher ma lecture. Je trouve que tous l'actions et les rebondissements sont présent dans ce peu de pages restante du roman.

Vraiment dommage pour la longueur de ce tome ci au début...

C'est avec beaucoup de plaisir que j'ai retrouvé la fine équipe du département V pour le moins éclectique et improbable.

Notamment le bougon Carl Morck empêtré dans une vie privée compliqué et son assistant Assad, mystérieux, loufoque mais très attachant.

Dans cette nouvelle enquête du département V, service qui s'occupe d'affaires classées, on va plonger dans un vieux dossier de disparition mystérieuse qui n'a jamais abouti.

Dossier 64 en plus d'être un roman passionnant, va quelque peu égratigner la société danoise. On va notamment découvrir un chapitre sordide et méconnu de son histoire, la stérilisation forcée de milliers de femmes, faisant écho au régime nazi (eugénisme, contrôle des grossesses et classement de la population).

Certes, l'action est lente mais quelques rebondissements au bon moment nous tiennent en haleine.

Je ne sais pas si vous connaissez cet auteur mais si ce n'est pas le cas, il faut remédier à cela très vite.

Ça y est ! J'ai retrouvé ce cher inspecteur Mørck !

Le commissariat et le département V ne sont pas épargnés par la grippe, les nez qui coulent et les yeux rouges mais les tirades acerbes tournent toujours à plein régime. J'ai trouvé que dans ce tome, les traits d'humour partaient direct et s'enchaînaient. Particularité de cette série, bien rare dans les polars nordiques ( je n'ai l'ai pas encore rencontré chez un autre auteur) et c'est ce qui me délecte ( entre autres) dans cette lecture.

Les personnages sont toujours savoureux.
Mørck revient un peu plus réveillé que dans le troisième ( j'avais été déçue qu'il soit toujours à la traîne dans les raisonnements 😅) et j'apprécie toujours sa générosité, son bon coeur envers les siens. Assan, plus mystérieux, plus sombre et si perspicace, nous tient en haleine. Rose, si énergique, si intelligente, si perturbée m'interroge et m'attendrit. Un trio attachant, vraiment.

L'intrigue s'inspire de faits peu glorieux du Danemark et la montée de l'extrême droite. Jussi Adler n'épargne personne. Les personnages mêlés ne nous laissent pas indifférents . Plus j'avançais , plus je sentais bien la fin pas Nete ( désolée de cette blague pourrie mais j'ai eu envie de la faire direct 😂), je ne me suis pas trompée. Ça ne m'a pas empêché d'apprécier particulièrement ce tome.

Il s'agit du tome 4 de la série du Département V. Et comme d'habitude dans cette série, il s'agit d'un pavé même s'il fait un peu moins de 700 pages 😁

J'ai à nouveau adoré ! On suit une partie historique qui fait froid dans le dos… Ce livre est bien prenant et plusieurs histoires s'entremêlent ce qui rythme la lecture.

On continue à suivre les personnages en fil rouge de cette série. On apprend quelques petites choses supplémentaires sur eux même s'il reste énormément de zones d'ombre que j'ai hâte de découvrir dans les prochains tomes.

Ce livre est écrit comme si on avait lu les tomes précédents. Il n'y a pas de rappel particulier. Mais comme je les lis de façon rapprochée, cela ne m'a pas dérangée.

J'ai vraiment trouvé ce tome dingue pour un dénouement totalement inattendu pour moi ! Un tome excellent qui donne hâte de lire les suivants !
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Prologue – Copenhague – Novembre 1985

Nete et Andreas participent à une soirée. Nete décide de quitter la soirée avec son mari, car elle se sent menacée par un certain Curt Wad.

Novembre 2010 – L'inspecteur Carl Morck accompagné d'Assad et Rose doit enquêter sur plusieurs disparitions qui ont toutes eu lieu le même jour en 1987. D'apparence rien de les relient. Il va croiser sur route le désagréable Curt Wad gérant du parti politique très controversé Rene Linier.

Encore une suite à la hauteur des précédents tomes. Les 3 personnages principaux Morck, Rose et Assad sont attachants, si différents mais si complémentaires.

On rit, pleure, on a peur. On ressent de la colère face à des destins brisés, suite à l'innocence de certains, la lâcheté d'autres et la haine et supériorités d'autres.

La fin est explosive !
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L'équipe du Département V va déterrer, dans ce tome, les rouages d'une organisation immonde survenue dans les années 20. Je pense toujours avoir tout lu sur les horreur du passé et j'en découvre toujours... Excellent, intriguant et on avance de plus en plus dans la vie des personnages, dont le troublant Assad. le tome suivant ne va pas tarder pour moi !

10 ans que je n'avais pas ouvert un livre de cet auteur. J'en avais plutot un bon souvenir alors quand l'occasion s'est présentée dans un marché aux puces, j'ai franchi le pas.
Pas de surprise, on retrouve le département V, spécialisé dans les cold case, occupant le sous-sol du commisariat central de Copenhague. Un trio d'enquéteurs hétéroclites va devoir se confronter à un sombre chapitre de l'histoire du pays.
Tout fonctionne plutot bien. Les personnages sont bien campés, denses et rugueux, la narration alterne entre les événements des années 50, 80 et 2000 pour nous révéler petit à petit l'ampleur de la tragédie qu'ont vécu certaines jeunes filles pendant des dizaines années.
Plus de 600 pages mais aucune lassitude et un suspense parfaitement maitrisé jusqu'au bout. Un bel ouvrage qui m'amènera certainement vers d'autres oeuvres de cet auteur.

Écrivain danois, " Jussi Adler-Olsen " livre dans ce tome quatre de la série du Département V, une plongée dans les atrocités commises par les hommes par le biais de la politique et la conjoncture du début du XXe siècle, pour mettre en pratique une théorie visant à améliorer l'espèce humaine fondées sur la génétique : l'eugénisme. Avec évidemment l'équipe de choc habituel : l'inspecteur Carl Mørck, l'inénarrable Rose et l'inquiétant Assad.

Début de l'intrigue, une femme agressée et arrosée de soude caustique, obligera son frère (ancien de la police) de sommer son ancien collègue Mørck afin qu'il trouve l'agresseur et le neutralise. Ainsi débute une – banale – affaire criminelle, qui débouchera bientôt sur une cold case et un rappel d'une vérité historique, que l'auteur instrumentalise pour dénoncer les conditions de milliers de femmes ayant subi le joug du patriarcat et de la dérive idéologique de certains hommes au nom d'une " race pure ".

Je me suis penché sur cette période de l'histoire danoise, peu reluisante bien sûr, mais quel pays peut se targuer de n'avoir pas décider et fermer les yeux sur de sombres, tragiques et malheureux pans de leur histoire. Or donc, l'île de Sprogø a hébergé un centre d'internement pendant la période de 1922 à 1961. Incarcérant des femmes enceintes célibataires, inadaptées aux moeurs de l'époque et de ce fait considéré comme débiles, asociales, etc... Ces femmes étaient le plus souvent maltraitées et avait comme unique porte de sortie, la signature d'un acte pour être stérilisées !

Le roman aborde également le danger que ces idées, via de ténébreux partis politiques, s'emparent de celles-ci et en face leur paradigme. Ce danger a existé mais vraisemblablement perdurera toujours ; inéluctable bêtise humaine qui ignore toujours les leçons du passé.

Un roman sans temps mort, avec de multiples rebondissements sur les péripéties de nos policiers mais surtout sur les pistes de réflexions concernant l'absence d'égalité sociale ainsi que la noria de périls extrémistes aux portes de notre société – a-t-on le droit de trier les êtres humains ? – . À lire sans retenu et sans modération.

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